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La conscience a du mal à s’éclairer

Qu’est-ce que c’est que la conscience ?

Voici quelques définitions du Larousse et confrères:

« Perception chez l’homme de sa propre existence et du monde qui l’entoure »

« Organisation de son psychisme qui, en lui permettant d’avoir connaissance de ses états, de ses actes et de leur valeur morale, lui permet de se sentir exister, d’être présent à lui-même;

connaissance qu’a l’homme de ses états, de ses actes et de leur valeur morale »

« C’est la capacité de se décrire, de se définir et de choisir.

 La conscience est la capacité de se percevoir, s’identifier, de penser et de se comporter de manière adaptée.

Elle est ce que l’on sent et ce que l’on sait de soi, d’autrui et du monde.

En ce sens, elle englobe l’appréhension subjective de nos expériences et la perception objective de la réalité.

Par elle, enfin, nous est donnée la capacité d’agir sur nous-même pour nous transformer. »

Ce serait donc une forme d’intelligence véritable qui nous permettrait de percevoir notre environnement.

Cette intelligence nous permettrait de l’analyser finement et instinctivement et ainsi prendre des décisions justes.

Les fameuses décisions en notre âme et conscience.

Une sorte de cadeau divin, un GPS psychologique censé nous diriger vers le bon chemin.

Ainsi à chaque moment de votre existence vous recevez des messages d’alerte envoyer par le biais de différentes fréquences, avec plus ou moins d’intensité.

Votre corps est un réceptacle truffé d’antennes, de ramifications nerveuses qui jouent le rôle de récepteurs.

24 heures sur 24 nous sommes bombardés d’informations relayées par le filtre de notre conscience.

Par le prisme de notre échelle de guidance, cette extraordinaire intelligence nous dicte avec précision les décisions les meilleures.

Celles que nous devrions prendre pour se sentir mieux, pour avoir une existence heureuse, pour notre santé, pour notre salut…

Notre guide intérieur, la merveilleuse échelle de guidance nous informe, nous fait ressentir si la direction que nous sommes prêts à prendre est bonne ou mauvaise.

Notre conscience est protectrice, bienveillante, elle est notre instinct de survie.

Mais alors, que s’est-il passé ?

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Pourquoi sommes-nous en train de nous éloigner de qui nous sommes vraiment ?

Par quelle magie noire les humains seraient-ils devenus incapables de se référer à leur conscience.

Quelles sont les idées, les substances, les conditionnements qui ont rongé petit à petit l’intelligence de l’esprit ?

Je pense que c’est un ensemble de facteurs aliénants qui ont fini par avoir raison de notre raison.

L’irresponsabilité, le manque de discernement, l’illogisme, la déficience croissante de l’acuité, la violence…

Nous voyons se produire de plus en plus de phénomènes qui défient l’entendement.

Nous nous encourageons nous-mêmes, et l’on nous encourage surtout à grand renfort de manipulation, à utiliser de façon outrancière tout ce qui pourrait détruire notre belle conscience.

Tout ce qui nous débilise et nous fait vibrer très bas est utilisé contre nous et avec notre consentement bien sûr.

La drogue détruit notre conscience et nous en consommons de plus en plus.

On va même jusqu’à la légaliser, on pourra en consommer encore plus, et en toute impunité morale, puisqu’on en a le droit.

C’est l’État protecteur qui nous l’autorise et qui nous engagera certainement à la surconsommation, comme pour tout le reste.

Comment peut-on être conscient de ce que l’on fait lorsque l’on se drogue ?

Comment pouvons-nous accepter l’autodestruction ?

De toute évidence, la conscience, la vraie conscience, celle qui nous a été offerte à notre naissance, n’est plus.

Il semblerait qu’à sa place ce soit substitué un ersatz, un semblant d’esprit, une pâle copie qui fait croire, qui donne le change par de beaux discours et de fausses images.

Point de foi à cette endroit, point de beauté ni d’amour tout juste de l’égo nourrit de stupéfiants.

Le système est perfide et le consommateur de ces substances tellement manipulable et pitoyable.

Il s’imagine être libre et transgressif, il n’est en réalité qu’un outil qui consomme un produit décadent, de plus distribué par ses maîtres.

« L’opium du peuple » censé détourner  l’Humanité du véritable sens de la vie, la liberté de penser et d’agir.


Les simples cigarettes participent-elles aussi à cette engorgement de la conscience ?

Elles empoisonnent le corps et l’esprit et remplissent insidieusement l’ensemble de vos cellules de substances et de métaux toxiques.

Sans parler de ce que cela coûte et de l’odeur pestilentielle …

Mais on continue pendant des décennies jusqu’à ressembler à un vieux bout de viande tannée à la voix rocailleuse, au teint blafard et aux dents d’une jolie couleur goudron.

Fumer tue ! Fumer donne le cancer !

Mais tout va bien, cette conscience censée nous prévenir qu’il y a danger ne donne plus signe d’existence, elle s’est  évaporée en fumée…

Même chose pour l’alcool là aussi nous sommes stimulés et nous nous  stimulons !

Peu importe l’état pitoyable dans lequel nous laisse les breuvages « spiritueux ».

Les maladies, la déchéance sociale, la mort…

Des dizaines de milliers de morts chaque année en France liés à la consommation directe d’alcool.

Sans compter toute cette misère et tous ces gens qui meurent sur la route parce qu’ils sont alcoolisés.

C’est d’ailleurs une des raisons qui m’a décidé à écrire cet article.

Il y a de cela une semaine, un jeune homme de 19 ans s’est tué lors d’un accident de voiture.

C’est presque un fait banal.

Cependant, il était l’ami cher de mon neveu qui se trouve aujourd’hui dans une grande détresse.

Une souffrance viscérale où se mêle au chagrin, probablement la culpabilité de ne pas l’avoir retenu avec plus de fermeté lorsqu’il a décidé de rentrer chez lui alcoolisé.

J’entends alors tout un tas d’incantations sur l’injustice de partir si tôt, le questionnement morale sur ce qu’il aurait fallu faire et ce que l’on n’a pas fait.

Se mêlent aussi à toutes ces vociférations, les croyances en tel ou tel dogme ou en tel ou tel Dieu, brandis comme la solution divine à ce drame ou peut-être tout simplement comme un exutoire à la souffrance.

Oui ça ne peut être que ça !

La réponse à une telle tragédie, évitable, là est le drame, ne peut être qu’une réponse folklorique en signe de dédramatisation :

« Nous nous reverrons au VALHALLA !»

Ne serait-il pas plus conscient de stopper l’alcool afin d’éviter que tout le monde ne se retrouve prématurément là où officient Thor et Odin.

Ou pourquoi pas, là où officie Saint-Pierre, pour d’autres croyances, avec son jugement dernier sous le bras à tout juste 20 ans.

Très curieusement, je n’ai pas l’impression qu’aucun de ceux qui ont été touchés par cette mort avant terme aient décidé de ne plus toucher une goutte d’alcool par amour pour le défunt et par amour pour eux-mêmes.

Tout simplement prendre une décision saine par un esprit sain.

La conscience serait-elle aussi tellement alcoolisée qu’elle serait incapable de comprendre.

Oui probablement, je n’en doute pas un instant, si ce n’est alcoolisée en tout cas dispersée aux quatre vents de l’incohérence.

Le conditionnement par les médias, le conditionnement institutionnel, la toxicité des médicaments, la sur bouffe et la mal bouffe, la manipulation au sein des relations personnelles etc. etc.

La liste des outils d’extermination de la conscience est longue et non exhaustive.

Rendez-vous compte à quel point vous n’êtes plus en mesure de vous servir de votre libre arbitre dicté par la vraie conscience.

Vous vous assassinez quotidiennement, vous permettez aux pires des poisons de faire leurs besognes destructrices.

Je ne suis moi-même pas exempt de déviances, j’ai en tous cas fait une partie du travail pour me libérer de mes chaînes.

J’ai encore du travail et j’en aurai jusqu’à la fin de mes existences.

Il n’y a donc rien de moralisateur dans mes propos.

Je constate simplement le désaccord abyssal entre ce qui nous a été donné à notre naissance et ce que nous en faisons.

Ce grand écart insoutenable de l’esprit déstabilise notre équilibre et nous projette vers des dimensions où nous nous perdons.

Je pense que c’est de là que réside toute cette souffrance, tous ces états dépressifs.

La conscience ne reçoit plus la lumière, elle se fane et dépérit pour finir par mourir et disparaître.

Pour conclure, j’aimerais soulever un point d’actualité qui concerne l’ultra-conditionnement par le COVID.

Beaucoup d’entre vous crient au scandale, au complot:

On parle du grand projet de manipulation des masses.

Auriez-vous enfin été touché par la grâce ?

Un filet de lumière aurait-il finalement réussit à atteindre votre conscience ?

Si c’est le cas, ne voyez vous pas qu’il y a bien longtemps que vous êtes déja dans la matrice, seule la forme change.

COVID, alcool, drogue, cigarettes, médicaments, alimentation-poison, toxicité médiatique….même combat!

Faites le travail, alignez les chiffres, ceux du COVID par rapport aux autres et tirez-en des conclusions.

Indignez-vous !

Il est temps d’agir, illuminez votre conscience.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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À propos de l'auteur Philippe LAMACHE

Je m’appelle Philippe LAMACHE, je suis coach sportif, coach mental, spécialisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires pour sportifs ainsi que dans l’alimentation santé. Depuis plus de 35 ans, je coach des hommes et des femmes pour la pratique pure de la culture physique mais également pour améliorer les qualités physiques d’athlètes amateurs et professionnels, dont quelques champions, et cela dans bon nombre de sports individuels et collectifs.

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