L’alimentation est un vaste sujet, passionnant, plein d’idées fausses et préconçues et nourri par le conditionnement marketing.
J’ai écrit de nombreux articles sur l’alimentation que vous trouverez sur mon blog et dont je partage avec vous quelques liens.
Les 8 ingrédients les plus toxiques dans votre alimentation
L’alimentation : la plus dure des disciplines
Plus vous en mangez plus vous maigrissez
Mangez plus pour perdre du poids
Les bons aliments qui peuvent vous tuer …
Comment peut-on opposer, me direz-vous, l’aliment pour les enfants considéré comme étant parmi les plus vertueux et la boisson la plus controversée au monde, responsable de tous les maux de l’humanité ?
Depuis l’élaboration du PNNS (programme national de nutrition santé), datant de janvier 2001 prolongé en 2006 puis en 2011 et qui vante la consommation de cinq fruits et légumes par jour, (ce plan qui vous explique qu’il ne faut pas manger trop gras, trop sucré, trop salé), les fabricants de compotes surfent sur cette embellie.
450 000 tonnes de compotes vendues chaque année pour un chiffre d’affaires de plus de 350 millions d’euros.
Compotes : chiffres d’affaires France | Statista
L’industrie agroalimentaire prompte à sauter sur toutes les opportunités qui peuvent les enrichir, même si c’est à nos dépens, nous gave, mais gave surtout nos enfants, de ces gourdes multicolores de compotes illustrées de têtes sympas en forme de pommes, de bananes ou de fraises, super « marketées », fermées par de gros bouchons en plastique et sur-emballées dans des boîtes en carton…
Tout ça pour manipuler nos chérubins mais aussi dans un souci de respect de l’écologie évidemment !
Ce label est donc la garantie absolue de qualité ; que vos enfants consomment un aliment super saint, un aliment santé !
Pour mémoire, le Nutri-Score a été adopté par le Ministère de la Santé et reconnu par la communauté scientifique comme un système d’information simple et fiable, indiquant la qualité nutritionnelle des produits.
Nutri-Score | Santé publique France
La cuisson des fruits à la mode industrielle, à 110°, entre 4 à 8 minutes et leur ultra mixage, pulvérisent leurs fibres et détruisent leurs micronutriments comme la vitamine C.
Même s’il n’y a pas eu de sucres ajoutés, ce produit devient alors un concentré de sucre et quasiment rien d’autre, à l’assimilation encore plus rapide, comme les jus de fruits d’ailleurs, qui feront l’objet d’un autre article.
Les fruits qui servent à fabriquer les compotes, rarement de bonne qualité, sont épluchés excluant d’autant plus d’importantes sources de fibres et de micro nutriments contenus dans la peau.
Mais finalement, les pommes non biologiques sont tellement traitées que cela devient presque un avantage de ne pas en consommer la peau…
Dans un fruit non transformé, le sucre appelé fructose est combiné à une matrice de fibres, son indice glycémique est alors bas et parfois même très bas contrairement à la compote ou l’indice glycémique augmente considérablement.
Ainsi pour le fruit, la conversion en glycogène est lente ( indice glycémique bas ) et se libère doucement facilitant l’utilisation optimum de l’énergie glucidique, évitant tout pic glycémique engendrant potentiellement une hypoglycémie réactionnelle.
C’est évidemment tout le contraire pour la compote !
De plus, cet excédent de sucre non utilisé sera transformé en graisse dans le foie et sera transporté dans le sang sous forme de triglycérides.
On peut également constater que dans les compotes, la quantité de sucre est plus importante, que son indice glycémique est plus élevé et que, par conséquent, la charge glycémique est plus importante que pour un simple fruit.
Vous l’aurez compris, plus cette charge est élevée et plus le produit que vous consommez vous remplit de ce sucre toxique pour votre santé.
Les enfants mettent moins d’une minute à engloutir une gourde de compote, là où il faut au moins cinq minutes pour mâcher une pomme.
La mastication permet à la salive de commencer à dégrader les aliments pour permettre une meilleure absorption des nutriments ainsi, la consommation ralentie permet de prolonger la satiété.
À votre avis, combien faudrait-il de compotes pour atteindre ce même niveau de satiété, 3, 4, 5 gourdes ?
Et certainement quelques gâteaux en plus…
Cela représente approximativement 200 à 250 kcal (uniquement de compote) contre environ 60 kcal pour une pomme moyenne, c’est 4 fois plus !!
D’autre part, nous mangeons rarement deux pommes à la suite !
Dans cet article, je mets en exergue la comparaison entre la compote de pommes et les boissons de type « cola » les plus populaires.
En effet, on peut se rendre compte que finalement 100 ml de cette boisson, au demeurant à proscrire, (précisons que je ne fais pas l’article de ces boissons) comparée à 100 g de compote de pommes industrielles, contient 10 g de sucre avec une charge glycémique de 6 (rappel : la compote contient 18g de sucre et possède une charge glycémique de 9).
La compote de pommes c’est environ 70 kcal pour 100 g contre 38 kcal pour 100 ml d’un « cola classique ».
Résultats : pour la même quantité de produit, la compote est plus sucrée de 80 % par rapport à un soda de type « cola » et sa charge glycémique est supérieure de 30 % !
Même si les sodas de type cola sont une des calamités dont nous abreuve l’industrie agroalimentaire, les compotes en sont une autre mais cette fois déguisées du sceau de l’alimentation santé.
Belle prouesse du consortium industriel, composé d’ingénieurs agroalimentaires, de ténors de la communication et du marketing et parfois même du corps médico-scientifique.
Difficile de passer entre les mailles pernicieuses du filet de l’ultra consommation.
Je ne dis pas dans cet article qu’il ne faut plus jamais consommer ce type d’aliment, quoi que … Je risquerais de passer pour un intégriste, peu être même un fasciste…
Ce n’est que de l’information afin d’attirer votre attention sur ce que sont réellement ces produits de qualité médiocre, particulièrement en quantité et de façon répétitive.
Notre alimentation est décadente, grasse, sucrée, salée, pauvre en micronutriments ainsi qu’en fibres et riche d’adjuvants chimiques.
Limitez donc ces compotes au bénéfice de vrais fruits là est véritablement la qualité de l’alimentation.
En second choix, préférez les compotes maison à condition que vous écrasiez manuellement les fruits et que vous ne les mixiez pas, que vous les chauffiez peu et bien sûr que vous ne rajoutiez pas de sucre.
Ayant fait de nombreuses recherches sur le web, je n’ai quasiment rien trouvé de similaire sur la façon dont j’ai traité ce sujet.
Un article par-ci ou par-là rédigé par un nutritionniste averti ou une naturopathe rebelle.
En d’autres termes, si vous vous servez de l’intelligence artificielle, comme le font aujourd’hui la majorité des rédacteurs, il y a consensus : les articles que vous trouverez feront l’apologie de la compote.
C’est là un autre débat mais l’intelligence artificielle n’est parfois ni plus ni moins que la bêtise artificielle.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
En effet, savoir et ne pas faire, n’est pas savoir.
Comment peut-on transmettre des théories, un style de vie, sans s’y conformer, sans le pratiquer.
Lire la suiteParmi les grosses aberrations en musculation, en voici cinq de haut niveau !
On ne sait plus où ces grandes théories ont pris naissance mais elles font leur chemin et chacun se les approprie comme étant la vérité, l’incontournable solution, l’outil majeur de progression.
Je suis toujours surpris de voir à quel point les messages erronés se transmettent avec autant de facilité et que finalement si peu de monde se pose les bonnes questions.
Vous avez dû vous rendre compte que ça ne fonctionnait pas de cette façon.
Sinon ce serait si simple, il suffirait de faire des séries courtes et on deviendrait immanquablement massif ou alors faire des séries longues et on sécherait aisément…
et certainement pas les séries courtes lourdes, la plupart du temps mal exécutées avec des temps de repos interminables.
L’alimentation est ultra déterminante dans le processus de définition musculaire et également dans le processus d’hypertrophie.
Par association d’idées, vous pensez que les hommes qui travaillent lourd en séries courtes deviennent massifs, alors, vous allez travailler léger en séries longues et vous aurez par conséquent un physique fin et élancé.
L’équation n’est pas si simple, elle est multifactorielle :
Vous êtes nombreux à croire en cette théorie du lourd / léger sans autres fondements que vos à priori…
Il y a une corrélation qui se fait entre les poids lourds et le propre poids de corps du pratiquant.
Un lien psychologique.
Évidemment le poids est un paramètre qui intensifie la progression mais c’est surtout les conditions dans lesquelles vous véhiculez ce poids qui fera son efficacité, pas sa lourdeur.
Comment levez vous ces poids ?
Respectez-vous l’amplitude ?
Tenez-vous compte du tempo ?
Considérez-vous l’ergonomie ?
Quels sont vos temps de récupération ?
Est-ce que vous vous servez de l’inertie ?
Est-ce que vous y mettez réellement de l’intensité ?
Lorsque les charges sont lourdes, l’exercice devient très souvent incontrôlable, l’amplitude se réduit considérablement, le corps se contorsionne, le muscle qui était ciblé initialement ne l’est plus au bénéfice de ses voisins qui viennent le soutenir, les muscles parasites, « disperseurs » d’intensité, « absorbeurs » d’énergie.
D’une façon générale, à part quelques exceptions, le travail lourd, qui je le répète est souvent TROP LOURD, est un frein à la progression puisque l’énergie est dirigée vers la nécessité de mouvoir ces poids disproportionnés et non pas focalisée vers le désir véritable d’évolution musculaire.
Mesdames, je souhaiterai revenir sur le travaille lourd / léger.
Lorsque vos copines proclament que, lorsqu’elles font les cuisses avec des poids plus lourds, elles développent spontanément une masse musculaire incroyable dans le bas de leur corps, ne les croyez pas !
Ce n’est pas qu’elles vous mentent, c’est bien ce qu’elles ressentent, mais il y a simplement confusion, il y a une mauvaise attribution des résultats à la cause réelle.
Elles ne sont pas devenues subitement hypertrophiées (super musclées), elles congestionnent au moment de l’entrainement, ni plus ni moins.
Ceci est un phénomène physiologique qui s’explique par l’afflux de sang et d’eau au niveau des muscles sollicités.
Les conséquences directes, mesdames, sont que vous rentrez difficilement dans votre jean, momentanément, mais ce gonflement ne persiste pas.
Si il persiste, mettez cette prise de volume sur le compte de l’alimentation.
Vous obtiendrez de bien meilleurs résultats en terme de tonicité musculaire avec des poids plus lourds (pas trop lourds), ceux-ci vous inciteront à plus d’implication et de contrôle et feront réagir efficacement votre système neuro-musculaire.
Nous avons souvent entendu ce raisonnement qui de mon point de vue n’est finalement pas totalement faux lorsqu’il fait allusion à la pratique consistant à courir des heures, peu ou mal alimenté.
Effectivement dans ces conditions, les conséquences sur le catabolisme musculaire sont désastreuses et suppriment du coup le peu d’énergie restant pour construire de la masse musculaire ou la conserver tout simplement.
Le cardio training tel qu’il devrait être pratiqué aujourd’hui, sous-entend le cardio à haute intensité, par conséquent des séances plutôt courtes.
Le fait de pratiquer le cardio à des fréquences cardiaques importantes et de maintenir ce niveau d’intensité a pour conséquence non seulement de faciliter la perte du tissu adipeux de façon plus efficace que le cardio training à faible intensité, mais de plus, n’entame pas le capital musculaire.
Je vous invite à lire ou à écouter mon article sur ce sujet en cliquant sur le lien ci-dessous:
Il vous donne plus de condition physique générale et permet de réaliser des entraînements de musculation beaucoup plus efficients.
De nombreux pratiquants augmentent leur poids de corps en fonction des saisons, de 20 à 30 % !
C’est évidemment une surcharge de travail monstrueuse pour l’organisme et très souvent l’alimentation absorbée est en partie toxique, tellement chargée de sucres, de gras et d’adjuvants industriels.
Comprenez bien qu’en l’espace de trois ou quatre mois prendre 20 kg ne peut être en grande majorité que de l’eau et de la graisse.
Les adeptes de cette pratique se sentent tellement bien, gonflés comme des outres, ils s’imaginent avoir pris tellement de muscles.
Les prises de masse sont des prises de gras trop souvent outrancières et elles n’ont donc aucun intérêt sur l’anabolisme du tissu musculaire, ce serait plutôt le contraire.
Pas plus que les autres exercices.
Qui a décrété et au nom de quoi, que des curls concentrés pour les biceps auraient moins d’incidence sur leur progression que des curls debout à la barre.
Au nom de quelle théorie, les développés haltères seraient moins efficaces que les développés avec barre ?
Pour exemple, j’ai vu de nombreux pratiquants faire des squats pendant des années et ne pas progresser des cuisses ou faire du développé couché à n’en plus finir et ne pas progresser des pectoraux ou des rowings et ne pas progresser du dos etc. etc. etc.
A contrario, j’ai rencontré des athlètes qui ne faisaient jamais de squat et qui avaient des cuisses phénoménales.
Je le répète, ce n’est pas l’exercice qui doit être mis en cause mais bien la façon dont il sera exécuté.
Ces légendes existaient lorsque j’ai commencé la musculation il y a plus de 35 ans, elles étaient là avant moi, elles continueront d’exister encore et encore bien après moi.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
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Je vous livre à travers cet article quelques secrets pour avoir une sangle abdominale incroyable, tonique, performante et dessinée.
Voici donc mon approche, ma conception, ce qui a réussi sur moi et sur de nombreux pratiquants, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, dont je me suis occupé et dont je m’occupe encore aujourd’hui.
C’est ce que tout le monde souhaite n’est-ce pas ?
Les hommes en sont friands et particulièrement à partir du printemps.
Il n’y a pas un magazine santé et forme qui n’en fasse « ses choux gras ».
Les femmes sont devenues également des inconditionnelles du ventre plat, musclé et tonique.
C’est exactement la même chose, pas un magazine « santé, forme bien-être », pas un article, à l’approche de la belle saison, qui ne soit dirigé vers ce groupe musculaire.
Un ventre musclé est un des points cruciaux de votre maintien, de votre énergie, un point d’orgue esthétique qui trahit votre forme ou votre méforme.
Ce n’est pas qu’une question d’esthétique, c’est aussi une question de santé.
Particulièrement lorsque l’on prend de l’âge, nous avons la nécessité d’avoir une ceinture pelvienne solide (lombaires y compris).
Pour quelles raisons ?
Pour améliorer aussi les transferts d’énergie entre le haut et le bas du corps, pour être plus coordonné et plus fort.
N’oublions pas non plus le travail des lombaires. (Ceci fera l’objet d’un prochain article).
Tu es trop âgé !
Tu ne retrouveras jamais tes abdos après une grossesse !
Tu as pris trop de poids !
C’est génétique !
Ils sont capables de vous persuader que vous n’y arriverez jamais.
Ils n’y sont probablement jamais arrivés eux-mêmes, ceci explique cela.
Je m’élève avec véhémence contre ces principes institutionnalisés qui voudraient que l’on accepte la dépréciation, la déliquescence de son corps, la dégradation irréversible.
Nous ne pourrions donc rien y faire ?
De mon point de vue, c’est faux !
La première des grandes règles que vous devez intégrer, est de ne pas tomber dans le fatalisme et de comprendre que cette vision des choses n’est que le regard de certains, mais pas du vôtre.
La règle probablement la plus importante, est d’avoir la foi du contraire.
Ne plus avoir de doute, être persuadé que vous avez, malgré votre âge, votre condition, votre état, la possibilité de changer les choses et de ne pas suivre la tendance négative et limitante.
Maîtriser autant que possible les aspects psychologiques qui soutiennent la pratique de la culture physique semble une priorité pour réaliser ses objectifs.
Ces apprentissages, ce savoir faire, je les dois à la lecture, à la méditation, je les dois aussi à l’enseignement reçu de personne à personne, à la pratique intensive, à la transmission que j’ai donnée durant toutes ces années.
Je vous le répète encore et encore et ne cesserai de vous le répéter :
n’écoutez pas les ragots infondés qui proviennent d’individus qui n’ont aucune expertise en la matière.
Evitez les conseils de votre belle sœur ou de votre voisine de pallier.
Elles en sont à leur 108 ème régimes, elles ont perdu ou repris 500 kilos, elles n’en finissent plus de grossir et elles vont vous expliquer quelle est la discipline implacable que vous devez suivre…
N’accordez non plus aucun crédit aux spécialistes bedonnants qui vous expliquent que vous ne pourrez pas obtenir d’abdominaux saillants.
Ils n’ont peut être pas envie que vous réussissiez là où ils ont échoué.
Hypocalorique veut dire : ingérer moins de calories que vous n’en dépensez.
C’est un calcul mathématique implacable !
Vous devez pousser votre organisme à trouver l’énergie que vous ne lui apportez pas par l’alimentation.
Il va devoir déstocker, démobiliser les calories emmagasinées sous forme de graisse et logées dans vos adipocytes.
C’est ainsi que cela fonctionne.
Si vous avez besoin de 2500 kcal / jour pour assurer vos dépenses énergétiques (métabolisme de base plus les dépenses liées aux diverses activités physiques et intellectuelles), alors, consommez 2000 kcal, vous devrez nécessairement combler le déficit, trouver les 500 kcal manquantes.
Je vous suggère de lire deux de mes articles sur l’alimentation hypocalorique en cliquant sur les liens ci-dessous.
Ce principe est identique à la gestion financière : entrée / sortie
Cela vous semble possible ?
Oui peut être en écoutant quelques fous utopiques ou quelques escrocs influenceurs décidés à plumer du crétin.
Le principe est réellement le même pour la perte de graisse…
Je vous le répète c’est ainsi que cela fonctionne.
Consommez uniquement une assiette de légumes crus avec une source de protéines (viandes et /ou poissons maigres, œufs en limitant les jaunes, occasionnellement protéines en poudre, seitan, tempeh ou tofu allégés pour les végés).
Les légumes pourront être consommés sans modération compte tenu de leur faible valeur énergétique et de leur mode de consommation.
Petit format et peu actif : environs 100g
Format plus important et activité physique importante : 200g et parfois plus…
Je donne ces informations à titre indicatif sans tenir compte des particularités de chacun qui devront être prise en compte :
La répartition des masses grasse / musculaire et d’éventuelles pathologies contre indicatives à la consommation d’une alimentation protéinée trop riche.
Les légumes crus, si vous êtes en capacité de les consommer, sont plus riches en micronutriments et en fibres.
Vous avez besoin de moins de légumes crus pour être rassasié, vous faites donc des économies de quantité, des économies d’énergie donc de calories.
Ils demandent plus d’effort à la mastication, plus d’implication à votre organisme (énergie = kcal) pour être digérés.
Dans ces conditions de consommation, les légumes deviennent des superaliments, ils sont une plus-value évidente pour votre intégrité physique.
Comprenez que trop d’apports et peu de dépenses facilitera la capitalisation énergétique, l’accumulation du tissu adipeux.
Vous êtes sensé vous mettre au repos, vous apaiser, dormir et paradoxalement, le repas du soir est souvent trop copieux.
*le cheat meal est un repas de « triche » qui est initialement prévu pour sortir de la rigueur d’une alimentation contrôlée afin de se reposer le « corps et l’esprit ».
Celui ci est devenu la course à la sur-alimentation industrielle, grasse, sucrée, salée et hypercalorique !
… »Se reposer le corps et l’esprit« , de mon point de vue, c’est tous le contraire !
Les cheat meals anéantissent une partie des efforts « psychologiques » que vous faites en vous confrontant à nouveau et brutalement avec cette addiction dont vous souhaitez vous séparer et d’autres part, leur digestion outrancière perturbe considérablement votre métabolisme.
On se sent généralement mal physiquement et moralement après ces entorses souvent gargantuesques.
Lorsque vous infligez à votre système hépatique, mis au repos par une alimentation raisonnée, les aliments toxiques usuellement consommés lors de ces cheat meals, ils vous « empoisonnent ».
Cela tombe sous le sens mais bizarrement beaucoup ne l’ont pas compris.
Comme vous le voyez sur l’écorché, les abdos sont un ensemble de muscles superficiels et profonds que vous devrez travailler spécifiquement.
Les résultats s’obtiennent grâce à la diversité des exercices, des modes de contraction et des tempos ainsi que l’utilisation de temps de récupération courts.
N’oubliez évidemment pas les 2 ingrédients majeurs pour que cette recette prenne à 100% :
Je vous suggère quatre séances par semaine pendant au moins pour commencer un mois.
En respectant évidemment les trois règles précédentes:
Si besoin, renouvelez le protocole en fonction de vos résultats et de « l’État physique » dans lequel vous aviez débuté.
Vous allez devoir être appliqué, avoir de la conviction, du désir, de la motivation, de la méthode, de la régularité et y mettre de l’intensité…
En général, les pratiquants échouent parce qu’ils réunissent peu de ces qualités parfois même ils n’en réunissent aucune …
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Cessez de vous tenir le dos courbé, les épaules en avant, le ventre sortant:
redressez vous !
Rentrez votre ventre, tirez les épaules en arrières, gainez votre colonne vertébrale et relevez le menton.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Qu’est-ce que l’on appelle ingrédients ?
Lire la suiteCe titre peut sembler racoleur mais je persiste; je le pense vraiment.
Vous suivez peut-être régulièrement mes posts où je glorifie l’alimentation biologique et vous pourriez penser que je suis frappé de schizophrénie.
Non point du tout, je défends et revendique toujours l’alimentation biologique, particulièrement celle qui consiste d’une part, à consommer des aliments simples et d’autre part, l’alimentation biologique liée à des circuits courts.
Ce sont les aliments que l’on trouve tels quels dans la nature ou quasiment en l’état, ils ne sont composés que de ce qu’ils sont intrinsèquement.
Ce sont des aliments non mélangés, non amalgamés et de surcroit, des aliments n’ayant pas été modifiés.
Un aliment simple est donc un aliment qui contient un seul type de constituant, lui-même.
Les fruits, les légumes, le poisson, la viande, les œufs, les flocons de céréales, les oléagineux, les fruits secs, le riz, les lentilles etc…
Les pâtes peuvent être également considérées comme des aliments simples parce qu’elles ne sont en général composées que d’un ingrédient: la semoule de blé dur (parfois des œufs).
Le pain de boulanger contient plusieurs aliments simples : c’est un aliment composé.
Un aliment composé est donc un aliment qui contient plusieurs aliments simples.
Bien sûr lorsqu’il s’agit du pain, de boulanger je précise, nous savons de quoi il est composé, ce n’est pas le cas de ce que vous mangez parfois et peu être trop souvent…
Cliquez ci-dessous pour plus d’explications
Les circuits courts, un levier important pour s’approvisionner en produits frais
C’est la réduction des intermédiaires et des distances entre les productions « culture, élevage » et les consommateurs.
Ce producteur « responsable », est celui qui se sert de bonnes pratiques, qui n’utilise ni pesticide, ni engrais, qui fait attention à son terrain.
Il prend soin de ses animaux, là où ils sont logés, là où ils mangent, les traitements qu’il leur donne, l’attention qu’il leur porte.
C’est une action pleine de bon sens: vous contribuez à faire vivre et prospérer une économie équitable.
Vous faites connaissance avec la main qui vous nourrit et tout ceci contribue à élever considérablement votre conscience.
Connaitre la façon dont ils ont été cultivés, l’état d’esprit du paysan, le terroir, l’environnement, les pratiques: donnent un sens aigu à ce que vous mangez.
Dans ces conditions d’implication, de démarche responsable, de parfaite conscience, consommer une alimentation biologique, où les bonnes pratiques de culture et d’élevage sont respectées, est une bénédiction pour votre corps et votre esprit.
Dans mon titre je ne fais donc pas allusion à ce type de consommation qui peut vous rendre meilleur si vous y mettez en plus la foi.
Je parle d’une toute autre pratique, qui s’apparente en tous points à la surconsommation de l’alimentation ultra marquetée que l’on voit de façon quasi générale.
L’estampille bio sur le paquet suffit à vous faire croire que c’est bon pour vous.
Finalement, vous faites quelque chose de juste et bon pour votre corps et même pour la planète.
Je dis « Parfois », pour l’instant, elle le deviendra de façon majoritaire dans les 10 ou 15 années à venir.
« De plus, vous ne savez pas du tout de quoi sont composés ces biscuits, desserts lactés et plats préparés biologiques qui vous donnent si bonne conscience.
Vous ne prenez pas le temps de regarder et de comprendre »
Pour l’instant, persiste encore quelques petites industries éthiques mais pour peu de temps, elles se feront absorber d’une façon ou d’une autre.
Leur travail de communication et de développement marketing vous fait croire, grâce à des stratagèmes psychologiques, que tout est parfait pour votre corps, votre esprit et le monde.
Comprenez que tout est axé sur la réduction des coûts des matières premières et des matières sèches et par conséquent du bénéfice.
Nous sommes loin du petit paysan qui a l’amour de son cheptel ou de ses cultures.
Celui qui partage le fruit de son travail contre une rétribution qui lui permet tout juste de vivre.
Aujourd’hui, l’offre biologique est pléthore, elle correspond quasiment à tout ce que vous pouvez trouver dans une alimentation traditionnelle.
Cela permet ainsi de coller aux cahiers des charges qu’imposent la législation des différents pays.
Mais l’alcool bio reste de l’alcool !
Le sucre, qu’il soit biologique ou pas, reste du sucre et la graisse, qu’elle soit issue de bonnes pratiques ou pas, reste de la graisse !
J’ai constaté à mon niveau l’augmentation d’une clientèle nouvelle, ce qui était évidemment le but.
Une clientèle qui surconsomme et qui remplit tout autant ses caddies mais avec cette conscience de bien faire.
La pâte à tartiner que tout le monde achète et qui est tant décriée, a changé de nom, d’ingrédients, mais elle est toujours aussi calorique.
Le pot que vous consommerez, aura exactement la même incidence sur votre poids.
Le saviez-vous ?
Je croise régulièrement, depuis maintenant trois ou quatre ans, des personnes qui font leurs courses dans l’établissement bio que je fréquente.
Ces personnes poussent des caddies monstrueux plein de chocolats, de gâteaux, de plats préparés.
Je les vois toujours aussi « fortes » et certaines encore de plus en plus, plus grasses de mois en mois, année après année…
Ni de leurs nutriments énergétiques, protéines, lipides, glucides.
Soyez un consommateur responsable, même si vous consommez une alimentation saine, ne vous goinfrez pas et préférez les aliments simples et les circuits courts.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé.
Voltaire
Cette phrase philosophique et spirituelle d’une grande profondeur est attribuée à Voltaire, grand écrivain, historien, philosophe, scientifique, homme de conviction, défenseur des victimes de l’arbitraire et de l’intolérance religieuse.
Cela peut vous sembler totalement excessif par rapport aux écrits des livres saints, aux phrases bibliques, aux merveilleuses phrases coraniques ou aux écritures issues de la Torah, ou du Tao the king, livre saint référent du taoïsme datant de plus de 25 siècles.
Cela peut vous sembler moins profond que les pensées de bouddha, que les réflexions clairvoyantes de Confucius.
Peut-être sans intérêt par rapport aux textes sur les droits de l’homme, ou sur les lois libérant les femmes ou abrogeant l’esclavagisme.
Mais, cette simple phrase, chacun peut se l’approprier en dehors de tous dogmes, de toutes communautés, de toutes appartenances à tel ou tel courant religieux ou en dehors de tous courants de pensées philosophiques.
Tu as la main, tu as le pouvoir, tu prends la décision, personne ne le fait à ta place.
Par cette simple phrase, il nous dit que cela fonctionne ainsi, que le déroulement de ta vie est une question de positionnement, de décision.
Dans cette phrase, Voltaire nous donne une autre information de taille, il prétend que le fait d’être heureux, donne inévitablement la bonne santé.
Ce qui veut dire que les gens heureux sont en bonne santé.
Il parle évidemment de bonheur, d’être en paix, d’être positif et de se sentir bien.
Tout au long de ma courte existence, je me suis rendu compte que, effectivement, les gens foncièrement heureux, étaient en bonne santé.
Ils étaient toujours opérationnels, tout au plus un petit rhume…ces personnes ne dramatisent pas, ne font jamais ou très peu de constructions mentales, ils ne sont pas non plus dans le ressassement du passé.
Ils n’alimentent pas les situations déplaisantes en rajoutant de la souffrance encore et encore, ils ne se comparent pas, ne se victimisent pas, ils ne cherchent pas des responsabilités externes à tout ce qui leur arrive.
À l’inverse, remarquez que les personnes continuellement dans la plainte, le jugement, la colère, les regrets, la souffrance, la jalousie, l’addiction, traînent un cortège de problèmes physiques et évidemment psychologiques, nous l’aurions compris.
De nos jours, c’est la science qui le confirme à travers la physique quantique.
Celle-ci nous informe que l’expérimentateur créé l’expérience, que nous avons un véritable pouvoir sur l’expérience.
Bien avant Voltaire, de grands penseurs grecs comme Socrate ou Épictète, enseignaient ces paroles.
Ainsi, par association d’idée, je pense véritablement que notre état d’esprit a une influence majeure sur ce que vous voulez faire de votre corps.
Si vous décidez d’avoir un corps athlétique, en bonne santé, parfaitement fonctionnel et que vous y mettez évidemment une forte intention, une foi inébranlable et les moyens pour y arriver, alors sans aucun doute, vous y arriverez.
C’est de cette façon que fonctionnent les choses.
Il y a de nombreux ouvrages contemporains sur le sujet, des ouvrages qui ne traitent pas précisément le sujet de mon article mais le principe reste le même.
Voici deux d’entre eux parmi quelques-uns que j’ai lus sur le sujet; il en existe bien d’autres.
Cliquez sur les liens ci-dessous:
Gardez à l’esprit que c’est vous qui décidez de ce que vous allez être, faire et avoir.
Servez-vous d’outils mentaux d’une grande efficacité.
Le premier d’entre eux est le désir, cultivez-le, il est puissant.
Visualisez constamment vos objectifs comme si vous les aviez déjà atteints.
Visionnez dans votre imaginaire et dans la réalité les images et les films qui vous rappellent votre cible.
Conscientisez le plus souvent possible tout le processus qui vous permettra d’obtenir vos résultats.
Votre progression physique passera nécessairement par votre esprit.
Ainsi soit-il …
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
J’aurais même pu intituler l’article : « vive le cul ! »
Ce genre de titre tendancieux aurait évidemment prêté à confusion…
Ce n’est certes pas le propos de mon article, pas de connotations apparentées au sexe, quoi que, l’un et l’autre soient étroitement liés.
Dans quasiment 100 % des cas, l’extrême attention portée à cet endroit ne sera certainement pas d’ordre mécanique.
Tout ce désir, tout ce focus, n’est guère pour améliorer ses performances au squat, à la presse ou au sprint.
Là est le projet n’est-ce pas !
Ce qui n’a rien à voir avec un super gros cul gras qu’arborent si fièrement tellement d’Instagrameuses, de tiktokeuses, youtubeuses et autres influenceuses.
Je vous propose de jeter un œil sur cet article en cliquant sur le lien ci-dessous.
Je suis à nouveau tombé sur un papier publié par un des sites web de la ville dont je suis natif et qui fait l’article d’une jeune influenceuse/voluptueuse qui gagne sa vie en exhibant ses formes dont son super gras cul.
Il n’y a évidemment aucun mal à cela, si elle peut gagner sa vie de cette façon, grand bien lui fasse.
Mais de mon point de vue de professionnel du muscle, point de muscles sur son séant, juste du volume majoritairement constitué d’eau, de cellulite adipeuse / aqueuse et de capitons.
Les leggins lui vont si bien, lorsqu’elle pose à la manière « selfion » (selfie pour le derrière), lombaires cambrés, fesses en arrière, taille en torsion pour l’affiner, photo prise d’en haut en jouant sur une perspective avantageuse qui accentue cet effet de « cul bombé / taille fine ».
Là s’arrêtent ses compétences….
Il y a très souvent confusion, parfois même au-delà de la confusion, ce serait de la mythomanie.
Elles font croire et finissent par y croire elles-même…
Le monde gruge sur son apparence.
Les réseaux sociaux en sont le terreau magnifique.
Qui ne partage pas des photos qui ont plus de 15 ans ?
Qui ne publie pas des photos filtrées, des clichés de photographe où la lumière, le maquillage, les angles de prise de vue sont si parfaits.
Les fesses ne sont pas en reste puisqu’elles sont un outil de séduction majeur, peut-être l’outil de séduction numéro un.
Je suis surpris de voir à quel point la gente féminine est devenue totalement accro aux phénomènes des fessiers rebondis.
Cela n’a pas encore phagocyté les hommes au même point, ce n’est peut être qu’une question de temps.
Je suis surpris pas par le phénomène lui-même, je comprends parfaitement l’envie de progresser à cet endroit, de se sentir bien et d’avoir envie de séduire.
Je le répète, c’est un atout comme un autre.
Comme si il avait été obtenu par la méthode et l’intensité d’une pratique rigoureuse de la culture physique.
C’est finalement qu’un déferlement de mouvements folkloriques, un déchaînement de non exécution et de mauvaise exécution.
Certaines ou certains diront:
« c’est la pose d’implants d’une valeur de 6000 € exécutée avec maestria par le chirurgien esthétique Foldinguow, brésilien de son état et détenteur de plus de 3000 interventions de ce genre. »
« Docteur, vous avez changé mon existence, grâce à mon nouveau derrière, je fais de nouvelles rencontres et j’ai gagné près de 100000 followers.
Les gens sont devenus bienveillants à mon endroit …. Peut-être même pour cet endroit… »
Plus sérieusement, les fesses (du latin fissa, « fente, fissure »), également nommée région glutéale, désignent la région située en arrière du corps à la fois arrondie et saillante.
Elles se situent en arrière de la hanche et prennent place entre le tronc et la racine des membres inférieurs.
Les fesses sont divisées par le pli inter fessier qui se termine au niveau de l’anus.
Elles sont composées des muscles fessiers ou glutéaux scindés en trois parties et également recouverts d’une couche de gras.
Plus qu’une couche de gras, une couette épaisse serait parfois plus appropriée.
Ce manteau d’hiver d’adipocytes, cette doudoune bien grasse pourrait nous faire croire, aveuglés que nous sommes par son épaisseur et quelques fois par sa sur-épaisseur, que ces fessiers rebondis seraient le fruit de la pratique acharnée et méthodique de la musculation…
… Que nenni, du beurre sous-cutanée et des capitons gorgés d’eau.
Le grand fessier, appelé également le grand glutéal est extenseur et rotateur latéral de la cuisse.
Il est donc particulièrement impliqué en station debout, lors de la marche, durant les efforts de course et évidemment pour toutes les flexions, squats, presse, fentes, sauts.
Celui-ci stabilise aussi le bassin en s’opposant à son basculement vers l’avant (rétroversion).
Il a également un rôle de stabilisateur du genou par son association avec les muscles tenseur du fascia lata
Le moyen fessier est un des muscles qui rattache la jambe au tronc.
Il est abducteur de la cuisse et rotateur de la jambe.
Le muscle petit glutéal se place en profondeur du moyen fessier, est situé lui-même en partie sous le grand glutéal. Il est finalement un muscle pelvien ou inférieur qui appartient plus précisément aux muscles dorsaux et latéraux qui rattache le membre au tronc, dans la région des fessiers.
Comme tous les muscles en général, ils ont besoin d’être travaillés avec intensité pour qu’ils réagissent.
Leur croissance musculaire est intimement liée à la réalisation d’exercices spécifiques contre résistance qui les stimulent.
Plus la charge d’entraînement en un minimum de temps est importante et plus vite la croissance opère.
L’intensité, comme je le répète fort souvent, n’est évidemment pas liée qu’à un seul paramètre qui serait la charge, le poids utilisé.
À ce propos, de nombreuses jeunes fanatiques du fessier rebondi, ont jeté leur dévolu sur les hip thrust (relevé de hanches) avec des charges totalement disproportionnées.
Je ne parle pas des Power lifters dont c’est l’activité sportive et qui possèdent l’art d’une bonne pratique en corrélation avec leur discipline.
Messieurs les fous du développé couché approximatif qui vous souciez peu de l’exécution et des conséquences, je vous le certifie, vous ne progresserez pas de cette façon.
Quant à vous Mesdames, vous devrez nécessairement dévorer des tonnes d’alimentation ultra riche en lipides et en glucides afin de faire croître « gracieusement » vos fessiers et vous faire croire que ce sont vos exercices « ni faits ni à faire » qui vous ont fait progresser ainsi.
Aucune propension au développement musculaire simplement de la « capiton-lisation », de l’amoncellement d’énergie sous forme d’une belle couche de gras stockée.
Vous êtes les versions féminines de vos confrères pseudo « culturistes » fans de malbouffe qui prennent du format plus rapidement par les « cheat…sheat…shit meals » (repas de merde) que par l’implication rigoureuse de leurs entraînements.
Ainsi, pour développer des fessiers toniques et harmonieux, il sera essentiel de pratiquer les bons exercices en respectant scrupuleusement leur exécution.
Vous devrez respecter le tempo, c’est-à-dire le rythme d’exécution sur les deux phases de contraction musculaire, (concentrique / excentrique) avec une maîtrise parfaite et en évitant de vous servir de l’inertie.*
*Ne pas se laisser tomber, ne pas rebondir, ne pas bloquer les articulations.
Afin d’augmenter l’intensité, vous pourrez rajouter à la résistance mécanique, un travail isométrique (contraction volontaire) tout au long du mouvement mais également au point culminant de la phase concentrique.
Un autre point essentiel, il faudra respecter les temps de récupération suffisamment courts pour maintenir l’intensité et suffisamment longs pour pouvoir récupérer.
Vous ne pouvez pas passer cinq minutes, et parfois plus, à discuter avec vos copines ou avec votre portable entre chaque série.
Excusez moi, vous pouvez bien sûr discuter tout le temps de votre présence en salle de sport ou pendant votre session d’entraînement chez vous, je n’ai pas à vous dire ce que vous avez à faire.
Vous aurez certainement accès à de nouvelles informations croustillantes, mais par contre, ce qui est formel, c’est que vous ne progresserez pas dans ces conditions.
Comme j’ai pu l’expliquer ci-dessus, ce sera principalement la façon avec laquelle vous exécuterez les exercices qui en fera de bons ou de mauvais exercices pour vos fessiers.
Plutôt que de vous les énumérer, je vais vous faire un cadeau, non plutôt 2 cadeaux.
Le premier cadeau, c’est un code promo dont vous trouverez le lien ci-dessous et qui vous permettra d’obtenir mon NOUVEAU PROGRAMME SPECIAL FESSIERS avec une remise de 15 %.
Faites-en une simple demande en commentaire de cet article ou sur mes réseaux sociaux.
Pour obtenir un fessier complet, dur, rebondi, cela demande de la méthode, de pratiquer avec maîtrise des exercices fondamentaux, de s’entrainer avec une grande intensité et de contrôler son alimentation.
Ce ne sont pas quelques exercices faits à la sauvette et mal exécutés qui combleront ce déficit.
Comme pour un garçon qui souhaite de gros bras, de grosses épaules ou je ne sais quels autres groupes musculaires, il devra déployer des stratégies efficaces qui passeront nécessairement par une grande intensité, une pratique rigoureuse et une alimentation adéquate.
Ce que je vous explique vous semble logique?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Être en paix est réellement LA QUÊTE que nous devrions suivre, le vrai et le seul chemin initiatique.
Être en paix avec son assiette implique finalement une paix en chaque chose.
Elle s’inscrit alors dans la recherche d’une paix globale.
Nous vivons déjà une existence conflictuelle en notre propre sein, avec nous-même.
Nous sommes en rivalité avec nos collègues de travail, notre conjoint, nos propres enfants, nos parents, avec des individus que nous connaissons à peine et pour des raisons totalement futiles…
Avant d’obtenir une paix profonde et totale, pourquoi ne commencerions-nous pas par nous sentir en harmonie avec ce que nous mangeons ?
Nous voyons certains prophètes de l’introspection, des gourous de la méditation contemplative, des grands maîtres parés de toges et d’artifices, qui nous expliquent comment se sentir parfaitement bien à tous les étages, possédant une paix intérieure inondée de lumière, arborer une obésité morbide.
Ce n’est peut-être pas impossible, d’ailleurs tout est possible en ce monde mais l’exception ne fait pas la règle.
Jusqu’à ce jour, nous avons rencontré, ma femme et moi-même, très peu de gens en paix avec leurs assiettes et il y en a d’ailleurs de moins en moins.
Ce n’est même plus une question de poids ni d’âge, la mal bouffe est en train d’avoir raison de toutes et de tous.
Normalement on devrait manger et se mettre à table pour une seule et unique raison :
Voici une liste non exhaustive des raisons, que l’on pourrait qualifier d’excuses, pour lesquelles les gens mangent :
Il semblerait aujourd’hui qu’on ait perdu toute connexion avec son corps et la plupart d’entre nous mange machinalement, tout bonnement parce que c’est l’heure du petit déjeuner, du déjeuner ou du dîner, sans plus se soucier de ce que notre corps exprime, l’ignorant tout simplement.
Très souvent on se retrouve à grignoter sans faim aucune, nos sens mis en éveille : attiré par une odeur alléchante, une vitrine pâtissière, poussé par une publicité qui déclenche une envie irrésistible.
Il arrive aussi qu’on se tourne vers la nourriture afin de remplir un vide émotionnel ou combler un état de stress : la nourriture a cette faculté, n’est-ce-pas, de nous apporter une forme de soulagement et un réconfort certain.
Une autre bonne raison pour manger c’est lorsqu’on est heureux et que l’on socialise : nous brandissons notre phrase fétiche « il faut bien profiter un peu de la vie », « je suis un bon vivant » ou bien encore « je suis un épicurien », une phrase qui semble tout cautionner.
On s’octroie alors un 2ème ou un 3ème verre d’alcool, on tend sa main encore et encore vers les amuse-gueules ou on se ressert une deuxième portion de lasagne et pourquoi pas un deuxième dessert !
Parfois on mange lorsqu’on est triste et que l’on s’apitoie sur son sort.
« Au point où j’en suis, pourquoi me priver en plus de manger ce qui me fais plaisir.
De toute manière tout va mal dans ma vie.
Je n’arriverais jamais à perdre ce poids.
Personne ne voudra jamais de moi. »
Parfois on est « forcé » de manger.
On n’en avait pas envie.
On avait justement pris la décision de faire attention, mais… c’est Noël, il y a un repas de famille, on est invité…. Ce n’est pas comme si on pouvait dire « non ».
Et qu’en est-t ’il de ces moments où l’on s’ennuie tout simplement.
N’ayant rien à faire, n’ayant aucune passion vers laquelle te retourner dans sa vie, on se dirige vers le placard de la cuisine ou le frigo parce qu’il faut bien passer le temps.
Et puis il y a celles et ceux qui ont créé des automatismes, des associations : manger en regardant la télévision est un véritable combo gagnant, un repas sans dessert n’est pas un repas, prendre un café devient l’excuse magistrale de manger du chocolat.
Il semblerait qu’il y ait toujours une bonne raison pour manger qui soit rarement synonyme de « faim ».
Et le fait, en plus, qu’il y ait toute une profusion de nourriture à portée de main, qui ne demande qu’à être saisie, partout où l’on va, que ce soit à la station-service, chez le marchand de journaux, à la caisse du supermarché, cela ne rend pas les choses plus faciles, n’est-ce pas ?
Quelle relation entretiens-tu avec elle ?
Peux-tu dire que tu es en paix avec ton assiette ?
Voici une check-liste qui comporte 13 cases à cocher.
Il te suffit donc de cocher celles qui sont « vrai » pour toi.
Prends le temps d’y répondre.
Il est l’heure de se mettre à table, de te cuisiner un peu en te réappropriant ton corps et en te mettant véritablement à son écoute.
1° Je mange seulement lorsque j’ai faim.
2° Je ne suis pas obsédé par la nourriture : j’ai d’autres occupations qui me passionnent dans la vie et tout ne tourne pas autour de la nourriture : l’envie de manger, la peur de succomber, la culpabilité d’avoir succombé.
3° Je respecte le repos de mon système digestif en lui accordant des lapses de temps (quelques heures) pendant lesquels je ne mange pas.
4° Je prends le temps de manger et j’y consacre toute mon attention. Le repas est un moment de plaisir et je le prends en toute conscience. Je m’assois pour manger, sans regarder la télé, lire, travailler. Il n’est pas question ici de manger super doucement mais surtout de veiller à ce que toute mon attention se focalise sur ce que je suis en train de manger et non pas sur ce qui se passe autour de moi ou à me perdre dans mes pensées. Rien ne me disperse.
5° Je prends le temps de mâcher mes aliments et en ayant conscience des différentes textures, saveurs, sensations dans ma bouche.
6° Je suis à l’écoute de mon corps, de mon guide sensoriel interne tout au long du repas (« j’ai très faim », « je commence à me sentir rassasié » « mon ventre commence à être plein » « je suis en train de dépasser la limite » « j’ai trop mangé » « je me sens mal » etc).
7° Je suis en paix au moment de manger. Je veille à prendre conscience de mes émotions au moment de passer à table. Je mange pour l’unique bonne raison : parce que j’ai faim et non pas parce que je suis en colère, stressé, en train de m’ennuyer etc.
8° Lorsque j’ai trop mangé, je ne compense pas en faisant une activité physique de manière excessive. Je ne me punis pas en m’astreignant à faire des heures de cardio (ou autre sport) afin de brûler ce que j’ai mangé en trop. Si j’ai mangé un peu plus, je sais me réguler et manger un peu moins au prochain (voire deux prochains) repas.
9° Je ne suis pas obsédée par les chiffres : les calories, le numéro qui s’affiche sur ma balance.
10° Mon poids est stable tout le temps à 1 ou 2 kilos près. Il ne fluctue pas ou alors de manière naturelle (au cours de la journée, au moment des règles).
11° Je quitte la table en me sentant léger, jamais avec la sensation d’avoir trop mangé.
12° J’ai un sentiment de reconnaissance, de gratitude pour le repas que je viens de manger. Aujourd’hui, on a accès à de la nourriture très facilement, à tout moment de la journée. Étant immédiatement disponible, la valeur de la nourriture se perd totalement.
13° J’ai conscience des aliments que je mange et de ce qu’ils m’apportent. Je choisis des aliments de qualité (bio, de proximité et bon pour ma santé).
Pour conclure, avant de te mettre à table pense à ajouter à ton repas les ingrédients véritablement essentiels :
La Vitamine P : Présence :
La Présence au moment de manger est le seul véritable ingrédient qui te nourrisse.
Fais-en l’essai : Mange en étant dispersé et tu verras que bien que tu quitteras la table le ventre bien rempli, ton cœur, au niveau émotionnel sera vide.
La présence, dans tous les domaines de notre existence, que l’on en ait conscience ou pas, est l’aliment qui apporte un sens à la vie, qui nous nourrit de l’intérieur.
Savoir écouter sans être dispersé et en étant totalement présent cela te nourrit de l’intérieur.
Tout comme être écouté par quelqu’un, sans être interrompu, apporte soulagement et réconfort, d’autres termes qui sont des synonymes du mot « nourrir ».
Vitamine A : Amour :
prends tu plaisir à préparer tes repas, mange en savourant chaque bouchée et sois reconnaissant pour cette assiette qui est devant toi.
Vitamine T : Temps :
Prends le temps de manger.
Evite de manger sur le pouce ou en étant distrait.
Accorde-toi un moment pour manger et fais-le assis et en toute conscience.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez te temps de réfléchir avant d’agir
Philippe & Barbara Lamache
Quasiment tous les pratiquants ont une aversion pour le cardio training.
C’est comme s’ils allaient être foudroyés et qu’ils allaient perdre subitement toute cette masse musculaire chèrement acquise.
Les marathoniens sont souvent pris en référence comme étant l’incarnation de ce qu’il ne faut pas faire pour conserver sa masse musculaire. (ou peut-être même, pour faire un bon mot, la « désincarnation » dans le sens de perte de ses tissus).
Ils sont la preuve formelle que leur aspect décharné est bien la cause d’un excès d’entraînement cardio.
L’entraînement intensif est censé endommager vos fibres musculaires et le process de construction voudrait donc que ces fibres endommagées soit réparées.
« Concernant l’entraînement intensif, je vous engage à télécharger mon E-Book, en cliquant sur le lien en rouge ci-dessous, qui fait état des paramètres d’intensité.
Ces fameux paramètres que vous devriez respecter pour rendre vos entraînements véritablement intensifs.«
D’ailleurs ces dommages vous les ressentez eux aussi avec quelques fois une grande intensité.
Ils sont parfois même très douloureux ; ce sont les fameuses courbatures.
Ce processus est complexe, il est fonction de deux facteurs:
En effet, le corps est irrigué grâce a l’afflux sanguin et permet ainsi d’apporter de façon plus active des matières premières réparatrices et facilite, de plus, l’évacuation des cellules mortes.
On peut considérer alors que le cardio est réellement un processus de récupération active.
Le cardio généré par le travail du bas du corps, vélo, course à pied, montée de marche… permet, sans nul doute, une récupération globale.
Pour une récupération plus ciblée, pour accélérer avec plus d’efficacité la récupération du haut du corps, on peut l’associer à des exercices pour le haut du corps par le biais :
En effet, nous n’avons pas tous la même capacité à utiliser de façon identique les apports énergétiques.
La génétique est souvent brandit comme l’arme magique ou l’handicap absolu.
Soit elle fait de vous un monstre (génétique) qui peut dévorer ce qu’il veut, qui ne prends pas 1 g de graisse mais que du muscle ou alors elle est l’excuse magistrale qui vous dédouanera de toute réussite, puisque vous n’y pourrez rien.
Alors que la génétique correspond à l’étude des gènes, l’épigénétique s’intéresse à une « couche » d’informations complémentaires qui définit comment ces gènes vont être utilisés par une cellule… ou ne pas l’être.
En d’autres termes, l’épigénétique correspond à l’étude des changements dans l’activité des gènes.
Ces derniers n’impliquent pas de modification de la séquence d’ADN et peuvent être transmis lors des divisions cellulaires.
Contrairement aux mutations qui affectent la séquence d’ADN, les modifications épigénétiques sont réversibles.
À travers notre alimentation, nos fréquentations, le sport que nous faisons ou pas, nos conditions de travail, nos conditions de vie en général, notre état d’esprit, nos pensées.
« Cogito, ergo sum – Je pense, donc je suis »
GOMEZ PEREIRA (Reprise ensuite par RENE DESCARTES)
Il y a un autre point sur lequel vous avez une influence importante, c’est l’insuline.
Les conséquences d’une résistance trop importante à l’insuline sont désastreuses, pour votre santé, c’est évident mais également pour votre forme physique.
La résistance à l’insuline inhibe la faculté à anaboliser de la masse musculaire et de plus, influence considérablement le stockage du tissu adipeux.
Pratiquer le cardio régulièrement améliore de toute évidence la sensibilité à l’insuline et vous rend donc moins résistant à cette hormone protéique.
Voici un article qui apporte quelques explications sur la résistance à l’insuline.
Vous êtes donc plus enclins à fabriquer de la masse musculaire et dans le même temps à freiner le stockage de la masse grasse corporelle.
Il semblerait même, que ce soit proportionnel, en d’autres termes, plus vous pratiquez et plus vous faciliteriez donc ces processus.
Je les vois hors saison qui prennent des temps de repos incalculables, des charges surdimensionnées et qui ne font plus de cardio ou quasiment plus.
Leur poids corporel est également surdimensionné augmentant très souvent de 20 %, voire plus, par rapport à leur poids de forme.
Il n’y a qu’à l’approche des compétitions qu’ils augmentent l’intensité et se mettent à faire du cardio training et parfois de façon outrancière et bien évidemment inadaptée.
En effet, nous perdons très rapidement la condition cardio-vasculaire à moins de pratiquer un culturisme à haute intensité, ce qui est rarement le cas.
Retrouver cette condition demande des efforts importants.
Il se rajoute à cela une alimentation pré compétition déséquilibrée, hypocalorique et parfois même en fonction des individus, TRÈS hypocalorique.
Le stress physique, métabolique et psychologique atteint souvent des sommets ce qui a pour conséquence de ne pas rendre la perte de graisse optimum, d’engendrer parfois de la fonte musculaire et de créer un état psychologique difficile à gérer.
Pour cette raison, cesser de le pratiquer pendant des mois, vous « déshabitue » et oblige une réadaptation qui peut être parfois longue pour optimiser à nouveau le mécanisme…Nonobstant les bienfaits pour votre santé.
Pratiquer le cardio training participe de toute évidence à augmenter votre masse musculaire :
Vous serez ainsi plus performant.
Vous récupérerez plus vite et votre endurance musculaire en sera accrue.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE