La vérité, c’est évidemment ce que nous devons dire depuis que nous sommes enfants.
En tout cas, c’est ce que nous ont rabâché nos parents dès que nous avons pu comprendre leur langage.
« Ne mens pas ! »
« Ce n’est pas beau de mentir ! »
« Je t’interdis de me mentir ! »
À ce propos, selon l’expression consacrée, il y aurait-il de pieux mensonges
?Certaines vérités qui ne seraient peut-être pas bonnes à dire.
Depuis l’Antiquité, cette question taraude les esprits les plus brillants.
Platon et les stoïciens en Grèce, Cicéron et Quintilien à Rome.
Par la suite, même les Pères de l’Église comme Clément d’Alexandrie, Origène, Hilaire de Poitiers et Saint Jean Chrysostome ont traité le sujet.
Plus tard, Augustin avait apporté des éclaircissements sur cette interrogation à travers deux de ses ouvrages consacrés au mensonge :
Le De mendacio et le Contra mendacium.
Le mensonge « officieux » dont le but serait d’être utile, d’informer mais pas d’alerter…ou parfois même le contraire.
Mensonge toujours parfaitement justifié.
Le mensonge plaisant à des fins humoristiques, simplement pour faire rire…
Celui qui serait pernicieux et qui aurait une ou des intentions malignes, le mensonge qui serait donc toujours condamnable.
Le mensonge de convenance ou de politesse, le mensonge pour ne pas froisser…
Le mensonge pédagogique ou « légendaire » que l’on croit devoir utiliser dans l’intérêt des enfants.
Les mêmes moralistes qui nous disent à quel point le mensonge est mal, en font presque une profession de foi.
Mais mentir, pour celui qui ment intentionnellement, en son âme et conscience, porte nécessairement un fardeau.
Plus ou moins lourd, il faut bien l’avouer et inversement proportionnel à sa foi véritable.
Il sait néanmoins qu’il n’a pas dit la vérité et que cela peut avoir des conséquences, des répercussions et parfois même une réaction en chaîne discordante.
Bâtir sur un défaut de vérité, c’est bâtir sur des fondations altérées et friables.
Ce qui aurait pu être limpide se trouble et finit parfois par rendre aveugle.
Je ne parle pas forcément des répercussions pour le menteur lui-même mais des conséquences en chaîne.
Et pourtant, le mensonge ne fait pas partie des péchés capitaux….
Derrière le mensonge se terre l’intention et de mon point de vue, c’est l’intention qui rend réellement l’acte pernicieux ou qui le classe au niveau d’un épiphénomène sans véritables conséquences fâcheuses.
Mais pour quelle raison mentez-vous ?
Il est évident que dans l’absolu, il serait préférable de ne jamais mentir.
Mais vous mentez, alors pourquoi le faites-vous ?
Voulez-vous réellement protéger un tiers de la souffrance ?
Vous mentez donc comme vous feriez un don qui ne serait qu’offrande sans espérer quoi que ce soit en retour ?
Un mensonge compassionnel…
Dans ces conditions, vous imaginez bien que le mensonge est, d’un point de vue éthique et spirituel, tout à fait acceptable.
Même si une fois de plus mentir n’est jamais la bonne solution.
Même si l’objet, l’intention n’était pas forcément de faire souffrir vos semblables mais simplement de couvrir votre triste existence, le mensonge n’en sera pas plus absout.
Au-delà de la malhonnêteté intellectuelle c’est de spiritualité qu’il est question.
Le jugement des hommes est une chose mais le jugement dernier en est une autre.
C’est bien de vous avec vous-même dont il est question!
…Vous et vous.
En conclusion, nous ne sommes que de simples humains, là est notre faiblesse mais également notre force.
Nous faisons bien sûr ce que nous pouvons, loin de moi l’idée d’être moraliste, je n’en ai d’ailleurs aucune légitimité.
Nous devons faire le choix du mensonge ou de la vérité et à ce jeu, comme la majorité d’entre vous, je fais de mon mieux.
Faisons en sorte d’être honnête, il y va de notre salut et bien sûr de celui de l’humanité.
Oui c’est bon de dire la vérité !
Ce que je vous explique vous semble logique?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
C’est de notoriété publique, plus vous vieillissez et plus le physique se dégrade.
Plus les années passent, particulièrement à l’approche de la ménopause chez les femmes ou en ménopause, et plus il est difficile d’obtenir des résultats.
Cet état chez l’homme arrive rarement au même âge que la ménopause chez la femme.
Il arrive en général beaucoup plus tard.
Il est à souligner que dans quelques cas, cette « fin de cycle » peux ne jamais arriver chez l’homme et se produire parfois très tardivement chez les femmes, au-delà de 60 ans.
Nous récupérons moins bien, nous nous réparons moins bien, nous fabriquons moins rapidement du tissu musculaire et le tissu adipeux, le gras, a une tendance à s’accumuler plus rapidement.
Nous perdons progressivement de la souplesse, notre structure s’affaisse et se soude…
Quel merveilleux tableau !
Le vieillissement est pris comme une fatalité accablante contre laquelle on ne peut pas grand-chose.
On peut le comprendre.
Nous naissons, nous vivons et nous mourrons.
Est-ce que nous pouvons freiner le processus ?
Avons-nous un pouvoir quelconque sur ce triste schéma ?
Je le pense sincèrement et je ne suis évidemment pas le seul à le penser.
Vous pouvez agir sur plusieurs facteurs et améliorer considérablement la façon dont vous allez vieillir.
Comprenez-vous que vous pouvez agir sur votre vie, sur la façon dont vous vieillissez, c’est acté, nous le savons.
Imaginez-vous alors ce que vous pouvez faire pour votre ventre.
Je ne parle pas forcément d’avoir un ventre très musclé avec des abdos super apparents…
… mais au fond, si tel est votre souhait, pourquoi pas.
Reprenez les cinq facteurs déterminants que je décris ci-dessus:
La première des choses serait que vous ayez un vrai désir pour cela.
Une réelle détermination, pas un jour comme une simple lubie mais durant quelques semaines et pourquoi pas toute une vie…
Cela vous évitera de recommencer à zéro à chaque fois.
Avoir envie, cultiver votre désir, visualiser vos résultats est le départ du processus.
Comme pour chaque décision importante ou chaque changement de direction, il doit y avoir un déclencheur qui donnera forme au projet.
Je veux ardemment, sans aucun doute un ventre plat, beau et tonique… et Je l’obtiens.
Changez-là !
Ne continuez pas à manger ce que vous mangez habituellement, cette alimentation qui contribue à augmenter votre masse grasse.
Mangez hypocalorique et protéiné pendant quelques temps jusqu’à obtenir les résultats que vous souhaitez.
S’alimenter pour la super sèche partie 1
S’alimenter pour la super sèche partie 2
Ensuite vous pourrez basculer sur une alimentation équilibrée qui vous permettra de maintenir les résultats.
Mais vraiment, changez ce qui ne fonctionne pas pour quelque chose qui fonctionne enfin.
Voici le lien d’un de mes articles sur ce sujet, qui pourra vous aider.
Le seul régime qui fonctionne à tous les coups !
Pour améliorer votre sangle abdominale, il faudra forcément faire quelques exercices, de façon répétée et avec passion.
C’est en cultivant son potager avec amour que l’on fini par obtenir des légumes de qualité.
Je ne connais pas d’autre approche.
Je ne suis ni spécialiste et bien sûr ni adepte de cette pratique.
Ne pas faire, ne pas s’impliquer physiquement dans la démarche aura forcément une incidence sur les résultats.
Nous pourrions parler d’écosystème, celui-ci est évidemment très important.
Il vous influence et vous pouvez parfois même, également, l’influencer.
Si vous ne trouvez pas dans votre univers soit une ou plusieurs sources de motivation, cela peut rendre l’objectif plus difficile à réaliser.
Les endroits que vous fréquentez, vos lectures, les émissions ou les vidéos que vous regardez, votre emploi, vos hobbies, la région où vous résidez…
S’il le faut, changez votre écosystème !
Changez cet emploi qui ne vous convient peut-être plus, changez vos hobbies et pourquoi pas, changez de région…
Si autour de vous, vos amis, votre famille n’ont que faire du contrôle de l’alimentation et de la pratique sportive…
…Que pour votre entourage, un ventre avec peu de graisse, tonique et sexy n’a vraiment aucun intérêt et que cela ne fait vraiment pas partie de leur univers, vous ne puiserez donc pas la moindre motivation ou le moindre exemple auprès d’eux.
Vous serez parfois dans l’obligation de vous préserver et de fréquenter ainsi des personnes motivantes capables d’insuffler chez vous un élan supplémentaire pour la réalisation de vos objectifs.
Il n’y a évidemment aucun mal à cela.
On vous le reprochera peut-être mais le plus important, c’est vous.
En conclusion, si améliorer votre ventre peut vous apporter du bien-être, de la valorisation, une certaine harmonie, alors mettez toutes les chances de votre côté.
Envisagez la réalisation de cet objectif de façon holistique en tenant compte de tous les paramètres que je décris ci-dessus.
C’est ainsi que vous y arriverez à coup sûr, même au delà de 40 ans, je n’en doute pas un instant.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Vous n’êtes pas victimes du yo-yo, vous êtes bien adeptes du yo-yo.
J’insiste sur la notion de responsabilité que contient ce titre.
Mais je vous le garantis, ça ne s’arrête pas uniquement à l’accointance avec la nutrition.
Quelle définition pourrions-nous donner au « yo-yo » ?
Pour un bon nombre d’entre vous, nous pourrions également qualifier de « yo-yo », la relation discontinue que vous avez avec le sport.
Vous en faites de façon saisonnière, pourrions-nous dire.
Quelques semaines par an et même pas chaque année…
Un coup vous êtes dedans et puis vous n’y êtes plus du tout.
Non seulement parce que vous avez freiné la dépense énergétique mais aussi et surtout parce que vous cherchez à échapper aux règles…
…non pardon, vous vous échappez des règles que l’on peut associer à la discipline sportive, à savoir le contrôle de l’alimentation, entre autres.
Ne vous méprenez pas, ayez autant que possible un regard objectif sur la situation.
Un peu comme l’arrêt de la cigarette qui vous a fait grossir…
Si ce n’est plus la cigarette, ce sera l’alimentation ou autre chose.
En terme médical, nous pourrions parler de traitement palliatif et non pas de traitement curatif.
La manifestation de la souffrance ne se traduit plus par l’alcool, la cigarette, la drogue, le jeu ou l’intérêt exacerbé pour le sexe mais par l’alimentation à outrance.
Parfois certaines et certains les cumulent…
Bien évidemment, le problème n’est pas réglé.
Il est plus aisé de jeter la faute et parfois le discrédit sur les autres.
Il est plus simple de renvoyer la responsabilité sur une situation, des outils, des circonstances…
C’est la faute du régime !
C’est la faute des événements si j’ai eu un accident.
Mes problèmes de santé, je n’y suis pour rien, c’est héréditaire !
Pour ma part, je n’irai jamais chercher bien loin…
Je pense que nous sommes toujours responsables de ce qui nous arrive.
Je comprends, dit comme ça, que bon nombre d’entre vous s’offusquent et me sortent leurs sempiternels contre-argumentation.
« Ah oui alors quand tu as un accident de la route et qu’on est venu te percuter alors que tu étais sur ta voie, c’est de ta faute ? »
« Un enfant qui tombe malade c’est de sa faute ? »
« Tu es victime d’une escroquerie, on t’a pris tout ton argent et là aussi c’est de ta faute ? »
Je ferai très bientôt un article dans lequel je détaillerai les mécanismes d’acceptation de sa propre responsabilité.
Ces mécanismes sont à la fois spirituels et quantiques.
Pour revenir notre sujet… le « yo-yo » n’est pas lié à autre chose qu’à votre responsabilité et par conséquent à la façon dont vous vous comportez.
Il faut impérativement que vous en ayez conscience pour que cessent les « montagnes russes ».
Le régime qui vous a fait perdre du poids, ce régime hypocalorique, car il n’est question de rien d’autre, n’est pas la garantie à vie que vous garderez cette perte de poids.
L’avez-vous compris ?
Vous aviez cessé pendant deux mois, l’alcool, la tartiflette, la charcuterie et les litres de glace.
Vous avez donc perdu du poids.
Attention, il n’est pas ici question de régime à vie mais d’évoluer vers un équilibre raisonné, avec gestion.
Vous décidez, ce n’est pas l’alimentation qui décide pour vous.
Nous vivons une époque « excusante »où il est exclu de faire porter la responsabilité de quoi que ce soit à qui que ce soit.
Tant que vous pensez n’avoir aucune influence sur les événements et surtout sur votre propre vie rien ne changera.
responsable ne veut pas dire coupable.
Il y a d’ailleurs un excellent sketch des inconnus qui met en scène un homme politique véreux dont la phrase comique de répétition est :
« responsable mais pas coupable»
Nous ne devons donc pas nous sentir coupables…
Je suis absolument d’accord, se sentir coupable avec tout le cortège de sentiments bas de souffrance qui va avec, n’a vraiment aucun intérêt.
Pas de culpabilité, simplement de la responsabilité.
Comme si votre vie était opaque et que subitement tout devenait plus clair.
Ce voile qui plombait votre existence disparaît miraculeusement, vous avez le pouvoir de faire, d’avoir et d’être vraiment.
Vous décidez !
Si vous aviez décidé de changer de philosophie alimentaire, plutôt que de réintroduire toute cette mal bouffe qui avait fait de vous un malade en puissance, vous auriez alors, aujourd’hui, conservé la forme, la santé et votre perte de poids.
Nous rencontrons exactement la même attitude dans les salles de remise en forme.
Mais également concernant le sport pratiqué à la maison ou en extérieur.
Ce n’est certes pas la faute du matériel, de la salle, de sa fréquentation ou de votre programme d’entraînement à la maison…
À votre décharge, il est vrai que vous n’êtes pas ou peu suivi à moins d’avoir recours à un coach ou a un système de coaching bien ficelé.
A ce propos, jetez un œil sur mes programmes:
Cette option n’est pas toujours heureuse : les transmissions du savoir et de la passion, ne sont pas toujours au rendez-vous.
C’est toujours vrai aujourd’hui, j’ai du plaisir à recevoir l’enseignement de certains auteurs et conférenciers plutôt que d’autres.
Mais je m’intéresse et persiste et je trouve le ou les bons instructeurs qui me feront alors évoluer.
Néanmoins, pourquoi vous ne progressez pas physiquement ?
Parce que vous ne vous entraînez pas.
Cela fait près de 40 ans, 38 ans exactement que je fréquente les salles de fitness, musculation, remise en forme… L’appellation a peu d’importance, c’est comme vous voulez.
Et je constate inlassablement les mêmes attitudes.
Je peux vous assurer que le match est joué d’avance.
En tous les cas jamais de cette façon.
Cela fait 10 ans que vous fréquentez la salle de sport et parfois même beaucoup plus, sans progression et même très souvent avec régression au fil des années.
Pourquoi répétez-vous avec autant de pugnacité toujours le même fonctionnement qui finalement ne marche pas ?
Il VOUS suffirait de prendre une bonne résolution.
Dites stop à ce qui ne vous réussit pas, faites ce qui marche.
Copiez les personnes qui ont réussi à maintenir leur poids et à garder une forme et une santé pérennes.
Vous comprendrez enfin que le dénominateur commun de toutes ces réussites outre le désir est LA RÉGULARITÉ.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
En fait, pas tout à fait, la seule situation où peut-être vous ne le seriez pas, serait l’anonymat absolu.
Vous ne connaîtriez personne et personne ne vous connaîtrait… vous n’existeriez pas.
Un ermite en somme.
Dès votre naissance, on vous trouve des ressemblances, on vous compare.
On estime que vous mangez trop ou pas assez, que vous criez plus que ne criait votre frère, que vous grossissez moins vite…
Vos parents vous trouvent si beau et les voisins si vilain…
Hypocritement, ils vous avaient encensé auprès de votre famille.
C’est un point essentiel que je soulève présentement :
Comment faire pour accepter d’être jugé, de recevoir de telles critiques, un tel flot de cruauté, de méchanceté à la limite du supportable ?
Contrairement à ce que l’on dit communément de la critique, qu’elle est constructive, en fait, elle l’est rarement.
L’intention de celui qui l’émet n’est quasiment jamais bienveillante et celui qui la reçoit la prends comme une agression.
Voici donc une première question qui me semble fondamentale.
Vous n’avez pas d’autre choix que de l’accepter, si vous ne voulez pas tomber malade.
Les critiques non acceptées génèrent de telles souffrances qu’elles vous assassinent parfois psychologiquement et vous rendent réellement malade physiquement.
Comprenez qu’il existe autant de points de vue qu’il existe d’individus.
Les sons, les couleurs, les odeurs… ces nombreuses informations qui nous harcèlent continuellement ne sont jamais perçues de la même façon par chacun d’entre nous.
Et suivant le moment, l’époque et les circonstances où nous les recevons, nous ne les percevons nous-même jamais de la même façon.
Ainsi, vous n’êtes pas à la place de votre inquisiteur, vous ne savez pas quelle est sa vie, ce qu’il a enduré, ce qu’il a appris, ce qu’il ressent, quelles sont ses intentions…
Peut-être a-t-il connu dans le passé quelqu’un comme vous qui a été son bourreau?
Quelqu’un, évidemment, qui n’était pas vous mais qui vous ressemblait.
Lorsque la critique est générée par des intentions malignes, comprenez qu’elle est toujours instruite par le mal-être.
La critique avec l’intention de faire mal, n’a de mon point de vue aucun sens au point qu’elle ne mérite finalement pas que l’on s’y attarde.
Chacun extrait ses émotions de son patrimoine, de sa propre réalité.
Elle me trouve prétentieux, stupide et sans intérêt !
OK, c’est son point de vue, sa propre réalité.
Je peux le comprendre mais ce n’est pas ce que je pense de moi-même.
Je ne me trouve pas prétentieux, ni stupide et je ne me trouve pas non plus sans intérêt.
J’accepte néanmoins que l’on puisse me trouver ainsi.
Remarquez que vous pouvez avoir les meilleures intentions du monde, avoir un désir profond de faire du bien et néanmoins, vous serez jugé, critiqué.
Les prophètes, les grands hommes l’ont tous été, certains réhabilités à titre posthume mais la plupart ont été conspués de leur vivant.
Vous pensiez vraiment être dans l’amour et la paix et par un tour de passe-passe ahurissant, vous devenez la personne à abattre, le diable.
Comment peut-on dire de telles insanités à votre endroit ?
Alors qu’à aucun moment vous n’avez voulu blesser et générer cet acharnement…
Comment expliquer la critique ?
Comment expliquer cet état dans lequel certains individus se mettent lorsqu’ils s’engagent sur la voie toxique de votre condamnation ?
Voici la deuxième question fondamentale qui mérite que l’on s’y attarde un peu.
Le comportement des gens qui critiquent à tour de bras, qui comparent, qui jugent, avec des intentions malignes, comme je l’ai dit un peu plus haut dans le texte, trahit forcément un état de souffrance.
Lorsque l’on est en paix, en harmonie avec soi-même et les autres, lorsque l’amour est le moteur principal de sa vie, alors, critiquer, juger n’a aucun sens.
Il n’a pas besoin de comparer et la plupart du temps, de se comparer pour exister.
« Pardonnez à celui qui vous a offensé. »
À l’instar de toutes les addictions, car je pense que le jugement effréné en est une, il peut générer, au commencement, une sorte de satisfaction trompeuse, une espèce de compensation de courte durée.
Mais il devient rapidement le foyer de sentiments bas, d’affrontements, de désordre et de mal-être.
La critique, devient pour celui qui la profère, son propre tombeau psychologique.
L’époque actuelle est malheureusement propice aux déferlements de critiques.
Les réseaux sociaux sont une formidable fenêtre sur votre intimité.
Ils dévoilent les moindres recoins de votre personnalité physique et morale.
Mais alors, pourquoi vous en donner à cœur joie ?
Vous vous mettez en scène sans imaginer un seul instant toute cette hostilité qui vous observe.
C’est d’ailleurs du pain béni pour les créateurs de ce système et pour tous ceux qui en vivent.
La discorde, la rivalité et très souvent la haine génèrent l’addiction, c’est donc gagné.
Un système basé sur « aimez- moi » (je parle du like) ne peut que générer de la souffrance.
Des milliards d’individus s’y engouffrent avec une candeur déconcertante.
Voici la troisième question fondamentale que m’inspire ce sujet.
Peut-être parce que vous avez besoin de reconnaissance, vous avez besoin d’exister.
Vous vous inventez une vie et partagez ainsi votre existence hors du commun, qui en réalité la plupart du temps, est tout à fait commune.
Vous avez des idées à partager ou plutôt, vous relayez des idées à partager.
C’est un besoin que vous avez de montrer que vous savez danser, chanter, que vous réfléchissez bien, que vous êtes un expert dans un domaine ou dans un autre.
Vous avez tellement besoin que l’on vous dise « je t’aime ».
C’est déjà dur de ne pas l’entendre mais si en plus, vous recevez un déferlement de haine et de détestation, alors, cela devient un drame.
Ne jugez plus, ne critiquez plus.
Acceptez d’être jugé, d’être critiqué à votre tour et n’en voulez plus aux inquisiteurs.
Ils ont de graves difficultés avec leur ego, ne les accablez pas.
Si vous n’êtes pas capable d’accepter d’être conspué, alors, effacez-vous, sortez des champs de vision, ne vous dispersez plus, retrouvez-vous.
Ce que je vous explique vous semble logique?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Cet article aurait pu s’intituler:
Existe-t-il des exercices par genre ?
Des mouvements que les hommes ne pourraient pas faire parce qu’ils sont réservés aux femmes et réciproquement.
Nous aurions donc des différences fondamentales, une structure différente, des muscles que les hommes auraient et que les femmes n’auraient pas et inversement.
Ils n’auraient pas les mêmes points d’attache.
Ainsi il y aurait donc des exercices qui n’auraient aucun intérêt pour l’un ou pour l’autre.
Je crois l’avoir entendu régulièrement tout au long de mon existence de pratiquant et de Coach.
Tout d’abord, le dogme phallocrate, l’association des hommes à tendance machiste ou peut-être même plutôt à tendance blaireau qui a décrété, par exemple, que les machines :
Je dis « par exemple » parce qu’ils décrètent généralement d’autres lois du même acabit.
Ils pensent également qu’il faut travailler lourd et uniquement lourd pour devenir musclé.
Ils pensent aussi qu’il faut manger beaucoup…
Des quantités énormes et de tout, pour devenir aussi gros qu’un bœuf…
Vous en connaissez peut-être ?
Ce sont évidemment des dinosaures d’une autre époque.
Donc d’après eux, le développé à la machine pour les épaules ou les machines abducteurs / adducteurs… ne seraient que pour les filles.
Un autre groupe idéologique, un autre courant de pensée s’est approprié cette ségrégation des genres par la culture physique sélective.
Je dis bien « qu’un homme musclé « parce que c’est bien de cela qu’il s’agit.
Elles craignent de devenir cet athlète hypertrophié et très défini, cette bête à concours, ce gars qui s’entraîne très dur depuis des années, qui a une alimentation drastique et quasiment une vie d’ascète.
Cette perspective l’horrifie.
Nous pouvons l’entendre et le comprendre mais nous sommes présentement dans une manifestation de délire sans une once de discernement.
Ou d’acheter un piano pour devenir un virtuose.
De grâce, juste un peu de réflexion, peut-être un soupçon d’humilité…
Je pense évidemment que tous les exercices sont bons pour les hommes et les femmes et que les seuls critères de sélection devraient être les objectifs de chacun et nos capacités et aptitudes à pouvoir les réaliser.
Ou pourquoi ne pourriez-vous pas faire du squat en amplitude complète à la barre libre pour développer harmonieusement vos cuisses et vos fessiers ?
Vous augmenteriez ainsi, par la même occasion, votre condition physique générale, le transfert entre le haut et le bas de votre corps.
Vous travailleriez efficacement votre sangle abdominale et vos lombaires simplement parce qu’ils maintiennent la statique de votre corps pendant l’exercice.
Un exercice fondamental qui est, lorsqu’il est pratiqué dans les règles, un précieux allié pour votre forme et vos formes.
Bien sûr, le squat demande un véritable apprentissage et une pratique contrôlée.
Qu’est-ce qui vous empêcherait de faire du rowing à la barre libre ?
C’est un exercice d’une grande efficacité pour tonifier tous le bas de votre corps, vos cuisses et vos fessiers.
Il participe ainsi à protéger vos vertèbres contre les outrages du temps et des mauvaises positions.
Et vous Messieurs, les ringards accrochés à vos certitudes d’une autre époque, vous auriez tout à gagner à vous servir des machines et de certains exercices que vous considérez comme « féminins ».
C’est dans la diversité que l’on obtient un physique complet et harmonieux.
Travaillez vos adducteurs à la machine et vous verrez à quel point ce travail peut améliorer vos performances lors de vos flexions au squat ou à la presse.
Ça fait 20 ans que vous faites la même chose, regardez-vous, ça va ?
Avec objectivité, vous trouvez que chacune des séances a été efficientes ?
1000 séances de développé militaire le bassin en avant, le corps oblique à 70° pour vous aider du faisceau claviculaire des pectoraux, en descendant la barre à mi-chemin et en verrouillant les coudes pour mettre encore plus de poids et montrer à quel point vous êtes fort.
N’y a-t-il pas une sorte d’acharnement à continuer à faire ce qui ne marche pas ou plus ?
Simplement par idéologie…
La répartition de vos masses musculaires est-elle égale ?
Chaque faisceau de chaque muscle est-il harmonieusement équilibré ?
C’est certainement ce qui vous donne la légitimité pour décréter que tel ou tel exercice n’est bon que pour les femmes.
A hurler son honnêteté, on finit par se persuader soi-même de son intégrité mais ça ne fait pas de vous pour autant un homme de foi.
En conclusion, utilisez tout ce que la culture physique vous offre comme exercices, techniques et matériels pour obtenir un physique esthétique, harmonieux et possédant des qualités physiques optimales et équilibrées.
Vous devez d’ailleurs tout faire, si vous êtes évidemment en capacité physique de le faire, pour prétendre maîtriser le sujet.
La culture physique ne se résume pas à 10 mouvements, elle est bien plus riche.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Connaissez-vous cette expression ?
Une sorte de projection dans le futur.
Vous voyez ainsi clairement ce que l’avenir vous réserve.
Ne voyez pas dans mon article un soupçon de misogynie ou de jugement de valeur.
D’ailleurs, nous aurions pu tout aussi bien inverser le genre et intituler cet article :
Je partage donc avec vous l’analyse, mon analyse de cette expression qui possède un fond de vérité mais qui n’est évidemment pas la règle.
Il y a deux idées importantes qui soulèvent pour moi de grands intérêts dans ce sujet.
Cette espèce de phénomène qui fait de nous parfois la réplique d’un autre individu.
Ce drôle de phénomène de « duplication » nourrit par le mimétisme, l’éducation, la culture, la génétique, l’épigénétique et peut-être même au-delà, par l’état vibratoire.
Parfois même aussi engendré par une relation d’admiration évoluant dans certains cas vers une « connexité » ultra fusionnelle qui dérive fâcheusement vers un attachement aux relents nauséabonds de manipulation.
Le second point serait que nous posséderions le libre arbitre.
Nous aurions la main sur notre destinée et par conséquent, la capacité à se défaire des entraves d’une personnalité envahissante, trop présente, « phagocytante ».
Concernant le premier point, vous pourrez effectivement avoir une image assez juste de ce que deviendra votre épouse.
Vous aurez donc une idée précise sur le fond mais pas toujours sur la forme.
Bien sûr, l’époque n’est pas la même, une génération les sépare, 20 à 25 ans de culture et d’habitudes sociales élaborent un clone « nouvelle génération ».
Ainsi, la dulcinée prendra des contours différents qui peuvent parfois être des leurres qui vous empêcheront de voir la triste réalité.
Leur cohabitation incessante, leur rapport omniprésent et la transmission chirurgicale des enclumes de la maman, comprenez de l’expérience de souffrance, auront raison de ce qui restait de personnalité de votre future épouse.
Elle aura été formatée à l’image de sa mère, celle-ci ayant été un merveilleux professeur.
Et curieusement, petit à petit, avec les années, même la forme, le contour épousera celui de la mère.
Le copier-coller s’immiscera à tous les niveaux, dans la démarche, la posture, la forme ou la méforme physique.
La matriarche étant tellement complexée par sa culotte de cheval, le poids qu’elle a perdu et qu’elle a repris 100 fois, sa détestation des hommes et toute la souffrance que ces derniers lui ont fait subir.
Elle sera omniprésente, envahissante pourrais-je dire.
Je vous l’assure, d’ores et déjà, attendez-vous à vivre avec les deux femmes…
…ou fuyez avec la promesse de ne jamais revenir.
Quant il y a séparation d’esprit, lorsqu’il y a scission avec le monstre égoïque (la maman*), alors, il se produit un phénomène chez votre future épouse.
*Bien évidemment, les Mamans sont merveilleuses dans la grande majorité des cas.
Je ne parle pas de la séparation de corps, celle qui fait qu’on ne se côtoie plus.
Non, je parle de la séparation de l’esprit, de la non adhésion à l’emprise Maternelle.
La jeune fille, votre future épouse, a compris l’influence, l’emprise et les agissements.
Elle a parfaitement cerné ce comportement qui pourrait passer pour un amour débordant et inconditionnel mais qui en fait, est un condensé de ce que génère l’égo.
Vous pourrez alors toujours regarder sa mère mais pas pour les mêmes conclusions.
Je voudrais d’ailleurs remercier ma compagne pour ce trait d’observation, cette deuxième analyse, qui m’a beaucoup aidé pour rédiger cet article.
Elle en est l’illustration parfaite.
En conclusion, durant mes quelques décennies d’observation socio-familiale, rien de scientifique, juste de l’observation, j’ai pu voir quelques cas de fusions malsaines de mère et de fille mais également de père et de fils.
Créer des enfants à sa propre image en leur transmettant nos travers, nos regrets, nos rancœurs, c’est souvent créer des « monstres ».
Nous sommes parents, nous faisons souvent ce que nous pouvons, les circonstances nous l’imposent, notre propre vie nous influence, notre expérience dicte nos décisions.
Observons nous intimement avec une grande attention.
Pourquoi agissons nous ainsi avec nos enfants ?
Libérez vos enfants et libérez-vous de vos parents mais toujours dans l’amour.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Il semblerait que l’apéro soit une des activités majeures autour de la convivialité et du partage.
Une activité incontournable, une pratique sociale, sociable, « sociabilisante » particulièrement aux beaux jours… Mais pas seulement…
L’alcool est la colonne vertébrale de l’apéro.
Quasi impossible d’organiser un apéro sans alcool.
Si tu ne bois pas d’alcool, tu n’es pas le bienvenu.
Faire l’apéro en buvant du Perrier ou du lait fraise est considéré comme un manquement grave à la déontologie du bon vivant.
A ce propos, je vous invite à lire mon article sur ce sujet:
Boissons | Quantité | Kcal par portion |
Vin rouge 12 ° | 1 verre de 10 cl | 70 |
Vin blanc sec | 1 verre de 10 cl | 70 |
Champagne brut | 1 flûte de 10 cl | 70 |
Kir | 1 verre de 8 cl | 75 |
Izarra | 1 verre de 3,5 cl | 105 |
Martini | 1 verre de 8 cl | 120 |
Ambassadeur | 1 verre de 8 cl | 112 |
Cinzano | 1 verre de 8 cl | 112 |
Pizang/jus d’orange | 1 verre de 15 cl | 156 |
Triple sec Curaçao 1 verre de 3, 5 cl | 1 verre de 3,5 cl | 106 |
Rhum agricole | 1 verre de 2,5 cl | 70 |
Porto | 1 verre de 5 cl | 90 |
Sherry doux | 1 verre de 5 cl | 77 |
Sherry dry | 1 verre de 6 cl | 51 |
Whisky | 1 verre de 4 cl | 110 |
Cognac | 1 verre de 3 cl | 70 |
Vodka/coca | 1 verre de 15 cl | 122 |
Bière Pils | 1 bouteille de 25 cl | 110 |
Kriek lambic | 1 verre de 20 cl (la bouteille de 25 cl) | 96 (116) |
Duvel | 1 verre de 15 cl (la bouteille de 33 cl) | 93 (204) |
Guinness Stout | 1 verre de 16,5 cl (la bouteille de 33 cl) | 115 (214) |
Chimay Brune | 1 verre de 14 cl (la bouteille de 33 cl) | 97 (230) |
Trappiste de Rochefort | 1 verre de 15 cl (la bouteille de 33 cl) | 114.5 (252) |
Vieux temps Blonde | 1 bouteille de 25 cl | 102 |
Abbaye de Leffe Brune | 1 verre de 19,5 cl (la bouteille de 25 cl) | 109 (137) |
Geuze Lambic | la bouteille de 25 cl | 103 |
Stella light | la bouteille de 25 cl | 90 |
Cidre | 1 verre de 15 cl | 50 |
Pineau | 1 verre 4cl | 50 |
Apéritif de base | 1 verre 4cl | 54 |
Apéritif à la gentiane | 1 verre 4cl | 60 |
Champagne | Flute en moyenne | 100 |
Pastis | 1 verre 4cl | 110 |
Madère | 1 verre 7cl | 112 |
Punch / Sangria | 1 verre 8 cl | 150 |
Muscat | 1 verre 15 cl | 240 |
Soda ordinaire | 1 bouteille de 33 cl | 130 |
Chips en tout genre, gâteaux apéritifs frits et croustillants aux arômes de bacon et autres saveurs exotiques.
Cacahouètes grillées et salées, mélanges de fruits secs, olives, tapas, fromages type « Apéricubes »… parfois quelques légumes crus… »
Aliments | Nombre de Calories (pour 100G) |
Bretzels | 370 Kcal |
Gressins | 400 Kcal |
Pop-corn | 420 Kcal |
Crêpes fourrées | 430 Kcal |
Galettes de maïs | 460 Kcal |
Soufflés goût cacahuètes | 470 Kcal |
Crackers (moyenne) | 500 Kcal |
Snacks pizza | 480 Kcal |
Frites | 480 Kcal |
Pétales | 490 Kcal |
Tortilla chips | 500 Kcal |
Chips de crevettes | 530 Kcal |
Tuiles | 540 Kcal |
Chips | 560 Kcal |
Mini-choux | 570 Kcal |
Mélange graines salées/raisins secs | 460 Kcal |
Cacahuètes | 600 Kcal |
Pistaches | 600 Kcal |
Noix de cajou | 600 Kcal |
Amandes | 600 Kcal |
Noisettes | 600 Kcal |
Noix de pécan | 600 Kcal |
Olives vertes en saumure | 120 Kcal |
Sauce mexicaine | 40 Kcal |
Sauce chili | 40 Kcal |
Guacamole | 200 Kcal |
Tapenade | 260 Kcal |
Olives à l’huile d’olives | 180 Kcal |
Olives noires en saumure | 290 Kcal |
Gougères | 360 Kcal |
Olives noires à la grecque | 340 Kcal |
Tartelette | 290 à 330 Kcal |
Feuilletés | 280 à 330 Kcal |
Petits fromages | 275 Kcal |
Pain surprise | 260 à 300 Kcal |
Canapés traiteur | 230 Kcal |
Saucisses cocktail | 250 Kcal |
L’énergie issue de l’alimentation s’appelle calories, plus précisément kcalories ou kjoules.
Sans bénéfice pour votre organisme donc pour votre santé.
C’est même évidemment tout le contraire.
On ne peut pas dire non plus que les calories issues des amuse-gueules aient des qualités nutritionnelles de premier ordre.
Un apéro:
Léger ce sera jusqu’à 500 calories.
Moyen entre 500 et 1000 calories.
Costaud au-delà de 1000 calories.
De la mort, plus de 2000 calories.
L’énergie consommée ci-dessous s’entend dans des conditions de pratique, je précise, active !
Non pas comme est pratiqué le cardio training par la majorité des adhérents dans les salles de fitness c’est à dire mollement, sans conviction, pour tuer le temps ou en piétinant sans amplitude sur un stepper.
Activité ou sport / heure | 60 kg | 70 kg | 85 kg |
Aquabiking (vélo dans l’eau) | 501 | 588 | 714 |
Aquagym (aqua-aérobic) | 236 | 281 | 345 |
Aviron, position assise, allure lente | 413 | 493 | 604 |
Aviron, position assise, allure modérée | 502 | 598 | 733 |
Aviron, position assise, allure très vigoureuse | 708 | 844 | 1035 |
Aviron, position assise, allure vigoureuse | 561 | 669 | 819 |
Aérobic, enseignement dans une classe | 354 | 422 | 518 |
Aérobic, faible impact | 295 | 352 | 431 |
Aérobic, fort impact | 413 | 493 | 604 |
Aérobic, général | 384 | 457 | 560 |
Badminton, en compétition | 413 | 493 | 604 |
Badminton, hors compétition | 266 | 317 | 388 |
Baseball | 295 | 352 | 431 |
Basket-ball, arbitrage | 413 | 493 | 604 |
Basket-ball, en fauteuil roulant | 384 | 457 | 561 |
Basket-ball, en match | 472 | 563 | 690 |
Basket-ball, général | 354 | 422 | 518 |
Basket-ball, tirs aux paniers | 266 | 317 | 388 |
Billard | 148 | 176 | 216 |
Bobsleigh | 413 | 493 | 604 |
Bowling | 177 | 211 | 259 |
Boxe, entraînement (mode sparring partner) | 531 | 633 | 776 |
Boxe, frappant les sacs | 354 | 422 | 518 |
Boxe, sur le ring, général | 708 | 844 | 1035 |
Broomball, ballon-balai, ballon sur glace | 413 | 493 | 604 |
Canoë-kayak, allure lente | 177 | 211 | 259 |
Canoë-kayak, allure modérée | 413 | 493 | 604 |
Canoë-kayak, en équipe, mode compétition | 708 | 844 | 1035 |
Catch, lutte | 354 | 422 | 517 |
Club de remise en forme, exercices, général | 325 | 387 | 474 |
Corde à sauter, allure lente | 472 | 563 | 690 |
Corde à sauter, allure modérée, général | 590 | 704 | 863 |
Corde à sauter, allure rapide | 708 | 844 | 1035 |
Course d’orientation | 531 | 633 | 775 |
Course à pied | 384 | 457 | 561 |
Course à pied, 10,8 km/h | 649 | 774 | 949 |
Course à pied, 11,25 km/h | 679 | 809 | 992 |
Course à pied, 12 km/h | 738 | 880 | 1078 |
Course à pied, 13 km/h | 797 | 950 | 1165 |
Course à pied, 13,8 km/h | 826 | 985 | 1208 |
Course à pied, 14,5 km/h | 885 | 1056 | 1294 |
Course à pied, 16 km/h | 944 | 1126 | 1380 |
Course à pied, 17,5 km/h | 1062 | 1267 | 1553 |
Course à pied, 8 km/h | 472 | 563 | 690 |
Course à pied, 9,5 km/h | 590 | 704 | 863 |
Course à pied, cross country | 531 | 633 | 776 |
Course à pied, en montant les escaliers | 885 | 1056 | 1294 |
Course à pied, général | 472 | 563 | 690 |
Course à pied, sur une piste, pratique en équipe | 590 | 704 | 863 |
Courses de chevaux, galopant | 472 | 563 | 690 |
Cricket | 295 | 352 | 431 |
Croquet | 148 | 176 | 216 |
Crosse | 472 | 563 | 690 |
Curling | 236 | 281 | 345 |
Cyclisme, 19 à 22 km/h, allure modérée | 472 | 563 | 690 |
Cyclisme, 22 à 25 km/h, allure vigoureuse | 590 | 704 | 863 |
Cyclisme, 25 à 30 km/h, très rapide, en course | 708 | 844 | 1035 |
Cyclisme, < 16 km/h, loisirs | 236 | 281 | 345 |
Cyclisme, > 32 km/h, courses | 944 | 1126 | 1380 |
Cyclisme, de 16 à 19 km/h, allure lente | 354 | 422 | 518 |
Cyclisme, VTT en montagne ou BMX | 502 | 598 | 733 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure lente | 325 | 387 | 474 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure modérée | 413 | 493 | 604 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure très lente | 177 | 211 | 259 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure très vigoureuse | 738 | 880 | 1078 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure vigoureuse | 620 | 739 | 906 |
Cyclisme, vélo d’appartement, général | 295 | 352 | 431 |
Danse (aérobic, ballet ou moderne) | 354 | 422 | 518 |
Danse (salle de bal, lente) | 177 | 211 | 259 |
Danse (salle de bal, rapide) | 325 | 387 | 474 |
Danse de salon (en couple), lente | 177 | 211 | 258 |
Danse de salon (en couple), rapide | 325 | 387 | 474 |
Danse, général | 266 | 317 | 388 |
Descendre l’escalier en marchant | 177 | 211 | 258 |
Dormir | 37 | 43 | 54 |
Déménager (déballant les cartons) | 207 | 246 | 301 |
Entraînement en circuit, général, peu de repos | 472 | 563 | 690 |
Equitation, général | 236 | 281 | 345 |
Equitation, marche | 148 | 176 | 216 |
Equitation, trot | 384 | 457 | 561 |
Escalade, varappe, ascension de rochers | 649 | 774 | 949 |
Escalade, varappe, descente en rappel | 472 | 563 | 690 |
Escrime | 354 | 422 | 518 |
Etirements, hatha yoga | 236 | 281 | 345 |
Etirements, léger | 148 | 176 | 215 |
Exercices corporels, à la maison, allure légère ou modérée | 266 | 317 | 388 |
Exercices corporels, à la maison, allure vigoureuse | 472 | 563 | 690 |
Football (exercices, course drapeaux, général) | 472 | 563 | 690 |
Football, mode compétition | 590 | 704 | 863 |
Football, occasionnel, général | 413 | 493 | 604 |
Frisbee (mode rythmé) | 207 | 246 | 302 |
Frisbee, général | 177 | 211 | 259 |
Frisbee, ultimate | 480 | 560 | 680 |
Gainage (sur les mains) | 410 | 480 | 580 |
Golf (mini-série ou frapper au loin) | 177 | 211 | 259 |
Golf (tirant les clubs) | 295 | 352 | 431 |
Golf (transportant des clubs) | 325 | 387 | 474 |
Golf (utilisant le chariot) | 207 | 246 | 302 |
Golf, général | 236 | 281 | 345 |
Gymnastique suédoise, maison, effort léger/modéré | 210 | 245 | 298 |
Gymnastique, général | 236 | 281 | 345 |
Haltérophilie, allure modérée | 177 | 211 | 259 |
Haltérophilie, allure vigoureuse | 354 | 422 | 518 |
Handball (jeu en équipe) | 472 | 563 | 690 |
Handball, général | 708 | 844 | 1035 |
Hockey sur gazon | 472 | 563 | 690 |
Hockey sur glace | 472 | 563 | 690 |
Jardinage, général | 295 | 352 | 431 |
Jaï-alaï (pelote basque) | 720 | 840 | 1020 |
Jeu de palet, de boulingrin | 177 | 211 | 259 |
Jogging, dans l’eau (aquajogging) | 472 | 563 | 690 |
Jogging, général | 413 | 493 | 604 |
Judo, jujitsu | 590 | 704 | 863 |
Karaté | 590 | 704 | 863 |
Kayak | 295 | 352 | 431 |
Kick Boxing | 590 | 704 | 863 |
Kickball | 420 | 490 | 595 |
Laver le chien | 207 | 246 | 302 |
Les Mills BodyAttack | 475 | 554 | 672 |
Les Mills BodyBalance/BodyFlow | 232 | 270 | 328 |
Les Mills BodyCombat | 481 | 561 | 682 |
Les Mills BodyPump | 325 | 379 | 460 |
Les Mills BodyStep | 478 | 558 | 677 |
Les Mills Grit | 549 | 641 | 778 |
Les Mills RPM | 449 | 524 | 637 |
Lire (en s’asseyant) | 67 | 79 | 97 |
Luge | 413 | 493 | 604 |
Marche rapide (ex. : parade militaire) | 384 | 457 | 561 |
Marcher/Courir, jouant avec enfant, allure modérée | 236 | 281 | 345 |
Marcher/Courir, jouant avec enfant, allure vigoureuse | 295 | 352 | 431 |
Natation sychronisée | 472 | 563 | 690 |
Natation, brasse papillon, général | 660 | 770 | 935 |
Natation, brasse, général | 590 | 704 | 863 |
Natation, dos, général | 472 | 563 | 690 |
Natation, laps, allure modérée | 472 | 563 | 690 |
Natation, laps, allure rapide | 590 | 704 | 863 |
Natation, papillon, général | 649 | 774 | 949 |
Natation, pour le loisir, général | 354 | 422 | 518 |
Natation, sur place, allure modérée | 236 | 281 | 345 |
Natation, sur place, allure rapide | 590 | 704 | 863 |
Nettoyage (voiture, fenêtres, etc.), lourd et vigoureux | 266 | 317 | 388 |
Nettoyage du garage, du trottoir | 236 | 281 | 345 |
Nettoyage du sol, utilisant mains et genoux | 325 | 387 | 474 |
Nettoyage, allure lente ou modéré | 148 | 176 | 216 |
Nettoyage, dans la maison, général | 207 | 246 | 302 |
Parachutisme | 177 | 211 | 258 |
Patinage sur glace, 14 km/h ou moins | 325 | 387 | 474 |
Patinage sur glace, allure rapide (> 14 km/h) | 531 | 633 | 776 |
Patinage sur glace, allure rapide (mode compétition) | 885 | 1056 | 1294 |
Patinage sur glace, général | 413 | 493 | 604 |
Patinage, roller | 413 | 493 | 604 |
Pelleter la neige, à la main | 354 | 422 | 518 |
Pilates | 150 | 175 | 213 |
Plongée en apnée (snorkeling) | 295 | 352 | 431 |
Plongée sous-marine, général | 413 | 493 | 604 |
Polo | 472 | 563 | 690 |
Pompes, intense | 474 | 553 | 672 |
Port de charges lourdes (comme des briques) | 472 | 563 | 690 |
Porter entre 12 et 22 kilos en montant l’escalier | 472 | 563 | 690 |
Porter entre 7 et 11 kilos en montant l’escalier | 354 | 422 | 517 |
Pousser ou tirer une poussette avec enfant | 148 | 176 | 216 |
Promenade à pied, 3 km/h, allure lente | 148 | 176 | 216 |
Promenade à pied, 5 km/h, allure modérée | 207 | 246 | 302 |
Promenade à pied, 5,5 km/h, en montée | 236 | 281 | 345 |
Promenade à pied, 6,5 km/h, allure très rapide | 354 | 422 | 518 |
Promenade à pied, en montant | 472 | 563 | 690 |
Promenader à pied, moins de 3 km/h, allure très lente | 118 | 141 | 172 |
Promener le chien | 177 | 211 | 258 |
Pédalo | 236 | 281 | 345 |
Racketball, jeu normal | 413 | 493 | 603 |
Racketball, mode compétition | 590 | 704 | 862 |
Rafting | 295 | 352 | 431 |
Rameur; allure lente | 207 | 246 | 302 |
Rameur; allure modérée | 413 | 493 | 603 |
Rameur; allure rapide | 502 | 598 | 733 |
Rameur; allure très rapide | 708 | 844 | 1035 |
Randonnée pédestre, cross country | 354 | 422 | 518 |
Raquette (sur neige) | 472 | 563 | 690 |
Ratisser la pelouse | 236 | 281 | 345 |
Redressement assis, intense | 474 | 553 | 672 |
Repeindre la maison à l’extérieur | 295 | 351 | 431 |
Rugby | 590 | 704 | 863 |
Réparation automobile | 177 | 211 | 259 |
S’asseoir dans une classe, travail de bureau | 104 | 123 | 152 |
Saut à ski (montée au lieu du saut en emportant les skis) | 413 | 493 | 604 |
Sauts avec écart (Jumping Jack), intense | 498 | 581 | 706 |
Skateboard | 295 | 352 | 431 |
Ski sur l’eau, ski nautique | 354 | 422 | 518 |
Ski sur neige, général | 413 | 493 | 604 |
Ski, en descente, allure lente | 295 | 352 | 431 |
Ski, en descente, allure modérée | 354 | 422 | 518 |
Ski, en descente, allure vigoureuse | 472 | 563 | 690 |
Ski, ski de fond, allure course | 826 | 985 | 1208 |
Ski, ski de fond, allure lente | 413 | 493 | 604 |
Ski, ski de fond, allure modéré | 472 | 563 | 690 |
Ski, ski de fond, allure vigoureuse | 531 | 633 | 776 |
Ski, ski de fond, en montée | 974 | 1161 | 1423 |
Snowboard | 372 | 434 | 527 |
Softball, arbitrage | 240 | 280 | 340 |
Softball, lancer rapide ou lent | 295 | 352 | 431 |
Sortir la poubelle | 177 | 211 | 258 |
Spinning | 420 | 490 | 595 |
Squash | 708 | 844 | 1035 |
Step, intense | 400 | 420 | 450 |
Stepper, machine simulateur d’escalier | 531 | 633 | 775 |
Surf (couché ou debout sur la planche) | 177 | 211 | 259 |
Séance de jeu avec enfant, mouvements légers | 148 | 176 | 216 |
Tae Bo | 606 | 707 | 859 |
Tae Kwon Do | 590 | 704 | 863 |
Tai chi | 236 | 281 | 345 |
Tennis de table, ping-pong | 236 | 281 | 345 |
Tennis, double | 354 | 422 | 518 |
Tennis, général | 413 | 493 | 604 |
Tennis, simple | 472 | 563 | 690 |
Tir à l’arc (en tant que sport et non en situation de chasse) | 207 | 246 | 302 |
Tondre la pelouse, général | 325 | 387 | 474 |
Tractions (exercice de musculation), intense | 456 | 532 | 646 |
Trampoline | 207 | 246 | 302 |
Travail (léger) dans un bureau | 89 | 106 | 130 |
Travailler sur l’ordinateur | 81 | 96 | 119 |
Travaux d’électricité, plomberie | 177 | 212 | 259 |
Tâches ménagères, faire le ménage, général | 207 | 246 | 302 |
Voile, bateau, planche à voile, général | 180 | 210 | 255 |
Voile, en mode compétition | 295 | 352 | 431 |
Voile, planche à voile, général | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball dans l’eau | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball, hors compétition | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball, mode compétition, dans un gymnase | 236 | 281 | 345 |
Volley-ball, à la plage | 472 | 563 | 690 |
Vélo elliptique (allure modérée) | 410 | 477 | 580 |
Vélo elliptique (allure vigoureuse) | 485 | 566 | 687 |
Water polo | 590 | 704 | 863 |
Wii | 210 | 245 | 298 |
Zumba | 350 | 370 | 400 |
Pour un apéro léger d’environ 500 calories, soit 2 coupes de Champagne, une poignée de cacahuètes et de pistaches et quelques gâteaux apéritifs, il vous faudra courir environ 1 heure 30mn.
Pour un apéro de la mort, soit 2000 calories minimum, vous pourrez soit courir 6 à 10 heures (c’est-à-dire environ 3 marathons!!!), ou alors nager 4 à 6 heures de crawl rapide.
Vous en sentez-vous capable?
Vous pourrez bien faire tout le sport et les activités que vous voudrez que vous ne parviendrez pas à rééquilibrer les balances apports / dépenses.
Regardez les individus qui boivent régulièrement ce qu’ils deviennent…
Je ne peux plus regarder d’images sur les réseaux sociaux censées nous faire rire et qui mettent en scène des personnes alcoolisées.
Sans parler des dégâts physiques, neuronaux, psychologiques, socio-familiaux et professionnels.
C’est festif, branché, social, génial mais tellement insidieux.
Une forme d’esclavagisme, consentant au départ, une merveilleuse manipulation de plus qui a fait ces preuves chez tellement de peuples durant l’histoire récente de l’humanité.
A 20 ans, Estelle ne buvait jamais.
D’ailleurs, elle détestait l’alcool.
Puis, pour faire comme les autres, pour « faire partie du groupe » elle a commencé à boire un verre occasionnellement.
Elle s’est rendue compte qu’un petit verre la désinhibait…
Et puis, progressivement, ces petits verres de rouge, blanc ou de rosé sont devenus une vraie source de plaisir !
A maintes reprises, elle a bien essayé d’arrêter car finalement, c’est un peu comme la cigarette…
Ça coûte cher et puis on le sait, c’est mauvais pour la santé !
Mais c’est difficile, voire même, semblerait-il, impossible d’arrêter tant l’influence des autres impacte notre comportement.
Parce que vous comprenez, le soir, après une longue journée de travail, un petit verre ou deux ça détend.
Nombreux sont ceux qui se retrouvent dans la même situation qu’Estelle. Peut-être vous reconnaissez-vous…
Essayez d’être honnête avec vous-même.
Et je saisis l’opportunité de cette confrontation avec vous-même pour vous poser LA question :
Vous savez, lorsque vous n’arrivez plus à vous en passer…
Je vous entends déjà… : « Moi ? Alcoolique ? Jamais de la vie ! Je peux m’en passer sans problème ! »
Une petite parenthèse pour vous rappeler la définition « d’alcoolique » :
« C’est une personne qui boit avec excès et de façon habituelle des boissons alcooliques. »
Est-ce deux verres ? Trois verres ? un apéritif et deux verres ?
Je vous propose donc un petit défi cette semaine : buvez « zéro » goutte d’alcool et voyez comment cela vous affecte…
ou encore mieux…
Mais… en êtes-vous seulement capable ?
Êtes-vous prêts à relever le défi ?
Ce que je vous explique, vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir !
Philippe LAMACHE, co écrit avec Barbara RATKOFF
P.S. Bientôt, je publierai un nouvel article qui définira les bienfaits de l’arrêt total de l’alcool
Les buts, les objectifs sont des données récurrentes dans la littérature qui concerne le développement personnel.
Les auteurs à succès du genre vous incitent à avoir de grands rêves, de grands objectifs.
Pensez milliards si vous voulez devenir riche, pensez Porsche, Mercedes ou Ferrari si vous voulez changer de voiture, pensez château si vous voulez changer de maison…
Cherchez vous trouverez.
Demandez et vous recevrez.
Frappez et l’on vous ouvrira.
Tout est ainsi possible !
Mais finalement, après lecture, que reste-t-il de tous ces « best-sellers » sur le développement personnel, sur la spiritualité, sur le bien-être et la positivité vendus à des millions d’exemplaires ?
Est-ce que tous ces principes, ces belles philosophies qui nous ont tant passionné pendant la lecture, restent intacts dans notre esprit et dans notre cœur ?
Mettons-nous en application ces merveilleux principes censés nous guérir, censés nous épanouir amoureusement, censés faire de nous des individus riches et influents à tous points de vue ?
Il me semble que ce livre à été vendu à près de 50 millions d’exemplaires.
Qui en a retenu l’essence ?
De toute évidence pas grand monde…
Il y a une espèce d’évaporation de la motivation: plus s’éloigne la lecture et plus la foi s’évanouie.
Mais qu’est-ce qui se passe ?
Il y a pourtant des témoignages de gens devenus heureux, riches, connus, des individus qui ont recouvré une santé exceptionnelle etc. etc.
« Je ne comprends pas, j’ai pourtant fait tout ce qu’on m’a dit de faire ! »
On vous demande de matérialiser ce que vous souhaitez, de faire grandir un désir ardent, de l’écrire, de le dessiner, de créer un « dream book », de méditer, de réciter des mantras etc.
Et cela peu importe le domaine dans lequel vous voulez prospérer.
Que vous ayez le souhait de perdre du poids, de réduire votre taux de graisse, d’augmenter votre masse musculaire… ou d’améliorer vos performances physiques.
Vraiment, peu importe ce que vous souhaitez obtenir, que ce soit dans le domaine professionnel, dans l’évolution de vos finances, dans vos relations ou dans votre développement personnel.
Ou si rarement…
De mon point de vue, là où le bât blesse et je pense que c’est une donnée essentielle, vous devez vous fixer des objectifs à votre mesure.
Des objectifs accessibles, quitte à les reconsidérer par la suite, à les réviser régulièrement.
Lorsque la montagne est trop haute à gravir, ont fini par renoncer.
Comprenez-vous ?
Trop d’ambition tue l’ambition.
Je parle d’une ambition qui n’est pas mesurée, une sorte d’état euphorique, capable de vous convaincre et de convaincre votre entourage, à tort.
Une ambition qui se révèle inconsistante.
Elle vous fait croire que vous avez déjà accès à la béatitude, aux manifestations sans limite.
Je vois souvent des individus exaltés, dont le besoin de transmettre et de partager les informations devient une sorte de sacerdoce subite.
Une mission divine.
C’est souvent ce que déclenche le début de l’apprentissage, que ce soit par les livres, les audio, les vidéos ou les enseignements de personne à personne.
Lorsque l’on touche du doigt ce que semble être l’ouverture d’esprit, on pense alors avoir découvert la lumière.
Ces objectifs inaccessibles censés exalter votre motivation deviennent de belles chimères qui s’estompent peu à peu emportant les quelques illusions qui vous restaient.
Je ne dis pas qu’il ne faut pas avoir d’ambition mais simplement une ambition juste, à notre portée, une ambition qui ne nous fasse pas douter.
J’exprime simplement que, lorsque celle-ci est proche, accessible, que le résultat est là, à proximité, que l’on peut sentir déjà le goût de la réalisation et que l’on peut presque déjà voir les manifestations, alors, on sait que l’on va réussir, sans aucun doute, sans la moindre intention contraire.
En conclusion.
Morcelez vos rêves, vos désirs en des étapes réalisables.
Et c’est certainement le moyen le plus sûr d’arriver jusqu’en haut.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
L’époque est formidable, nous avons accès à la connaissance partout, tout le temps et sur tous les sujets que l’on souhaite approfondir.
C’est vraiment une période incroyable, tout le monde sait tout sur tout.
Tout le monde est devenu expert.
Vous comprendrez que c’est avec une pointe d’ironie que je démarre cet article.
Je pense, en fait, que nous n’en savons pas plus, nous nous noyons dans la confusion la plus générale.
Je pense même que la plupart d’entre nous en savent de moins en moins.
Les ragots sont parfois colportés avec de bonnes intentions, sans savoir que l’information est erronée.
D’autres fois, la volonté est intentionnellement de créer la discorde et la confusion.
On finit par faire une indigestion, un espèce de « burnout » de l’information, une dépression de la pseudo connaissance.
Nous ne sommes même plus attentifs à notre libre arbitre, notre ressenti, à ce que nous dit notre cœur.
Sous les flots déchaînés « mainstream » du savoir à tout prix, parfois du savoir « low cost », il devient hasardeux de croiser les informations.
On a parfois cessé de croiser l’information avant de tomber sur les 10 % d’éléments corrects.
Et parfois même, les informations correctes sont tellement peu relayées qu’elles pourraient passer pour de mauvaises données.
Lorsque je vois qu’un chien qui pète fait 30 millions de vues sur YouTube, qu’une nana est suivie par 2 ou 3 millions de personnes et que sa seule compétence apparente est qu’elle a de gros seins, qu’un rappeur américain réputé pour son style médiocre fait en moyenne 30 millions de vues à chacun de ses clips, il me semble qu’il y a vraiment un réel problème.
Je ne détiens certes pas la vérité, en tous cas, j’ai la foi en ce que je pense et en ce que je fais, c’est la moindre des choses.
Merci de me lire et de m’écouter, j’en suis vraiment honoré.
Je suis comme tant d’autres, un simple canal qui puise ses connaissances à la source où chacune et chacun peut se servir.
Ma mission est de transmettre des informations avec le plus d’intégrité possible et avec foi.
Je vous demande juste et avant tout, de vous servir de votre libre arbitre et d’assimiler ainsi ce qui sort de mon esprit, à votre gré, avec votre expérience, votre patrimoine intellectuel et spirituel
Poser des questions est donc une attitude tout à fait correcte qui dénote un esprit d’ouverture, d’échange et d’enseignabilité.
Par conséquent, y répondre avec correction et transmission, est certainement la moindre des choses.
C’est ce que je continuerai toujours à faire lorsque l’oreille sera attentive.
Pourquoi poser des questions avec un manque évident d’attention ?
Êtes-vous toujours dans cet état d’esprit inconstant, cette instabilité permanente ?
Est-ce cette époque où l’on obtient tout et n’importe quoi d’un clic qui génère ce genre d’attitude?
Vous demandez mais vous n’êtes pas prêt à recevoir.
Je parle en mon nom mais également au nom de tous ceux à qui vous faites perdre du temps.
Transmettre du savoir a une valeur, c’est de l’énergie et c’est un bien précieux.
« L’économie du savoir, l’économie de la connaissance, l’économie de l’immatériel ou encore le capitalisme cognitif, est, selon certains économistes, une nouvelle phase de l’histoire économique. »
Il y a de cela quelques années, j’ai recadré un garçon qui me posait continuellement des questions à chaque fois qu’il me voyait mais sans jamais mettre en application ce que je lui disais.
Il me demandait ce que je pensais de telles ou telles pratiques alimentaire ou d’entraînement, de tels ou tels exercices et il exprimait le désir d’être corrigé…
Je peux comprendre qu’il ne soit pas en accord avec mes principes mais alors pourquoi me poser tant de questions et parfois les mêmes de façon récurrente
Beaucoup se comportent ainsi.
Serait-ce de la stupidité, le besoin d’être rassuré, une espèce de soif égocentrique que l’on s’occupe d’eux, que l’on soit attentif à leur personnes….
Cessez de nous importuner, de nous faire perdre notre temps…
Ne nous posez plus de questions.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
La démarche de fréquenter une salle de sport est au départ certainement pleine de sens et nourri d’espoir.
Vous avez des objectifs qui sont peut-être de perdre du poids, de vous tonifier, de vous muscler, d’avoir un ventre sexy, des fesses galbées et dures, d’améliorer votre condition physique etc.
Cela représente parfois beaucoup de temps, plusieurs heures par semaine.
Il y a le temps de l’entraînement bien sûr mais également le temps pour vous y rendre, le temps pour vous changer, pour vous doucher…
J’ai commencé à fréquenter les salles de remise en forme à 16 ans, j’en ai 54 aujourd’hui.
Toujours avec une grande régularité.
Durant toutes ces années d’entraînement j’ai vu défiler une majorité de gens distraits qui évidemment ne progressaient quasiment pas.
Pour certains, des années de fréquentation sans résultat…
Ce qui m’a conduit un jour à dire que le Fitness est une escroquerie car finalement le pourcentage de gens qui progressent véritablement est faible, voire très faible.
Cette discipline, pour progresser, vous demande d’être appliqué, concentré, focalisé.
Elle demande de la conscientiser.
Soyez très attentif à ce que je vais écrire maintenant si vous voulez véritablement progresser.
Je ne vais pas vous dévoiler une technique extraordinaire ou un régime miraculeux.
C’est un véritable fléau.
Il vous démobilise et disperse votre attention.
Vous ne prêtez plus aucun intérêt ou si peu à ce que vous êtes en train de faire.
À ce moment là, comprenez que vous n’avez pas le sens des priorités.
Vous n’accordez aucune importance à une activité concrète qui peut améliorer véritablement votre existence.
Vous privilégiez une chimère, vide de fondement, un leurre existentielle qui ne vous apportera fondamentalement rien.
Sur ce point, il est évident que vous vous dispersez, mais de plus, vous imposez très égoïstement au plus grand nombre vos conversations qui la plupart du temps, pour ne pas dire toujours, non aucun intérêt.
Une distraction dont nous nous passerions bien volontiers.
Certains adhérents passent une partie importante de leur temps à discuter.
C’est un choix qui ne va pas de pair avec les résultats.
On peut considérer effectivement qu’une salle de musculation est un lieu de rencontre et de causerie.
Pourquoi pas.
Vous progresserez peut-être en causerie mais ce sera tout.
La discussion ne laisse pas le loisir de vous concentrer sur vos objectifs.
Le temps n’est pas superposable (uniquement pour les physiciens quantiques).
Les discussions vous égarent au même titre que les appels téléphoniques bruyants, elles perturbent les adhérents qui ne souhaitent pas participer à vos débats.
Rappelez-vous que vos discussions n’intéressent que vous.
J’espère que mes propos sont clairs, je ne vous engage pas à être asociaux, je vous dis simplement de rendre votre entraînement efficient.
Cessez d’avoir des excuses pour tout !
C’est une façon de justifier par avance vos échecs.
Je ne peux pas y arriver parce que je suis trop vieux, parce que c’est génétique, parce que je n’ai jamais eu de condition physique et je n’en aurai jamais.
La liste des excuses est non exhaustive.
Quelles sont les vôtres ?
Comprenez-vous dans quel état d’esprit vous vous mettez lorsque vous brandissez les excuses ?
Cela vous déresponsabilise instantanément.
Vous légitimez vos manques de progrès pour de mauvaises raisons.
Quand vous vous retranchez derrière les excuses, c’est terminé, vous mettez un terme à toute évolution.
C’est Terminé, plus d’excuses, ça ne sert à rien !
N’accordez plus d’attention aux autres.
Je m’explique sur ce sujet, je ne parle pas de cette attention bienveillante mais de cette attention qui vous perturbe.
La promiscuité liée au contexte, oblige de se côtoyer intimement dans les salles de fitness.
Vous vous sentez observés, n’est-ce pas !
Vous observez, n’est-ce pas !
L’énergie dont vous avez besoin pour votre entraînement, pour votre progression, nourrit d’autres projets futiles en se portant sur les autres.
Comment est-elle habillée celle-là ?
Pour qui il se prend celui-ci ? Quel prétentieux !
Tout le monde me regarde…
Sans parler de ceux que je décris ci-dessus qui parlent fort accrochés à leur téléphone et à leur conversation de comptoir.
Libérez votre esprit de ce que vous pensez que les autres pensent…
C’est vraiment trop aléatoire, ça n’a aucun intérêt et vous ne saurez de toute façon jamais véritablement ce qu’ils pensent.
Restez focus sur vos objectifs en évitant le plus possible la dispersion.
Mettez-les de côté !
Le ressassement est une véritable torture.
Ressasser est un principe fondamental si vous voulez vous sentir mal.
Vraiment, réfléchissez-y, à chaque fois que vous pensez à vos problèmes, comment vous sentez-vous ?
Ruminer en pensant à ce qui ne va pas, sans forcément agir factuellement pour résoudre les problèmes, vous éloigne du présent.
Non seulement vous ne pourrez les résoudre de cette façon mais de plus, vous polluerez votre entraînement.
Vous venez rajouter des problèmes au problème.
L’ordre est essentiel.
Mais, trimbaler vos soucis comme un fardeau, partout où vous êtes, finira d’un point de vue général par vous épuiser.
Il dispersera une fois de plus votre attention alors que vous devez être focalisé sur votre entraînement et votre progression.
Au cours de toutes ces années d’entraînement dans les nombreuses salles que j’ai fréquenter, j’ai pu observer de manière récurrente que c’était un moyen de déconnexion .
En effet, les adhérents sont souvent très perturbés de ne pas pouvoir utiliser telle ou telle machine parce qu’elle est déjà occupée par d’autres.
Ils se sentent frustrés, ils perdent du temps, ils font chuter l’intensité de leurs entraînements, si intensité il y a bien sûr.
Ils ne savent pas qu’ils peuvent substituer cet exercice à celui-ci ou à cet autre.
Ils piétinent alors plusieurs minutes en attendant que la machine se rende disponible…
Dans certaines salles « low cost » et à certaines heures, la patience est de rigueur.
Ce sont peut-être deux points sur lesquels vous progresserez peut-être, la patience et la tolérance.
Demandez conseil, informez-vous, anticipez pour ne pas devoir faire chuter votre intensité.
Et rappelez-vous que ce n’est pas de la faute de celui qui monopolise la machine; vous êtes responsables, c’est à vous de prévoir l’alternative.
On ne parle pas là de techniques, de capacités physiques particulières, d’aides chimiques.
Ce sont des facteurs d’une importance capitale sur lesquels vous avez un vrai pouvoir.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE