Je vous livre à travers cet article quelques secrets pour avoir une sangle abdominale incroyable, tonique, performante et dessinée.
Voici donc mon approche, ma conception, ce qui a réussi sur moi et sur de nombreux pratiquants, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, dont je me suis occupé et dont je m’occupe encore aujourd’hui.
C’est ce que tout le monde souhaite n’est-ce pas ?
Les hommes en sont friands et particulièrement à partir du printemps.
Il n’y a pas un magazine santé et forme qui n’en fasse « ses choux gras ».
Les femmes sont devenues également des inconditionnelles du ventre plat, musclé et tonique.
C’est exactement la même chose, pas un magazine « santé, forme bien-être », pas un article, à l’approche de la belle saison, qui ne soit dirigé vers ce groupe musculaire.
Un ventre musclé est un des points cruciaux de votre maintien, de votre énergie, un point d’orgue esthétique qui trahit votre forme ou votre méforme.
Ce n’est pas qu’une question d’esthétique, c’est aussi une question de santé.
Particulièrement lorsque l’on prend de l’âge, nous avons la nécessité d’avoir une ceinture pelvienne solide (lombaires y compris).
Pour quelles raisons ?
Pour améliorer aussi les transferts d’énergie entre le haut et le bas du corps, pour être plus coordonné et plus fort.
N’oublions pas non plus le travail des lombaires. (Ceci fera l’objet d’un prochain article).
Tu es trop âgé !
Tu ne retrouveras jamais tes abdos après une grossesse !
Tu as pris trop de poids !
C’est génétique !
Ils sont capables de vous persuader que vous n’y arriverez jamais.
Ils n’y sont probablement jamais arrivés eux-mêmes, ceci explique cela.
Je m’élève avec véhémence contre ces principes institutionnalisés qui voudraient que l’on accepte la dépréciation, la déliquescence de son corps, la dégradation irréversible.
Nous ne pourrions donc rien y faire ?
De mon point de vue, c’est faux !
La première des grandes règles que vous devez intégrer, est de ne pas tomber dans le fatalisme et de comprendre que cette vision des choses n’est que le regard de certains, mais pas du vôtre.
La règle probablement la plus importante, est d’avoir la foi du contraire.
Ne plus avoir de doute, être persuadé que vous avez, malgré votre âge, votre condition, votre état, la possibilité de changer les choses et de ne pas suivre la tendance négative et limitante.
Maîtriser autant que possible les aspects psychologiques qui soutiennent la pratique de la culture physique semble une priorité pour réaliser ses objectifs.
Ces apprentissages, ce savoir faire, je les dois à la lecture, à la méditation, je les dois aussi à l’enseignement reçu de personne à personne, à la pratique intensive, à la transmission que j’ai donnée durant toutes ces années.
Je vous le répète encore et encore et ne cesserai de vous le répéter :
n’écoutez pas les ragots infondés qui proviennent d’individus qui n’ont aucune expertise en la matière.
Evitez les conseils de votre belle sœur ou de votre voisine de pallier.
Elles en sont à leur 108 ème régimes, elles ont perdu ou repris 500 kilos, elles n’en finissent plus de grossir et elles vont vous expliquer quelle est la discipline implacable que vous devez suivre…
N’accordez non plus aucun crédit aux spécialistes bedonnants qui vous expliquent que vous ne pourrez pas obtenir d’abdominaux saillants.
Ils n’ont peut être pas envie que vous réussissiez là où ils ont échoué.
Hypocalorique veut dire : ingérer moins de calories que vous n’en dépensez.
C’est un calcul mathématique implacable !
Vous devez pousser votre organisme à trouver l’énergie que vous ne lui apportez pas par l’alimentation.
Il va devoir déstocker, démobiliser les calories emmagasinées sous forme de graisse et logées dans vos adipocytes.
C’est ainsi que cela fonctionne.
Si vous avez besoin de 2500 kcal / jour pour assurer vos dépenses énergétiques (métabolisme de base plus les dépenses liées aux diverses activités physiques et intellectuelles), alors, consommez 2000 kcal, vous devrez nécessairement combler le déficit, trouver les 500 kcal manquantes.
Je vous suggère de lire deux de mes articles sur l’alimentation hypocalorique en cliquant sur les liens ci-dessous.
Ce principe est identique à la gestion financière : entrée / sortie
Cela vous semble possible ?
Oui peut être en écoutant quelques fous utopiques ou quelques escrocs influenceurs décidés à plumer du crétin.
Le principe est réellement le même pour la perte de graisse…
Je vous le répète c’est ainsi que cela fonctionne.
Consommez uniquement une assiette de légumes crus avec une source de protéines (viandes et /ou poissons maigres, œufs en limitant les jaunes, occasionnellement protéines en poudre, seitan, tempeh ou tofu allégés pour les végés).
Les légumes pourront être consommés sans modération compte tenu de leur faible valeur énergétique et de leur mode de consommation.
Petit format et peu actif : environs 100g
Format plus important et activité physique importante : 200g et parfois plus…
Je donne ces informations à titre indicatif sans tenir compte des particularités de chacun qui devront être prise en compte :
La répartition des masses grasse / musculaire et d’éventuelles pathologies contre indicatives à la consommation d’une alimentation protéinée trop riche.
Les légumes crus, si vous êtes en capacité de les consommer, sont plus riches en micronutriments et en fibres.
Vous avez besoin de moins de légumes crus pour être rassasié, vous faites donc des économies de quantité, des économies d’énergie donc de calories.
Ils demandent plus d’effort à la mastication, plus d’implication à votre organisme (énergie = kcal) pour être digérés.
Dans ces conditions de consommation, les légumes deviennent des superaliments, ils sont une plus-value évidente pour votre intégrité physique.
Comprenez que trop d’apports et peu de dépenses facilitera la capitalisation énergétique, l’accumulation du tissu adipeux.
Vous êtes sensé vous mettre au repos, vous apaiser, dormir et paradoxalement, le repas du soir est souvent trop copieux.
*le cheat meal est un repas de « triche » qui est initialement prévu pour sortir de la rigueur d’une alimentation contrôlée afin de se reposer le « corps et l’esprit ».
Celui ci est devenu la course à la sur-alimentation industrielle, grasse, sucrée, salée et hypercalorique !
… »Se reposer le corps et l’esprit« , de mon point de vue, c’est tous le contraire !
Les cheat meals anéantissent une partie des efforts « psychologiques » que vous faites en vous confrontant à nouveau et brutalement avec cette addiction dont vous souhaitez vous séparer et d’autres part, leur digestion outrancière perturbe considérablement votre métabolisme.
On se sent généralement mal physiquement et moralement après ces entorses souvent gargantuesques.
Lorsque vous infligez à votre système hépatique, mis au repos par une alimentation raisonnée, les aliments toxiques usuellement consommés lors de ces cheat meals, ils vous « empoisonnent ».
Cela tombe sous le sens mais bizarrement beaucoup ne l’ont pas compris.
Comme vous le voyez sur l’écorché, les abdos sont un ensemble de muscles superficiels et profonds que vous devrez travailler spécifiquement.
Les résultats s’obtiennent grâce à la diversité des exercices, des modes de contraction et des tempos ainsi que l’utilisation de temps de récupération courts.
N’oubliez évidemment pas les 2 ingrédients majeurs pour que cette recette prenne à 100% :
Je vous suggère quatre séances par semaine pendant au moins pour commencer un mois.
En respectant évidemment les trois règles précédentes:
Si besoin, renouvelez le protocole en fonction de vos résultats et de « l’État physique » dans lequel vous aviez débuté.
Vous allez devoir être appliqué, avoir de la conviction, du désir, de la motivation, de la méthode, de la régularité et y mettre de l’intensité…
En général, les pratiquants échouent parce qu’ils réunissent peu de ces qualités parfois même ils n’en réunissent aucune …
N’hésitez pas à ma contacter en MP pour un suivi personnalisé en cliquant sur les logos
Cessez de vous tenir le dos courbé, les épaules en avant, le ventre sortant:
redressez vous !
Rentrez votre ventre, tirez les épaules en arrières, gainez votre colonne vertébrale et relevez le menton.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé.
Voltaire
Cette phrase philosophique et spirituelle d’une grande profondeur est attribuée à Voltaire, grand écrivain, historien, philosophe, scientifique, homme de conviction, défenseur des victimes de l’arbitraire et de l’intolérance religieuse.
Cela peut vous sembler totalement excessif par rapport aux écrits des livres saints, aux phrases bibliques, aux merveilleuses phrases coraniques ou aux écritures issues de la Torah, ou du Tao the king, livre saint référent du taoïsme datant de plus de 25 siècles.
Cela peut vous sembler moins profond que les pensées de bouddha, que les réflexions clairvoyantes de Confucius.
Peut-être sans intérêt par rapport aux textes sur les droits de l’homme, ou sur les lois libérant les femmes ou abrogeant l’esclavagisme.
Mais, cette simple phrase, chacun peut se l’approprier en dehors de tous dogmes, de toutes communautés, de toutes appartenances à tel ou tel courant religieux ou en dehors de tous courants de pensées philosophiques.
Tu as la main, tu as le pouvoir, tu prends la décision, personne ne le fait à ta place.
Par cette simple phrase, il nous dit que cela fonctionne ainsi, que le déroulement de ta vie est une question de positionnement, de décision.
Dans cette phrase, Voltaire nous donne une autre information de taille, il prétend que le fait d’être heureux, donne inévitablement la bonne santé.
Ce qui veut dire que les gens heureux sont en bonne santé.
Il parle évidemment de bonheur, d’être en paix, d’être positif et de se sentir bien.
Tout au long de ma courte existence, je me suis rendu compte que, effectivement, les gens foncièrement heureux, étaient en bonne santé.
Ils étaient toujours opérationnels, tout au plus un petit rhume…ces personnes ne dramatisent pas, ne font jamais ou très peu de constructions mentales, ils ne sont pas non plus dans le ressassement du passé.
Ils n’alimentent pas les situations déplaisantes en rajoutant de la souffrance encore et encore, ils ne se comparent pas, ne se victimisent pas, ils ne cherchent pas des responsabilités externes à tout ce qui leur arrive.
À l’inverse, remarquez que les personnes continuellement dans la plainte, le jugement, la colère, les regrets, la souffrance, la jalousie, l’addiction, traînent un cortège de problèmes physiques et évidemment psychologiques, nous l’aurions compris.
De nos jours, c’est la science qui le confirme à travers la physique quantique.
Celle-ci nous informe que l’expérimentateur créé l’expérience, que nous avons un véritable pouvoir sur l’expérience.
Bien avant Voltaire, de grands penseurs grecs comme Socrate ou Épictète, enseignaient ces paroles.
Ainsi, par association d’idée, je pense véritablement que notre état d’esprit a une influence majeure sur ce que vous voulez faire de votre corps.
Si vous décidez d’avoir un corps athlétique, en bonne santé, parfaitement fonctionnel et que vous y mettez évidemment une forte intention, une foi inébranlable et les moyens pour y arriver, alors sans aucun doute, vous y arriverez.
C’est de cette façon que fonctionnent les choses.
Il y a de nombreux ouvrages contemporains sur le sujet, des ouvrages qui ne traitent pas précisément le sujet de mon article mais le principe reste le même.
Voici deux d’entre eux parmi quelques-uns que j’ai lus sur le sujet; il en existe bien d’autres.
Cliquez sur les liens ci-dessous:
Gardez à l’esprit que c’est vous qui décidez de ce que vous allez être, faire et avoir.
Servez-vous d’outils mentaux d’une grande efficacité.
Le premier d’entre eux est le désir, cultivez-le, il est puissant.
Visualisez constamment vos objectifs comme si vous les aviez déjà atteints.
Visionnez dans votre imaginaire et dans la réalité les images et les films qui vous rappellent votre cible.
Conscientisez le plus souvent possible tout le processus qui vous permettra d’obtenir vos résultats.
Votre progression physique passera nécessairement par votre esprit.
Ainsi soit-il …
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
La compétition est un univers aberrant.
Aberrant selon le Larousse :
« Qui s’écarte du type normal, qui va contre la logique, la vérité ; absurde : Idée, conduite aberrante.«
C’est une dimension qui nous place en dehors de toute convention, en dehors de ce qui « est ».
En dehors de ce qui « est » pour la majorité d’entre nous, je parle d’une réalité collective qui dresse les contours de la norme.
La norme est la normalité pour le plus grand nombre.
C’est remporter un championnat, un match, un combat, obtenir un marché ou un nouveau poste avec plus de responsabilités, plus de pouvoir, plus d’argent…
Peu importe la discipline, qu’elle soit sportive ou d’ordre « professionnel », le compétiteur ou la compétitrice est partout, dans les arts, les ordres, les affaires…
La compétition crée donc un état d’esprit survolté, égocentrique, mégalomane, difficile à comprendre si on n’a pas été soi-même un « Challenger ».
Elle nous oblige à nous extraire de notre zone de confort, à nous surpasser.
La compétition génère une satisfaction immense, elle est, sans nul doute, un outil de valorisation qui nous fait nous sentir vivant.
C’est toujours lors de périodes compétitives que l’on passe un cap, que l’on apprend, que l’on devient une meilleure version de soi-même.
Si ce n’est une « meilleure version de soi-même », en tous cas, une meilleure version du compétiteur ou de la compétitrice que nous sommes.
L’important est de participer
–Pierre de Coubertin-
Merveilleuse formule diplomatique et humaniste lorsque l’on fait du politiquement correct et qui n’a d’autres objectifs que de lisser le fondement véritable et exacerbé de la compétition.
Demandez d’ailleurs aux hommes politiques, qui sont parmi les compétiteurs les plus farouches et les plus implacables, s’ils partagent cette phrase de Coubertin.
En public certainement, ils vous en feraient l’article et seraient dithyrambiques, en privé, ils vous expliqueraient qu’ils doivent gagner, coûte que coûte et parfois même peu importe les conséquences.
Sauf peut-être, lorsque l’on ne gagne pas…C’est je pense un moyen de légitimer la défaite.
J’imagine mal que l’on puisse s’engager corps et âme dans une compétition sans avoir le désir de gagner.
Je ne connais pas d’ailleurs un seul compétiteur véritable qui se focalise pendant des mois, voire des années, pour participer uniquement.
On ne prépare pas un concours, un combat de boxe, une performance quelconque avec l’idée sombre d’échouer…
…ou de ne pas gagner, cela revient au même.
C’est peut-être ce qui arrive lorsque l’on traîne ce genre d’idée… on perd.
Tout est « ego centré », c’est un état d’esprit nécessaire.
Certains vous diront à quel point ils restent sociables, à l’écoute de leur entourage et parfaitement conscients de la charge émotionnelle qu’ils « pourraient » faire peser sur leurs proches.
Ils font certainement des efforts mais ils restent furieusement focalisés sur eux-mêmes et leurs futures échéances.
Les proches qui gravitent autour de « l’astre », tels des satellites, sont toujours impactés pour le meilleur ou pour le pire…
De par mes activités et mes centres d’intérêt, j’ai toujours été plus proche des compétiteurs sportifs, plutôt que des « businessmen performers » qui sont, eux aussi, de véritables champions pour certains et qui finalement sont soumis aux mêmes émotions, à la même implication, au même choix, aux mêmes dictâtes …
Parce que derrière la médaille, dans toute compétition, il y a un premier et un dernier et chacun, au départ, avait l’ambition, la seule ambition, je le répète, de gagner, de remporter le trophée, de remporter la médaille.
Ainsi donc, derrière la breloque tant convoitée, derrière la partie visible, le sommet de l’iceberg, existe une réalité profonde, ample et quelquefois sombre.
Je parle donc en connaissance de cause.
À cette époque il n’existait aucune autre discipline en musculation que le body-building.
L’expérience fut donc riche et elle a contribué à construire l’homme que je suis aujourd’hui.
Mais toutes les expériences qui vous font grandir ne le font pas sans conséquences.
La croissance peut parfois être douloureuse, c’est aussi la rançon de l’évolution.
À gravir des montagnes ou à tenter de le faire, on y laisse des plumes.
Le combat avec soi-même et avec les autres est souvent âpre.
Après avoir suivi une alimentation hypocalorique pré-compétition pendant des semaines, voire des mois pour certains, persiste après-coup et quelquefois même après des années, une sorte de « traumatisme ».
La privation de liberté alimentaire, parce que c’est ainsi qu’il faut le voir, pour la majorité, exclu socialement et familialement.
De plus, la restriction alimentaire et calorique, (comprenez limitée dans le choix des aliments mais également hypocalorique), crée un stress métabolique qui peut quelquefois avoir des conséquences physiques et des perturbations, entre autres, sur le système hormonal.
Sans parler de la faim et des envies difficilement contrôlables qui vous tenaillent inlassablement, vous rendent irascibles et qui finissent même par vous réveiller plusieurs fois durant la nuit.
C’est le prix à payer pour se séparer du tissu adipeux afin qu’il n’en reste qu’un faible pourcentage et ainsi être en accord avec les critères de la discipline.
Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point, s’imposer de telles restrictions, relève d’un paradoxe psychologique, d’une sorte de schizophrénie.
Un déchirement entre soi et soi: « Je vais remanger, non je ne dois pas remanger… «
En effet, quasiment chaque jour et pour certains, deux fois par jour, s’engagent une lutte sans merci contre la fonte.
« Contre la fonte », est une expression, vous l’aurez compris, j’inclus le travail d’intensification sur les machines, ainsi que le travail au poids de corps mais également le cardio training qui rentre, pour une part importante, dans la préparation pré-compétitive.
Cet acharnement physique, cette implication inlassable à construire un « corps parfait » ne peut connaître ni la fatigue ni la déprime malgré le travail, les obligations sociaux-familiales, le régime hypo-énergétique qui vous fait vous sentir parfois aussi las que si vous étiez grippés…
… malgré l’hypokaliémie*qui vous guette, qui elle aussi vous donne l’impression d’avoir pris 30 ans, malgré tous vos engagements du quotidien, plus vous vous enfoncez dans la préparation et plus cela devient une véritable sinécure.
*L‘hypokaliémie est un trouble hydroélectrolytique défini par un défaut de potassium dans le plasma sanguin.
Mais ce n’est pas terminé, il va falloir perfectionner votre présentation en passant des heures à poser pour mettre en valeur cette musculature symétrique chèrement acquise durant toutes ces années.
Sans l’art du « posing », tous ces investissements risquent d’être vains… tous ces milliers d’heures d’entraînement et de restrictions alimentaires pour finalement passer à côté du podium.
Un point important que je dois vous préciser : les disciplines sportives tels le bodybuilding, le men’s classic, le men’s physique, le bikini…. La liste est longue, qui consistent à faire une présentation de son corps selon des critères bien établis en fonction bien sûr des différentes catégories, ne rapportent rien financièrement.
Rien ou pas grand chose ou seulement à une poignée d’élus qui sont les meilleurs professionnels au monde et qui ne sont connus que dans le cercle très fermé de ces dîtes disciplines.
L’alimentation riche en protéines, nécessaire pour une part importante à la construction musculaire est forcément plus chère qu’une alimentation qui serait basée essentiellement sur les glucides ou les lipides.
La viande, le poisson, les œufs coûtent 10 à 20 fois plus cher que les pâtes ou le riz.
Les compléments alimentaires consommés trop souvent de façon outrancière représentent eux aussi un budget considérable.
L’abonnement à la salle de sport, le coaching (alimentaire, entrainement et posing), les déplacements vers les compétitions, les cosmétiques pour préparer sa peau, le coiffeur, le maquillage, les maillots et autres connecteurs et strass particulièrement onéreux pour les femmes…
Et pour certains les produits dopants achetés à des réseaux parallèles et qui peuvent multiplier par 2, 3 voir 10 fois le budget global!
La période post-compétition est parfois difficile à gérer.
Il est compliqué d’atterrir en douceur après des semaines et même des mois exacerbés où la motivation a été un puissant moteur.
Le cadre strict, lorsqu’on se le soumet, est parfois très difficile à suivre.
Il est d’une contrainte tellement insupportable que lorsque l’on sort totalement de ce cadre, alors, on ressent une sorte de désœuvrement, une solitude, une forme d’abandon des règles qui risque de tout faire partir à vau-l’eau.
C’est pour cela que l’on voit des compétiteurs et compétitrices, dès l’échéance passée, ne plus s’entraîner, ne plus contrôler du tout leur alimentation et prendre, en l’espace de quelques semaines, un poids considérable hors de tout contrôle.
D’autres gèrent parfaitement bien le retour à la « vie normale ».
Pour ceux-ci, cette période intense où son corps et son esprit ont flirté constamment avec la zone rouge, a été un marche pieds pour augmenter leurs capacités à être encore meilleur pour la prochaine compétition.
Les émotions, l’alimentation et l’entraînement sont parfaitement gérés, l’expérience aura été, dans ces conditions, d’un grand profit.
Je souhaiterais rendre un hommage inconditionnel à toutes ces compétitrices et ces compétiteurs passionnés et quelquefois un peu fous dont on ne connaît que la face visible de la médaille mais rarement l’envers.
On peut ne pas être d’accord, critiquer le fondement même de ces disciplines basées sur l’esthétique et qui reposent sur un socle égoïque, mais finalement guère plus que n’importe quelle compétition de n’importe quelle autre discipline qu’elle soit sportive, politique ou dans le domaine du business.
On peut donc critiquer fortement votre égocentrisme, votre narcissisme et que sais-je encore, mais il faut un certain courage pour menez jusqu’au bout avec une grande conviction vos passions et vos rêves.
Je dédicace cet article à Jean-Marc, Marcel, Anthony, Nadine, France, Lydie…et à tous les autres, à mes vieux compagnons culturistes avec qui j’ai croisé le fer, à tous mes anciens athlètes que j’ai mené vers la victoire ou presque…
…et à tous celles et ceux que j’accompagnerai dans le futur vers des titres prestigieux ou presque.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Le bien-être, voilà une expression sur-employée, sur consommée, servie à toutes les sauces.
Nous nous éloignons tellement de l’être au bénéfice de l’avoir et du paraître qu’il y aurait, semble-t-il, une nécessité de choyer son être.
Ne serait-ce pas là, la véritable quête de notre existence ?
Une sorte de Graal.
Imaginez-vous alors ce que cela représente comme convoitise ?
Qui dit Graal, dit opportunités pour une partie du monde de s’infiltrer au cœur de cette formidable manne.
Tout est devenu un moyen de vendre du bien-être…
La demande est si importante, nous en avons tellement besoin…
Je suis assez peu convaincu par l’efficacité des marchands de bien-être, qui fourmillent au cœur de ce marché de dupe monstrueux, qui finalement asservit ce pauvre monde plutôt qu’il ne le libère.
Nous sommes très souvent au niveau du marché de l’amincissement, c’est-à-dire pas très haut…
Ainsi soit-il.
Les définitions du bien-être sont vastes et couvrent les aspects physiques mentaux et spirituels.
Philosophes
De l’avis de tous les grands philosophes, c’est la quête magistrale.
philosophe romain de l’époque stoïcienne, définit dans son œuvre «De La Vie Heureuse » ce qu’est le bonheur et de quelle façon l’homme peut y parvenir.
Il met en exergue la nécessité de se fondre à la nature et de ne point s’en éloigner.
Sénèque dit :
« je suis la nature, c’est le bon sens de ne pas s’éloigner d’elle ».
Il ne parle pas bien sûr de bien-être, ce terme est très contemporain mais il en dresse les contours avec une grande justesse lorsqu’il parle du bonheur.
Quant à lui, voyait dans le bonheur, comme une manière d’être, un état de l’âme et une forme de « bien agir », la fin de toute action.
« Ce n’est pas vivre selon la science qui procure le bonheur; ni même de réunir toutes les sciences à la fois, mais de posséder la seule science du bien et du mal ».
Disait : « le bien-être ne peut s’atteindre qu’à condition d’en finir avec ce qui, à l’intérieur de nous, travaille à l’encontre de ce qui arrive ».
Extraordinaire définition d’Épictète !
Encore une phrase, une simple phrase empreinte d’un sens extraordinaire.
Une phrase et tout est dit.
Si il en fut un, Confucius serait certainement le mandataire légal du bonheur et du bien-être.
Ses citations, textes et paroles sur ce sujet sont d’une richesse inestimable.
« Le bien-être apparaît comme quelque chose qui s’éloigne lorsqu’on tente de le saisir et de le quantifier, et qui se rapproche lorsqu’il n’est plus un objet de recherche. »
En 2006, un recueil des paroles de l’orateur, Jiddu Krishnamurthi appelé « Le sens du bonheur » a été publié.
L’immense illuminé, cher à mon cœur et à mon esprit, y décrit le bonheur avec une incomparable justesse.
« Voulez-vous connaitre mon secret ?
Peu m’importe ce qui arrive. »
-Jiddu Krishnamurthi –
Je vous engage à parcourir ce recueil de citations du grand penseur en cliquant ci-dessous:
Sans se plonger dans la lecture approfondie de tous ces grands philosophes (et il y en a bien d’autres), que pourriez-vous faire pour augmenter votre sensibilité et stimuler votre système hormonal au bien-être et au bonheur ?
Les Américains l’appelle « the reward chemical »
Que l’on pourrait traduire par:
« la récompense chimique »
C’est une molécule biochimique qui a un rôle de neurotransmission.
Elle permet la communication au sein du système nerveux.
Elle influence donc le comportement.
La dopamine joue un rôle important dans la motivation et stimule la sensation de plaisir.
Lorsque vous allez jusqu’au bout des choses en étant content d’un travail bien fait et finalisé, alors, cela contribue grandement à votre bien-être.
Prendre soin de sa personne, d’un point de vue de la santé, de l’esthétique et de son développement personnel est d’une grande satisfaction.
Se faire du bien rend heureux.
L’alimentation est au cœur du bien-être, bien sûr lorsque celle-ci est raisonnable, intelligente, dosée en fonction de ses besoins et quand elle correspond à nos goûts et à nos envies.
Se congratuler, se féliciter participe à augmenter l’estime de soi et de fait, cela nous fait nous sentir merveilleusement bien.
« The mood stabilizer »
Le stabilisateur d’humeur
La sérotonine est une molécule produite par les neurones, c’est un neuromodulateur.
Elle module la communication entre les neurones dans notre cerveau.
Elle est impliquée dans la motivation, la prise de décision, elle a une influence sur la régulation des comportements, l’humeur, l’anxiété ou encore l’apprentissage.
La méditation est l’entraînement de l’esprit, la libération de l’âme.
Elle réduit le stress et l’anxiété, laisse passer et dissout les pensées négatives.
C’est un moment de recueil avec soi-même, de solitude « bienveillante », un espace de liberté où l’on fait corps avec son esprit pour le meilleur.
Je ne parle pas de rôtir au soleil pendant des heures mais d’apprécier la lumière comme le font les végétaux qui s’en nourrissent.
Il est prouvé qu’une privation prolongée de soleil induit un état dépressif.
La communion avec la nature procure un état de bien-être et de plénitude qui augmente considérablement le positivisme.
Ce n’est certes pas une grande découverte mais il est toujours bon de le rappeler.
Le sport possède 1000 vertus, entre autres, celles d’améliorer votre santé, vos capacités physiques, vous faire perdre du poids, stimuler votre système hormonal…
« The love hormone »
L’hormone de l’amour
L’ocytocine est un octopeptide synthétisé dans l’hypothalamus.
L’ocytocine se comporte donc dans le cerveau comme un neuropeptide.
Les scientifiques ont mis en évidence son effet sur la confiance, l’empathie, la générosité, la sexualité, le lien conjugal et social et la réactivité aux stress.
Des études cliniques sont en cours sur ses effets bénéfiques possible sur la phobie sociale et la dépression.
La complicité avec les animaux est là aussi un retour vers l’essentiel, la nature et la simplicité.
Les animaux ne sont pas pourvus de sentiments bas, de perversité, de calculs mentaux où ils ressassent le passé ou se projettent vers le futur.
Ils sont des êtres du présent.
Les bébés ainsi que les enfants, avant qu’ils ne soient corrompus par les déviances des adultes, sont d’une grande richesse, d’une grande pureté.
Ce sont les meilleures fréquentations que vous puissiez avoir, pour vous sentir en plénitude et cultiver votre bien-être.
Il va de soi que ce câlin doit être fait avec une grande sincérité dans la transmission de l’amour.
Un câlin dans le réconfort et la paix, en donnant de soi, en partageant toute son énergie positive.
Transmettre et recevoir est là aussi un des secrets du bien-être.
Congratuler, féliciter avec sincérité est une récompense infinie pour celui qui les reçoit mais également pour celui qui les donne.
Un peu comme le pardon, le « recevoir » et le « donner », est une bénédiction pour votre santé morale d’abord et ensuite pour votre santé physique, donc pour votre bien-être.
« The pain killer »
Les tueuses de douleur
Est une abréviation de endogenous morphine — ce qui veut dire morphine endogène.
C’est un peptide agissant comme un neuro médiateur.
Les endorphines sont sécrétées par le complexe hypothalamo-hypophysaire
lors d’activités physiques intenses, de l’excitation, de la douleur et de l’orgasme.
Elles ont la capacité d’être analgésiques.
Les endorphines procurent une sensation de bien-être, voire d’euphorie.
Le rire est une thérapie comportementale exceptionnelle pour se sentir mieux.
Le rire appelle le rire et la convivialité, il est stimulant.
Il nourrit le cercle vertueux et participe grandement à élever votre état vibratoire.
Il n’y a rien de tel que de vous amuser et vous laissez porter par le plaisir de regarder une comédie.
Certains esprits chagrins vous diront qu’il y a trop peu de réflexion en la matière et que la comédie est au cinéma d’auteur ce que la musique populaire est à la musique classique, finalement un art mineur.
Je ne pense pas, tout ce qui peut participer à vous rendre heureux et à votre bien-être est de mon point de vue un art majeur.
Voilà bien un aliment qui déchaîne les passions et qui est devenu l’aliment de régime qui concentre une partie importante de l’attention populaire.
Il est pourvu de micro nutriments de grande qualité, bénéfiques pour le bon fonctionnement de votre organisme.
C’est d’ailleurs avant tout la richesse du cacao qui fait la richesse du chocolat noir :
potassium, phosphore, sélénium, zinc… acides gras essentiels…
Il est pourvu également de puissants antioxydants :
Flavonoïdes, Flavanols, Polyphénols.
De plus, le chocolat noir développe des vertus organoleptiques (le goût et la texture) qui plaisent quasiment à tout le monde.
Manger du chocolat noir, avec modération car il est aussi calorique que n’importe quel autre chocolat, contribue à apporter du plaisir et une sensation de bien-être incontestable.
Rares sont les gens qui n’aiment pas le chocolat, n’est ce pas ?
Faire travailler son corps, sa flexibilité, sa force, son endurance, stimuler en cascade toutes vos sécrétions hormonales, se sentir vivant dans un meilleur état de fonctionnement, perdre du poids et se sentir tonique procure un réel plaisir.
Lorsque votre corps va mieux alors votre état d’esprit se sent inévitablement mieux.
Le bien-être est un état général qui se construit et qui se cultive quotidiennement.
Pour se sentir bien, il faut être dans l’action, être attentif à soi et aux autres.
Vous avez chaque jour un ensemble de choses à réaliser qui contribue petit à petit à votre plaisir, votre bonheur, votre sérénité.
Nous avons malheureusement une compétence au contraire.
Nous glissons très facilement vers les mauvais ressentiments, les intentions négatives, le ressassement perpétuel des douleurs du passé de l’âme et du corps ou vers les projections futures catastrophiques toutes plus hasardeuses les unes que les autres.
Vous construisez votre bien-être, c’est vous et seulement vous qui décidez d’être bien ou pas.
Personne n’est plus responsable que vous pour vous.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Nous vivons une époque baignée dans le folklore.
Je ne parle évidemment pas du folklore régional où on se vêt d’habits traditionnels et où l’on joue une musique ancestrale pour faire honneur à nos ancêtres.
Ni des langues d’Oc, de Bretagne, Basque et d’ailleurs qui font la richesse de nos régions et de notre pays.
Je ne parle évidemment pas non plus de la musique folklorique et de ses compositeurs originaux et très souvent talentueux.
Non, je parle de ce folklore de pacotille qui reprend quelques tendances populeuses et qui les galvaude au point de les rendre totalement indigestes.
Je pense, par exemple, au développement personnel et à tout son cortège d’adeptes de l’introspection, du bouddhisme exacerbé, de la méditation transcendantale, bien plus « transcendantale » que « méditation » d’ailleurs.
Je n’ai évidemment rien contre le bouddhisme et la méditation transcendantale, je suis même parfaitement en accord avec cette philosophie, cet art de vivre, cette « religion » et ces pratiques.
L’indigestion provient de l’appropriation folklorique de toute cette tranche de la population, modulable à souhait, qui s’invente une spiritualité factice et débordante.
Depuis quelques années des vocations se sont créées par millions et de façon exponentielle.
Après avoir rangé le « Prozac » sous l’oreiller (on ne sait jamais, gardons-le à proximité), et avoir lu un livre de Paolo Coelho ou d’Eckhart Tolle, ils montent des cabinets de consultation et vous donnent des leçons métaphysiques sur qui vous êtes et quelle est votre quête existentielle.
La tendance actuelle, la mode actuelle devrais-je dire, tournée vers le bien-être mental et spirituel, n’est pas ici une affaire de sacerdoce ni d’illumination.
Une mode ni plus ni moins, l’engouement général du moment a pris possession des âmes fragiles, comme pour acheter une paire de chaussures ou un nouveau pantalon, rien de plus…
La philosophe Julia de Funès à une vision intéressante de ce phénomène au travers de son dernier ouvrage :
Elle n’est pas critique avec ces coachs, contrairement à moi, mais elle souligne plutôt le côté illusoire des démarches désespérées de leurs adeptes qui asservissent plutôt qu’elles ne libèrent.
De mon point de vue, nous sommes au niveau zéro.
Des âmes errantes tentent de sauver d’autres âmes errantes.
Tout le monde finira par se retrouver au même endroit…
D’ailleurs les courbes vont dans le même sens, elles sont désespérément croissantes:
Tout comme la prévention contre le surpoids qui semblerait, vu les statistiques, le faciliter…
Ferions-nous fausse route ?
La musculation ne fait pas exception à cette règle de la « folklorisation ».
Le coaching est devenu tendance, donc les coachs prolifèrent et poussent comme le chiendent.
Comme on peut l’imaginer, une telle affluence est rarement gage de qualité.
Plus on surproduit et plus l’excellence décroît.
La réalité dépasse très souvent la fiction et même la fonction, à l’instar d’autres professions dont l’essor est croissant.
Finalement, ne sont-ils donc pas victimes de l’engouement du moment, parfois peut-être de leurs ambitions arrogantes surévaluant leurs capacités.
Bon, les coachs ont tout bien appris et intégré, la bioméca, la physio, comment construire un programme et l’insérer dans une logique de planification…
La théorie a été parfaitement étudiée pour développer telle ou telle qualité physique.
Mais dans la pratique qu’en est-il ?
Et bien, dans la pratique quasiment tout sera remis en cause !
Je peux d’ailleurs affirmer que rien de conventionnel ne fonctionne vraiment.
J’exagère un peu, elle marche mais ne se suffit pas à elle-même et fonctionne que sous certaines conditions.
La progression est plurifactorielle et totalement conditionnée, évidemment par les capacités physiques personnelles mais principalement par l’état d’esprit.
Par état d’esprit j’entends désir, motivation, conditionnement, conscientisation, focalisation…
Là, réside le secret.
Peu importe quels sont les objectifs.
Qu’ils soient esthétiques ou d’ordres de l’amélioration des qualités physiques ou même de la santé, l’encadrement est un mélange subtile, une alchimie fine qui devra compter majoritairement avec la « chose métaphysique ».
Cette symbiose doit tenir compte avant tout de l’individu et, si peu des connaissances institutionnelles qui devront être mises en application.
À ce titre, une cartographie pour une meilleure connaissance de l’élève doit être établie.
Je vous envoie vers l’un de mes articles qui en dresse les contours.
La technique représente bien peu de choses par rapport au message qui doit être enseigné.
La transmission est certes fondamentale mais elle ne peut être acquise seulement si le discours est audible.
Audible et adapté !
Non seulement l’adaptation pleine et entière du coach est nécessaire-il doit se mettre à la porté de son élève-mais de plus, l’intégration du message doit être totale.
Il n’y a finalement rien de rationnel.
Le coach ne peut pas être une sorte d’hybride, mélange de gentil organisateur, de compteur de répétitions et de porteur de serviette.
Dans ces conditions, il ne se passera rien ou en tout cas pas grand-chose…
Le coach doit être un psycho-analyste, capable de comprendre les rouages de la mécanique cérébrale de son élève.
Il a également le devoir d’être une source de motivation, capable de susciter le désir qui pourrait parfois faire défaut.
Il doit être bien sûr un expert technique capable de proposer les bons exercices, la solution appropriée au bon moment dans les meilleures conditions.
De plus, il doit maîtriser parfaitement les paramètres d’intensité, ce qui devrait être pour moi une nécessité première et qui malheureusement est rarement le cas.
Je vous encourage à télécharger ci-dessous et gratuitement mon e-Books où je décris les paramètres d’intensité.
Je fais un constat pas très heureux sur cette profession.
Pour beaucoup, le coaching est devenue une voie de garage, pas un sacerdoce, pas une philosophie de vie.
On devrait s’engager dans ce métier comme dans une profession de foi et non pas parce que c’est la tendance sur les réseaux sociaux ou non pas parce qu’on a foiré ses études de droit ou de médecine.
Comprenez-vous ?
Je vous engage à lire et à relire mon article un peu corrosif sur la profession :
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Est-il possible que nous ayons une limite physique au-delà de laquelle nous ne puissions aller ?
Est-ce que notre potentiel physique serait illimité ?
C’est une idée existentielle dont je me fais l’écho dans cet article.
Au-delà d’une simple idée, c’est un concept fondamental, qui bouleverse notre existence.
Pouvons-nous imaginer accéder quasiment au statut de « super héros » ?
C’est un sujet qui a nourrit d’innombrables histoires, de nombreux ouvrages et de nombreux films.
C’est aussi le langage motivationnel de nombreux coachs de vie, coachs sportifs, préparateurs physiques ou autres prêtres et prêtresses de l’introspection et du développement personnel.
Il suffirait donc de le « vouloir » pour le « pouvoir«
Ne serait-ce donc alors qu’une question de foi ?
Barack Obama lors de sa campagne présidentielle en 2008 en avait fait sa « Base Line », son slogan rassembleur qui avait fini par inonder et inspirer le monde…
…Avec il est vrai, quelques nuances rhétoriques plutôt géniales liées à la volonté de rassemblement.
Voici un article ci-dessous qui explique ce modèle de communication intelligent et stratégique.
Obama, 10 ans plus tard : “Yes, we can”, un modèle de communication
J’ai évidemment un avis tranché sur la question.
Aussi loin que je m’en souvienne, cela remonte donc à ma prime enfance, j’ai toujours été fasciné par le pouvoir physique et ses extraordinaires capacités.
Ma vision des choses, mon univers ont probablement été conditionné par mes « héros » ayant tous développés des capacités physiques hors du commun.
J’en profite pour faire un petit clin d’œil à Bernard DATO, un ami culturiste dans l’âme et fin connaisseur des « Marvel’s Comics«
Je vous invite à parcourir son univers et à vous plonger dans ses écritures.
Cliquez sur l’image ci-dessous ainsi que sur les liens en rouge
Les portes étendard de ma « culture physique » de l’époque étant les Bruce Lee, Superman, Iron Fist et autres X Men… chers à mon ami DATO.
Des légendes, des humains véritables, peu importe, ils nourrissaient mon imaginaire et certainement l’adorateur de la culture physique que je suis devenu par la suite.
Ils ont été un puissant moteur qui m’a fait devenir un jour, un homme, un compétiteur et même un champion capable de me surpasser et d’élever ma volonté et mes capacités physiques là où je n’aurais jamais pu imaginer que ce soit possible.
Je me souviens d’une histoire, une parmi tant d’autres, d’un garçon au super potentiel, plongé dans le doute le plus obscure sur ses capacités, qui finalement lui semblaient limitées.
Il se confiait à moi en ces termes :
« On m’a dit que j’avais exploité au maximum mes qualités physiques et que je ne pourrais plus progresser!
On m’a dit que j’étais arrivé à mon plafond de progression.
Avant toute chose, c’est qui « ON » ?
En général, « ON« , les rabat-joie qui parlent de la sorte n’ont aucune expertise dans le domaine et n’ont de plus, aucune évaluation véritable du potentiel physique et psychologique de celle ou celui qu’ils jugent.
« ON » n’a aucune idée de ton implication ni de l’application avec laquelle tu pratiques la discipline.
De plus, ces conseilleurs à la petite semaine dont la parole peut être parfois puissante et dévastatrice, donnent leurs avis en fonction de leurs vécus, de leurs échecs, de leurs démons, de l’intention ou des intentions très souvent sans aucune bienveillance et sans autres objectifs que de te mettre le doute et de te déstabiliser.
Sans doute pensent-t ‘ils détenir le savoir…
Leurs discours sont trop souvent motivés par la jalousie et la bêtise.
Je souhaiterais, à ce stade de l’article, faire une corrélation avec mon article précédent :
J’y détaille les questions primordiales (listées ci-dessous) que devrait se poser tout coach qui se respecte avant d’établir « LE » programme.
Les « experts conseilleurs », les « ON« , ceux qui ont toutes ces certitudes sur votre potentiel, devraient évidemment s’en inspirer également.
Messieurs ou Mesdames les briseurs de rêves, avant de lancer des invectives qui ont les répercussions d’un tsunami et qui peuvent quelquefois détruire un formidable potentiel, faites preuve d’un peu de compassion.
Mais c’est certainement trop demandé…
Comme disait Albert Einstein :
Vous l’avez donc compris, mon point de vue sur le sujet est que nous nous mettons des limites mentales, déclenchées très souvent par des facteurs extérieurs.
Lorsque ce sont des facteurs humains, l’intention est rarement bienveillante.
Nous avons de grandes difficultés à nous extraire du jugement des autres, cela agit comme une chape de béton, comme des semelles de plomb, comme des enclumes qui nous maintiennent au sol et qui empêchent notre mental de s’élever et nos désirs de décoller.
Notre potentiel physique est réellement illimité, voyez ce que les athlètes surmotivés sont capables de faire.
Certains diront que c’est grâce à l’évolution exponentielle des techniques et de la technologie, grâce à l’alimentation, grâce aux produits dopants….
… grâce ou à cause.
De mon point de vue, l’esprit est l’épicentre, le détonateur de toutes les manifestations physiques.
Je n’ai rien inventé, ce n’est pas une révélation, cela devient une réalité palpable grâce à la physique quantique.
Je vous engage à lire cet article intéressant, en cliquant sur le lien en rouge, qui met en exergue l’esprit sur la matière:
Le corps est l’outil, le formidable véhicule de votre esprit.
Il répond à de puissants stimuli liés à vos pensées, dont votre cerveau en est l’incubateur.
Rappelez-vous une loi essentielle une loi spirituelle et quantique:
En y mettant bien sûr de fortes intentions.
Vous avez un vrai pouvoir de décision à partir du moment où le désir est puissant, que vous y mettez une foi inébranlable et que vous êtes véritablement dans l’action…
…Au-delà de la pensée collective, de toute croyance générale, au-delà même de toute génétique défavorable…
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
La persévérance est une qualité indispensable pour la réussite.
Par réussite, j’entends bonheur, réalisation, épanouissement, succès, victoire, triomphe…
Nous empruntons tous un jour ce chemin vers notre réussite.
La grande majorité le parcourt en partie… le plus souvent, pour une toute petite partie.
Dès le premier obstacle, dès la première déconvenue, nous nous rétractons, nous rebroussons chemin, nous nous effondrons.
Il n’est pas question ici d’agressivité, ni de méchanceté ou d’arrivisme.
Il est bien question d’acharnement, d’une constance à toute épreuve, d’une véritable forme de courage, de ténacité et d’abnégation.
Nous ne recevons malheureusement pas d’enseignements académiques pour cultiver cet état d’esprit, ce n’est pas enseigné dans les écoles.
Nous apprenons des mathématiques ou de la physique complexes, du latin ou du grec ancien qui ne nous serviront jamais dans la vie de tous les jours…
…Ou en tout cas, qui ne serviront jamais à la majorité d’entre nous.
D’ailleurs, ce serait plutôt tout le contraire, il y a une tendance avérée à ne pas encourager la compétitivité et l’excellence.
Depuis plus de 30 ans la tendance dans l’éducation nationale serait de niveler par le bas et ainsi d’éviter les disparités trop importantes avec les élèves de petit niveau.
Niveau en maths et en sciences : la France s’enfonce
Alors qui peut vous enseigner cette force, cet état d’âme ?
Ce sera peut-être la vie, le sport ou alors vos parents parfois de gré ou de force…
Barbara, mon épouse, est à mes yeux le parfait exemple d’une persévérance qui défie l’entendement.
Dans son bouquin « CHANGE* », un paragraphe est consacré à cet apprentissage forcené initié par une mère que l’on pourrait qualifier pour le moins de dictatoriale.
*CHANGE est aujourd’hui uniquement publié en anglais, il fait l’objet d’une traduction en Français qui devrait être achevée dans les prochains mois.
Je ne manquerais pas de vous tenir informés.
Cliquez sur la photo ci dessous pour la version papier
Version numérique en cliquant ICI
Lorsque j’étais enfant, il m’était presque impossible d’être à la hauteur des attentes de ma mère : bien que pugnace, quoi que je fasse, ce n’était jamais assez bien.
J’étais toujours une source de honte ou de désappointement.
Mais cela ne m’a jamais empêché de continuer de persister encore et encore.
Lorsque j’y repense, je ne sais pas ce qui me poussait : en effet, je me rendais compte que j’étais sans cesse pour ma mère une source de désillusion mais je me relevais et j’essayais à nouveau.
De toute évidence, tout ceci a eu un effet dévastateur sur l’estime de moi-même, ce qui a nécessité des années de travail afin de tout surmonter.
Je ne sais pas ce qu’il en est pour toi, mais je peux te dire une chose : j’ai toujours eu cette foi en moi.
Alors que je prends le temps d’y réfléchir aujourd’hui, j’ai conscience que toutes ces années pendant lesquelles j’étais assoiffée d’un peu d’attention ou de reconnaissance, ont fait de moi celle que je suis aujourd’hui : une battante !
J’adore ce passage de Steve MARABOLI qui m’inspire toujours aujourd’hui et qui dit :
« Tu n’es pas une victime.
Peu importe ce que tu as bien pu traverser, tu es toujours là aujourd’hui.
Tu as été mis au défi, tu as souffert,
tu as connu la trahison et peut être même été battu
Mais rien ne t’a vaincu.
Tu es toujours là !
On t’a peut-être retardé mais tout ne t’a pas été refusé.
Tu n’es pas une victime.
Prends conscience, que c’est tout le contraire : De cette situation, tu ressors victorieux.
Il est bien question ici de Victoire. »
Commence à voir à quel point tes expériences t’ont fait grandir et ce que tu en as appris.
Les années ont passé, ayant atteint la cinquantaine, je ne peux m’empêcher de regarder en arrière, étonnée par tous les objectifs que j’ai réussi à atteindre, des objectifs dont la plupart ont été menés jusqu’au bout.
Certains n’étaient que temporaires et sont devenus, contre toute attente, des habitudes de vie.
C’est constant chez moi et inaltérable : je me fixe un objectif et je me démène pour aller jusqu’au bout.
Prends le temps d’observer ta propre existence : quels en ont été les obstacles ?
Qu’est-ce qui t’a fait souffrir ou t’a forcé à t’adapter ?
Puis, demande-toi en quoi ces évènements t’ont transformé et t’ont fait devenir celle ou celui que tu es aujourd’hui ?
Ces évènements passés, que tu en aies conscience ou pas sont la conséquence de la plupart de tes défauts mais ils sont aussi la source de la plupart de tes qualités:
Ils sont la raison pour laquelle tu es aujourd’hui aussi déterminé, patient, loyal, tolérant, compréhensif, ouvert d’esprit, généreux, responsable, chaleureux, raisonnable…
… imaginatif, discipliné, original, ambitieux, consciencieux, courageux, constructif, ingénieux, sensé, généreux, tendre, indépendant, franc, réaliste, aventureux, modeste, calme, prudent, autocritique, perfectionniste etc…
Je suis sûre que tu te retrouveras dans certaines de ces qualités.
Retrouve l’intégralité de cette liste (qui n’existe malheureusement qu’en anglais) en cliquant ICI
Alors, au lieu de perdre ton temps à ressasser ton passé ou le trainer tel un boulet, pourquoi ne pas voir comment ces épreuves t’ont permis de grandir et ont fait de toi la personne formidable que tu es aujourd’hui.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Barbara et Philippe LAMACHE
Il y a quelques temps de cela, je visitais le musée océanographique de Monaco et je suis tombé sur un comparatif.
Il comptabilise le nombre de morts, chaque année, sur toute la surface de la terre, causés par des insectes ou des animaux.
Moustiques 800 000
Serpents 100 000
Crocodiles 2 000
Abeilles et Frelons 400
Méduses 50
Requins 10
Voici un court article ci-dessous qui traite le sujet:
On peut souligner également que ces pauvres gens dévorés par les requins l’avaient certainement un peu cherché, sans vouloir faire offense à leur mémoire.
Si vous n’envisagez pas de vous baigner dans une mer infestée de requins alors il y a de fortes chances que vous mouriez de 1000 autres façons mais certainement pas dévoré par un grand blanc.
Les requins nous effraient au point de déclencher de véritables psychoses aidées par une propagande active et très anxiogène.
On en a fait des films qui ont terrorisé des générations…
Un peu comme les loups d’ailleurs.
10 personnes de trop certainement…
Mais ils tuent 80 000 fois moins que les moustiques qui exterminent à eux seuls 800 000 personnes chaque année !
Voici une information intéressante sur ce sujet qui émane du ministère des solidarités et de la santé:
Je ne peux m’empêcher de faire la corrélation avec la pandémie rendue « sur-angoissante » et qui occupe nos esprits, nos discussions, notre existence depuis plus d’un an et demi.
Serait-ce finalement la même chose ?
La propagande incessante aurait-elle réussi à faire peur même aux enfants qui en seraient devenus dépressifs et dont certains, poussés par une angoisse insurmontable, auraient mis fin à leurs jours ?
J’ai écrit cette phrase au conditionnel mais ces faits terrifiants se sont effectivement avérés.
Alors que le risque qu’ils contractent une forme grave de ce virus est quasiment nul.
C’est ce que les stratèges de guerre appellent les dommages collatéraux.
Ce sont les conséquences annexes.
Les dommages qui ne sont pas liés directement au virus lui-même, mais qui de toute évidence, auraient pu et dû être évités.
La terreur est propagée par les organes d’état, celle-ci finit par vous fragiliser et vous fait sombrer à des niveaux plus ou moins élevés dans une déprime et parfois même dans une dépression profonde.
Ce même état qui vous appelle lorsque vous avez contracté le virus en vous demandant si vous avez besoin d’une aide psychologique.
Nous retrouvons en tous points l’attitude des pervers narcissiques manipulateurs, une maladie mentale inguérissable, une peste psychologique.
L’état « salvateur » prélève 80 % de taxes sur le tabac, même si la « Seita » (la régie qui gère le commerce du tabac), n’est plus une entreprise d’état depuis 1995.
Néanmoins, l’état prélève quand même 80 % sur la vente des pipes à cancer (cigarettes).
En fait, ce commerce leur appartient…
Et lorsque vous finissez par attraper cette terrible maladie- parce que ça arrivera, ce n’est qu’une question de temps – la sécurité sociale vous prendra en charge…
Sans commentaire…
En ce qui concerne les dégâts psychologiques, dont je parlais plus haut dans le texte, et leur prise en charge,
Cliquez ci-dessous.
Alors, qui portera la responsabilité de ce conditionnement dévastateur ?
Certains médecins, certains politiques, les médias, les réseaux sociaux, vous, moi ?
Je n’ai rien contre les préparations homéopathiques, bien au contraire, je pense que leur pouvoir est grand mais le principe actif, le principe vibratoire est difficile à déceler.
Le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer et les maladies respiratoires chroniques sont les 4 Maladies Non Transmissibles (MNT) qui tuent chaque année 41 millions de personnes.
Curieusement, celles-ci ne nous préoccupent plus trop…
Et pourtant, sur les 56,9 millions de décès dans le monde, cela représente quand même 71%.
On impute aux 4 maladies prioritaires plus de 80% de ces décès «prématurés» dixit l’Organisation Mondiale de la Santé.
Je vous invite à lire ce document de l’OMS.
Elles s’abattent sur toutes et tous sans distinction d’âge…
Nous sommes pour le coup véritablement tous concernés.
Et si nous parlions un peu de l’alcool, environ 300 millions de personnes en souffrent.
Plus de 3 millions en meurent directement chaque année.
Voici encore une information intéressante de l’OMS.
L’abus d’alcool tue chaque année plus de 3 millions de personnes
Sans parler des morts indirectes, dont on sait qu’elles sont causées par l’alcoolisme mais pour lesquelles il est très difficile de faire une évaluation.
… peut-être trois fois plus.
Donc environ 10 à 12 millions de personnes qui en meurent directement ou indirectement chaque année.
Et je pense même que nous sommes loin du compte…
Concernant la Covid, ce virus rend malade, c’est évident: mon entourage, mes amis, ma famille et moi-même en avons fait les frais, comme un grand nombre d’entre vous.
C’est également évident que ce virus et ses multiples variants tuent principalement les personnes fébriles, âgées dont l’immunité est déjà lourdement entamée par d’autres pathologies.
Ces chiffres sont avérés, vous les trouverez partout.
Je vous livre ce document qui en fait état de ces chiffres et qui émane de notre gouvernement:
Est-ce que cela mérite toute cette folie vide de sens ?
Est-ce que cela mérite que l’on se divise et que plus rien d’autre ne compte ?
Cela justifie-t-il cette psychose coûteuse pour nos vies sociales, pour nos finances, pour notre équilibre physique, mental et spirituel ?
Gardons la tête froide, si c’est encore possible, en réfléchissant librement avec notre conscience pure, en dehors de toute propagande, qu’elle soit considérée comme complotiste ou institutionnelle.
Les deux amènent la division, le désordre et le chaos.
Restons calme, ne nous emportons pas, regardons les choses en face et écoutons ce qu’elles nous disent.
Il n’est jamais de meilleure décision qui soit prise que lorsque nous ne sommes pas dans la révolte et la colère.
Évitez toutes formes d’endoctrinement, il n’est pas « vous », il n’est pas ce que vous ressentez.
L’endoctrinement, c’est se mettre à penser par procuration, à développer les idées d’un ou des autres, c’est s’approprier des émotions qui ne vous ressemblent pas.
le conditionnement agit d’une certaine manière comme un virus extrêmement contagieux.
Un virus qui se propage de façon exponentielle de personne à personne, de groupe de personnes à groupe de personnes, de Nation à Nation, modifiant la perception de la réalité…
…sans distinction de sexe, d’âge ou de protection immunitaire, avec une virulence infiniment plus dévastatrice qu’une infection respiratoire.
Nous finissons tous, à des degrés divers, par être affectés par des troubles psychotiques aliénant le fonctionnement de notre cerveau de façon majeure en modifiant nos pensées, nos croyances ou nos perceptions.
Les conséquences de cette pandémie auront certainement commis plus de dégâts au tréfonds de nos esprits que dans nos chaires.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Nous avons certainement vécu et nous vivons toujours aujourd’hui, le plus grand chamboulement de notre existence.
Je parle de, « nous« , civilisations confortables, ripaillant dans le luxe, gavées de médicaments, dépressives au dernier degré, percluses de drogue, de nourriture riche au point qu’elle nous empoisonne.
Très souvent un contre sens on un non-sens…
« Nous« , les insatisfaits, les égocentriques, les pleurnicheurs, ceux que l’on soigne gratuitement grâce à un système de santé parmi les plus performant au monde pourvu des professeurs les plus éminents, d’I.R.M, de scanner si puissants capables de vous faire des scintigraphies qui dissèquent chaque infime partie de votre corps.
Oui, je parle de « nous« , les nantis de ce monde.
Je ne parle évidemment pas de tous ces peuples qui vivent dans des conditions d’oppression absolue, de famine, de guerre des clans ou de religions.
Tous ces individus qui doivent « bagarrer » chaque instant pour ne pas succomber au choléra, à la dysenterie, à la déshydratation, à la prostitution forcée, à l’extrême nécessité de devoir migrer parce qu’ils n’ont plus rien.
Une expérience qu’ils devront vivre courageusement à travers la foi.
Alléluia, Inch’Allah.
Lorsque je dis « nous« , ce n’est pas qu’une question géographique mais c’est également une question trans générationnelle.
« Nous » tous !
Ou quasiment tous…
J’entends bien évidemment, ma génération, la génération X et celle de mes enfants, la génération Y.
À titre indicatif voici un petit rappel des périodes que couvrent chaque génération:
Génération silencieuse, personnes nées entre 1928 et 1945
Baby-boomers, personnes nées entre 1946 et 1965,
Génération x, personnes nées entre 1965 et 1980,
Génération y, personnes nées entre 1980 et 2000,
Et la Génération z, personnes nées à partir de l’an 2000
J’inclus aussi la génération de nos ancêtres directs, nos parents, la génération des « baby-boomers » allant jusqu’au début des années 40, la génération silencieuse.
En effet, ils ont connu la guerre, qui devait être sans aucun doute une période infiniment plus traumatisante que ne l’est la situation sanitaire actuelle.
Mais ils étaient bien jeunes à cette époque et n’en ont donc que de vagues souvenirs.
Certains ne s’en souviennent d’ailleurs même plus.
Ce sont donc ces générations à risque, les exposés, les premières lignes, qui sont tombés sous le feu de la mitraille de la première vague du SARS-COV-2.
Une existence élevée aux antibiotiques toujours plus féroces et aux autres traitements pharmaceutiques trop souvent inutiles et sur-consommés.
Des générations qui ont fini par être perfusées à l’industrie alimentaire, par sa chimie « autorisée » et sa sur-abondance.
Des générations qui se sont laissées envahir par l’obésité et les pathologies morbides qui y sont associées.
Nos pauvres vieux inondés de cancers divers et variés, traités à grand coups de chimiothérapie et de rayons « anéantisseurs » de cellules cancéreuses mais également de cellules saines.
Cette merveilleuse immunité également anéantie par un mal-être qui est devenu chronique.
C’est précisément là où je souhaitais en venir.
Le mal-être chronique, celui que l’on cultive par les discussions de comptoir, celui que l’on subit par l’information continue, ce matraquage immonde et incessant.
Je dis bien, incessant !
Ce pilonnage, ces coups de butoir que les médias Mainstream mais également les médias alternatifs nous assènent.
Nous subissons des attaques psychologiques non-stop, d’innombrables piqûres de rappel d’une grande toxicité.
Plusieurs fois par jour, on nous martèle le nombre de contaminés, les personnes en réanimation, les morts…
Les scientifiques et leur parole « divine » nous affolent et nous terrorisent.
Un professeur en médecine a certainement aujourd’hui une parole plus touchante que ne pourrait être la parole de Dieu.
Ils ne se rendent pas compte à quel point ils impliquent leur responsabilité sur la destinée de nos âmes si fébriles.
Leurs mots ont tellement de sens et d’influence, qu’ils décident, au détour d’une simple petite phrase, de votre guérison ou pas et parfois même de votre vie ou de votre trépas.
Et nos dirigeants, ils n’ont eu de cesse de se contredire, de manier la langue de bois avec brio, de mentir avec maestria.
Ils ont créé un tel climat d’insécurité et de défiance qu’il est devenu si difficile de déceler le vrai du faux.
Nous avons perdu toute notion d’objectivité.
Finalement, qu’est-ce qui est bien ou mal ?
Est-ce que cela nous protège vraiment et surtout, est-ce que cela protège nos semblables ?
Quels sont les chiffres exacts accrochés comme des morpions à cette pandémie?
Ce serait comme pour les manifestations, les uns ont compté 10 000 manifestants et les autres 100 000 ?
Mais qui a raison et qui a tort ?
Quelle est la proportion de jeunes gens en bonne santé qui se sont retrouvés dans la même situation ?
Le nombre de cas positifs est en constante augmentation, c’est incroyablement exponentiel.
Mais dans le même temps nous testons à tour de bras…
Si nous ne testons plus, nous ne trouverons plus de cas positif n’est-ce pas ?
Nous vivons un changement total de paradigme.
Nos valeurs, notre perception du monde s’en trouvent totalement bouleversées.
Nous sommes colonisés par cette nocivité insidieuse qui finit par s’installer à l’intérieur de notre corps et de notre esprit.
Plus de 8 millions de morts sur toute la planète…
La possibilité que je contamine mon père de 80 ans et que je réduise ainsi son espérance de vie, faisant de moi un potentiel porteur de mort….
Des jeunes de 20 ans sous assistance respiratoire, plongés dans un coma dont ils ne sortiront peut-être jamais…
Tous ces sportifs qui menaient pourtant une existence saine et heureuse et dont la vie a subitement basculé en enfer, précipités par ce virus qui a pris les traits d’une myocardite…
Etc. etc.
Je ne souhaite pas énumérer ici l’ensemble de toutes ces horreurs relayées par la doxa bien pensante et terrorisante.
Je veux souligner simplement le fait psychosomatique, reconnu aujourd’hui par toutes les sciences médicales.
Celui-ci n’a probablement jamais été aussi présent et aussi destructeur.
Pensez-vous que nous aurions pu vivre cette période en étant beaucoup plus responsables, en ayant infiniment moins peur et par conséquent avec plus de présence et de distanciation ?
Malgré mon esprit plutôt libre, j’ai néanmoins reçu non seulement ce virus mais aussi toute sa lourde histoire construite sur la manipulation et la terreur.
Je l’ai compris et j’ai donc pu m’en extraire pour ne pas apporter de la souffrance à la souffrance et finir encore plus malade et désemparé.
Le libre arbitre est votre bien le plus précieux : faites barrage aux influences négatives, écoutez votre cœur et votre esprit, si votre oreille est suffisamment attentive, vous saurez les entendre, les écouter et les comprendre.
Il n’est pas question dans mes propos d’être pour ou contre le vaccin, le pass sanitaire, le gouvernement ou je ne sais quelles autres institutions ou tendances complotistes…
Je vous demande simplement de nettoyer votre esprit et d’y mettre de l’ordre vous y verrez ainsi beaucoup plus clair.
Ce que je vous explique vous semble logique?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Notre propre univers est fait de centres d’intérêt, de métiers, de cultures, de langues, d’horizons, de passions, de religions, de pays… tellement différents.
Nous recevons à chaque instant des centaines et des centaines d’informations que nous analysons et digérons par le prisme de notre expérience innée et acquise.
Même si nous avons les mêmes centres d’intérêt, le même métier, la même culture, la même langue, la même passion, le même pays, la même religion, notre expérience n’en demeure pas moins unique.
La perception de toutes les données que nous recevons s’inscrit dans chacune de nos cellules comme une empreinte dont il n’existe aucune équivalence chez aucun autre être humain.
Ce que nous voyons, ce que nous entendons, ce que nous ressentons s’apparente à un code complexe qui serait constitué de millions de chiffres et de symboles.
Vraiment aucune probabilité pour qu’une deuxième personne sur terre ait un code similaire au vôtre.
Donc aucune probabilité pour que d’autres personnes sur 7 milliards d’individus perçoivent avec la même exactitude tout ce que vous pouvez percevoir, ce que vous pouvez ressentir avec le même degré d’intensité.
À quel point votre expérience est riche puisqu’elle ne ressemble à aucune autre.
Vous allez dire :
« J’ai des amis avec lesquels nous pensons exactement la même chose, on a le même avis sur tel ou tel sujet. »
« Nous sommes exactement les mêmes ! »
« Ma sœur jumelle et moi-même partageons les mêmes centres d’intérêt, nous avons les mêmes goûts pour la mode, la même philosophie de vie et d’un point de vue culinaire, nous aimons les mêmes plats.»
Il y a évidemment des similitudes, des philosophies qui nous rassemblent, des dogmes, des patries….Dieu et parfois même des Dieux.
Nous partageons des états subtils d’harmonie.
Pour certains il suffira d’un stade, d’une équipe et du symbole qui va avec pour déclencher « l’union sacrée ».
Pour d’autres, ce sera un concert où l’espace de deux heures, plusieurs milliers de personnes chantent et dansent sur les mêmes vibrations, portés par la même énergie.
Au cœur de nos relations personnelles, nous vivons parfois la rencontre ultime, la personne qui nous correspond parfaitement, celle qui comprend tout, qui partage tout, qui devance le moindre de nos désirs, comme si elle pensait à notre place.
Ce merveilleux esprit complice que l’on appelle notre âme sœur.
Je vous invite à lire cet article que j’ai écrit sur ce sujet
Mais au-delà de tous ces atomes crochus, de ces belles alchimies qui pourraient nous faire croire que l’autre ou les autres nous comprennent parfaitement ou que nous les comprenons parfaitement, persiste notre monde qui n’est pas du tout celui de notre âme sœur, de notre Jumeau, de notre compatriote de stade, de concert ou de je ne sais quelle autre passion partagée.
« Mon frère sait tout de moi! »
« je ne cache rien à mon mari »
Oui ton frère ou ton mari ont bien entendu tout ce que tu leur as dit…probablement, après qu’ils en aient fait aussi leur interprétation…
Tes états de conscience successifs, toutes ces sensations fines, ces ressentis subtils sont parfois impossible à traduire par des mots.
Toutes ces impressions, tous ces sentiments sont parfois même impossible à comprendre, l’instinct les traduit, sans analyse, sans que l’on puisse véritablement comprendre ce qui s’est passé.
Ainsi ce que tu partages, en pensant être parfaitement honnête, est uniquement ce que tu as compris ou peut-être aussi tout ce qui est acceptable pour toi, ce que tu penses être acceptable…
Ce que tu veux partager.
De plus, comme je le dis un peu plus haut dans le texte, l’information doit être traitée par le tamis des expériences de celui qui la reçoit, à travers la maille fine de ses jugements, de ses analyses corrompues par sa propre histoire.
Il y a tellement de choses en nous que nous ne voyons pas ou que nous refusons de voir, tellement de déni, tellement de peurs dont on ne parle jamais et surtout dont on ne se parle jamais.
Pour résumer en une simple phrase:
Bernard Werber
Entre
Ce que je pense
Ce que je veux dire
Ce que je crois dire
Ce que je dis
Ce que tu as envie d’entendre
Ce que tu crois entendre
Ce que tu entends
Ce que tu as envie de comprendre
Ce que tu crois comprendre
Ce que tu comprends
Il y a dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer,
Mais essayons quand même.
Bernard Werber, écrivain
J’ai parfois entendu des individus, après une séparation, s’exprimer sur l’autre en disant :
« C’est incroyable ! J’ai vécu 20 ans avec lui et finalement je ne le connaissais pas… »
Nous sommes aussi quelquefois surpris de nos propres réactions.
Nous ne savions pas à quel point, face à une situation particulière, nous étions capables de réagir ainsi ou parfois de ne pas réagir du tout…
Même les professionnels de la psychologie, les psychologues, psychiatres, spécialistes du développement personnel …
Psycho analystes, psycho spécialistes de tel ou tel comportement…en perdent leur latin.
20 ans d’analyses régulières !
Comment est-ce possible ?
La réponse est contenue dans la question…
Les choses de l’esprit sont quasi impénétrables, nous sondons en superficie, guère plus.
Les psychothérapeutes font ce qu’ils peuvent mais que peuvent-ils vraiment ?
Parmi les psychoses les plus connues et certainement les plus répandues, j’en ai identifié trois.
Je vous engage à lire les trois articles qui leur correspondent, il en ressort entre autres que l’on parle principalement de soigner mais beaucoup moins de guérir.
Elle est celle qui est la plus connue du grand public.
Sa prévalence (nombre de cas recensé d’une maladie par rapport à l’ensemble d’une population à un moment donné) est autour d’un pour cent selon les différentes études internationales (autant que pour le diabète insulino-dépendant).
Elle est classée par l’Organisation Mondiale de la Santé comme étant l’une des 10 maladies les plus invalidantes.
C’est un trouble du comportement alimentaire essentiellement féminin qui apparait le plus souvent à l’adolescence.
Il entraîne une privation alimentaire stricte et volontaire pendant plusieurs mois, voire plusieurs années.
Encore une autre maladie mentale terrible et dévastatrice pour l’entourage.
Il est donc question de trois psychoses graves, de problèmes mentaux sévères dont la bibliographie scientifique est vaste et très renseignée.
Les prises en charge sont dans la plupart des cas opérationnelles, extrêmement cadrées, appuyées par des traitements chimiques puissants.
Et pourtant, au vu des statistiques de guérison, les résultats sont loin d’être probants.
C’est une évidence, nous comprenons très mal les choses de l’esprit, les déviances complexes mais également les humeurs, les simples traits de caractère.
Nous prêtons des qualités à certains et des défauts effroyables à d’autres en ayant pour seul fondement notre jugement totalement erroné et soumis lui-même aux dictâtes de nos tortures.
Finalement, avons-nous pas la moindre idée de ce qui se trame dans le cerveau des autres et même, je le répète, dans le cerveau de vos proches ?
La conscience gruge constamment, vous gruge, elle vous manipule.
Je m’intéresse aux choses de l’esprit depuis de nombreuses années, je m’interroge fondamentalement et j’analyse le monde qui m’entoure et ses comportements.
Ce qui m’a amené tout naturellement à m’intéresser à la spiritualité et à la physique quantique, des domaines qui s’entrecroisent et dont la frontière est bien fine.
J’ai pu comprendre qu’à l’instar des expériences quantiques, l’expérimentateur crée sa propre expérience, il crée à l’instant son propre monde.
Ce que nous voyons n’a pas de commune mesure avec les 100 personnes qui verront le même phénomène au même moment.
Nous pouvons faire preuve de compassion pour nos semblables, cela demande un travail conséquent, je vous l’accorde, mais de là à les comprendre, de là à pénétrer leur univers et d’en faire une interprétation qui serait leur propre interprétation… Là non je n’y crois pas un instant.
C’est pour cette raison que la discorde, l’incompréhension, les oppositions, vouloir que l’autre change, soumettre les volontés, non pas lieu d’être.
Tout ceci n’est que peine perdue, monumentale et stupide dépense d’énergie que vous devriez consacrer avant tout à votre bien-être.
Nous vivons chacun dans notre monde, construit de millions de briques que le ciment de nos croyances, de nos doutes, de nos exploits et de nos frustrations maintiennent en équilibre, quelques fois un peu précaire…
Chaque individu possède ses propres briques, son propre assemblage, sa propre construction.
Imposer de la déconstruire, ce serait la détruire.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE