fbpx

Les articles de la catégorie Mental

Comment pratiquer la musculation après 40 ans

Deuxième partie


Je voudrais faire une courte synthèse concernant les propos tenus dans la première partie sur ce sujet.

Et bien sûr vous renvoyer vers l’article :

Comment pratiquer la musculation après 40 ans (1ère partie)

Nous sommes harcelés d’informations, de thèses, d’antithèses et de prophètes.

Je comprends la difficulté de faire le tri, de déceler le vrai du faux.

Lorsque nous ne sommes pas du domaine, comment faire la part des choses ?

La communication est tellement convaincante, elle nous touche précisément là où il faut.

Je ne suis qu’un messager, un individu en perpétuel apprentissage qui pratique et encadre depuis bientôt 40 ans.

Je puise les informations à la source comme chacun peut le faire, dans les livres, les conférences, de personne à personne mais également dans cette énergie qui nous entoure que l’on pourrait nommer la passion, le savoir universel et peut-être même l’intelligence supérieure.

Cette intelligence qui appartient à tout le monde, que vous pouvez sonder, que vous pouvez vous approprier et qui nourrit votre libre arbitre.

Toutes ces informations ont enrichi mon expertise de terrain et ont consolidé mon expérience.

Comment donc pratiquer la musculation après 40 ans ?

Voici d’autres questions qui reviennent fréquemment lorsque l’on traite le sujet de la pratique de la musculation après 40 ans.

Doit-on s’entraîner autant ?

Lorsque l’on est plus jeune on a en général une sale manie, celle de s’entraîner trop et de façon dispersée.

C’est caractéristique de la jeunesse: la dépense d’énergie.

Trop est l’ennemi du bien et ce n’est évidemment pas en s’entraînant à outrance que l’on obtient plus de résultats.

Je profite de cette occasion pour faire passer ce message essentiel:

Ce n’est pas la multiplicité des séances ou leurs longueurs qui fait la qualité de l’entraînement et qui par conséquent vous fait progresser.

C’est toujours l’intensité, donc l’implication qui vous fera progresser.

Ainsi, s’entraîner autant qu’avant alors que l’on s’entraînait déjà trop n’est certainement pas une attitude à adopter.

La règle serait de s’entraîner juste.


Je ne tiens pas à épiloguer sur les lieux communs:

« En vieillissant on récupère moins vite… »

« Avec les années, les risques de blessures sont plus importants… »

Ils discriminent et créent un amalgame.

Ils ont la faculté de conditionner et de créer des circonstances favorables au ralentissement des fonctions métaboliques dont la récupération et la régénération font partie.

Au-delà de 40 ans entrainez-vous « juste », comme vous ne l’avez probablement jamais fait.

Soyez intransigeant dans votre approche, exploitez avec précision et conscience chaque mouvement, chaque répétition.

C’est grâce à cette approche que j’obtiens très souvent de meilleurs résultats avec les Masters que n’en obtiennent les pratiquants qui ont 20 ans de moins.

Je ne cesse de répéter que vous devez utiliser les paramètres d’intensité avec une grande rigueur.

Je ne les détaillerai pas dans cet article, il vous suffit simplement de télécharger mon e-Book gratuitement en cliquant sur le lien ci-dessous.

« Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans »

Vous y trouverez la méthode pour s’entraîner de façon efficiente lorsque l’on a plus de 40 ans.

Doit-on réduire l’intensité ? Ou au contraire l’augmenter ?

C’est encore une question récurrente et qui fait précisément écho aux paramètres d’intensité.

Dans l’esprit de la majorité des pratiquants, augmenter l’intensité se résume souvent à l’augmentation de la charge.

Les conséquences sont systématiquement fâcheuses: sur le mouvement qui s’en trouve détérioré, sur l’amplitude qui se réduit inexorablement, sur les temps de repos qui se rallongent et sur l’exécution qui flirte sans cesse avec l’inertie.

Un autre paramètre « trompeur » dont se servent les pratiquants lorsqu’ils parlent d’augmentation d’intensité, est l’augmentation de la longueur des séances.

« Je m’entraîne plus, je suis passé à deux heures par jour »

Dans le cadre professionnel, je connais des gens qui brassent de l’air toute la journée, 35 ou 39 heures de présence… sans aucune efficacité…et d’autres qui travailleront moitié moins et qui abattent un travail considérable.

Par conséquent, Mesdames et Messieurs les Masters, vous pouvez augmenter l’intensité de votre entraînement si votre corps et votre esprit vous le demandent et vous le permettent mais évitez systématiquement de passer par l’augmentation de la charge et de votre temps d’entraînement.

Ce sera totalement improductif.

Doit-on favoriser le cardio training au détriment des exercices de musculation pur ou le contraire ?

Cela dépend véritablement de vos objectifs mais également de vos envies.

L’équilibre se situe à ce niveau et certainement pas en une règle qui imposerait un pourcentage X de cardio ou un pourcentage y d’exercices de musculation.

D’autre part, certaines sessions de culture physique, comme le travail des cuisses en circuit, peuvent avoir une telle intensité qu’elles deviennent également des séances de cardio HIIT.

C’est évident que les deux vont de pair, de bonnes capacités cardiovasculaires amélioreront vos aptitudes à mener une séance de culture physique de façon intensive.

On ne peut donc pas privilégier par convention le cardio training au détriment de la musculation ou réciproquement.

Les deux sont importants et potentialisent les effets de l’autre.

Une fois de plus l’équilibre doit faire loi.

Deux ou trois séances de cardio par semaine et deux ou trois séances de musculation peuvent être dans de nombreux cas un excellent compromis.

L’une et l’autre pouvant se succéder lors du même entraînement.

Est-ce que je peux réellement encore progresser ?

Oui absolument !

Néanmoins plusieurs questions doivent être posées:

Quel est ton historique ?

Quel niveau as-tu atteint précédemment ?

Avais-tu un niveau d’excellence ?

Tu as peu ou jamais pratiqué ?

Ou peut-être as-tu eu une pratique constante ?

Dans quel état physique es-tu ?

Quelle est ta motivation ?

Es-tu enseignable ?

Toutes ces questions conditionnent évidemment votre capacité de progression.

Je pense que tout est possible et ce que je vis au quotidien me le prouve depuis de nombreuses années.

L’évolution est étroitement liée à l’implication, toujours cet extraordinaire pouvoir de l’esprit.

Est-ce que je peux retrouver réellement un corps ferme et tonique ?

Cette question rejoint directement la précédente.

Oui évidemment !

La série de questions faisant suite à la question précédente trouve ici également tout leurs sens.

J’ai encadré tellement de pratiquants ayant des histoires différentes, ne partant pas avec les mêmes dispositions ou prédispositions et qui arrivaient finalement à obtenir de formidables résultats.

Ils devenaient la plupart du temps une meilleure version d’eux mêmes et c’est bien là l’essentiel.

Certains à 50 ans obtenaient une tonicité musculaire qu’ils n’avaient même jamais eu à 20 ans.

On ne peut pas dire qu’il y ait des profils adéquats qui progresseront à coup sûr, tout est possible et chacun à la capacité de réussir un jour ce qu’il n’a parfois jamais pu réaliser auparavant.

Les circonstances, l’époque, les rencontres, les lectures, l’éveil de la conscience… sont parfois d’excellents détonateurs qui nous font changer du tout au tout.

C’est précisément mon vœux le plus cher, taquiner votre conscience avec l’espoir que vous preniez le pouvoir sur vous-même.

Ce pouvoir qui vous permet de devenir un magicien capable d’avoir, d’être et de faire tout ce que vos désirs ordonnent.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Le stress fabrique ton histoire

Qu’est-ce que c’est qu’une certitude ?

C’est quelque chose dont vous êtes sûr.

Vous l’avez éprouvé maintes et maintes fois, c’est confirmé, c’est acté, c’est une loi !

Voilà ce qu’est une certitude.

Cela fait partie de mon expérience et à chaque fois, cela s’est avéré vrai.

Je suis certain que nous sommes responsables de tout ce qui nous arrive.

Véritablement tout ce qui nous arrive, les bonnes ou les mauvaises choses.

Nous créons notre environnement, notre monde, notre histoire.

D’abord d’une façon physique et je pense que de ce point de vue, tout le monde en convient.

En effet, vous choisissez de faire du sport ou de ne pas en faire, d’avoir une alimentation de qualité ou pas, de vous droguer ou pas, de fumer ou pas, de « picoler » ou pas, de vous doper ou pas etc. etc. etc.

Vous choisissez de vous exposer aux polluants ou pas, vous choisissez de fréquenter des gens toxiques ou pas.

Vous choisissez de faire de la musique, de la peinture, de la couture, de la poterie… Ou pas.

Avez-vous compris le principe ?

Je ne suis pas entrain de juger ou de dire c’est bien ou mal, je dis simplement que vous avez le choix.

Certains diront:

« On ne fait pas toujours ce qu’on veut, on n’a pas toujours le choix. »

Je pense que l’on se retranche toujours derrière des excuses, des prétextes, un contexte, un environnement.

De mon point de vue, nous avons le choix !

Même professionnellement, vous avez aussi le choix.

« Alors là, non, c’est faux ! »

« J’ai fait ce que j’ai trouvé.

C’était alimentaire, il fallait que je nourrisse ma famille. »

Mais que voulais-tu faire exactement ?

Est-ce que tu t’es au moins donné les moyens ?

Avais-tu une vraie passion pour un métier ?

Ou peut-être un art ou un sport qui serait devenu par la suite un métier ?

Est-ce que le désir pour ce job était clairement établi dans ton esprit ?

As-tu mis toute ton énergie pour que ce métier devienne ta passion et finalement ton moyen de subsistance ?

Ne pas se battre, ne pas cultiver ses désirs est toujours plus simple et demande si peu d’énergie.

Être victime des circonstances est finalement une position confortable, infiniment plus confortable que de se battre pour ses idées.

Ce n’est pas une critique que je formule, c’est simplement une constatation.

Certainement plus de 90 % des humains subissent leur vie.

Ils quittent ce monde sans avoir réalisés leurs désirs et en ayant vécu passivement une vie qui ne leur convenait pas.

Voilà pour les aspects physiques, les décisions que vous prenez ou que vous ne prenez pas directement, pour lesquelles vous pouvez décider, là, maintenant.

En ce qui concerne les aspects « métaphysiques », l’esprit, l’état vibratoire, les ressentis … c’est encore plus fort !

C’est encore plus influençant !

L’état dans lequel vous vous trouvez:« je me sens bien ou je me sens mal », cet état que l’on mesure par « l’échelle de guidance », le baromètre pourvus de 22 niveaux qui vont de la béatitude à la dépression et jusqu’au suicide, impacte directement le chemin que prend votre vie.

L’incidence sur les événements que vous vivrez est inévitable.

Vous fabriquez clairement votre futur.

« Le monde tel que nous l’avons créé est un processus de notre pensée. Il ne peut pas être changé sans changer notre raisonnement. »
-Albert Einstein-

On prête également cette courte phrase à Einstein :

« les pensées sont des choses »

Tout n’est qu’énergie, puisque toute chose est constituée d’atomes vibrants à différentes fréquences.

Les objets, la matière vivante, les minéraux etc. tout vibre.

Chaque chose n’est que vibrations, énergie, ondes… rien n’est solide.

La table sur laquelle vous déjeunez est, en fait, un assemblage d’atomes, un bloc d’énergie.

Rien de plus ni de moins que peuvent l’être les ondes radio émises par de puissantes antennes et reçues par vos récepteurs, téléphones, télés, radios …

Le principe est en tout point le même.

Nous ne faisons pas exception à la règle, les êtres humains émettent et reçoivent.

Ainsi, votre état vibratoire émet de la colère vous recevez la colère, il émet la jalousie, vous recevez la jalousie, il émet la peur, vous recevez la peur.

Ce n’est véritablement qu’une question de fréquence.

« Qui sème le vent récolte la tempête », c’est comme vous voulez, vous décidez.

Depuis que j’ai compris le principe, la « loi d’attraction », je n’ai pu compter les innombrables exemples qui ont renforcés cette foi.

Il y a de cela quelques années, ma compagne, avant qu’elle ne le devienne, vivait une situation personnelle très difficile.

Elle subissait un divorce très douloureux, parce que maltraitée par des années de dictât d’un PNM (Pervers Narcissique Manipulateur) et de plus, naturellement, elle en était dépendante financièrement.

Elle était tombée malade, gravement malade.

La souffrance accumulée avez fait son œuvre et avait scrupuleusement, patiemment cultivée le cancer.

C’est toujours comme cela que ça fonctionne.

Les gens heureux ne tombent pas malade.

J’aime me rappeler cette phrase de Voltaire :

« J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé »

Noyée dans ce marasme, elle avait décroché un entretien d’embauche chez une des entreprises les plus importantes de la région.

Ce possible emploi était enfin le moyen de prendre son envol, son autonomie, s’extraire définitivement des griffes du bourreau.

On peut alors s’imaginer la pression d’un tel entretien.

Elle décida donc de partir courir, pour évacuer toute cette tension en empruntant le chemin escarpé des douaniers entre Monaco et Menton.

Pour toutes celles et ceux qui connaissent l’endroit, ce chemin surplombe, par endroits, la mer de plusieurs dizaines de mètres.

Sur le chemin du retour alors que le temps la pressait, elle perdit la clé de sa maison et celle-ci tomba 20 à 30 m plus bas dans les rochers battus par la mer.

Comment était-ce possible ?

L’anxiété, le stress était déjà à son comble.

« Pourquoi la vie me joue-t-elle ce tour ?

Qu’ai-je donc fait pour subir encore et encore ?

N’ai-je pas suffisamment donné, suffisamment souffert pour devoir encore et encore supporter l’insupportable ?

« Cet entretien était mon « Graal », je ne vais pas pouvoir rentrer chez moi, toutes mes clés sont à l’intérieur, tout se complique, je ne pourrais pas honorer mon rendez-vous… »

Voici une situation caractéristique où l’état de stress tellement puissant engendre, selon la loi, encore plus de stress.

Ne pensez pas un instant que c’est la faute à la malchance ou au hasard malheureux qui s’abat sur vous.

Finalement, elle pu se rendre à son entretien et fût embauchée…mais ceci est une autre histoire.

Vous avez compris que, comme pour chaque chose, il y a sa réciproque, le ying et le yang, l’antagoniste, l’équilibre.

J’ai vécu de nombreuses situations où je me mettais dans un état de paix malgré les circonstances qui pouvaient sembler fâcheuses.

Tout semblait dire que l’issue serait défavorable sauf ma guidance, mon état vibratoire qui m’informait que les événements allaient s’arranger comme par magie.

Pour anecdote, nous étions invités à un repas sur les îles de Lerins face à Cannes, le dernier bateau embarquait à midi.

À cette heure précise, nous étions encore à 4 ou 5 km de l’embarcadère engoncés au milieu d’un bouchon.

Mes amis, qui pour certains étaient déjà sur l’île, me disaient formellement qu’il n’y avait plus de bateau donc plus de solution pour les rejoindre à déjeuner.

Malgré cet état de fait, je savais que je les rejoindrais sans aucun doute.

Je ne savais pas comment, mais j’augurais que les circonstances me seraient favorables.

Lorsque nous sommes arrivés 45 minutes après le dernier bateau, le personnel à l’embarquement nous dit:

« Exceptionnellement et c’est réellement la première fois, nous avons affrété un dernier bateau pour 13h, vous avez vraiment de la chance ! »

Je n’en étais finalement pas si surpris… et pour moi ce n’était pas qu’une question de chance.

Avais-je provoqué cette situation ?

Avais-je aidé la chance ?

Pour conclure, vous êtes pleinement responsables de tout ce qui vous arrive.

Vous devez garder à l’esprit que votre fréquence aura une incidence réelle sur ce qui vous touche directement et sur votre environnement.

Il est devenu commun de parler de l’environnement toxique.

Je ne vois pas un article sur le développement personnel qui ne parle pas de cet entourage qui vous empoisonne.

Attention ! Vous êtes vous aussi probablement l’entourage toxique.

Rappelez-vous que, même si les événements extérieurs sont troublants, qu’ils vous perturbent au point que vous participiez encore davantage et avec vigueur à cette spirale descendante qui vous tire vers le bas, vous devez y mettre un stop.

Le stop s’est arrêter la « poulie folle », c’est revenir à la conscience pure, à la paix.

C’est pratiquer le pivotement, arrêter l’emballement de cette voix intérieure qui vous harcèle, pour revenir vers une pensée noble et positive.

Par la force de votre foi, qu’elle soit en Dieu, en votre propre divinité, en l’énergie cosmique, en la physique quantique ou en je ne sais quoi…

Réamorcez un esprit de haute fréquence qui n’apporte qu’un dénouement heureux:

1) Nourrissez votre esprit de lectures enrichissantes.

2) Fréquentez des personnes agréables.

3) Consommez une alimentation saine.

4) Pratiquez une activité sportive plaisante.

5) Ne vous droguez pas.

6) Ne buvez pas d’alcool.

7) Ne fumez pas.

8) Evitez de vous intoxiquer d’infos indigérables et d’émissions débilisantes.

9) Soyez présent et dans l’attention (la vraie méditation).

10) Critiquer, juger, comparer, bannissez-les définitivement de votre esprit.

11) Aimez-vous, vous aimerez le monde.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Comment conserver sa masse musculaire en vieillissant ?

Quand on parle « masse musculaire », on a tendance à penser culturistes, body-building, hypertrophie…

Et bien sûr, nous viennent à l’esprit ces physiques extravagants, parfaitement critiquables parce qu’extraordinaires dans le sens hors du commun.

Ces corps soumis à la vindicte populi, comme tout ce qui est trop grand, trop petit, trop gros, trop maigre…

Trop musclés…Plus souvent raillés qu’honorés.

Ainsi, « masse musculaire » déclenche les images de ces « Monstres» démesurés.

Ces mutants hors normes sont accompagnés par leurs cortèges de mythes et légendes mais parfois aussi par de véritables histoires où s’entremêlent le dopage à la sauce «gonflette », la virilité déclinante, l’environnement brutal, excessif et surfait, sans parler de l’étroitesse des idées qui ferait parfois passer un baudet pour un prix Nobel.

Bien heureusement cette caricature ne concerne qu’une partie de cette famille, dont je fais partie.

C’est avec une forme de tendresse et de complaisance que je me permets la critique.

Ainsi, je ne parle évidemment pas de cette « masse musculaire » là, n’ayez crainte, vous ne l’aurez jamais…

… mais bien de celle qui maintient votre structure en place, qui vous donne une bonne posture, une bonne tonicité et qui vous permet de vivre dans de bonnes conditions.

Si nous n’y prenons garde, insidieusement, nous sommes frappés, aidés par les années qui s’accumulent, du sceau de la dégénérescence, de la Sarcopénie* dont je parle fréquemment dans mes articles.

* Dégénérescence tissulaire liée à l’âge

Conserver sa masse musculaire et pourquoi pas l’améliorer est quasi vital.

Je dis quasi vital parce que, même de la perdre au point de devenir impotent ne vous empêchera pas de vivre: tellement de gens survivent à coups « d’assistance ».

Vous resterez en vie assurément mais peut-être pas en étant vivant.

L’espérance de vie a augmenté mais à quelles conditions…

Je vous propose donc un ensemble de solutions pour conserver votre masse musculaire, votre masse noble, votre « vivant ».

1) Évitez de rentrer dans ce système pervers

Il consiste à faire de vous des humains programmés qui tomberont irrémédiablement dans la dégénérescence.

Même si l’altération cellulaire n’était pas votre intention, même si vous êtes un irréductible, un incorruptible, vous finirez par être tellement conditionné que vous sombrerez au plus vite dans la déchéance tissulaire.

Tous vous le martèlent quotidiennement et inlassablement: le système médical, votre entourage, les médias, la littérature…

Même vos voisins déjà malades, perclus de rhumatismes, gangrenés par l’ostéoporose sont sordidement soucieux que vous partagiez avec eux le lourd fardeau de leur vieillesse trop souvent prématurée.

Vous vieillissez, c’est ainsi.

Cela fait partie du cycle de la vie mais de grâce, n’accélérez pas le processus, l’esprit à un tel pouvoir.

2) Cultivez votre masse musculaire à la mode cinquantenaire

Je ne cesse de le dire et de l’écrire sous toutes les formes, faites de la culture physique.

C’est le moyen le plus sûr, le plus précis, le plus efficace pour conserver et améliorer votre potentiel musculaire.

Toutes deux ont environs 80 ans

La musculation est l’application directe de la physiologie du mouvement, que l’on appelle aussi la kinésiologie ou cinésiologie, la discipline qui étudie également les postures biomécaniques, articulaires et musculaires.

Alors pourquoi faire autre chose que de la culture physique ?

Lorsque l’on rentre dans l’âge, c’est réellement l’outil idéal je vous l’affirme.

La musculation est adaptable à nos contraintes articulaires, aux outrages du temps et aux traumatismes que l’on a accumulés.

De plus, la culture physique peut être pratiquée chez soi, en extérieur, avec très peu de matériel et même sans matériel du tout, au poids de corps ou dans une salle équipée.

J’ai créé avec mon équipe des programmes spécifiques, spécialement conçus pour les Masters et qui répondent, en tous points, à nos doléances et contraintes.


Mais dans tous les cas, j’insiste sur le fait que la culture physique doit être pratiquée dans les règles de l’art, en respectant principalement le mouvement, le positionnement de votre corps, l’amplitude, en évitant l’inertie et dans le contrôle absolu des charges lorsqu’elles sont utilisées ou lorsque vous utilisez votre poids du corps.

Je vous engage à télécharger, en cliquant ci-dessous, mon e-book où je détaille, point par point, les paramètres d’intensité pour une bonne pratique lorsqu’on est un Master ou tout simplement un pratiquant.

« Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans »

Pratiquer la musculation comme un cinquantenaire, veut dire se servir avant tout de son esprit, s’exercer avec efficience et implication, cesser de s’entrainer avec nonchalance.

Lorsque une activité consiste à faire un maximum de mouvements dans un minimum de temps, avec un maximum de poids, vous comprendrez bien qu’il n’y a plus la place au contrôle ni de surcroîts à la conscientisation.

3) Travaillez votre système cardio-vasculaire

A fortiori dans un but d’améliorer uniquement votre système cardio-vasculaire mais également pour augmenter vos capacités physiques et ainsi exploiter plus efficacement la pratique de la culture physique.

D’autres part, avoir une activité cardio régulière participe grandement au contrôle du poids.

Je vous renvoie, en cliquant ci-dessous, à un article que j’ai écrit à ce sujet où j’expliquais pourquoi il était préférable d’opter pour des entraînements à haute intensité.

LE CARDIO TRAINING POUR LA SUPER SECHE

Les HIIT vous permettent de gagner du temps, puisque les entraînements sont courts, d’épargner votre structure et sont, de plus, d’une grande efficacité.

4 ) Ayez une alimentation riche en protéines

La protéine est le nutriment bâtisseur, c’est lui qui construit et régénère la masse musculaire.

Le terme protéine vient du grec ancien prôtos qui signifie premier, essentiel.

C’est le matériau de construction par excellence, le collagène dans la peau, la kératine dans les cheveux.

Les enzymes et certains anticorps sont également des protéines.

Ne pas manger de protéines participe grandement à la fonte musculaire.

L’ alimentation « moderne », je sous-entends cette alimentation néfaste qui nous fait grossir et nous rend malade, nous dirige essentiellement vers le sucre et les graisses au détriment du seul nutriment essentiel.

Je vous engage aussi, en cliquant ci-dessous, à lire cet article que j’ai écrit récemment où je dresse les contours du nutriment « Protéine ».

5) Faire preuve de sagesse et de rigueur

Nous devrions avoir atteint la sagesse et comprendre ainsi l’utilité de mettre en application ces quelques règles et le faire avec le soin et l’application qu’elles le demandent.

Aidé par l’âge, nous devrions faire preuve d’un peu plus de paix, de réflexion et avoir lissé notre ego.

Nous sommes devenus des Masters, des Maîtres… on peut comprendre ainsi que nous ayons atteint un certain niveau de Maîtrise sur notre existence.

Nous sommes donc censés prendre des décisions passées par le filtre de notre expertise et de nos expériences.

Des décisions mûrement réfléchies, de bonnes décisions.

Alors, je ne saurais donc trop vous recommander vivement de cultiver, dès à présent votre corps, non pas pour vivre plus longtemps – je ne pourrais évidemment pas vous le garantir- mais certainement pour vivre dans de meilleures conditions.

N’aimeriez-vous pas monter une volée d’escalier avec facilité ?

N’aimeriez- vous pas devenir plus fort, plus endurant ?

C’est toujours possible, il n’est jamais trop tard.

Ça je vous le certifie !

Foi d’un Master qui parle aux Masters, à tous ces êtres, femmes et hommes de bon sens, et qui met en application ce qu’il dit.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

À quel âge on est vieux ?

C’est une question récurrente que nous avons tendance à nous poser particulièrement au-delà de la quarantaine.

Alors, à quel âge sommes-nous vieux?

Ou la vieillesse commencerait-elle à partir de cet âge là ?

Est-ce qu’il y a réellement un âge à partir duquel nous sommes vieux ?

Ce sont de véritables questions existentielles.

Je vois de plus en plus de jeunes femmes entre 20 et 25 ans déployer une quantité de filtres virtuels pour masquer d’imperceptibles ridules.

Même dans la vraie vie, de plus en plus de jeunes gens ont recours à la médecine esthétique « anti-aging » et même à la chirurgie.

Se sentiraient-ils vieux ou vieilles ?


… À 25 ans ?

Oui probablement, lorsque j’en discute avec eux, c’est effectivement le sentiment qu’il s’en dégage.

Mais alors, quel âge auront-ils à 40 ans dans leur esprit ?

Comment se percevront-ils ?

C’est terrifiant !

Dans l’absolu, nous sommes toujours le vieux ou la vieille de quelqu’un n’est-ce pas !

C’est d’une relativité implacable.

Mais quels seraient donc les signes qui détermineraient que nous avons basculé dans la vieillesse ?

Il faut avoir conscience que nous avons été propulsés dans une époque où le jeunisme fait loi.

Nous sommes totalement conditionnés par l’image.

Nous voyons éclore dangereusement, de mon point de vue, une forme de beauté intemporelle formatée.

Je dis bien « une forme de beauté », elle aussi toute relative.

Les visages finissent par se ressembler, les nez affinés, rehaussés, diminués.

Les bouches sont regonflées, les sourcils retravaillés, les pommettes rehaussées et saillantes.

Les visages sont lisses, incroyablement lisses et parfois même exempts d’expressions.

La liste des modifications du visage est longue et je n’imaginais même pas d’ailleurs que cela puisse exister avant d’en avoir discuté avec des femmes adeptes de ces pratiques.

Je ne juge pas, je constate simplement la popularité grandissante de ce « formatage ».

Je vis dans un endroit où il y a un regroupement important, une concentration, une transhumance parmi les plus importante de femmes possédant des visages quasi identiques.

Des êtres venus d’une autre planète ne trahissant aucune expression, aucune émotion.

Des êtres « masqués ».

Elles combattent activement les stigmates de l’âge, essentiellement sur leur visage, en faisant fi de leur posture parfois accablée par le poids des années et de leur état d’esprit, certainement tout aussi éprouvé.

L’âge est-il uniquement lié à la façade …

…à l’instar d’une maison dans un état de délabrement avancé pour laquelle on aurait refait une petite peinture extérieure ?

« Regardez comme elle est belle ma maison, elle tient debout grâce au coup de blanc ».

Albert Einstein, grâce à sa théorie sur la relativité, nous explique clairement que le temps n’existe pas, c’est une pure création de l’homme.

Cela voudrait dire clairement que ce n’est qu’une question d’approche sur la question.

Si vous considérez que le vieillissement ne serait lié qu’à l’affaissement cutanée, alors, vous deviendrez vieux très rapidement !

Vos fonctionnalités organiques et votre esprit vieilliront au diapason.

C’est une programmation d’une grande puissance, une certitude contre laquelle vous ne pourrez rien.

Vous n’y pourrez rien tant que votre esprit restera programmé sur cette fréquence.

Certains considèrent qu’ils ont pris du poids parce qu’ils ont 40 ans et que c’est normal, c’est dans l’ordre des choses.

C’est un état logique contre lequel on ne peut pas grand-chose, une fatalité en quelque sorte.

Serait-ce l’âge qui vous fait prendre des kilos et non pas ce que vous mangez ?

Vous devriez essayer de réduire votre alimentation: vous verrez, vous retrouverez progressivement le poids que vous faisiez il y a 10 ou 15 ans en arrière.

L’âge n’y est vraiment pour rien, comprenez-vous ?

D’autres estiment qu’ils courent moins vite qu’à 14 ans à l’époque où ils étaient de formidables sportifs et d’hypothétiques athlètes de haut niveau comme je l’ai souvent entendu dire.

« Quand j’étais jeune, j’étais un grand sportif! »

Ils sont d’ailleurs les seuls à s’en souvenir…

Encore une application de la relativité ou de la mémoire défaillante ou peut-être de la vantardise…

Cette chute des performances ne serait-t-elle pas dû uniquement au fait qu’ils ne font plus de sport et depuis si longtemps ?

La vieillesse a bon dos.

C’est une façon évidente de se retrancher derrière les années, l’excuse est magistrale.

Pour conclure, je pense qu’il n’y a pas d’âge à partir duquel nous puissions dire que nous sommes vieux.

C’est vraiment un état d’esprit et la façon que nous avons de considérer notre existence.

C’est nous qui déterminons le moment où nous basculons dans la vieillesse.

Vous êtes étouffés par votre poids, que vous cultivez méthodiquement et accablés par les douleurs physiques qui y sont associées.

Vous êtes submergés par les maux de l’âme que vous entretenez, que vous laissez macérer avec complaisance au cœur de votre esprit de souffrance.

Ne pas entretenir son corps et laisser la place au mal-être sont les 2 facteurs essentiels qui vous font basculer prématurément en gériatrie.

Aimez-vous dans toute votre globalité, physiquement et psychologiquement; le temps s’arrêtera ainsi et vous ne vieillirez probablement jamais.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Finalement, c’est quoi la meilleure alimentation ?

Au-delà de l’alimentation elle-même, s’érigent des dogmes, des philosophies, des religions.

Là où il y a séparation, il y a confrontation et parfois même de véritables batailles prennent racine.

Pays, communautés, groupes, partis politiques, courants de pensées, religions, je le répète, nourrissent la division.

Autant de clivages, autant de discordes.

L’alimentation et ses courants alternatifs sont devenus passionnels avec en point d’orgue des enjeux économiques monstrueux.

La guerre est déclarée !

Chacun brandit son étendard alimentaire comme étant le seul, l’unique… Le parfait.

Chacun s’appuyant sur des études imparables, des vidéos qui expliquent tout, à charge pour les autres façons de s’alimenter bien évidemment.

« La meilleure alimentation c’est la mienne, c’est certain !

La preuve c’est que tous les gens qui se sont engagés dans cette alimentation ont vu leur santé s’améliorer, leurs performances augmentées… »

Ils sont même devenus plus beaux et plus intelligents.

Dans chaque être convaincu, il y a l’âme d’un convaincant.

Il se développe une quantité d’arguments tous plus prosélytiques les uns que les autres.

Nous devenons les représentants de commerce du Vegan, du régime Keto, du régime Paléo, de l’alimentation crue, vivante, biologique etc. etc.

Je ne fais certainement pas exception à la règle.

J’ai été, durant une grande partie de mon existence, engagé moralement pour telle ou telle cause et parfois avec la verve dithyrambique d’un pasteur Œcuménique.

Ce genre d’individu qui défend bec et ongles de grandes théories.

Ce ne sont finalement que de piètres combats, des combats de quartier, de petites chapelles sans clocher, parfois même des engagements du niveau de discussions de « comptoir » qui ne font pas avancer l’humanité…

C’est précisément ce que je pensais de moi et ce que je pense toujours des prêcheurs de troisième division.

Je crois avoir rectifié le tir et posséder aujourd’hui une approche holistique, moins fragmentée, moins divisante.

Auparavant, lorsqu’on avait des choses à dire, l’écoute était restreinte, elle se cantonnait à son cercle, à sa petite cour.

Aujourd’hui, chacun possède la tribune qu’Internet veut bien lui accorder.

La toile se nourrit ainsi d’une quantité indigeste de philosophes en carton.

YouTube n’existerait quasiment pas sans ces grands théoriciens.

Nous avons évidemment tous le droit d’avoir des idées et de les partager, c’est certainement d’une grande richesse…

…peut-être pas toujours.

En fait, je ne pense pas qu’il y ait une grande richesse intellectuelle, spirituelle et finalement physique à imposer sa vérité comme étant la seule et l’unique.

Il est d’une importance capitale de voir les choses dans leur ensemble et de son propre prisme, en utilisant encore ce merveilleux libre arbitre qui est probablement notre meilleur ami et que nous devons chérir et cultiver.

Ainsi, les outils les plus utiles que nous ayons à notre disposition sont : l’auto-observation, apprendre de ses erreurs, être honnête envers soi-même et le développement de sa curiosité afin de mieux comprendre ce que l’on mange réellement.

Au lieu de chercher encore un nouveau régime, un aliment ou un nouveau complément alimentaire miraculeux, pourquoi ne pas choisir de regarder son corps comme étant un vaisseau merveilleux et d’en prendre soin.

Les Grecs disaient que chaque symptôme était en réalité une visite des dieux.

Toi tu vois la maladie alors qu’en réalité c’est la cure.

Toi tu vois un problème alors que c’est en fait la solution.

En cherchant à comprendre les symptômes on trouve la solution…

Dans cette recherche introspective en association avec votre alimentation, voici une question fondamentale qu’on peut se poser:

Qui êtes-vous lorsque vous vous mettez à table ?

Êtes-vous le petit garçon ou la petite fille, le rebelle, la victime, le juge, le loup, le perfectionniste, celui à la recherche de plaisir, L’ado…?

Cela déterminera certainement ce que vous devriez manger et combien vous devriez en manger.

Et d’autre part, qui êtes vous ?

Vous êtes nés en Afrique de l’ouest, vous êtes Inuit, asiatique, suédois…

Votre culture culinaire ancestrale compte beaucoup également.

Ces vieilles habitudes ancrées, ce patrimoine viscéral inscrit depuis des générations dans votre chair et dans votre esprit.

Il y a également ces micro nutriments essentiels que l’on oublie trop souvent lorsque l’on s’alimente:

Vitamine T : Temps

Prenez-vous le temps de manger, de savourer pleinement ?

Vitamine A : Amour

Un plat préparé avec amour n’a pas la même saveur qu’un plat fait ou acheté à la va-vite.

Vitamine P : Plaisir

Il est primordial que vous éprouviez de la satisfaction lorsque vous mangez et que vous ressentiez du plaisir.

Être repus ou atteindre la satiété n’est pas suffisant.

Le plaisir est réellement un ingrédient essentiel.

Mangez quelque chose d’insipide ou qui ne vous procure aucun plaisir et vous verrez que vous allez rapidement vous lever pour aller chercher un aliment qui vous procurera satisfaction.

Vitamine J : joie

Il faut à tout prix éviter le stress, la colère et l’anxiété lorsque vous mangez.

Privilégiez la joie, la bonne humeur ou du moins la paix.

Mangez en étant heureux et vous verrez que votre digestion n’en sera que plus aisée.

Et surtout, bannir la colère et l’anxiété au cours des repas.

Pour conclure, évidemment il est souhaitable d’éviter l’alimentation industrielle qui ne vous veut pas du bien.

Il est préférable de consommer des aliments que vous connaissez.

Je m’explique sur ce point, vous avez peut-être la possibilité de cultiver vous-même dans l’amour de la pratique ou de connaître des producteurs et des éleveurs éthiques.

Dans ces conditions, vous conscientiserez forcément avec beaucoup plus de profondeur et de plaisir ces aliments que vous savez de qualité.

Dirigez-vous vers une alimentation qui vous veut vraiment du bien et que vous respectez.

Finalement, le plus important c’est que vous soyez en conformité avec ce que vous mangez, que vous vous sentiez bien et que cette alimentation que vous avez choisie vous fasse vibrer.

Il y a de multiples signes évidents que l’on refuse d’écouter et qui trahissent que vous n’êtes pas alignés ou en accord avec vos repas.

La surcharge pondérale, les difficultés à digérer, trop de maigreur, la culpabilité d’avoir trop ou mal mangé, l’addiction, la compulsion etc. etc.

Se sentir mal est une raison grandement suffisante pour changer les choses et ne pas persister dans la mauvaise direction.

Prenons soin de nous, faisons nous du bien.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Qu’est-ce que l’on pense de vous ?

«  Je ne suis ni mes pensées, ni mes émotions, ni mes perceptions sensorielles, ni mes expériences. Je ne suis pas le contenu de ma vie. Je suis la Vie. Je suis l’espace dans lequel tout se produit. Je suis la conscience. Je suis le Présent. Je Suis. »

ECKHART TOLLE

La perception est relative, nous avons tous des points de vue différents.

Nous ne voyons pas les même choses.

Les mêmes faits sont perçus de 1000 façons différentes.

Nous voyons le même film ou nous lisons le même bouquin et le résumé que chacun en fait est parfois totalement opposé.

Les interprétations que nous faisons des événements, de nos rencontres, de nos relations professionnelles ou personnelles, sont évidemment liées à notre patrimoine.

Ce patrimoine, que l’on peut résumer d’une part, par notre propre expérience, ce que nous avons acquis et d’autre part, ce qui est inné, ce que nous recevons à notre naissance, probablement hérité de nos vies passées.

Nos chemins de vie sont tellement différents que nous ne pouvons pas nécessairement avoir la même vision des événements.

Ce que nous pensons de nous-même, notre propre estime, est tronquée de la même façon.

Nous sommes soumis aux mêmes défaillances, aux mêmes incertitudes suivant le moment, suivant nos ressentis, nos déboires ou nos joies.

La perception est tout aussi aléatoire pour nous même.

Comprenez bien que notre propre point de vue sur nous même est inconstant, suivant notre état physique et psychologique.

Notre discernement pour la même chose dans la même journée n’aura pas la même teneur.

Nous pourrions affirmer qu’étant donné la multiplicité des points de vue, il ne peut y avoir de véracité, vraie (de véritable vérité/une seule vérité)

Chacun possède donc sa ou ses propres vérités et elles sont rarement les mêmes.

Le jugement, l’infâme jugement, cette déviance ancrée de la pensée, cet affreux outil de l’esprit est donc soumis à la même loi où l’irrationalité fait acte.

Ainsi, ne craignez donc pas d’être jugé.

Le jugement n’existe pas, pas plus que la vérité.

Afin d’illustrer mes propos, je vais vous raconter l’histoire de Catià.

Une histoire qui m’a été comptée récemment par la protagoniste elle-même.

Catià est une jeune femme charmante, pleine de bonnes intentions, une personne honnête, incapable de médisance.

Elle est ce genre de personne qui veut toujours faire plaisir et ne jamais décevoir.

Elle peut donc très facilement développer de la culpabilité.

Catià nous racontait avoir développé une amitié récente avec une jeune femme d’origine du Maghreb.

Elle était tellement heureuse de cette nouvelle relation riche d’une culture différente de la sienne, Catià étant portugaise.

Elle lui dit naïvement avec joie et candeur :

« Je suis tellement heureuse d’avoir une amie arabe »

De retour chez elle, son esprit commença à la harceler au sujet de la façon dont elle avait exprimé ses émotions à cette nouvelle amie.

 Avait-elle employé les mots justes?

Avait-elle été trahie par son manque de vocabulaire nuancé ?

Malgré un français excellent, aurait-il fallu employer d’autres mots, pour décrire parfaitement le sentiment qu’animait cette relation naissante ?

Était-ce vraiment « arabe » le mot qu’il aurait fallu employer à cette occasion ?

Pendant près d’une semaine, le temps qu’elle puisse revoir cette amie, Catià s’est torturée l’esprit en extrapolant..

Elle est passée par tout un tas de bas sentiments de souffrance, comme la culpabilité, la honte, le manque de considération pour elle-même…

Lorsqu’elle revit son amie, elle commença la conversation en s’excusant de la façon dont elle s’était exprimée et lui dit à quel point elle était désolée d’avoir parlé de la sorte.

Mais elle comprit rapidement que celle-ci, de toute évidence, ne comprenait pas un mot de son discours.

Elle n’avait sincèrement pas perçu la moindre offense.

Cette courte histoire est l’application directe que chaque situation est le terreau d’hypothèses sans véritable fondement.

Pour faire une passerelle avec la culture physique et surtout sa pratique intensive dans un but de compétition ou non, celle-ci ne fait pas exception à la règle du jugement aléatoire.

Qu’est-ce qu’on pense de nous, pratiquants « intégristes » ?

Notre discipline est particulièrement exposée, pas toujours bien comprise et l’image renvoyée est quelquefois assez peu flatteuse.

Le culturisme, lorsque qu’il est pratiqué comme un sacerdoce, quand il devient le point d’orgues d’une vie, quasiment la pierre angulaire de votre existence, est considérée par tous comme excessif, lobotomisant, ultra dogmatique, obtus et obscur.

Encore une question de point de vue, beaucoup pense que le culturisme est parfois même disqualifiant socialement et familialement allant même jusqu’à fragiliser l’intégrité morale et physique.

Ne vous méprenez pas, même votre propre famille, les êtres qui vous sont chers et pour qui vous comptez vraiment, acceptent bon gré mal gré et ne partagent pas forcément ce choix « d’enfermement » mono-activité.

Pas de reconnaissance sociale, très peu de possibilités de gagner sa vie et à contrario un puit sans fond pour vos finances.

C’est ce que l’on a pensé de moi, de ce que je faisais, de la direction que j’avais décidé d’emprunter.

On a même pensé à ma place, imaginant que ma vie ne me rendait pas heureux et que l’on savait ce qui serait bon pour moi bien plus que je ne pourrais le savoir moi-même.

Mais pourtant la culture physique c’est aussi un art de vivre, une philosophie qui ne peut être qu’encouragée à être pratiquée.

Elle m’a donné la santé, des forces vitales, un métier, une écoute, une forme de reconnaissance.

Cette discipline m’a donné le sens de la rigueur, du travail, une volonté d’apprendre, de recevoir des enseignements et de les transmettre à mon tour.

J’ai compris à quel point le lien entre le physique et l’esprit était d’une cohérence absolue.

J’estime que pour toutes ces raisons majeures, la culture physique est une bénédiction.

 Mais alors qui a raison et qui a tort ?

Ce que je dis, ce que je pense, ce que je fais, est-ce bien ou mal ?

En conclusion, je dirais qu’il faut avant tout vous écouter, et ne pas tenir compte des avis, des uns et des autres qui ne sont que leurs avis influencés par leur propre expérience.

Demandez-vous surtout si vous vous sentez bien avec ce que vous faites.

Mais également si vos intentions sont bonnes.

Vous accepterez ainsi plus facilement ce que l’on pense de vous et finalement, vous vous rendrez compte que ce n’est pas si important.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Les muscles récalcitrants qui ne progresseront jamais.

Ces muscles que nous pourrions appeler :

Les muscles récalcitrants.

Ce sont des muscles, une partie d’un muscle ou un groupe musculaire qui n’évoluent pas au diapason des autres.

Voyez-vous de quoi je parle ?

Nous avons des difficultés à les développer, à les définir ou à leur donner les qualités physiques que possèdent l’ensemble des autres muscles.

Une déficience de force par exemple.

À quoi cela peut-il être dû ?

Pourquoi ce muscle ou ce groupe musculaire est-il déficient ?

Pourquoi est-ce si difficile de l’amener au même niveau que les autres ?

Est-ce la faute de la génétique ?

Est-ce la faute du matériel que vous avez à disposition et qui, de votre point de vue, n’est pas suffisant ou pas convenable ?

Pourquoi vos cuisses ne décollent-elles pas par rapport à la partie supérieure de votre corps ?

Pourquoi vos mollets sont-ils si peu développés par rapport à vos cuisses ?

Vos bras sont totalement déséquilibrés, vos triceps sont hypertrophiés mais vos biceps manquent vraiment de format.

Et pourtant, vous les faites encore et encore, vous avez même augmenté le temps d’entraînement et multiplié les séances !

Vous avez écouté un expert du domaine qui vous a donné un programme spécifique…

Mais ça ne bouge toujours pas, ça fait des mois que vous êtes dessus mais rien n’y fait.

Vous avez tout essayé n’est-ce pas ?

Vous avez le bas des pectoraux très développés et le haut est déficient ce qui vous donne un aspect de « poitrine tombante ».

Esthétiquement, ce n’est pas terrible…

Lorsque l’on a cette conscience, ce regard objectif sur soi-même, que l’on s’aperçoit de certains déséquilibres, l’idée qui nous vient en premier lieu, c’est de redoubler d’efforts physiques, de faire plus, encore plus…

…Ou parfois même de ne plus rien faire et cesser irrémédiablement la pratique.

J’ai rencontré, et je rencontre toujours, de nombreux pratiquants de la course à pied qui, n’obtenant pas les résultats escomptés en terme de perte de graisse et de remodelage corporel, se jettent à corps perdu dans d’innombrables heures de running allant jusqu’à l’épuisement, bien avant les résultats.

Il n’est pas question présentement de marathoniens ou de spécialistes du trail, qui poursuivent un objectif de performance.

J’ai constaté cette déviance particulièrement chez certaines femmes ayant un type plutôt gynoïde et qui, pour se débarrasser de la surcharge graisseuse localisée, finissent par fragiliser leur structure, (tendons, ligaments, cartilages, os).

Elles finissent même par se décharner.

Elles vont jusqu’à courir sous de fortes chaleurs, dans des conditions donc très difficiles, imaginant ainsi accélérer le processus de « fonte des graisses ».

C’est leur intégrité physique, lourdement entamée, qui fond comme neige au soleil.

Il aurait peut-être fallu arrêter de courir, au sens propre et au sens figuré.

Arrêter de courir aussi après d’hypothétiques résultats.

Il aurait été certainement préférable de se poser, de s’interroger et de modifier les outils sensés façonner le corps.

Il serait temps de se servir des bons processus, vraiment temps d’utiliser les moyens appropriés.

Lorsque vous avez un pont métallique à poncer, vous ne le faites pas avec une lime à ongles.

Je vous demande de vous servir de votre esprit, de vos pensées, de ne pas hésiter à changer ce qui ne fonctionne pas.

C’est un des messages majeurs et récurrent que je transmets dans mes articles :

Servez-vous de votre libre arbitre.

Comment espérer avoir des résultats, que vous n’aviez pas jusqu’alors, sans changer la formule ?

Quand vous aurez compris que le ou les muscles sont récalcitrants parce que vous l’avez décidé pour une ou plusieurs raisons, peu importe, et qu’ils le sont uniquement parce que vous l’avez décidé…

Alors, vous en prendrez la responsabilité et les choses pourront enfin changer.

J’échange, lors de nombreuses conversations, physiquement ou par messages, avec des pratiquants de tous horizons.

Ce sont des sympathisants ou des passionnés par la culture physique et la préparation physique et quasi systématiquement, c’est la convention, l’institution, les faits, les dogmes qui prennent le pas sur la créativité et le désir.

Aucune prise de pouvoir !

Seulement une incroyable compétence à la résignation.

Les schémas d’impossibilité sont devenus tellement présents, tellement ancrés que vous n’envisagez même plus la possibilité de progresser.

Une espèce de fatalité contre laquelle on ne peut rien.

Je suis né ainsi et je mourrai ainsi.

Plus de 90% de la population, pour ne pas dire au-delà, ont ce système de pensée.

Ils n’imaginent pas un seul instant avoir le pouvoir sur leur propre vie et être capable d’être, d’avoir et de faire tout ce qu’ils désirent vraiment.

Les muscles récalcitrants n’échappent pas à cette loi.

Emettez un pur désir de progression sans intention contraire, avec une foi inébranlable et durable, accompagné d’une maîtrise parfaite des paramètres d’intensité et vous progresserez sans l’ombre d’un doute.

Votre génétique a réellement peu d’importance et votre morphotype, le matériel à disposition, ce que l’on a pu vous dire ou pas, n’ont aucun intérêt.

Il faudra néanmoins s’entrainer dur, très dur et repousser les limites de l’insupportable, explorer des contrées jusqu’alors même pas imaginées.

Le désir, la volonté soulèvent des montagnes, la motivation fait faire des choses irrationnelles, là est l’intérêt et toute la puissance de l’esprit.

Les grands visionnaires ont toujours été taxés de fous avant qu’ils ne deviennent des génies.

En conclusion :

Je le répète, ces muscles que vous n’arrivez pas à faire progresser n’ont pas un ou des facteurs localisés qui freineraient leur évolution, ça n’existe pas !

Seules des blessures qui auraient endommagé les tissus musculaires, les tendons, les articulations et autres ligaments et ramifications nerveuses auraient évidemment une incidence sur la performance.

Mais en dehors de ces pathologies chroniques ou subites, qui peuvent être réversibles dans certains cas, ou en dehors d’éventuels accidents, il n’y a aucune raison limitante pour que vous ne puissiez développer de façon équilibrée chaque groupe musculaire.

Et ceci est valable évidemment pour chaque faisceau d’un même muscle.

Par exemple, la partie claviculaire de vos pectoraux ou le deltoïde postérieur doivent se développer harmonieusement et sans aucun doute si vous leur apportez les soins nécessaires de bonnes pratiques et d’implication mentale.

Je ne dis pas que cela se fera avec facilité, je dis simplement que c’est tout à fait possible et que vous êtes le maître à bord.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Faites-vous opérer pour progresser musculairement.

C’est un titre curieux qui demande évidemment quelques explications.

Est-ce qu’il sous-entendrait que nous devrions nous faire opérer de tel ou tel organe ou de tel ou tel muscle pour finalement améliorer nos capacités physiques ?

Y aurait-il des opérations que nous devrions faire pour enfin évoluer musculairement ?

Le secret des champions serait-il enfin dévoilé ?

Serait-ce une glande qui secrèterait une hormone catabolisante ?

Ou alors secrèterait-elle des œstrogènes qui se mettraient en compétition avec la testostérone et qui, de fait, freinerait considérablement l’anabolisme tissulaire ?

Il suffirait d’enlever cette « mauvaise » glande comme on enlève les amygdales, les végétations ou l’appendicite.

Un professeur américain, biologiste / généticien, aurait-il enfin découvert le facteur qui nous empêcherait de devenir hypertrophié et ultra puissant ?

Je vais peut-être traiter dans cet article les toutes dernières opérations d’implantations de prothèses que certaines et certains affichent avec fierté.

Ils sont tellement persuadés qu’ils arborent le fruit d’un travail musculaire acharné.

C’est hallucinant à quel point on finit par se faire croire à soi-même une pure chimère comme étant la vérité vraie.

Comme certains s’injectent du « Synthol » ou d’autres substances inflammatoires directement au sein des masses musculaires créant ainsi d’horribles nécroses et de dangereux œdèmes.

Ils paradent alors exposants avec fierté leurs excroissances tumorales comme autant de bonnes masses musculaires obtenues par le fruit d’un travail rigoureux…

Comme le fruit d’une grande maîtrise et d’un amour immodéré pour la culture physique.

Rien ne va plus !

La conscience a pris du plomb dans l’aile, je pense même qu’elle est partie en congé… peut-être indéfiniment.

Je vais exprimer à présent le fond de ma pensée, ce qui a déclenché le désir d’écrire cet article.

À de nombreuses reprises ces dernières années, j’ai eu à encadrer des athlètes ou tout simplement des pratiquants en post opératoire.

Et parfois même quelques jours après leurs interventions.

Rupture des ligaments croisés, hernie inguinale, hernie discale lombaire principalement mais également dorsales et cervicales…

Ce fut à chaque fois le terreau d’une progression évidente.

Comment peut-on progresser alors que l’objectif est déjà et avant tout de retrouver ses capacités physiques ?

Celles que l’on avait avant la blessure.

Nous sommes alors dans l’obligation de réviser toute notre approche.

Les exercices devront être modifiés, adaptés idéalement à « l’handicap momentané ».

Ils devront, de plus, être en perpétuelle évolution.

L’adaptabilité constante est un facteur essentiel pour qu’évoluent les résultats de façon exponentielle sur la période courte et délicate du post traumatique.

Nous sommes alors dans la nécessité absolue d’engager un travail ultra analytique et à tous points de vue.

Les exercices utilisés d’une part, la façon dont on les exécute d’autre part et en troisième lieu, l’implication mentale.

C’est une période d’efficience par nécessité si on a bien sûr la volonté de recouvrer toutes ses aptitudes en un temps record.

J’ai eu récemment l’occasion de m’occuper d’un athlète opéré d’une hernie inguinale.

Pour mémoire, un petit rappel : on parle d’hernie inguinale lorsque les viscères traversent la paroi abdominale au niveau de l’aine et particulièrement au niveau du canal inguinal.

Il est donc bien question de protéger impérativement la région abdominale pendant l’exécution des exercices.

Là réside la difficulté.

La sangle abdominale et principalement les muscles transverses, ceux-la même qui participent activement à la stabilité et aux échanges entre le haut et le bas du corps, ne doivent plus être impliqués ou si peu.

Une stratégie doit donc être élaborée consistant à choisir des exercices adéquats, un positionnement particulier et des modes justes d’exécution au tempo.

Les exercices se doivent d’être exécutés à la perfection avec un contrôle permanent.

Le contrôle doit même débuter préalablement à l’exercice.

Ce qui implique que celui-ci doit être visualisé, conscientisé, comme le ferait un pilote de Formule 1 intégrant dans les moindres détails le tracé du circuit.

La notion d’impeccabilité qui m’est chère prend tout son sens dans cette situation.

L’athlète est dans la nécessité impérieuse de maîtriser à la perfection l’ensemble des paramètres d’intensité.

Je vous engage à télécharger gratuitement mon ebook qui détaille les paramètres d’intensité.

« Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans »

Ce travail d’orfèvre, où l’esprit est fondamentalement impliqué du début jusqu’à la fin du processus, accélère de façon synergique la «  rééducation » ainsi que le renforcement de la partie « endommagée ».

J’ai remarqué que systématiquement le pratiquant augmentait son niveau d’intensité et élevait son attention.

Les conséquences étaient que non seulement il retrouvait rapidement son niveau mais qu’il le dépassait dans les semaines qui suivaient.

Il passait invariablement un palier de progression.

En conclusion:

Les barrières que pourraient représenter les suites d’une intervention chirurgicale sont autant de clés de progression.

Elles sont des moyens pour enfin s’engager dans une approche véritablement conscientisée de la culture physique.

Vous l’avez compris, vous n’êtes évidemment pas obligé de vous faire opérer pour accéder à la bonne pratique.

Prenez simplement la décision de changer votre approche avant que ce ne soit la vie qui ne vous l’impose.

Avoir le choix est une richesse divine dont on en oubli trop souvent la jouissance.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

La conscience a du mal à s’éclairer

Qu’est-ce que c’est que la conscience ?

Voici quelques définitions du Larousse et confrères:

« Perception chez l’homme de sa propre existence et du monde qui l’entoure »

« Organisation de son psychisme qui, en lui permettant d’avoir connaissance de ses états, de ses actes et de leur valeur morale, lui permet de se sentir exister, d’être présent à lui-même;

connaissance qu’a l’homme de ses états, de ses actes et de leur valeur morale »

« C’est la capacité de se décrire, de se définir et de choisir.

 La conscience est la capacité de se percevoir, s’identifier, de penser et de se comporter de manière adaptée.

Elle est ce que l’on sent et ce que l’on sait de soi, d’autrui et du monde.

En ce sens, elle englobe l’appréhension subjective de nos expériences et la perception objective de la réalité.

Par elle, enfin, nous est donnée la capacité d’agir sur nous-même pour nous transformer. »

Ce serait donc une forme d’intelligence véritable qui nous permettrait de percevoir notre environnement.

Cette intelligence nous permettrait de l’analyser finement et instinctivement et ainsi prendre des décisions justes.

Les fameuses décisions en notre âme et conscience.

Une sorte de cadeau divin, un GPS psychologique censé nous diriger vers le bon chemin.

Ainsi à chaque moment de votre existence vous recevez des messages d’alerte envoyer par le biais de différentes fréquences, avec plus ou moins d’intensité.

Votre corps est un réceptacle truffé d’antennes, de ramifications nerveuses qui jouent le rôle de récepteurs.

24 heures sur 24 nous sommes bombardés d’informations relayées par le filtre de notre conscience.

Par le prisme de notre échelle de guidance, cette extraordinaire intelligence nous dicte avec précision les décisions les meilleures.

Celles que nous devrions prendre pour se sentir mieux, pour avoir une existence heureuse, pour notre santé, pour notre salut…

Notre guide intérieur, la merveilleuse échelle de guidance nous informe, nous fait ressentir si la direction que nous sommes prêts à prendre est bonne ou mauvaise.

Notre conscience est protectrice, bienveillante, elle est notre instinct de survie.

Mais alors, que s’est-il passé ?

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Pourquoi sommes-nous en train de nous éloigner de qui nous sommes vraiment ?

Par quelle magie noire les humains seraient-ils devenus incapables de se référer à leur conscience.

Quelles sont les idées, les substances, les conditionnements qui ont rongé petit à petit l’intelligence de l’esprit ?

Je pense que c’est un ensemble de facteurs aliénants qui ont fini par avoir raison de notre raison.

L’irresponsabilité, le manque de discernement, l’illogisme, la déficience croissante de l’acuité, la violence…

Nous voyons se produire de plus en plus de phénomènes qui défient l’entendement.

Nous nous encourageons nous-mêmes, et l’on nous encourage surtout à grand renfort de manipulation, à utiliser de façon outrancière tout ce qui pourrait détruire notre belle conscience.

Tout ce qui nous débilise et nous fait vibrer très bas est utilisé contre nous et avec notre consentement bien sûr.

La drogue détruit notre conscience et nous en consommons de plus en plus.

On va même jusqu’à la légaliser, on pourra en consommer encore plus, et en toute impunité morale, puisqu’on en a le droit.

C’est l’État protecteur qui nous l’autorise et qui nous engagera certainement à la surconsommation, comme pour tout le reste.

Comment peut-on être conscient de ce que l’on fait lorsque l’on se drogue ?

Comment pouvons-nous accepter l’autodestruction ?

De toute évidence, la conscience, la vraie conscience, celle qui nous a été offerte à notre naissance, n’est plus.

Il semblerait qu’à sa place ce soit substitué un ersatz, un semblant d’esprit, une pâle copie qui fait croire, qui donne le change par de beaux discours et de fausses images.

Point de foi à cette endroit, point de beauté ni d’amour tout juste de l’égo nourrit de stupéfiants.

Le système est perfide et le consommateur de ces substances tellement manipulable et pitoyable.

Il s’imagine être libre et transgressif, il n’est en réalité qu’un outil qui consomme un produit décadent, de plus distribué par ses maîtres.

« L’opium du peuple » censé détourner  l’Humanité du véritable sens de la vie, la liberté de penser et d’agir.


Les simples cigarettes participent-elles aussi à cette engorgement de la conscience ?

Elles empoisonnent le corps et l’esprit et remplissent insidieusement l’ensemble de vos cellules de substances et de métaux toxiques.

Sans parler de ce que cela coûte et de l’odeur pestilentielle …

Mais on continue pendant des décennies jusqu’à ressembler à un vieux bout de viande tannée à la voix rocailleuse, au teint blafard et aux dents d’une jolie couleur goudron.

Fumer tue ! Fumer donne le cancer !

Mais tout va bien, cette conscience censée nous prévenir qu’il y a danger ne donne plus signe d’existence, elle s’est  évaporée en fumée…

Même chose pour l’alcool là aussi nous sommes stimulés et nous nous  stimulons !

Peu importe l’état pitoyable dans lequel nous laisse les breuvages « spiritueux ».

Les maladies, la déchéance sociale, la mort…

Des dizaines de milliers de morts chaque année en France liés à la consommation directe d’alcool.

Sans compter toute cette misère et tous ces gens qui meurent sur la route parce qu’ils sont alcoolisés.

C’est d’ailleurs une des raisons qui m’a décidé à écrire cet article.

Il y a de cela une semaine, un jeune homme de 19 ans s’est tué lors d’un accident de voiture.

C’est presque un fait banal.

Cependant, il était l’ami cher de mon neveu qui se trouve aujourd’hui dans une grande détresse.

Une souffrance viscérale où se mêle au chagrin, probablement la culpabilité de ne pas l’avoir retenu avec plus de fermeté lorsqu’il a décidé de rentrer chez lui alcoolisé.

J’entends alors tout un tas d’incantations sur l’injustice de partir si tôt, le questionnement morale sur ce qu’il aurait fallu faire et ce que l’on n’a pas fait.

Se mêlent aussi à toutes ces vociférations, les croyances en tel ou tel dogme ou en tel ou tel Dieu, brandis comme la solution divine à ce drame ou peut-être tout simplement comme un exutoire à la souffrance.

Oui ça ne peut être que ça !

La réponse à une telle tragédie, évitable, là est le drame, ne peut être qu’une réponse folklorique en signe de dédramatisation :

« Nous nous reverrons au VALHALLA !»

Ne serait-il pas plus conscient de stopper l’alcool afin d’éviter que tout le monde ne se retrouve prématurément là où officient Thor et Odin.

Ou pourquoi pas, là où officie Saint-Pierre, pour d’autres croyances, avec son jugement dernier sous le bras à tout juste 20 ans.

Très curieusement, je n’ai pas l’impression qu’aucun de ceux qui ont été touchés par cette mort avant terme aient décidé de ne plus toucher une goutte d’alcool par amour pour le défunt et par amour pour eux-mêmes.

Tout simplement prendre une décision saine par un esprit sain.

La conscience serait-elle aussi tellement alcoolisée qu’elle serait incapable de comprendre.

Oui probablement, je n’en doute pas un instant, si ce n’est alcoolisée en tout cas dispersée aux quatre vents de l’incohérence.

Le conditionnement par les médias, le conditionnement institutionnel, la toxicité des médicaments, la sur bouffe et la mal bouffe, la manipulation au sein des relations personnelles etc. etc.

La liste des outils d’extermination de la conscience est longue et non exhaustive.

Rendez-vous compte à quel point vous n’êtes plus en mesure de vous servir de votre libre arbitre dicté par la vraie conscience.

Vous vous assassinez quotidiennement, vous permettez aux pires des poisons de faire leurs besognes destructrices.

Je ne suis moi-même pas exempt de déviances, j’ai en tous cas fait une partie du travail pour me libérer de mes chaînes.

J’ai encore du travail et j’en aurai jusqu’à la fin de mes existences.

Il n’y a donc rien de moralisateur dans mes propos.

Je constate simplement le désaccord abyssal entre ce qui nous a été donné à notre naissance et ce que nous en faisons.

Ce grand écart insoutenable de l’esprit déstabilise notre équilibre et nous projette vers des dimensions où nous nous perdons.

Je pense que c’est de là que réside toute cette souffrance, tous ces états dépressifs.

La conscience ne reçoit plus la lumière, elle se fane et dépérit pour finir par mourir et disparaître.

Pour conclure, j’aimerais soulever un point d’actualité qui concerne l’ultra-conditionnement par le COVID.

Beaucoup d’entre vous crient au scandale, au complot:

On parle du grand projet de manipulation des masses.

Auriez-vous enfin été touché par la grâce ?

Un filet de lumière aurait-il finalement réussit à atteindre votre conscience ?

Si c’est le cas, ne voyez vous pas qu’il y a bien longtemps que vous êtes déja dans la matrice, seule la forme change.

COVID, alcool, drogue, cigarettes, médicaments, alimentation-poison, toxicité médiatique….même combat!

Faites le travail, alignez les chiffres, ceux du COVID par rapport aux autres et tirez-en des conclusions.

Indignez-vous !

Il est temps d’agir, illuminez votre conscience.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Plus performant à 50 qu’à 25 ans

C’est encore les élucubrations d’un quinquagénaire en mal de jeunisme!

Quasiment tout le monde le sait, physiologiquement c’est impossible d’être plus en forme à 50 ans qu’à 25 ans.

Les faits parlent d’eux-mêmes !

Il y a une réelle dégénérescence liée à l’âge, on appelle ça la « Sarcopenie ».

J’en ai d’ailleurs parlé à plusieurs reprises lors de différents articles.

La machine s’est usée, les articulations ont souffert et souffrent à présent.

Les organes accusent le poids de l’infamie qu’on leur a très souvent fait subir.

L’alcool, la nourriture outrancière, indécente devrais-je dire, le tabac, la consommation boulimique de médicaments, la drogue…

Nous avons à faire à une auto-attaque de notre système vital par inoculation méthodique dans notre organisme de ces multiples poisons.

Un véritable protocole mortifère savamment orchestré, chaque jour, pour atteindre l’intégrité de notre véhicule (notre corps) mais également pour soumettre nos volontés.

Une des plus incroyable aberration de notre époque.

Il y a aussi le travail et même la lourde besogne pour certaines et certains d’entre nous qui contribue, sans nul doute, à fatiguer nos fins rouages organiques, métaboliques et structuraux.

Et au-dessus de tout, cet état permanent d’angoisse, de stress, oxydant furieusement chacune de nos cellules, les consumant à la vitesse d’un feu de forêt attisé par la sécheresse et les vents violents.

Lorsque l’on dépeint le tableau de cette façon, il est certain que l’état dans lequel se trouve la génération X fait peine à voir.

Nous sommes donc physiquement épuisés, dépressifs, multi pathologiques, exposés à tous les vents viraux et incapables de nous défendre vu l’état de notre immunité.

Bien heureusement, nous ne sommes pas tous dans cet état de décrépitude.

Il y a même une « Caste » de Masters qui se mettent dans une arrogante rivalité avec la jeunesse et de façon souvent exacerbée, je vous l’accorde.

Ce qu’ils font, ce qu’ils disent, la façon dont ils pensent est supérieure à l’ensemble de ce qu’exprime cette nouvelle génération.

Ils en sont convaincus !

C’est leur côté « vieux dinosaure » sentant pointer le météorite annonçant l’extinction prochaine.

Comprenez bien que je ne souhaite pas convaincre quiconque que nous sommes forcément meilleurs à 50 plutôt qu’à 25 ans.

Ce n’est pas le sens de mon propos.

Je pense simplement qu’il y a une réelle optimisation des gestes, des actes, des paroles, des pensées, de l’énergie d’un point de vue général pour tendre vers l’efficience.

Pour aller vers une efficacité « rentable ».

Il y a de cela quelques années, j’ai préparé une course à pied qui pour moi était un véritable challenge à l’aube de mes 50 ans.

L’ami avec lequel je m’entraînais, qui avait plus de 50 ans, m’a expliqué comment améliorer la performance de ma course tout en étant dans l’économie d’énergie.

En effet, il m’a fait observer comment couraient les jeunes gens, en règle générale et la façon dont ils dispersaient leur d’énergie.

Il m’a demandé de courir autrement et de penser autrement.

Sur ses recommandations, j’ai modifié ma course et mon état d’esprit.

J’ai donc ainsi amélioré ma rapidité et mon endurance en réduisant considérablement ma dépense énergétique.

Je pense qu’à cet instant, j’avais intégré le concept, en ce qui concerne cette discipline, j’étais devenu petit à petit meilleur que je ne l’avais été 15 ou 20 ans auparavant.

Barbara, ma compagne, me comptait également son expérience sur le sujet.

Elle a été dans la nécessité d’améliorer sa technique de « crawl » pour les mêmes raisons d’optimisation du rendement par rapport à la dépense énergétique.

Elle est devenue plus performante, son mouvement ainsi que sa coordination ont évolué.

Barbara a ainsi été capable de réduire son intensité pour un résultat amélioré.

Elle est devenue une meilleure nageuse qu’elle ne l’était 20 ans auparavant.

Je vais vous décrire une scène cocasse dont nous avons été témoins un hiver passé.

Une troupe de militaires, donc de jeunes gens motivés et en pleine santé, s’entraînait sur la plage et s’apprêtait à se jeter à l’eau en se motivant à grand coup de langage fleuri propre à l’esprit commando.

Ils ne se préparaient pas aller à la guerre mais c’était tout comme.

Bon c’était l’hiver, il fallait rassembler tout son courage pour affronter la morsure d’une eau à quelques degrés.

À cet instant, alors qu’ils pinaillaient depuis un certain temps pour savoir lequel d’entre eux se porterait volontaire pour une telle mission, arrive un petit couple de personnes âgées se tenant main dans la main.

Sans broncher, juste le temps de faire tomber les 2 vêtements qui les recouvraient, les voilà en maillot nageant avec volupté au milieu de cette mer hivernale.

Ils ont laissé le groupe de commandos loin derrière toujours en train de tergiverser…

C’était juste de l’efficience, probablement de l’habitude mais certainement de l’économie d’énergie dans la prise de décision et dans les gestes qui suivirent.

Il y a quelques grandes règles à suivre lorsque l’on veut faire preuve d’efficacité et mettre à profit notre âge pour sublimer la performance.

Vous pouvez être une meilleure version que la version de vous-même que vous étiez il y a 20 ou 25 ans en arrière.

La culture physique en est un baromètre magistral, c’est l’outil pour améliorer votre condition physique générale et par conséquent toutes vos qualités physiques.

Elle vous permet de mesurer l’étendue de l’évolution ou de l’involution de vos performances.

Comment doit-on faire pour être plus performant ?

D’abord, l’implication mentale doit être juste et précise.

Cet état s’appelle la conscientisation.

Vous devez fournir à votre véhicule (votre corps) une énergie cérébrale puissante et focalisée, cet état d’esprit qui ne doute pas.

Quand vous vous engagez dans votre séance d’entraînement, c’est avec une grande concentration.

Vous ne laissez pas la place à la dispersion, la moindre parcelle d’attention est là, totalement présente.

Dans ces conditions, votre esprit est puissant, il devient un allié de grande valeur.

Ensuite, il y a l’implication physique.

À l’instar de l’implication mentale, celle-ci doit être tout aussi juste et précise.

Une parfaite synergie entre le corps et l’esprit.

Chaque répétition, de chaque série, de chaque mouvement, doit être parfaitement réalisée, parfaitement intégrée avec une attention sans faille.

Pas question d’une once de dispersion, pas de téléphone, pas de discussion, pas d’idées vagabondes, l’esprit doit être le plus proche possible du moment présent.

Pour espérer, et c’est tout à fait possible, obtenir la condition physique et les performances que vous n’avez peut-être jamais eu, vous devrez forcément faire ce que vous n’avez jamais fait.

Vous devrez ainsi réviser votre copie sur l’approche de la culture physique.

J’ai écrit à ce propos un eBooks qui décrit précisément les bonnes pratiques, l’exécution dans les règles de l’art pour mettre 100 % de chances de votre côté.

Téléchargez-le gratuitement:

Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans »

Un autre aspect sera à prendre en considération avec une grande justesse et une grande précision.

Ce sera votre alimentation.

Elle aussi devrait être au diapason de vos implications mentale et physique.

Comprenez bien que votre hygiène alimentaire doit être « irréprochable ».

Voici les 10 règles alimentaires essentielles à adopter.

  • Ne plus consommer du tout d’alcool
  • Boire de l’eau et encore de l’eau
  • Ne plus consommer de sucre ou quasiment plus en tout cas sous ses formes les plus rapides
  • Consommer de préférence des sucres possédant des index glycémiques bas
  • Éviter le plus possible les graisses saturées (Animales)
  • Consommer de préférence des huiles végétales et de provenances diverses
  • Manger suffisamment protéiné et de provenances diverses
  • Manger des fibres par l’intermédiaire des fruits et légumes
  • Équilibrer les apports énergétiques, qu’ils soient sensiblement les mêmes que vos dépenses.
  • Étaler équitablement la répartition de votre alimentation tout au long de la journée

Bon très bien, certains diront qu’évidemment dans ces conditions les choses devraient changer mais que finalement c’est pas une vie.

(Je vous engage à lire l’excellent article de Barbara RATKOFF sur ce sujet:)

CE N’EST PAS UNE VIE !

Mieux vaut rester tels que nous sommes plutôt que de vouloir à tous prix remonter le temps mais souffrir tellement en contrepartie…

Oui effectivement, pour certains ce ne sera pas possible, d’ailleurs ça ne l’a jamais été et ça ne le sera jamais.

Je vous explique assurément ce qu’il faudrait faire pour y arriver.

Je semble intraitable sur le sujet, extrémiste, mais je vous propose quand même d’être meilleur à 50 ans qu’à 25 ans…

Ce n’est pas une mince affaire.

Il va falloir se sublimer, aller chercher la perf !

Quelle belle perspective.

Et puis, il faut savoir ce que l’on veut !

Comprenez bien que pour obtenir ce niveau d’excellence, vous devrez immanquablement élever tous vos paramètres.

Si vous n’êtes pas dans ces dispositions alors vous n’êtes peut-être pas prêt à devenir à 50 ans, et plus, la meilleure version de vous-même.

Mais en y réfléchissant, vous ne pensez pas, qu’à notre âge, nous avons tous les atouts en mains, sagesse, patience, expérience…

La balle est dans votre camps.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

>