fbpx

Les articles de la catégorie Mental

Est-ce que c’est bon de dire la vérité ?

La vérité, c’est évidemment ce que nous devons dire depuis que nous sommes enfants.

En tout cas, c’est ce que nous ont rabâché nos parents dès que nous avons pu comprendre leur langage.

« Ne mens pas ! »

« Ce n’est pas beau de mentir ! »

« Je t’interdis de me mentir ! »

On nous a même parfois promis l’enfer…

À ce propos, selon l’expression consacrée, il y aurait-il de pieux mensonges

?Certaines vérités qui ne seraient peut-être pas bonnes à dire.

Serait-il finalement permis de mentir d’un point de vue moral ?

Depuis l’Antiquité, cette question taraude les esprits les plus brillants.

Platon et les stoïciens en Grèce, Cicéron et Quintilien à Rome.

Par la suite, même les Pères de l’Église comme Clément d’Alexandrie, Origène, Hilaire de Poitiers et Saint Jean Chrysostome ont traité le sujet.

Plus tard, Augustin avait apporté des éclaircissements sur cette interrogation à travers deux de ses ouvrages consacrés au mensonge :

Le De mendacio et le Contra mendacium.

Y aurait-il différents niveaux, différentes catégories de mensonges ?

Le mensonge « officieux » dont le but serait d’être utile, d’informer mais pas d’alerter…ou parfois même le contraire.

Mensonge toujours parfaitement justifié.

Le mensonge plaisant à des fins humoristiques, simplement pour faire rire…

Celui qui serait pernicieux et qui aurait une ou des intentions malignes, le mensonge qui serait donc toujours condamnable.

Le mensonge de convenance ou de politesse, le mensonge pour ne pas froisser…

Le mensonge pédagogique ou « légendaire » que l’on croit devoir utiliser dans l’intérêt des enfants.

Nous nous sommes vite rendus compte que les éducateurs, parents, frères et sœurs, politiques, institutions en général mentaient et parfois de façon éhontée.

Les mêmes moralistes qui nous disent à quel point le mensonge est mal, en font presque une profession de foi.

Mais mentir, pour celui qui ment intentionnellement, en son âme et conscience, porte nécessairement un fardeau.

Plus ou moins lourd, il faut bien l’avouer et inversement proportionnel à sa foi véritable.

Il sait néanmoins qu’il n’a pas dit la vérité et que cela peut avoir des conséquences, des répercussions et parfois même une réaction en chaîne discordante.

Lorsque les événements passent par le prisme du menteur, il s’opère alors une sorte de distorsion des faits.

Bâtir sur un défaut de vérité, c’est bâtir sur des fondations altérées et friables.

Ce qui aurait pu être limpide se trouble et finit parfois par rendre aveugle.

Je ne parle pas forcément des répercussions pour le menteur lui-même mais des conséquences en chaîne.

Il y a comme cela des histoires célèbres où dans certaines familles, le mensonge a été érigé au rang de « secret de famille » causant d’irréparables dégâts à la descendance.

Et pourtant, le mensonge ne fait pas partie des péchés capitaux….

Derrière le mensonge se terre l’intention et de mon point de vue, c’est l’intention qui rend réellement l’acte pernicieux ou qui le classe au niveau d’un épiphénomène sans véritables conséquences fâcheuses.

C’est l’intention qui fait de vous un manipulateur, un égocentrique ou tout au contraire quelqu’un de bienveillant.

Mais pour quelle raison mentez-vous ?

Il est évident que dans l’absolu, il serait préférable de ne jamais mentir.

Mais vous mentez, alors pourquoi le faites-vous ?

Voulez-vous réellement protéger un tiers de la souffrance ?

Vous voulez absolument, par le mensonge, offrir du bien-être en étant complètement désintéressé ?

Vous mentez donc comme vous feriez un don qui ne serait qu’offrande sans espérer quoi que ce soit en retour ?

Un mensonge compassionnel…

Dans ces conditions, vous imaginez bien que le mensonge est, d’un point de vue éthique et spirituel, tout à fait acceptable.

Même si une fois de plus mentir n’est jamais la bonne solution.

A contrario, si le mensonge est censé vous servir, vous valoriser, si il est érigé dans le but de manipuler, pour nourrir vos propres dessins, s’il crée la discorde et la souffrance, alors, nous sommes sur une des pires malhonnêteté intellectuelle.

Même si l’objet, l’intention n’était pas forcément de faire souffrir vos semblables mais simplement de couvrir votre triste existence, le mensonge n’en sera pas plus absout.

Au-delà de la malhonnêteté intellectuelle c’est de spiritualité qu’il est question.

Le jugement des hommes est une chose mais le jugement dernier en est une autre.

C’est bien de vous avec vous-même dont il est question!

Car en dernière analyse, tous se déroule entre vous et Dieu, vous et l’univers, vous et la force créatrice…

…Vous et vous.

En conclusion, nous ne sommes que de simples humains, là est notre faiblesse mais également notre force.

Nous faisons bien sûr ce que nous pouvons, loin de moi l’idée d’être moraliste, je n’en ai d’ailleurs aucune légitimité.

Quotidiennement, la vie met à l’épreuve notre honnêteté, chaque jour nous vivons de nouvelles expériences.

Nous devons faire le choix du mensonge ou de la vérité et à ce jeu, comme la majorité d’entre vous, je fais de mon mieux.

Faisons en sorte d’être honnête, il y va de notre salut et bien sûr de celui de l’humanité.

Oui c’est bon de dire la vérité !

Ce que je vous explique vous semble logique?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Perdre son ventre après 40 ans

C’est de notoriété publique, plus vous vieillissez et plus le physique se dégrade.

Plus les années passent, particulièrement à l’approche de la ménopause chez les femmes ou en ménopause, et plus il est difficile d’obtenir des résultats.

Chez les hommes le schéma est quasiment le même, mais on appelle ça l’andropause.

Cet état chez l’homme arrive rarement au même âge que la ménopause chez la femme.

Il arrive en général beaucoup plus tard.

Il est à souligner que dans quelques cas, cette « fin de cycle » peux ne jamais arriver chez l’homme et se produire parfois très tardivement chez les femmes, au-delà de 60 ans.

Quoi qu’il en soit, nous sommes tous atteints par la dégénérescence cellulaire, le vieillissement que l’on appelle scientifiquement la « Sarcopénie ».

Nous récupérons moins bien, nous nous réparons moins bien, nous fabriquons moins rapidement du tissu musculaire et le tissu adipeux, le gras, a une tendance à s’accumuler plus rapidement.

Nous perdons progressivement de la souplesse, notre structure s’affaisse et se soude…

La machine s’enraye et se fatigue.

Quel merveilleux tableau !

Le vieillissement est pris comme une fatalité accablante contre laquelle on ne peut pas grand-chose.

On peut le comprendre.

Il est dans l’ordre des choses, c’est un principe biologique, philosophique et spirituel.

Nous naissons, nous vivons et nous mourrons.

Est-ce que nous pouvons freiner le processus ?

Avons-nous un pouvoir quelconque sur ce triste schéma ?

Oui nous avons un pouvoir !

Je le pense sincèrement et je ne suis évidemment pas le seul à le penser.

Vous pouvez agir sur plusieurs facteurs et améliorer considérablement la façon dont vous allez vieillir.

Vous avez pleins pouvoirs sur : Votre état d’esprit, votre alimentation, vos activités physiques et sportives, votre environnement, vos fréquentations.

Comprenez-vous que vous pouvez agir sur votre vie, sur la façon dont vous vieillissez, c’est acté, nous le savons.

Imaginez-vous alors ce que vous pouvez faire pour votre ventre.

C’est tellement facile d’améliorer l’état de son ventre !

Je ne parle pas forcément d’avoir un ventre très musclé avec des abdos super apparents…

… mais au fond, si tel est votre souhait, pourquoi pas.

Je dis simplement que c’est plutôt aisé de diminuer cette couche disgracieuse et de faire de votre ventre, une partie de votre corps tonique et plus sexy.

Reprenez les cinq facteurs déterminants que je décris ci-dessus:

1)Votre état d’esprit

La première des choses serait que vous ayez un vrai désir pour cela.

Une réelle détermination, pas un jour comme une simple lubie mais durant quelques semaines et pourquoi pas toute une vie…

Cela vous évitera de recommencer à zéro à chaque fois.

L’état d’esprit favorable facilite évidemment la réalisation des résultats.

Avoir envie, cultiver votre désir, visualiser vos résultats est le départ du processus.

Comme pour chaque décision importante ou chaque changement de direction, il doit y avoir un déclencheur qui donnera forme au projet.

Une aspiration magistrale qui fera de l’idée de départ un résultat factuel parfaitement matérialisé.

Je veux ardemment, sans aucun doute un ventre plat, beau et tonique… et Je l’obtiens.

2)Votre alimentation

Changez-là !

Ne continuez pas à manger ce que vous mangez habituellement, cette alimentation qui contribue à augmenter votre masse grasse.

Mangez hypocalorique et protéiné pendant quelques temps jusqu’à obtenir les résultats que vous souhaitez.

Voici les liens de deux de mes articles, je pense qu’ils pourront vous aider.

S’alimenter pour la super sèche partie 1

S’alimenter pour la super sèche partie 2

Ensuite vous pourrez basculer sur une alimentation équilibrée qui vous permettra de maintenir les résultats.

Mais vraiment, changez ce qui ne fonctionne pas pour quelque chose qui fonctionne enfin.

Et de grâce, servez-vous de votre réflexion, de votre libre arbitre, ne vous engagez pas dans un ultime régime farfelu.

Voici le lien d’un de mes articles sur ce sujet, qui pourra vous aider.

Le seul régime qui fonctionne à tous les coups !

3)L’activité physique et sportive

Pour améliorer votre sangle abdominale, il faudra forcément faire quelques exercices, de façon répétée et avec passion.

C’est en cultivant son potager avec amour que l’on fini par obtenir des légumes de qualité.

Je ne connais pas d’autre approche.

Vous pouvez bien sûr essayer l’électrostimulation en étant assis dans votre fauteuil tout en regardant la télévision ou en lisant un bouquin.

Je ne suis ni spécialiste et bien sûr ni adepte de cette pratique.

Le désir, la motivation s’entretien aussi par la pratique.

Ne pas faire, ne pas s’impliquer physiquement dans la démarche aura forcément une incidence sur les résultats.

4)Votre environnement

Nous pourrions parler d’écosystème, celui-ci est évidemment très important.

Il vous influence et vous pouvez parfois même, également, l’influencer.

Si vous ne trouvez pas dans votre univers soit une ou plusieurs sources de motivation, cela peut rendre l’objectif plus difficile à réaliser.

Les endroits que vous fréquentez, vos lectures, les émissions ou les vidéos que vous regardez, votre emploi, vos hobbies, la région où vous résidez…

Tous ces paramètres ont évidemment une influence sur vos décisions et sur votre motivation.

S’il le faut, changez votre écosystème !

Cela veut dire, changez les endroits que vous fréquentez, ce que vous lisez, ce que vous regardez comme émission ou comme vidéo.

Changez cet emploi qui ne vous convient peut-être plus, changez vos hobbies et pourquoi pas, changez de région…

5)Vos fréquentations

Si autour de vous, vos amis, votre famille n’ont que faire du contrôle de l’alimentation et de la pratique sportive…

…Que pour votre entourage, un ventre avec peu de graisse, tonique et sexy n’a vraiment aucun intérêt et que cela ne fait vraiment pas partie de leur univers, vous ne puiserez donc pas la moindre motivation ou le moindre exemple auprès d’eux.

Ils vous décourageront à emprunter ce chemin et vous encourageons à faire tout le contraire.

Vous serez parfois dans l’obligation de vous préserver et de fréquenter ainsi des personnes motivantes capables d’insuffler chez vous un élan supplémentaire pour la réalisation de vos objectifs.

Il n’y a évidemment aucun mal à cela.

Changer de fréquentation est très souvent le résultat d’une évolution.


On vous le reprochera peut-être mais le plus important, c’est vous.

En conclusion, si améliorer votre ventre peut vous apporter du bien-être, de la valorisation, une certaine harmonie, alors mettez toutes les chances de votre côté.

Envisagez la réalisation de cet objectif de façon holistique en tenant compte de tous les paramètres que je décris ci-dessus.

C’est ainsi que vous y arriverez à coup sûr, même au delà de 40 ans, je n’en doute pas un instant.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Vous êtes adeptes du « yo-yo »

Vous n’êtes pas victimes du yo-yo, vous êtes bien adeptes du yo-yo.

J’insiste sur la notion de responsabilité que contient ce titre.

L’emploi le plus courant de ce terme est en relation avec l’alimentation, les régimes.

Mais je vous le garantis, ça ne s’arrête pas uniquement à l’accointance avec la nutrition.

Quelle définition pourrions-nous donner au « yo-yo » ?

Concernant la nutrition, ce serait ce va-et-vient incessant entre la perte de poids et la reprise du poids.

Pour un bon nombre d’entre vous, nous pourrions également qualifier de « yo-yo », la relation discontinue que vous avez avec le sport.

Vous en faites de façon saisonnière, pourrions-nous dire.

Quelques semaines par an et même pas chaque année…

Un coup vous êtes dedans et puis vous n’y êtes plus du tout.

En général, l’arrêt de l’activité sportive marche de concert avec la reprise de votre poids.

Non seulement parce que vous avez freiné la dépense énergétique mais aussi et surtout parce que vous cherchez à échapper aux règles…

…non pardon, vous vous échappez des règles que l’on peut associer à la discipline sportive, à savoir le contrôle de l’alimentation, entre autres.

Ne vous méprenez pas, ayez autant que possible un regard objectif sur la situation.

Un peu comme l’arrêt de la cigarette qui vous a fait grossir…

C’est surtout que vous substituez une addiction par une autre et qu’il faut combler tant bien que mal « un mal-être » par une attitude compulsive.

Si ce n’est plus la cigarette, ce sera l’alimentation ou autre chose.

En terme médical, nous pourrions parler de traitement palliatif et non pas de traitement curatif.

La manifestation de la souffrance ne se traduit plus par l’alcool, la cigarette, la drogue, le jeu ou l’intérêt exacerbé pour le sexe mais par l’alimentation à outrance.

Parfois certaines et certains les cumulent…

Bien évidemment, le problème n’est pas réglé.

La prise de responsabilité toujours très difficile à endosser est un sujet que je traite quelquefois dans mes articles.

Il est plus aisé de jeter la faute et parfois le discrédit sur les autres.

Il est plus simple de renvoyer la responsabilité sur une situation, des outils, des circonstances…

C’est la faute du régime !

C’est la faute des événements si j’ai eu un accident.

Mes problèmes de santé, je n’y suis pour rien, c’est héréditaire !

La justice est basée sur ce principe : en cas de conflit, lorsque le préjudice est porté devant les tribunaux, le système judiciaire cherche toujours à trouver des « responsables ».

Pour ma part, je n’irai jamais chercher bien loin…

Je pense que nous sommes toujours responsables de ce qui nous arrive.

Je comprends, dit comme ça, que bon nombre d’entre vous s’offusquent et me sortent leurs sempiternels contre-argumentation.

« Ah oui alors quand tu as un accident de la route et qu’on est venu te percuter alors que tu étais sur ta voie, c’est de ta faute ? »

« Un enfant qui tombe malade c’est de sa faute ? »

« Tu es victime d’une escroquerie, on t’a pris tout ton argent et là aussi c’est de ta faute ? »

Oui ! Vous êtes responsables.

Je ferai très bientôt un article dans lequel je détaillerai les mécanismes d’acceptation de sa propre responsabilité.

Ces mécanismes sont à la fois spirituels et quantiques.

Pour revenir notre sujet… le « yo-yo » n’est pas lié à autre chose qu’à votre responsabilité et par conséquent à la façon dont vous vous comportez.

Il faut impérativement que vous en ayez conscience pour que cessent les « montagnes russes ».

Si vous reprenez vos anciennes mauvaises habitudes alimentaires, vous redeviendrez comme vous étiez auparavant.

Le régime qui vous a fait perdre du poids, ce régime hypocalorique, car il n’est question de rien d’autre, n’est pas la garantie à vie que vous garderez cette perte de poids.

L’avez-vous compris ?

Vous aviez cessé pendant deux mois, l’alcool, la tartiflette, la charcuterie et les litres de glace.

Vous avez donc perdu du poids.

Une fois votre objectif atteint, vous avez repris toute cette alimentation et bien sûr les kilos qui vont avec.

Attention, il n’est pas ici question de régime à vie mais d’évoluer vers un équilibre raisonné, avec gestion.

Vous décidez, ce n’est pas l’alimentation qui décide pour vous.

Nous vivons une époque « excusante »où il est exclu de faire porter la responsabilité de quoi que ce soit à qui que ce soit.

Tant que vous pensez n’avoir aucune influence sur les événements et surtout sur votre propre vie rien ne changera.

On fait trop souvent l’amalgame entre la responsabilité et la culpabilité:

responsable ne veut pas dire coupable.

Il y a d’ailleurs un excellent sketch des inconnus qui met en scène un homme politique véreux dont la phrase comique de répétition est :

« responsable mais pas coupable»

Nous ne devons donc pas nous sentir coupables…

Je suis absolument d’accord, se sentir coupable avec tout le cortège de sentiments bas de souffrance qui va avec, n’a vraiment aucun intérêt.

Pas de culpabilité, simplement de la responsabilité.

Lorsque vous acceptez la responsabilité, vous pouvez alors agir.

Comme si votre vie était opaque et que subitement tout devenait plus clair.

Ce voile qui plombait votre existence disparaît miraculeusement, vous avez le pouvoir de faire, d’avoir et d’être vraiment.

Vous décidez !

Ce n’est donc pas le régime ou l’arrêt du régime qui a engendré cette reprise de poids, c’est bien vous, c’est tout.

Si vous aviez décidé de changer de philosophie alimentaire, plutôt que de réintroduire toute cette mal bouffe qui avait fait de vous un malade en puissance, vous auriez alors, aujourd’hui, conservé la forme, la santé et votre perte de poids.

Nous rencontrons exactement la même attitude dans les salles de remise en forme.

Mais également concernant le sport pratiqué à la maison ou en extérieur.

Et c’est une des raisons majeure pour laquelle vous n’atteignez pas vos objectifs.

Ce n’est certes pas la faute du matériel, de la salle, de sa fréquentation ou de votre programme d’entraînement à la maison…

À votre décharge, il est vrai que vous n’êtes pas ou peu suivi à moins d’avoir recours à un coach ou a un système de coaching bien ficelé.

A ce propos, jetez un œil sur mes programmes:

MASTERMENTORA

Cette option n’est pas toujours heureuse : les transmissions du savoir et de la passion, ne sont pas toujours au rendez-vous.

J’ai eu des professeurs qui m’ont fait aimer certaines matières et d’autres piètres enseignants qui ont fini par m’en détourner.

C’est toujours vrai aujourd’hui, j’ai du plaisir à recevoir l’enseignement de certains auteurs et conférenciers plutôt que d’autres.

Mais je m’intéresse et persiste et je trouve le ou les bons instructeurs qui me feront alors évoluer.

Néanmoins, pourquoi vous ne progressez pas physiquement ?

Parce que vous ne vous entraînez pas.

Comme pour le contrôle de votre alimentation, vous faites par intermittence et quand vous pratiquez c’est souvent avec peu d’intensité et mal exécuté.

Cela fait près de 40 ans, 38 ans exactement que je fréquente les salles de fitness, musculation, remise en forme… L’appellation a peu d’importance, c’est comme vous voulez.

Et je constate inlassablement les mêmes attitudes.

Je peux vous assurer que le match est joué d’avance.

Vous n’y arriverez jamais.

En tous les cas jamais de cette façon.

Cela fait 10 ans que vous fréquentez la salle de sport et parfois même beaucoup plus, sans progression et même très souvent avec régression au fil des années.

Pourquoi répétez-vous avec autant de pugnacité toujours le même fonctionnement qui finalement ne marche pas ?

Alors qu’il suffirait de mettre fin au « yo-yo », de mettre fin à ce va-et-vient.

Il VOUS suffirait de prendre une bonne résolution.

Dites stop à ce qui ne vous réussit pas, faites ce qui marche.

Copiez les personnes qui ont réussi à maintenir leur poids et à garder une forme et une santé pérennes.

Vous comprendrez enfin que le dénominateur commun de toutes ces réussites outre le désir est LA RÉGULARITÉ.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Quoi que vous fassiez vous serez critiqué

En fait, pas tout à fait, la seule situation où peut-être vous ne le seriez pas, serait l’anonymat absolu.

Vous ne connaîtriez personne et personne ne vous connaîtrait… vous n’existeriez pas.

Un ermite en somme.

Dès que vous existez, vous tombez sous le glaive du jugement.

Dès votre naissance, on vous trouve des ressemblances, on vous compare.

On estime que vous mangez trop ou pas assez, que vous criez plus que ne criait votre frère, que vous grossissez moins vite…

Vos parents vous trouvent si beau et les voisins si vilain…

Hypocritement, ils vous avaient encensé auprès de votre famille.

Mais peut-on décemment dire à des parents que leur bébé n’est pas beau ?

C’est un point essentiel que je soulève présentement :

L’acceptation de la critique.

Comment faire pour accepter d’être jugé, de recevoir de telles critiques, un tel flot de cruauté, de méchanceté à la limite du supportable ?

Contrairement à ce que l’on dit communément de la critique, qu’elle est constructive, en fait, elle l’est rarement.

L’intention de celui qui l’émet n’est quasiment jamais bienveillante et celui qui la reçoit la prends comme une agression.

Voici donc une première question qui me semble fondamentale.

Comment accepter la critique ?

Vous n’avez pas d’autre choix que de l’accepter, si vous ne voulez pas tomber malade.

Les critiques non acceptées génèrent de telles souffrances qu’elles vous assassinent parfois psychologiquement et vous rendent réellement malade physiquement.

Comprenez qu’il existe autant de points de vue qu’il existe d’individus.

Chacun crée sa réalité, c’est une loi quantique.

Les sons, les couleurs, les odeurs… ces nombreuses informations qui nous harcèlent continuellement ne sont jamais perçues de la même façon par chacun d’entre nous.

Et suivant le moment, l’époque et les circonstances où nous les recevons, nous ne les percevons nous-même jamais de la même façon.

Ainsi, vous n’êtes pas à la place de votre inquisiteur, vous ne savez pas quelle est sa vie, ce qu’il a enduré, ce qu’il a appris, ce qu’il ressent, quelles sont ses intentions…

Vous ne connaissez pas la moindre de ses souffrances.

Peut-être a-t-il connu dans le passé quelqu’un comme vous qui a été son bourreau?

Quelqu’un, évidemment, qui n’était pas vous mais qui vous ressemblait.

Lorsque la critique est générée par des intentions malignes, comprenez qu’elle est toujours instruite par le mal-être.

Je ne cherche pas à trouver des excuses au « critiqueur », je souhaite simplement désamorcer la relation « jugeur / jugé ».

La critique avec l’intention de faire mal, n’a de mon point de vue aucun sens au point qu’elle ne mérite finalement pas que l’on s’y attarde.

Chacun extrait ses émotions de son patrimoine, de sa propre réalité.

Comment pouvez-vous être atteint par quelque chose qui n’existe pas, en tout cas qui n’existe pas pour vous ?

Elle me trouve prétentieux, stupide et sans intérêt !

OK, c’est son point de vue, sa propre réalité.

Je peux le comprendre mais ce n’est pas ce que je pense de moi-même.

Je ne me trouve pas prétentieux, ni stupide et je ne me trouve pas non plus sans intérêt.

J’accepte néanmoins que l’on puisse me trouver ainsi.

C’est acté mais je n’y attache pas trop d’importance.

Remarquez que vous pouvez avoir les meilleures intentions du monde, avoir un désir profond de faire du bien et néanmoins, vous serez jugé, critiqué.

Vous serez même parfois portés au pilori, crucifiés en place publique.

Les prophètes, les grands hommes l’ont tous été, certains réhabilités à titre posthume mais la plupart ont été conspués de leur vivant.

Vous pensiez vraiment être dans l’amour et la paix et par un tour de passe-passe ahurissant, vous devenez la personne à abattre, le diable.

Quelle effroyable injustice pensez-vous ?

Comment peut-on dire de telles insanités à votre endroit ?

Alors qu’à aucun moment vous n’avez voulu blesser et générer cet acharnement…

Parfois même vous ne dites rien, vous existez et pour certains c’est déjà beaucoup trop.

Comment expliquer la critique ?

Comment expliquer cet état dans lequel certains individus se mettent lorsqu’ils s’engagent sur la voie toxique de votre condamnation ?

Voici la deuxième question fondamentale qui mérite que l’on s’y attarde un peu.

Qu’est-ce que cela génère chez eux, pourquoi le font-ils ?

Le comportement des gens qui critiquent à tour de bras, qui comparent, qui jugent, avec des intentions malignes, comme je l’ai dit un peu plus haut dans le texte, trahit forcément un état de souffrance.


Lorsque l’on est en paix, en harmonie avec soi-même et les autres, lorsque l’amour est le moteur principal de sa vie, alors, critiquer, juger n’a aucun sens.

L’individu heureux et parfaitement équilibré n’a pas besoin d’accabler ses semblables.

Il n’a pas besoin de comparer et la plupart du temps, de se comparer pour exister.

« Pardonnez à celui qui vous a offensé. »

Ne rentrez pas dans ce jeu de l’interaction ou vous vous sentez la légitimité de le critiquer à votre tour.

À l’instar de toutes les addictions, car je pense que le jugement effréné en est une, il peut générer, au commencement, une sorte de satisfaction trompeuse, une espèce de compensation de courte durée.

Mais il devient rapidement le foyer de sentiments bas, d’affrontements, de désordre et de mal-être.

La critique, devient pour celui qui la profère, son propre tombeau psychologique.

Ne critiquez pas tout d’abord pour vous-même.


L’époque actuelle est malheureusement propice aux déferlements de critiques.

Les réseaux sociaux sont une formidable fenêtre sur votre intimité.

Ils dévoilent les moindres recoins de votre personnalité physique et morale.

Mais alors, pourquoi vous en donner à cœur joie ?

Pourquoi vous répandre et répandre par la même occasion votre entourage?

Vous vous mettez en scène sans imaginer un seul instant toute cette hostilité qui vous observe.

C’est d’ailleurs du pain béni pour les créateurs de ce système et pour tous ceux qui en vivent.

La discorde, la rivalité et très souvent la haine génèrent l’addiction, c’est donc gagné.

Le but inavouable est atteint, vous devenez dépendant du système.

Un système basé sur « aimez- moi » (je parle du like) ne peut que générer de la souffrance.

Des milliards d’individus s’y engouffrent avec une candeur déconcertante.

Voici la troisième question fondamentale que m’inspire ce sujet.

Mais pourquoi donc vous exposez-vous ainsi ?


Peut-être parce que vous avez besoin de reconnaissance, vous avez besoin d’exister.

Vous vous inventez une vie et partagez ainsi votre existence hors du commun, qui en réalité la plupart du temps, est tout à fait commune.

Vous avez des idées à partager ou plutôt, vous relayez des idées à partager.

C’est un besoin que vous avez de montrer que vous savez danser, chanter, que vous réfléchissez bien, que vous êtes un expert dans un domaine ou dans un autre.

Vous souhaitez montrer au monde que vous n’êtes pas quelqu’un de banal, que votre message est important.

Vous avez tellement besoin que l’on vous dise « je t’aime ».

C’est déjà dur de ne pas l’entendre mais si en plus, vous recevez un déferlement de haine et de détestation, alors, cela devient un drame.

Ma conclusion sera courte.

Ne jugez plus, ne critiquez plus.

Acceptez d’être jugé, d’être critiqué à votre tour et n’en voulez plus aux inquisiteurs.

Ils ont de graves difficultés avec leur ego, ne les accablez pas.

Si vous n’êtes pas capable d’accepter d’être conspué, alors, effacez-vous, sortez des champs de vision, ne vous dispersez plus, retrouvez-vous.

N’étalez plus votre existence qui sera de toute façon toujours critiquable.

Ce que je vous explique vous semble logique?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Ne faites pas cet exercice il est réservé aux femmes

Cet article aurait pu s’intituler:

« Ne faites pas cet exercice il est réservé aux hommes. »

Existe-t-il des exercices par genre ?

Des mouvements que les hommes ne pourraient pas faire parce qu’ils sont réservés aux femmes et réciproquement.

Nous aurions donc des différences fondamentales, une structure différente, des muscles que les hommes auraient et que les femmes n’auraient pas et inversement.

Ces fameux muscles liés aux genres auraient une kinésiologie différente, ils ne répondraient peut-être pas aux mêmes stimulis.

Ils n’auraient pas les mêmes points d’attache.

Ainsi il y aurait donc des exercices qui n’auraient aucun intérêt pour l’un ou pour l’autre.

Je crois l’avoir entendu régulièrement tout au long de mon existence de pratiquant et de Coach.

Deux grandes tendances, deux chapelles idéologiques se sont engouffrées au cœur de ce sujet.

Tout d’abord, le dogme phallocrate, l’association des hommes à tendance machiste ou peut-être même plutôt à tendance blaireau qui a décrété, par exemple, que les machines :

« c’étaient pour les femmes. »

Je dis « par exemple » parce qu’ils décrètent généralement d’autres lois du même acabit.

Ils pensent également qu’il faut travailler lourd et uniquement lourd pour devenir musclé.

Ils pensent aussi qu’il faut manger beaucoup…

Des quantités énormes et de tout, pour devenir aussi gros qu’un bœuf…

Et que les hommes ça boit de la bière…

Vous en connaissez peut-être ?

Ce sont évidemment des dinosaures d’une autre époque.

Donc d’après eux, le développé à la machine pour les épaules ou les machines abducteurs / adducteurs… ne seraient que pour les filles.

Les mecs, ça travaillent aux barres et aux haltères uniquement.

Un autre groupe idéologique, un autre courant de pensée s’est approprié cette ségrégation des genres par la culture physique sélective.

Ce sont les femmes qui ont peur de devenir aussi musclé qu’un homme musclé.

Je dis bien « qu’un homme musclé « parce que c’est bien de cela qu’il s’agit.

Elles craignent de devenir cet athlète hypertrophié et très défini, cette bête à concours, ce gars qui s’entraîne très dur depuis des années, qui a une alimentation drastique et quasiment une vie d’ascète.

Rien qu’en regardant les flexions du monsieur ou ses développés, la dame imagine pouvoir devenir comme lui en trois temps deux mouvements.

Cette perspective l’horrifie.

Nous pouvons l’entendre et le comprendre mais nous sommes présentement dans une manifestation de délire sans une once de discernement.

Comme s’il suffisait de tenir une raquette de tennis pour devenir un grand joueur.

Ou d’acheter un piano pour devenir un virtuose.

De grâce, juste un peu de réflexion, peut-être un soupçon d’humilité…

Je pense évidemment que tous les exercices sont bons pour les hommes et les femmes et que les seuls critères de sélection devraient être les objectifs de chacun et nos capacités et aptitudes à pouvoir les réaliser.

Pourquoi mesdames ne pourriez-vous pas faire du soulevé de terre ?

Ou pourquoi ne pourriez-vous pas faire du squat en amplitude complète à la barre libre pour développer harmonieusement vos cuisses et vos fessiers ?

Vous augmenteriez ainsi, par la même occasion, votre condition physique générale, le transfert entre le haut et le bas de votre corps.

Vous travailleriez efficacement votre sangle abdominale et vos lombaires simplement parce qu’ils maintiennent la statique de votre corps pendant l’exercice.

Cet exercice, athlétique et polyarticulaire, grâce à son implication cardio importante, vous aidera à perdre votre surcharge graisseuse générale et localisée.

Un exercice fondamental qui est, lorsqu’il est pratiqué dans les règles, un précieux allié pour votre forme et vos formes.

Bien sûr, le squat demande un véritable apprentissage et une pratique contrôlée.

Qu’est-ce qui vous empêcherait de faire du rowing à la barre libre ?

C’est un exercice d’une grande efficacité pour tonifier tous le bas de votre corps, vos cuisses et vos fessiers.

Il est excellent également pour améliorer votre stabilité, pour augmenter la puissance de l’ensemble des muscles de votre dos et par conséquent pour une meilleure tonicité posturale.

Il participe ainsi à protéger vos vertèbres contre les outrages du temps et des mauvaises positions.

Et vous Messieurs, les ringards accrochés à vos certitudes d’une autre époque, vous auriez tout à gagner à vous servir des machines et de certains exercices que vous considérez comme « féminins ».

Vos articulations vous remercieraient et la qualité de votre physique s’en trouverait nettement améliorée.

C’est dans la diversité que l’on obtient un physique complet et harmonieux.

Travaillez vos adducteurs à la machine et vous verrez à quel point ce travail peut améliorer vos performances lors de vos flexions au squat ou à la presse.

N’hésitez pas à laisser tomber le développé couché pour travailler parfois aux machines ou aux câbles.

Ça fait 20 ans que vous faites la même chose, regardez-vous, ça va ?

Avec objectivité, vous trouvez que chacune des séances a été efficientes ?

Vous avez fait 1000 séances de développé couché, vous trouvez vraiment que les résultats sont à la hauteur de vos espérances?

1000 séances de développé militaire le bassin en avant, le corps oblique à 70° pour vous aider du faisceau claviculaire des pectoraux, en descendant la barre à mi-chemin et en verrouillant les coudes pour mettre encore plus de poids et montrer à quel point vous êtes fort.

N’y a-t-il pas une sorte d’acharnement à continuer à faire ce qui ne marche pas ou plus ?

Simplement par idéologie…

Avez- vous un physique parfait ?Est-il symétrique ?

La répartition de vos masses musculaires est-elle égale ?

Chaque faisceau de chaque muscle est-il harmonieusement équilibré ?

Votre définition est-elle parfaite ?….

C’est certainement ce qui vous donne la légitimité pour décréter que tel ou tel exercice n’est bon que pour les femmes.

A hurler son honnêteté, on finit par se persuader soi-même de son intégrité mais ça ne fait pas de vous pour autant un homme de foi.

Ce que je veux dire, c’est que les égo-théories sans fondement, les déclarations basées sur du vent, ne font pas de vous des experts.

En conclusion, utilisez tout ce que la culture physique vous offre comme exercices, techniques et matériels pour obtenir un physique esthétique, harmonieux et possédant des qualités physiques optimales et équilibrées.

C’est très exaltant de maîtriser un maximum de mouvements cela rend la discipline ludique et ouvre de vraies perspectives de progression.

Vous devez d’ailleurs tout faire, si vous êtes évidemment en capacité physique de le faire, pour prétendre maîtriser le sujet.

La culture physique ne se résume pas à 10 mouvements, elle est bien plus riche.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Regardez bien sa mère avant de l’épouser

Connaissez-vous cette expression ?

Elle est censée vous prévenir de ce qui vous attend.

Une sorte de projection dans le futur.

Vous voyez ainsi clairement ce que l’avenir vous réserve.

Ne voyez pas dans mon article un soupçon de misogynie ou de jugement de valeur.

D’ailleurs, nous aurions pu tout aussi bien inverser le genre et intituler cet article :

« Regardez bien son père avant de l’épouser »

Je partage donc avec vous l’analyse, mon analyse de cette expression qui possède un fond de vérité mais qui n’est évidemment pas la règle.

Il y a deux idées importantes qui soulèvent pour moi de grands intérêts dans ce sujet.

La première idée serait que nous aurions une formidable capacité de « clonage ».

Cette espèce de phénomène qui fait de nous parfois la réplique d’un autre individu.

Ce drôle de phénomène de « duplication » nourrit par le mimétisme, l’éducation, la culture, la génétique, l’épigénétique et peut-être même au-delà, par l’état vibratoire.

Parfois même aussi engendré par une relation d’admiration évoluant dans certains cas vers une « connexité » ultra fusionnelle qui dérive fâcheusement vers un attachement aux relents nauséabonds de manipulation.

L’une ayant jeté son emprise sur l’autre.

Le second point serait que nous posséderions le libre arbitre.

Nous aurions la main sur notre destinée et par conséquent, la capacité à se défaire des entraves d’une personnalité envahissante, trop présente, « phagocytante ».

Concernant le premier point, vous pourrez effectivement avoir une image assez juste de ce que deviendra votre épouse.

Vous aurez donc une idée précise sur le fond mais pas toujours sur la forme.

En effet, votre prétendante est encore jeune, elle n’a pas subi les outrages, non pas de l’âge, mais des années de lamentation.

Bien sûr, l’époque n’est pas la même, une génération les sépare, 20 à 25 ans de culture et d’habitudes sociales élaborent un clone « nouvelle génération ».

Ainsi, la dulcinée prendra des contours différents qui peuvent parfois être des leurres qui vous empêcheront de voir la triste réalité.

Beaucoup s’extasient sur l’emballage avant de croquer le contenu frelaté et indigeste.

Leur cohabitation incessante, leur rapport omniprésent et la transmission chirurgicale des enclumes de la maman, comprenez de l’expérience de souffrance, auront raison de ce qui restait de personnalité de votre future épouse.

Elle aura été formatée à l’image de sa mère, celle-ci ayant été un merveilleux professeur.

Bon, il faut dire que l’enseignement est presque gagné d’avance, la parole de la mère est parole d’évangile, même Dieu n’a pas son mot à dire.

Et curieusement, petit à petit, avec les années, même la forme, le contour épousera celui de la mère.

Le copier-coller s’immiscera à tous les niveaux, dans la démarche, la posture, la forme ou la méforme physique.

La matriarche étant tellement complexée par sa culotte de cheval, le poids qu’elle a perdu et qu’elle a repris 100 fois, sa détestation des hommes et toute la souffrance que ces derniers lui ont fait subir.

Vous devrez envisager sérieusement de vous marier aussi avec la mère.

Elle sera omniprésente, envahissante pourrais-je dire.

Je vous l’assure, d’ores et déjà, attendez-vous à vivre avec les deux femmes…

…ou fuyez avec la promesse de ne jamais revenir.

Concernant la deuxième idée, la deuxième analyse que suscite ce sujet chez moi:

Quant il y a séparation d’esprit, lorsqu’il y a scission avec le monstre égoïque (la maman*), alors, il se produit un phénomène chez votre future épouse.

*Bien évidemment, les Mamans sont merveilleuses dans la grande majorité des cas.

Je ne parle pas de la séparation de corps, celle qui fait qu’on ne se côtoie plus.

Non, je parle de la séparation de l’esprit, de la non adhésion à l’emprise Maternelle.

En psychanalyse, on tue bien le père et bien dans cette configuration, on tuera la mère.

La jeune fille, votre future épouse, a compris l’influence, l’emprise et les agissements.

Elle a parfaitement cerné ce comportement qui pourrait passer pour un amour débordant et inconditionnel mais qui en fait, est un condensé de ce que génère l’égo.

La possession, la jalousie, la peur de l’abandon, la rivalité, l’orgueil, le jugement…etc…

Vous pourrez alors toujours regarder sa mère mais pas pour les mêmes conclusions.

Ce sera alors pour vous rendre compte de ce qu’elle aurait pu devenir et surtout ce qu’elle n’est surtout pas aujourd’hui.

Je voudrais d’ailleurs remercier ma compagne pour ce trait d’observation, cette deuxième analyse, qui m’a beaucoup aidé pour rédiger cet article.

Elle en est l’illustration parfaite.

En conclusion, durant mes quelques décennies d’observation socio-familiale, rien de scientifique, juste de l’observation, j’ai pu voir quelques cas de fusions malsaines de mère et de fille mais également de père et de fils.

L’enrichissement spirituel était exempt et l’issue pour les enfants était rarement heureuse.

Créer des enfants à sa propre image en leur transmettant nos travers, nos regrets, nos rancœurs, c’est souvent créer des « monstres ».

Nous sommes parents, nous faisons souvent ce que nous pouvons, les circonstances nous l’imposent, notre propre vie nous influence, notre expérience dicte nos décisions.

Observons nous intimement avec une grande attention.

Pourquoi agissons nous ainsi avec nos enfants ?

Est ce véritablement pour le compte inconditionnel de nos enfant ou pour notre propre compte?

Libérez vos enfants et libérez-vous de vos parents mais toujours dans l’amour.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

L’apéro, l’addition est salée !

Il semblerait que l’apéro soit une des activités majeures autour de la convivialité et du partage.

Une activité incontournable, une pratique sociale, sociable, « sociabilisante » particulièrement aux beaux jours… Mais pas seulement…

Un véritable moment d’unité autour de quelques ingrédients qui en sont la pierre angulaire, le socle.

En première place l’alcool, bien sûr.

L’alcool est la colonne vertébrale de l’apéro.

Quasi impossible d’organiser un apéro sans alcool.

Si tu ne bois pas d’alcool, tu n’es pas le bienvenu.

Faire l’apéro en buvant du Perrier ou du lait fraise est considéré comme un manquement grave à la déontologie du bon vivant.

A ce propos, je vous invite à lire mon article sur ce sujet:

La dictature des bons vivants

Voici les valeurs énergétiques par verre de quelques alcools consommés lors des apéros.

BoissonsQuantitéKcal par portion
Vin rouge 12 °1 verre de 10 cl70
Vin blanc sec1 verre de 10 cl70
Champagne brut1 flûte de 10 cl70
Kir1 verre de  8 cl75
Izarra1 verre de 3,5 cl105
Martini1 verre de 8 cl120
Ambassadeur1 verre de 8 cl112
Cinzano1 verre de 8 cl112
Pizang/jus d’orange1 verre de 15 cl156
Triple sec Curaçao 1 verre de 3, 5 cl1 verre de 3,5 cl106
Rhum agricole1 verre de 2,5 cl70
Porto1 verre de 5 cl90
Sherry doux1 verre de 5 cl77
Sherry dry1 verre de 6 cl51
Whisky1 verre de 4 cl110
Cognac1 verre de 3 cl70
Vodka/coca1 verre de 15 cl122
Bière Pils1 bouteille de 25 cl110
Kriek lambic1 verre de 20 cl (la bouteille de 25 cl)96 (116)
Duvel1 verre de 15 cl (la bouteille de 33 cl)93 (204)
Guinness Stout1 verre de 16,5 cl (la bouteille de 33 cl)115 (214)
Chimay Brune1 verre de 14 cl (la bouteille de 33 cl)97 (230)
Trappiste de Rochefort1 verre de 15 cl (la bouteille de 33 cl)114.5 (252)
Vieux temps Blonde1 bouteille de 25 cl102
Abbaye de Leffe Brune1 verre de 19,5 cl (la bouteille de 25 cl)109 (137)
Geuze Lambicla bouteille de 25 cl103
Stella lightla bouteille de 25 cl90
Cidre1 verre de 15 cl50
Pineau1 verre 4cl50
Apéritif de base1 verre 4cl54
Apéritif à la gentiane1 verre 4cl60
ChampagneFlute en moyenne100
Pastis1 verre 4cl110
Madère1 verre 7cl112
Punch / Sangria1 verre 8 cl150
Muscat1 verre 15 cl240
Soda ordinaire1 bouteille de 33 cl130

Les amuse-gueules.

Chips en tout genre, gâteaux apéritifs frits et croustillants aux arômes de bacon et autres saveurs exotiques.

Cacahouètes grillées et salées, mélanges de fruits secs, olives, tapas, fromages type « Apéricubes »… parfois quelques légumes crus… »

Quelques valeurs énergétiques d’aliments typiquement proposés pour l’apéritif :

AlimentsNombre de Calories (pour 100G)
Bretzels370 Kcal
Gressins400 Kcal
Pop-corn420 Kcal
Crêpes fourrées430 Kcal
Galettes de maïs460 Kcal
Soufflés goût cacahuètes470 Kcal
Crackers (moyenne)500 Kcal
Snacks pizza480 Kcal
Frites480 Kcal
Pétales490 Kcal
Tortilla chips500 Kcal
Chips de crevettes530 Kcal
Tuiles540 Kcal
Chips560 Kcal
Mini-choux570 Kcal
Mélange graines salées/raisins secs460 Kcal
Cacahuètes600 Kcal
Pistaches600 Kcal
Noix de cajou600 Kcal
Amandes600 Kcal
Noisettes600 Kcal
Noix de pécan600 Kcal
Olives vertes en saumure120 Kcal
Sauce mexicaine40 Kcal
Sauce chili40 Kcal
Guacamole200 Kcal
Tapenade260 Kcal
Olives à l’huile d’olives180 Kcal
Olives noires en saumure290 Kcal
Gougères360 Kcal
Olives noires à la grecque340 Kcal
Tartelette290 à 330 Kcal
Feuilletés280 à 330 Kcal
Petits fromages275 Kcal
Pain surprise260 à 300 Kcal
Canapés traiteur230 Kcal
Saucisses cocktail250 Kcal
Notez que sur ces tableaux, une quantité représente une valeur énergétique estimée en kilocalories.

L’énergie issue de l’alimentation s’appelle calories, plus précisément kcalories ou kjoules.

Sachez que les calories issues de l’alcool sont ce qu’on appelle des calories « vides », c’est-à-dire sans intérêt nutritionnel.

Sans bénéfice pour votre organisme donc pour votre santé.

C’est même évidemment tout le contraire.

On ne peut pas dire non plus que les calories issues des amuse-gueules aient des qualités nutritionnelles de premier ordre.

Voici ce que, de mon point de vue, représente les quatre niveaux d’apéro.

Un apéro:

Léger ce sera jusqu’à 500 calories.

Moyen entre 500 et 1000 calories.

Costaud au-delà de 1000 calories.

De la mort, plus de 2000 calories.

Voilà ce qu’il vous faudra faire 1 heure durant (et non pas en 20mns), pour brûler ce que vous avez bu et mangé l’espace d’un moment convivial.

L’énergie consommée ci-dessous s’entend dans des conditions de pratique, je précise, active !

Non pas comme est pratiqué le cardio training par la majorité des adhérents dans les salles de fitness c’est à dire mollement, sans conviction, pour tuer le temps ou en piétinant sans amplitude sur un stepper.

Dans ces conditions vous pouvez diviser au moins par deux la dépense énergétique.

Activité ou sport / heure60 kg70 kg85 kg
Aquabiking (vélo dans l’eau)501588714
Aquagym (aqua-aérobic)236281345
Aviron, position assise, allure lente413493604
Aviron, position assise, allure modérée502598733
Aviron, position assise, allure très vigoureuse7088441035
Aviron, position assise, allure vigoureuse561669819
Aérobic, enseignement dans une classe354422518
Aérobic, faible impact295352431
Aérobic, fort impact413493604
Aérobic, général384457560
Badminton, en compétition413493604
Badminton, hors compétition266317388
Baseball295352431
Basket-ball, arbitrage413493604
Basket-ball, en fauteuil roulant384457561
Basket-ball, en match472563690
Basket-ball, général354422518
Basket-ball, tirs aux paniers266317388
Billard148176216
Bobsleigh413493604
Bowling177211259
Boxe, entraînement (mode sparring partner)531633776
Boxe, frappant les sacs354422518
Boxe, sur le ring, général7088441035
Broomball, ballon-balai, ballon sur glace413493604
Canoë-kayak, allure lente177211259
Canoë-kayak, allure modérée413493604
Canoë-kayak, en équipe, mode compétition7088441035
Catch, lutte354422517
Club de remise en forme, exercices, général325387474
Corde à sauter, allure lente472563690
Corde à sauter, allure modérée, général590704863
Corde à sauter, allure rapide7088441035
Course d’orientation531633775
Course à pied384457561
Course à pied, 10,8 km/h649774949
Course à pied, 11,25 km/h679809992
Course à pied, 12 km/h7388801078
Course à pied, 13 km/h7979501165
Course à pied, 13,8 km/h8269851208
Course à pied, 14,5 km/h88510561294
Course à pied, 16 km/h94411261380
Course à pied, 17,5 km/h106212671553
Course à pied, 8 km/h472563690
Course à pied, 9,5 km/h590704863
Course à pied, cross country531633776
Course à pied, en montant les escaliers88510561294
Course à pied, général472563690
Course à pied, sur une piste, pratique en équipe590704863
Courses de chevaux, galopant472563690
Cricket295352431
Croquet148176216
Crosse472563690
Curling236281345
Cyclisme, 19 à 22 km/h, allure modérée472563690
Cyclisme, 22 à 25 km/h, allure vigoureuse590704863
Cyclisme, 25 à 30 km/h, très rapide, en course7088441035
Cyclisme, < 16 km/h, loisirs236281345
Cyclisme, > 32 km/h, courses94411261380
Cyclisme, de 16 à 19 km/h, allure lente354422518
Cyclisme, VTT en montagne ou BMX502598733
Cyclisme, vélo d’appartement, allure lente325387474
Cyclisme, vélo d’appartement, allure modérée413493604
Cyclisme, vélo d’appartement, allure très lente177211259
Cyclisme, vélo d’appartement, allure très vigoureuse7388801078
Cyclisme, vélo d’appartement, allure vigoureuse620739906
Cyclisme, vélo d’appartement, général295352431
Danse (aérobic, ballet ou moderne)354422518
Danse (salle de bal, lente)177211259
Danse (salle de bal, rapide)325387474
Danse de salon (en couple), lente177211258
Danse de salon (en couple), rapide325387474
Danse, général266317388
Descendre l’escalier en marchant177211258
Dormir374354
Déménager (déballant les cartons)207246301
Entraînement en circuit, général, peu de repos472563690
Equitation, général236281345
Equitation, marche148176216
Equitation, trot384457561
Escalade, varappe, ascension de rochers649774949
Escalade, varappe, descente en rappel472563690
Escrime354422518
Etirements, hatha yoga236281345
Etirements, léger148176215
Exercices corporels, à la maison, allure légère ou modérée266317388
Exercices corporels, à la maison, allure vigoureuse472563690
Football (exercices, course drapeaux, général)472563690
Football, mode compétition590704863
Football, occasionnel, général413493604
Frisbee (mode rythmé)207246302
Frisbee, général177211259
Frisbee, ultimate480560680
Gainage (sur les mains)410480580
Golf (mini-série ou frapper au loin)177211259
Golf (tirant les clubs)295352431
Golf (transportant des clubs)325387474
Golf (utilisant le chariot)207246302
Golf, général236281345
Gymnastique suédoise, maison, effort léger/modéré210245298
Gymnastique, général236281345
Haltérophilie, allure modérée177211259
Haltérophilie, allure vigoureuse354422518
Handball (jeu en équipe)472563690
Handball, général7088441035
Hockey sur gazon472563690
Hockey sur glace472563690
Jardinage, général295352431
Jaï-alaï (pelote basque)7208401020
Jeu de palet, de boulingrin177211259
Jogging, dans l’eau (aquajogging)472563690
Jogging, général413493604
Judo, jujitsu590704863
Karaté590704863
Kayak295352431
Kick Boxing590704863
Kickball420490595
Laver le chien207246302
Les Mills BodyAttack475554672
Les Mills BodyBalance/BodyFlow232270328
Les Mills BodyCombat481561682
Les Mills BodyPump325379460
Les Mills BodyStep478558677
Les Mills Grit549641778
Les Mills RPM449524637
Lire (en s’asseyant)677997
Luge413493604
Marche rapide (ex. : parade militaire)384457561
Marcher/Courir, jouant avec enfant, allure modérée236281345
Marcher/Courir, jouant avec enfant, allure vigoureuse295352431
Natation sychronisée472563690
Natation, brasse papillon, général660770935
Natation, brasse, général590704863
Natation, dos, général472563690
Natation, laps, allure modérée472563690
Natation, laps, allure rapide590704863
Natation, papillon, général649774949
Natation, pour le loisir, général354422518
Natation, sur place, allure modérée236281345
Natation, sur place, allure rapide590704863
Nettoyage (voiture, fenêtres, etc.), lourd et vigoureux266317388
Nettoyage du garage, du trottoir236281345
Nettoyage du sol, utilisant mains et genoux325387474
Nettoyage, allure lente ou modéré148176216
Nettoyage, dans la maison, général207246302
Parachutisme177211258
Patinage sur glace, 14 km/h ou moins325387474
Patinage sur glace, allure rapide (> 14 km/h)531633776
Patinage sur glace, allure rapide (mode compétition)88510561294
Patinage sur glace, général413493604
Patinage, roller413493604
Pelleter la neige, à la main354422518
Pilates150175213
Plongée en apnée (snorkeling)295352431
Plongée sous-marine, général413493604
Polo472563690
Pompes, intense474553672
Port de charges lourdes (comme des briques)472563690
Porter entre 12 et 22 kilos en montant l’escalier472563690
Porter entre 7 et 11 kilos en montant l’escalier354422517
Pousser ou tirer une poussette avec enfant148176216
Promenade à pied, 3 km/h, allure lente148176216
Promenade à pied, 5 km/h, allure modérée207246302
Promenade à pied, 5,5 km/h, en montée236281345
Promenade à pied, 6,5 km/h, allure très rapide354422518
Promenade à pied, en montant472563690
Promenader à pied, moins de 3 km/h, allure très lente118141172
Promener le chien177211258
Pédalo236281345
Racketball, jeu normal413493603
Racketball, mode compétition590704862
Rafting295352431
Rameur; allure lente207246302
Rameur; allure modérée413493603
Rameur; allure rapide502598733
Rameur; allure très rapide7088441035
Randonnée pédestre, cross country354422518
Raquette (sur neige)472563690
Ratisser la pelouse236281345
Redressement assis, intense474553672
Repeindre la maison à l’extérieur295351431
Rugby590704863
Réparation automobile177211259
S’asseoir dans une classe, travail de bureau104123152
Saut à ski (montée au lieu du saut en emportant les skis)413493604
Sauts avec écart (Jumping Jack), intense498581706
Skateboard295352431
Ski sur l’eau, ski nautique354422518
Ski sur neige, général413493604
Ski, en descente, allure lente295352431
Ski, en descente, allure modérée354422518
Ski, en descente, allure vigoureuse472563690
Ski, ski de fond, allure course8269851208
Ski, ski de fond, allure lente413493604
Ski, ski de fond, allure modéré472563690
Ski, ski de fond, allure vigoureuse531633776
Ski, ski de fond, en montée97411611423
Snowboard372434527
Softball, arbitrage240280340
Softball, lancer rapide ou lent295352431
Sortir la poubelle177211258
Spinning420490595
Squash7088441035
Step, intense400420450
Stepper, machine simulateur d’escalier531633775
Surf (couché ou debout sur la planche)177211259
Séance de jeu avec enfant, mouvements légers148176216
Tae Bo606707859
Tae Kwon Do590704863
Tai chi236281345
Tennis de table, ping-pong236281345
Tennis, double354422518
Tennis, général413493604
Tennis, simple472563690
Tir à l’arc (en tant que sport et non en situation de chasse)207246302
Tondre la pelouse, général325387474
Tractions (exercice de musculation), intense456532646
Trampoline207246302
Travail (léger) dans un bureau89106130
Travailler sur l’ordinateur8196119
Travaux d’électricité, plomberie177212259
Tâches ménagères, faire le ménage, général207246302
Voile, bateau, planche à voile, général180210255
Voile, en mode compétition295352431
Voile, planche à voile, général177211259
Volley-ball dans l’eau177211259
Volley-ball, hors compétition177211259
Volley-ball, mode compétition, dans un gymnase236281345
Volley-ball, à la plage472563690
Vélo elliptique (allure modérée)410477580
Vélo elliptique (allure vigoureuse)485566687
Water polo590704863
Wii210245298
Zumba350370400

2 exemples :

Pour un apéro léger d’environ 500 calories, soit 2 coupes de Champagne, une poignée de cacahuètes et de pistaches et quelques gâteaux apéritifs, il vous faudra courir environ 1 heure 30mn.

Pour un apéro de la mort, soit 2000 calories minimum, vous pourrez soit courir 6 à 10 heures (c’est-à-dire environ 3 marathons!!!), ou alors nager 4 à 6 heures de crawl rapide.

Vous en sentez-vous capable?

Comprenez-vous à quel point l’apéro est un véritable « Weight gainer» et particulièrement lorsqu’il est répétitif ?

Vous pourrez bien faire tout le sport et les activités que vous voudrez que vous ne parviendrez pas à rééquilibrer les balances apports / dépenses.

Regardez les individus qui boivent régulièrement ce qu’ils deviennent…

Je ne peux plus regarder d’images sur les réseaux sociaux censées nous faire rire et qui mettent en scène des personnes alcoolisées.

Je suis profondément touché par l’état de souffrance et de perdition dans lequel ils ou elles se trouvent.

Sans parler des dégâts physiques, neuronaux, psychologiques, socio-familiaux et professionnels.

C’est festif, branché, social, génial mais tellement insidieux.

Une forme d’esclavagisme, consentant au départ, une merveilleuse manipulation de plus qui a fait ces preuves chez tellement de peuples durant l’histoire récente de l’humanité.

Lorsque l’on est alcoolisé, ont est tellement plus manipulable.

J’aimerais prendre quelques minutes pour vous raconter l’histoire d’Estelle, une amie.

A 20 ans, Estelle ne buvait jamais.

D’ailleurs, elle détestait l’alcool.

Puis, pour faire comme les autres, pour « faire partie du groupe » elle a commencé à boire un verre occasionnellement.

Elle s’est rendue compte qu’un petit verre la désinhibait…

Et puis, progressivement, ces petits verres de rouge, blanc ou de rosé sont devenus une vraie source de plaisir !

Le problème c’est, qu’à la longue, de manière insidieuse, les sorties sont devenues synonymes d’Apérol, d’Heineken et/ou de Bordeaux !

A maintes reprises, elle a bien essayé d’arrêter car finalement, c’est un peu comme la cigarette…

Ça coûte cher et puis on le sait, c’est mauvais pour la santé !

Mais c’est difficile, voire même, semblerait-il, impossible d’arrêter tant l’influence des autres impacte notre comportement.

Aujourd’hui, Estelle a ramené cette habitude chez elle et ne peut plus s’en passer…

Parce que vous comprenez, le soir, après une longue journée de travail, un petit verre ou deux ça détend.

Nombreux sont ceux qui se retrouvent dans la même situation qu’Estelle. Peut-être vous reconnaissez-vous…

Essayez d’être honnête avec vous-même.

Et je saisis l’opportunité de cette confrontation avec vous-même pour vous poser LA question :

à quel moment est-ce que l’on atteint le point de non-retour ?

Vous savez, lorsque vous n’arrivez plus à vous en passer…

Je vous entends déjà… : « Moi ? Alcoolique ? Jamais de la vie ! Je peux m’en passer sans problème ! »

Une petite parenthèse pour vous rappeler la définition « d’alcoolique » :

« C’est une personne qui boit avec excès et de façon habituelle des boissons alcooliques. »

Reste, bien sûr, à définir le mot « excès ».

Est-ce deux verres ? Trois verres ? un apéritif et deux verres ?

Je vous propose donc un petit défi cette semaine : buvez « zéro » goutte d’alcool et voyez comment cela vous affecte…

ou encore mieux…

Tout comme j’ai proposé à ma chère amie Estelle : Pourquoi ne pas arrêter pour de bon !

Mais… en êtes-vous seulement capable ?

Êtes-vous prêts à relever le défi ?

Ce que je vous explique, vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir !

Philippe LAMACHE, co écrit avec Barbara RATKOFF

P.S. Bientôt, je publierai un nouvel article qui définira les bienfaits de l’arrêt total de l’alcool

Fixez-vous des objectifs atteignables.

Gardez les pieds sur terre.

Les buts, les objectifs sont des données récurrentes dans la littérature qui concerne le développement personnel.

Les auteurs à succès du genre vous incitent à avoir de grands rêves, de grands objectifs.

Ils vous demandent de voir grand, d’avoir de grandes ambitions.

Pensez milliards si vous voulez devenir riche, pensez Porsche, Mercedes ou Ferrari si vous voulez changer de voiture, pensez château si vous voulez changer de maison…

Cherchez vous trouverez.

Demandez et vous recevrez.

Frappez et l’on vous ouvrira.

Tout est ainsi possible !

Ce sont trois courtes phrases qui appellent à l’abondance et que je cautionne fortement.

Mais finalement, après lecture, que reste-t-il de tous ces « best-sellers » sur le développement personnel, sur la spiritualité, sur le bien-être et la positivité vendus à des millions d’exemplaires ?

Est-ce que tous ces principes, ces belles philosophies qui nous ont tant passionné pendant la lecture, restent intacts dans notre esprit et dans notre cœur ?

Mettons-nous en application ces merveilleux principes censés nous guérir, censés nous épanouir amoureusement, censés faire de nous des individus riches et influents à tous points de vue ?

Je pense particulièrement à un ouvrage référent du genre : « Le secret ».

Il me semble que ce livre à été vendu à près de 50 millions d’exemplaires.

Qui en a retenu l’essence ?

De toute évidence pas grand monde…

Il y a une espèce d’évaporation de la motivation: plus s’éloigne la lecture et plus la foi s’évanouie.

Mais qu’est-ce qui se passe ?

Pourquoi ça ne marche pas ?

Il y a pourtant des témoignages de gens devenus heureux, riches, connus, des individus qui ont recouvré une santé exceptionnelle etc. etc.

« Je ne comprends pas, j’ai pourtant fait tout ce qu’on m’a dit de faire ! »

On vous demande de matérialiser ce que vous souhaitez, de faire grandir un désir ardent, de l’écrire, de le dessiner, de créer un « dream book », de méditer, de réciter des mantras etc.

Et cela peu importe le domaine dans lequel vous voulez prospérer.

Que ce soit même pour améliorer votre corps ou votre esprit.

Que vous ayez le souhait de perdre du poids, de réduire votre taux de graisse, d’augmenter votre masse musculaire… ou d’améliorer vos performances physiques.

Vraiment, peu importe ce que vous souhaitez obtenir, que ce soit dans le domaine professionnel, dans l’évolution de vos finances, dans vos relations ou dans votre développement personnel.

Mais alors pourquoi ça ne marche pas ?

Ou si rarement…

De mon point de vue, là où le bât blesse et je pense que c’est une donnée essentielle, vous devez vous fixer des objectifs à votre mesure.

Des objectifs accessibles, quitte à les reconsidérer par la suite, à les réviser régulièrement.

On peut manger un éléphant mais un bout à la fois.

Lorsque la montagne est trop haute à gravir, ont fini par renoncer.

Comprenez-vous ?

Trop d’ambition tue l’ambition.

Je parle d’une ambition qui n’est pas mesurée, une sorte d’état euphorique, capable de vous convaincre et de convaincre votre entourage, à tort.

Une ambition qui se révèle inconsistante.

Une tricherie, une tromperie de plus de votre conscience.

Elle vous fait croire que vous avez déjà accès à la béatitude, aux manifestations sans limite.

Je vois souvent des individus exaltés, dont le besoin de transmettre et de partager les informations devient une sorte de sacerdoce subite.

Une mission divine.

Leur attitude est totalement disproportionnée, surdimensionnée par rapport à leur maigre et toute ressente expérience.

C’est souvent ce que déclenche le début de l’apprentissage, que ce soit par les livres, les audio, les vidéos ou les enseignements de personne à personne.

Lorsque l’on touche du doigt ce que semble être l’ouverture d’esprit, on pense alors avoir découvert la lumière.

Survient le désenchantement.

Ces objectifs inaccessibles censés exalter votre motivation deviennent de belles chimères qui s’estompent peu à peu emportant les quelques illusions qui vous restaient.

Je ne dis pas qu’il ne faut pas avoir d’ambition mais simplement une ambition juste, à notre portée, une ambition qui ne nous fasse pas douter.

J’exprime simplement que, lorsque celle-ci est proche, accessible, que le résultat est là, à proximité, que l’on peut sentir déjà le goût de la réalisation et que l’on peut presque déjà voir les manifestations, alors, on sait que l’on va réussir, sans aucun doute, sans la moindre intention contraire.

En conclusion.

Morcelez vos rêves, vos désirs en des étapes réalisables.

C’est extrêmement motivant à chaque fois que l’on gravit une marche puis une autre puis une autre.

Et c’est certainement le moyen le plus sûr d’arriver jusqu’en haut.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Arrêtez de me poser des questions !

L’époque est formidable, nous avons accès à la connaissance partout, tout le temps et sur tous les sujets que l’on souhaite approfondir.

C’est vraiment une période incroyable, tout le monde sait tout sur tout.

Tout le monde est devenu expert.

C’est vraiment d’une grande richesse pour l’humanité.

Vous comprendrez que c’est avec une pointe d’ironie que je démarre cet article.

Je pense, en fait, que nous n’en savons pas plus, nous nous noyons dans la confusion la plus générale.

Je pense même que la plupart d’entre nous en savent de moins en moins.

Dans ce marasme nauséabond d’informations, de contre informations, de désinformations, on ne sait plus où se situe l’honnêteté et la malhonnêteté.

Les ragots sont parfois colportés avec de bonnes intentions, sans savoir que l’information est erronée.

D’autres fois, la volonté est intentionnellement de créer la discorde et la confusion.

On finit par faire une indigestion, un espèce de « burnout » de l’information, une dépression de la pseudo connaissance.

À force d’être attentif à tout, on devient attentif à rien.

Nous ne sommes même plus attentifs à notre libre arbitre, notre ressenti, à ce que nous dit notre cœur.

Sous les flots déchaînés « mainstream » du savoir à tout prix, parfois du savoir « low cost », il devient hasardeux de croiser les informations.

90 % de ce qui est raconté est erroné.

On a parfois cessé de croiser l’information avant de tomber sur les 10 % d’éléments corrects.

Et parfois même, les informations correctes sont tellement peu relayées qu’elles pourraient passer pour de mauvaises données.

L’ultra communication est sans nul doute une arme de lobotomisation massive.

Lorsque je vois qu’un chien qui pète fait 30 millions de vues sur YouTube, qu’une nana est suivie par 2 ou 3 millions de personnes et que sa seule compétence apparente est qu’elle a de gros seins, qu’un rappeur américain réputé pour son style médiocre fait en moyenne 30 millions de vues à chacun de ses clips, il me semble qu’il y a vraiment un réel problème.

Je ne détiens certes pas la vérité, en tous cas, j’ai la foi en ce que je pense et en ce que je fais, c’est la moindre des choses.

Ce que je transmets, est ma vérité, ni plus ni moins.

Merci de me lire et de m’écouter, j’en suis vraiment honoré.

Je suis comme tant d’autres, un simple canal qui puise ses connaissances à la source où chacune et chacun peut se servir.

Ma mission est de transmettre des informations avec le plus d’intégrité possible et avec foi.

Je vous demande juste et avant tout, de vous servir de votre libre arbitre et d’assimiler ainsi ce qui sort de mon esprit, à votre gré, avec votre expérience, votre patrimoine intellectuel et spirituel

Le savoir est fait pour être transmis, pour être compris et s’en servir.

Poser des questions est donc une attitude tout à fait correcte qui dénote un esprit d’ouverture, d’échange et d’enseignabilité.

Par conséquent, y répondre avec correction et transmission, est certainement la moindre des choses.

C’est ce que je continuerai toujours à faire lorsque l’oreille sera attentive.

Mais pourquoi poser des questions pour poser des questions ?

Pourquoi poser des questions avec un manque évident d’attention ?

Êtes-vous toujours dans cet état d’esprit inconstant, cette instabilité permanente ?

Est-ce cette époque où l’on obtient tout et n’importe quoi d’un clic qui génère ce genre d’attitude?

Avant de recevoir la réponse, vos pensées ont déjà migré vers le passé ou le futur.

Vous demandez mais vous n’êtes pas prêt à recevoir.

Je parle en mon nom mais également au nom de tous ceux à qui vous faites perdre du temps.

Transmettre du savoir a une valeur, c’est de l’énergie et c’est un bien précieux.

« L’économie du savoir, l’économie de la connaissance, l’économie de l’immatériel ou encore le capitalisme cognitif, est, selon certains économistes, une nouvelle phase de l’histoire économique. »

Savez-vous que certains pays basent l’essentiel de leur économie sur le savoir?

Il y a de cela quelques années, j’ai recadré un garçon qui me posait continuellement des questions à chaque fois qu’il me voyait mais sans jamais mettre en application ce que je lui disais.

Il me demandait ce que je pensais de telles ou telles pratiques alimentaire ou d’entraînement, de tels ou tels exercices et il exprimait le désir d’être corrigé…

Mais finalement, il ne mettait jamais en application mes recommandations…

Je peux comprendre qu’il ne soit pas en accord avec mes principes mais alors pourquoi me poser tant de questions et parfois les mêmes de façon récurrente

Beaucoup se comportent ainsi.

Serait-ce de la stupidité, le besoin d’être rassuré, une espèce de soif égocentrique que l’on s’occupe d’eux, que l’on soit attentif à leur personnes….

De grâce, cessez de nous solliciter si vous n’avez pas l’intention de tirer des enseignements de ce que l’on vous dit.

Cessez de nous importuner, de nous faire perdre notre temps…

Ne nous posez plus de questions.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Arrêtez d’être distrait en salle de musculation

La démarche de fréquenter une salle de sport est au départ certainement pleine de sens et nourri d’espoir.

Vous avez des objectifs qui sont peut-être de perdre du poids, de vous tonifier, de vous muscler, d’avoir un ventre sexy, des fesses galbées et dures, d’améliorer votre condition physique etc.

Vous avez donc chercher la salle de fitness qui vous conviendrait, vous avez prévu d’y consacrer un budget annuel et du temps.

Cela représente parfois beaucoup de temps, plusieurs heures par semaine.

Il y a le temps de l’entraînement bien sûr mais également le temps pour vous y rendre, le temps pour vous changer, pour vous doucher…

La démarche de fréquenter une salle est un véritable investissement, il semble logique que vous en récoltiez des bénéfices.

J’ai commencé à fréquenter les salles de remise en forme à 16 ans, j’en ai 54 aujourd’hui.

Toujours avec une grande régularité.

Cela doit faire approximativement 375 400 jours d’entraînement et je peux vous assurer que j’ai été rarement distrait.

Durant toutes ces années d’entraînement j’ai vu défiler une majorité de gens distraits qui évidemment ne progressaient quasiment pas.

Pour certains, des années de fréquentation sans résultat…

Ce qui m’a conduit un jour à dire que le Fitness est une escroquerie car finalement le pourcentage de gens qui progressent véritablement est faible, voire très faible.

Mais de toute évidence, les responsables, c’est vous et pas la discipline elle-même, évidemment.

Cette discipline, pour progresser, vous demande d’être appliqué, concentré, focalisé.

Elle demande de la conscientiser.

Cessez d’être distrait !

Soyez très attentif à ce que je vais écrire maintenant si vous voulez véritablement progresser.

Je ne vais pas vous dévoiler une technique extraordinaire ou un régime miraculeux.

Je vais faire mieux que ça, je vais vous demander d’arrêter 6 pratiques insupportables qui vous empêchent en grande partie de progresser et qui dérangent votre entourage.

1) Le Téléphone

C’est un véritable fléau.

Il vous démobilise et disperse votre attention.

Vous ne prêtez plus aucun intérêt ou si peu à ce que vous êtes en train de faire.

La plupart du temps, ce sont les réseaux sociaux qui accaparent l’énergie que vous devriez réserver à votre entraînement.

À ce moment là, comprenez que vous n’avez pas le sens des priorités.

Vous n’accordez aucune importance à une activité concrète qui peut améliorer véritablement votre existence.

Vous privilégiez une chimère, vide de fondement, un leurre existentielle qui ne vous apportera fondamentalement rien.

Il y a aussi vos conversations téléphoniques que vous partagez généreusement avec votre entourage.

Sur ce point, il est évident que vous vous dispersez, mais de plus, vous imposez très égoïstement au plus grand nombre vos conversations qui la plupart du temps, pour ne pas dire toujours, non aucun intérêt.

Une distraction dont nous nous passerions bien volontiers.

2) Les discussions

Certains adhérents passent une partie importante de leur temps à discuter.

C’est un choix qui ne va pas de pair avec les résultats.

On peut considérer effectivement qu’une salle de musculation est un lieu de rencontre et de causerie.

Pourquoi pas.

Mais de fait, il faudra accepter d’avoir les résultats à la hauteur de son implication.

Vous progresserez peut-être en causerie mais ce sera tout.

La discussion ne laisse pas le loisir de vous concentrer sur vos objectifs.

Le temps n’est pas superposable (uniquement pour les physiciens quantiques).

Si vous avez une heure pour vous entraîner, vous ne pourrez pas en même temps discuter une heure.

Les discussions vous égarent au même titre que les appels téléphoniques bruyants, elles perturbent les adhérents qui ne souhaitent pas participer à vos débats.

Rappelez-vous que vos discussions n’intéressent que vous.

J’espère que mes propos sont clairs, je ne vous engage pas à être asociaux, je vous dis simplement de rendre votre entraînement efficient.

3) Les excuses

Cessez d’avoir des excuses pour tout !

C’est une façon de justifier par avance vos échecs.

Je ne peux pas y arriver parce que je suis trop vieux, parce que c’est génétique, parce que je n’ai jamais eu de condition physique et je n’en aurai jamais.

Je n’ai pas suffisamment de temps, j’ai eu trois enfants… j’ai eu des problèmes de santé…

La liste des excuses est non exhaustive.

Quelles sont les vôtres ?

Comprenez-vous dans quel état d’esprit vous vous mettez lorsque vous brandissez les excuses ?

Cela vous déresponsabilise instantanément.

Vous perdez tout pouvoir et ainsi toute influence sur votre progression.

Vous légitimez vos manques de progrès pour de mauvaises raisons.

Quand vous vous retranchez derrière les excuses, c’est terminé, vous mettez un terme à toute évolution.

C’est Terminé, plus d’excuses, ça ne sert à rien !

4) Les autres

N’accordez plus d’attention aux autres.

Je m’explique sur ce sujet, je ne parle pas de cette attention bienveillante mais de cette attention qui vous perturbe.

La promiscuité liée au contexte, oblige de se côtoyer intimement dans les salles de fitness.

Vous vous sentez observés, n’est-ce pas !

Vous observez, n’est-ce pas !

S’installe alors le jugement et la comparaison et lorsque ces deux fléaux nourrissent votre ego, vous vous sentez mal, dépréciés, en colère et en totale dispersion d’énergie.

L’énergie dont vous avez besoin pour votre entraînement, pour votre progression, nourrit d’autres projets futiles en se portant sur les autres.

Comment est-elle habillée celle-là ?

Pour qui il se prend celui-ci ? Quel prétentieux !

Tout le monde me regarde…

Sans parler de ceux que je décris ci-dessus qui parlent fort accrochés à leur téléphone et à leur conversation de comptoir.

Ils s’immiscent dans votre esprit par effraction…

Libérez votre esprit de ce que vous pensez que les autres pensent…

C’est vraiment trop aléatoire, ça n’a aucun intérêt et vous ne saurez de toute façon jamais véritablement ce qu’ils pensent.

Restez focus sur vos objectifs en évitant le plus possible la dispersion.

5) Vos problèmes

Mettez-les de côté !

Le ressassement est une véritable torture.

Ressasser est un principe fondamental si vous voulez vous sentir mal.

Vraiment, réfléchissez-y, à chaque fois que vous pensez à vos problèmes, comment vous sentez-vous ?

Ruminer en pensant à ce qui ne va pas, sans forcément agir factuellement pour résoudre les problèmes, vous éloigne du présent.

Ressasser vos problèmes et faire des projections hasardeuses sont les deux raisons majeures pour lesquelles nous n’arrivons pas à vivre le moment présent.

Non seulement vous ne pourrez les résoudre de cette façon mais de plus, vous polluerez votre entraînement.

Vous venez rajouter des problèmes au problème.

Envisager une stratégie à un moment précis pour régler ce qui doit être réglé est évidemment important.

L’ordre est essentiel.

Mais, trimbaler vos soucis comme un fardeau, partout où vous êtes, finira d’un point de vue général par vous épuiser.

Il dispersera une fois de plus votre attention alors que vous devez être focalisé sur votre entraînement et votre progression.

6) La machine que vous voulez absolument

Au cours de toutes ces années d’entraînement dans les nombreuses salles que j’ai fréquenter, j’ai pu observer de manière récurrente que c’était un moyen de déconnexion .

En effet, les adhérents sont souvent très perturbés de ne pas pouvoir utiliser telle ou telle machine parce qu’elle est déjà occupée par d’autres.

Ils se sentent frustrés, ils perdent du temps, ils font chuter l’intensité de leurs entraînements, si intensité il y a bien sûr.

Force est de constater que les pratiquants ne savent pas toujours ce qu’ils font.

Ils ne savent pas qu’ils peuvent substituer cet exercice à celui-ci ou à cet autre.

Ils piétinent alors plusieurs minutes en attendant que la machine se rende disponible…

Dans certaines salles « low cost » et à certaines heures, la patience est de rigueur.

Ce sont peut-être deux points sur lesquels vous progresserez peut-être, la patience et la tolérance.

Maintenant si c’est sur vos capacités physiques et l’amélioration de votre esthétique que vous voudrez progresser, alors, il faudra intégrer quelques notions d’équivalence.

Demandez conseil, informez-vous, anticipez pour ne pas devoir faire chuter votre intensité.

Et rappelez-vous que ce n’est pas de la faute de celui qui monopolise la machine; vous êtes responsables, c’est à vous de prévoir l’alternative.

En conclusion, vous pouvez agir tout de suite sur ces 6 points qui sont de véritables freins à votre évolution.

On ne parle pas là de techniques, de capacités physiques particulières, d’aides chimiques.

Ce sont des facteurs d’une importance capitale sur lesquels vous avez un vrai pouvoir.

Vous qui vous plaignez de ne pas y arriver, et de stagner, qu’est-ce que vous attendez pour changer votre attitude dès la prochaine séance ?

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

>