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Les articles de la catégorie Mental

Les 10 « anti-commandements »

1ère partie.

Les 10 commandements sont des merveilles de règles divines et fondamentales que nous devrions suivre avec application ou en tout cas, vers lesquelles nous devrions œuvrer de notre mieux, toute notre vie, pour nous les rendre accessibles.

Ce sont des lois que nous retrouvons dans chaque religion, dans finalement chaque courant de pensées philosophiques, de l’antiquité la plus lointaine aux fondements de l’humanité.

Ces lois célestes sont basées simplement sur le bon sens, sur l’honnêteté intellectuelle et spirituelle.

Je ne suis pas en train de vous parler de chrétienté, ni d’aucune autre religion, ni de Dieu.

C’est avec pragmatisme, loin de toutes idéologies religieuses et dogmatiques de toutes sortes et de toutes tendances, que j’aborde le sujet de cet article.

Je souligne simplement le bon sens que révèle de tels écrits.

Malheureusement, nous n’avons pas suivi ces enseignements…

Nous avons fait tout le contraire, nous avons érigé nos propres commandements, nos « anti commandement ».

Nous faisons donc scrupuleusement tout pour que nous nous sentions mal, malades psychologiquement et physiquement, dépressifs, agressifs, anxieux, peureux, en conflit…

Voici la liste, non exhaustive, des commandements de l’absurde, que la majorité d’entre nous suit rigoureusement et bien sûr en toute auto-légitimité.

Surtout, ne nous culpabilisons pas, c’est mauvais pour notre équilibre.

1) Tu boiras de l’alcool

C’est festif !

Si tu ne bois pas d’alcool, tu ne sais pas t’amuser, tu ne sais pas vivre…

Même le corps médical nous a conseillé pendant des décennies de boire du vin, c’était bon pour la santé, plein de polyphénols actifs contre le vieillissement !

La bière excellent pour la récupération.

En réalité, l’alcool tue massivement.

7 % des décès en France sont attribués à l’alcool, soit 41 000 morts.

Environ un demi million de morts en 10 ans!

Il crée une misère sociale effrayante, violences conjugales, violences sur les enfants, accidents de la route, etc. etc.

Dommages collatéraux qui ne viennent malheureusement pas gonfler les chiffres de la mortalité liée à l’alcoolisme et qui pourtant représentent un nombre de décès importants.

Il est responsable de pathologies innombrables dont certaines sont morbides.

N’est-ce pas aussi l’alcool qui est en grande partie responsable du génocide des Indiens d’Amérique ?

Ce discours n’alerte évidemment pas les alcooliques mondains, les adolescents, les jeunes adultes ou les « bons vivants ».

De toute façon, nous aimons baigner dans notre jus réconfortant, nous nous sentons rarement concernés, les autres oui, mais nous non.

2) Tu te drogueras

Cannabis, cocaïne, MDMA, héroïne, opium…

Peux importe ce que tu prendras mais tu te drogueras.

Je ne suis pas un spécialiste de ces substances qui se fument, se sniffent, s’injectent, se prennent en comprimé, en tisane, que sais-je encore…

En plus des dégâts physiques qu’elles occasionnent et parfois jusqu’à la mort, (environ 10 000 morts par overdose en Europe chaque année), elles détruisent l’état vibratoire.

La spiritualité dans les chaussettes.

Apathie, passivité, déficits d’attention, de concentration, trous de mémoire, diminution de la libido, problèmes cardio-vasculaires, dépression, anxiété, troubles cardiaques…. la liste est longue et non exhaustive.

Les seules études qui vanteraient les bienfaits de certaines drogues sont à des fins « thérapeutique » lorsque, finalement, les effets secondaires n’ont plus grande importance par rapport à l’état du patient.

Elles ont toutes et à des niveaux diverses les propriétés de distordre l’acuité du libre penseur.

Elles empêchent que vos désirs décollent, elles font de vous des esclaves.

Rien d’autre, des esclaves, qui en plus paient un lourd tribut, financier, en santé physique, mentale et spirituelle et en vrai liberté !

N’était-ce pas le gouvernement chinois qui organisait le trafic de l’opium ?

Mais quel en était le projet ?

Pourquoi droguer son peuple ?

Ne pourrions-nous pas endiguer cette pandémie qui détruit une partie de l’humanité ?

Il y a-t-il vraiment la volonté de le faire ?… probablement que non

3) Tu fumeras

Tu cultiveras de lourdes pathologies, des cancers diverses, des insuffisances respiratoires.

Insidieusement, tu te priveras de tes fonctions vitales, jour après jour, mois après mois, année après année.

Une partie importante de ton maigre budget partira en fumé.

Un paquet de cigarettes coûte aux alentours de dix euros, c’est-à-dire en moyenne un budget de 300 € par mois.

Lorsque le SMIC est à 1200 € net, c’est un quart des revenus !

Quelle folie dépensière pour se tuer à petit feu !

Voici un trafic finement organisé par l’état et qui génère entre 70 et 80 000 morts.

Un cancer sur trois est lié au tabagisme.

C’est plutôt pas mal !

Chaque année, en France, des centaines de milliers de gens sont sous traitement médicaux ou de substitution à la cigarette.

Par voies de patch, de comprimés ou de vaporettes et autres… et parfois même tout cumulé…

L’industrie fonctionne à plein régime.

4) Tu mangeras n’importe quoi et en grosse quantité

La mauvaise alimentation que nous sur-consommons est devenue probablement le fléau numéro un dans nos sociétés dites « civilisée ».

La malbouffe cause plus de morts par an que le sexe, l’alcool et le tabac réunis.

Il est annoncé à l’horizon 2030 aux alentours de 3,5 milliards d’individus en surpoids dans le monde.

Est-il besoin d’énumérer le cortège de pathologies morbides liées au surpoids et causées par la suralimentation ?

Diabète, maladies cardio-vasculaires, hypertension artérielle, cholestérol… maladies structurelles, psychologiques etc. etc.

Pourquoi autorisons-nous cette débauche hallucinante ?

Qui sommes nous devenus pour nous autoriser cette folie ?

Pourquoi les autorités dirigeantes le permettent ?

Probablement l’économie de marché, les profits, un moyen supplémentaire de rendre les peuples esclaves par l’addiction.

Le pouvoir encore le pouvoir.


Sommes-nous devenus si désespérés et si faibles pour être incapables de contrôler quoi que ce soit ?

Nous ne sommes que des consommateurs ultra boulimiques et de toute façon, si l’on tombe malade, il y aura les médicaments…

5) Tu prendras des médicaments pour tout et n’importe quoi

Nous sommes devenus totalement dépendants de l’industrie du médicament et les laboratoires sont évidemment devenus complètement dépendants de nous.

Ils ne vivent et font d’énormes profits que si nous consommons massivement leurs remèdes.

Ils nous encouragent par tous les moyens pour que nous nous fassions ausculter, dépister, opérer, vacciner…

Nous devons consommer beaucoup, beaucoup de médicaments pour nous sentir en sécurité et en consommer également à titre préventif, au cas ou !

Et ça marche !

Vu le nombre complètement surréaliste de molécules que certains ingurgitent et cela parfois depuis des décennies.

J’ai quelques fois l’impression que les gens qui sortent de la pharmacie reviennent du supermarché, leurs sacs pleins à craquer.

Ce n’est plus important aujourd’hui de travailler sur notre immunité, de l’améliorer, de la renforcer, puisque la chimie peut se substituer à la capacité que nous avons naturellement de nous guérir.

Il y a des médecins partout, des pharmacies dans chaque rue, des laboratoires d’analyses dans chaque quartier, des cliniques, des hôpitaux qui débordent, des spécialistes surchargés, dans tous les coins, le système sature et s’emballe.

Nous vivons de plus en plus vieux, paraît-il, ceci n’est pas si sûr, mais surtout dans quelles conditions…

Hypertension, cholestérol, diabète, cancer, appareillés de toute part comme des humanoïdes.

Pourquoi sommes-nous devenus si faibles, si maladifs ?

Nous sommes incapables de supporter un rhume.

Fin de la première partie…

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Comment gérez-vous les conflits quotidiens qui vous empêchent de vivre ?

À force d’étudier le comportement de mes semblables et le mien, je me suis rendu compte de la puissance des altercations, des désaccords, des affrontements, des tentatives d’humiliations et de manipulations qui parfois ne sont distillés qu’à doses homéopathiques mais qui finissent par détruire notre existence et de façon irréversible.

Les conflits quotidiens sont l’équivalent d’un poison insidieux que l’on prendrait à petites doses chaque jour et qui finirait par nous empoisonner vraiment.

Mon introduction plutôt sombre n’est pas motivée par un état d’esprit qui serait négatif.

Non, personnellement je pense m’être défait quasi complètement, par la paix et l’amour, de toutes ces entraves.

C’est simplement la constatation que m’inspire à la fois l’actualité oppressante mais également les relations personnelles rivales au sein du couple et les rapports belliqueux dans l’enceinte professionnelle.

Toutes ces guerres engendrées par le « moi » de souffrance, par le désir de pouvoir, de contrôle sur tout et de possession, sont des dévoreuses d’énergie, des tueuses d’âme, de corps et d’esprit.

Elles engloutissent toute notre vitalité et le peu de spiritualité qu’il nous reste.

Ne vous étonnez pas de tomber malade, d’enchaîner les problèmes, de vous blesser et de recevoir constamment de mauvaises nouvelles.

Vous avez compris, et pour certains d’entre vous, vous le vivez, vous savez absolument de quoi je parle.

Dans une situation oppressante où s’enchaîne toutes les peurs, ne vous attendez pas à générer la prospérité, l’harmonie, la paix, la santé et l’amour.

Cela fait cinq ans, 10 ans que vous êtes dans une situation conflictuelle avec votre propre mari, votre propre épouse ou votre conjoint, peut importe, avec vos enfants, votre propre sœur ou vos parents.

Malgré les quelques périodes d’accalmie, plane une atmosphère nauséabonde, un contexte délétère.

Qu’est-ce que vous devez dire ou ne pas dire ?

Quelle attitude devez-vous adopter ou ne pas adopter ? Quel choix devez vous faire ou ne pas faire ?

Quel comportement devez vous avoir ou pas ?

Vous jouez un rôle 24 heures sur 24, pour certains d’entre vous, qui vous dissocie de la personne que vous êtes vraiment.

Vous finissez par perdre vos repères, votre libre arbitre, vous finissez par ne plus exister.

Dans le cadre professionnel, c’est exactement la même « soupe » avec les mêmes ingrédients qui vont vous rendre malade de la même façon.

Alors, nous comprenons aisément toutes ces addictions « refuges » qui ont pris un essor exponentiel ces 30 où 40 dernières années.

Comme la suralimentation, la drogue, l’alcool, les neuroleptiques…qui sont autant d’échappatoires au milieu des hurlements de l’esprit et parfois même des agressions physiques, autant d’accalmies au centre des typhons de l’angoisse.

Juste un peu de répit.

Évidemment, ces substances, alimentation y compris ne règlent en rien la situation et ne font d’ailleurs que l’aggraver in fine.

Elles ne font que nourrir toujours un peu plus celui qui vous parle, le penseur, le harceleur…l’égo.

C’est toujours l’égo qui crée les conflits, rien d’autre, c’est toujours le même égo qui les supporte parfois même ad vitam aeternam.

Je m’explique, que vous soyez l’oppresseur ou l’oppressé, le manipulateur ou celui qui se laisse manipuler, ce sera soit le désir de soumettre, le besoin de pouvoir…

ou le manque de confiance, la peur de l’abandon ou je ne sais quelle manifestation du « moi » en souffrance qui vous sclérosera dans cette situation, pourtant insoutenable.

Mais alors, qu’est-ce qu’il nous reste comme solution ?

Je vois deux solutions, la fuite en est une.

Partir, se séparer, ne plus fréquenter la ou les promiscuités empoisonnantes.

Stopper la relation avec sa compagne ou son compagnon, quitter son emploi, mettre une distance physique suffisante pour que l’esprit finisse, à son tour, par se séparer de l’étreinte.

Mettre fin, c’est réellement mettre fin.

Je ne parle pas d’une relation qui s’étiole comme une peau de chagrin, qui semblerait être la norme de nos jours, et qui cause bien plus de dégâts qu’une scission nette et irrévocable.

Je comprends aisément que la distanciation physique et psychologique soit une solution radicale et qu’elle aura des conséquences immédiates quelques fois violentes.

Mais rester vous tuera à petit feu et de mon point de vue, les conséquences seront bien plus graves.

C’est toujours une question de choix, peu d’entre nous sont capables de se couper le bras pour sauver leur vie.

Une autre solution est envisageable, c’est de changer, que vous changiez.

Je ne parle pas d’un simple changement, mais d’une révolution, d’un véritable virage à 360°.

Je fais allusion aux fameux préceptes qui dictent le développement personnel, l’acceptation, le non jugement, le pardon, l’estime de soi, la bienveillance, l’humilité…

En quelques mots, se défaire de son ego.

Tout un programme, le parcours d’une vie.

Plus j’avance dans cette direction et plus je vois l’immensité de la tâche.

C’est à la fois extraordinaire de voir à quel point le chemin est beau et long et d’un autre côté, c’est abyssal de voir à quel point la distance est cosmique.

Je vous engage donc de tout cœur à prendre cette voie salvatrice et merveilleuse.

Prenez le chemin qui vous semblera la plus juste et avec lequel vous serez le plus en conformité.

Le Taoïsme, par exemple, par la lecture et la compréhension du  « Tao Te King » « le livre de la voie de la vertu ».

Ou ce sera Jiddu Krishnamurthi et ses discours transcendantaux sur l’amour, la paix, la vraie méditation…

Pour certains ce sera Eckhart Tolle et son analyse fine des intentions et du moment présent.

Pour d’autres Joe Dispenza ou Anthony Robbins…

Pourquoi pas tout simplement la communion avec Dieu.

Devenez votre professeur intransigeant, votre propre maître.

Soyez celui qui met un cadre d’apprentissage constant et devenez en même temps un élève impliqué possédant une soif intarissable d’apprendre dans la rigueur et l’humilité.

Lissez votre ego pour qu’il ne devienne qu’un lointain souvenir.

Apprenez à ne plus souffrir, à ne plus laisser de prise aux événements, à ne plus vous emporter, à ne plus vous approprier quoi que ce soit.

Apprenez à ne plus être le centre des événements et le centre du monde.

Créez votre propre univers dans la compréhension, la liberté et le sentiment de haute fréquence et qu’ils embellissent votre existence et celle des autres.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

C’est la pensée positive qui vous fait progresser physiquement.

La pensée positive joue un rôle primordial dans vos efforts de perte de poids, pour avoir le corps de vos rêves et pour obtenir le changement physique tant voulu.

D’autre part, les pensées positives peuvent booster votre motivation et vos niveaux d’énergie.

Les pensées positives sont créatrices de bonheur et de désir.

Le désir de s’investir, de réaliser de nouvelles choses, de créer et de relever des challenges.

Les pensées négatives perpétuelles conduisent à des comportements auto-destructeurs tels que l’arrêt de l’alimentation, la suralimentation et la mauvaise alimentation.

Elles conduisent au doute, à l’isolement, à l’arrêt de vos entraînements sportifs et à tant d’autres comportements préjudiciables.

Une attitude négative, un comportement de souffrance déclenchent des processus physiques qui perturbent le métabolisme.

De fait, la prise de muscles et la perte de poids deviennent difficiles.

Pensez-y mes chers compatriotes de plus de 40 ans, ne rajoutez pas au temps qui passe l’handicap du poids des pensées noires.

Evitez de vous saborder vous-même en vous focalisant sur votre tristesse, vos rancœurs, vos colères de toutes sortes ou sur la privation.

Évitez scrupuleusement l’appréhension des échecs face à votre nouveau régime, à vos nouvelles habitudes alimentaires ou face à ce que vous demandent comme investissements vos entraînements.

Travaillez méticuleusement votre réussite et mettez de la foi sans une once de doute dans la véracité de ce que vous faites.

En ayant une appréhension négative de votre entraînement et de votre régime alimentaire, vous ne ferez que créer un contexte défavorable et dans ces conditions, n’attendez pas grand-chose.

C’est un domaine merveilleux où le retour sur investissement est d’une grande fiabilité.

Bien plus que la finance et que les jeux de hasard.

Une réponse commune de ceux à qui vous dites de penser plus positivement, est souvent:

« Je ressens ce que je ressens, je ne peux pas faire autrement ». 

C’est vrai, ce n’est pas facile de changer son état d’esprit.

Cela demande une vraie volonté, la volonté de changer les choses.

La pensée positive n’est efficace que si elle est en harmonie avec vos vrais sentiments, vos intentions.

Comment créer des pensées positives ?

Voilà un petit exercice simple, à mettre en place, que je vous propose.

Sélectionnez 2 à 3 des phrases ci-dessous dans la liste que je vous propose.

Réglez votre montre, une application de rappel ou une autre alarme de notification de votre choix pour l’heure souhaitée.

Programmez le rappel pourquoi pas toutes les heures.

Chaque fois que votre alarme retentit, répétez en boucle les phrases choisies pendant une à deux minutes ou plus si vous le souhaitez.

« Je suis totalement capable de faire ma séance d’entraînement.« 

« Je vais me sculpter un corps parfait et qui me correspond.”

« À chaque nouvelle minute qui passe, je deviens une personne meilleure. »

« Je me sens régénéré (e) et en bonne santé aujourd’hui. »

« Les bénéfices de cette séance d’entraînement seront immédiats et dureront pour toujours ! »

« Je me sens en paix et en harmonie avec l’instant présent. »

« Je suis fier (e) de moi et de mes accomplissements. »

Il est important de faire un effort conscient pour transformer vos pensées.

Cela peut être difficile de surmonter vos fringales ou de rester fidèle à votre régime alimentaire et c’est tout à fait normal.

Cependant, s’il y a des moments où vous êtes capables de rester forts, alors concentrez-vous sur ces moments et célébrez les triomphes.

Peut-être que vous mettez moins de sucre dans votre café aujourd’hui ou vous avez pourquoi pas dit non à une deuxième part de pizza.

Ce sont des victoires !

Développez une pensée créatrice aidera à générer une plus grande estime de soi et la motivation pour aller au bout de vos objectifs, tels que la perte de poids ou un corps dans une forme parfaite.

En tous cas l’idée que vous vous faites de la forme parfaite.

Pour augmenter le succès de votre changement physique et de votre bien-être, fixez-vous des objectifs réalisables.

Perdre un ou deux kilos en 2 semaines, est un objectif raisonnable et peut généralement être atteint sans mesures extrêmes.

Pesez-vous chaque semaine pour atteindre votre objectif, reconnaissez votre succès et surtout apprenez à aimer votre corps.

Cela perpétuera la pensée positive et créatrice de votre bonheur, vous boosterez ainsi votre motivation, les mauvais kilos s’envoleront et votre forme physique explosera.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir .

Philippe LAMACHE

Les blessures du corps sont avant tout les blessures de l’âme.

Lorsque nous pratiquons quotidiennement ou en tout cas régulièrement une activité sportive, nous sommes évidemment confrontés aux blessures musculosquelettiques.

Nous pourrions définir ces blessures comme des lésions des tissus provoquées par des traumatismes physiques et altérants la ou les fonctions.

Les blessures ayant tendance à augmenter avec l’âge.

C’est d’ailleurs un fait avéré, rentré profondément dans la conscience collective.

Plus vous vieillissez, plus il faut vous préserver de ce type de blessures.

Elles arrivent immanquablement et la récupération est plus longue et plus compliquée.

Je suis certain que vous en êtes persuadés, n’est ce pas !

Les chiffres à ce sujet ne sont pas clairement déterminés mais il semblerait que 50 à 60 % de ce type de blessures soient liées à l’activité sportive.

Dans cet article, je parle principalement des blessures occasionnées par la culture physique.

Je ne parle pas des blessures dans le cadre d’un sport collectif, du cross fit ou d’un sport de combat où les chocs parfois violents et répétitifs sont des facteurs supplémentaires favorisants ce type de traumatismes et augmentant leur niveau traumatologiques.

Dans le cadre de la culture physique, ces lésions sont généralement dues aux mouvements répétitifs, « trop chargés » et mal exécutés.

La compréhension et le temps ne sont pas laissés aux traumatismes pour se réparer naturellement, ils sont tout d’abord mineurs et ils finissent par devenir de vrais problèmes.

La compensation finit également par propager les douleurs en dehors du foyer initial.

On se retrouve ainsi avec le temps à avoir des blessures en cascade.

De mon point de vue, il y a des causes préalables aux blessures, bien en amont des problèmes osseux, structurels, ergonomiques ou de mauvaises exécutions des exercices.

Un facteur essentiel est à mettre au crédit de nos maux, LE FACTEUR MAJEUR DÉCLENCHANT.

C’est l’état d’esprit, les pensées, les souffrances psychologiques.

Un esprit anxieux, en colère, épuisé, stressé, nourrit les circonstances idéales pour recevoir les traumatismes physiques.

Le poids de la culpabilité, la jalousie, la rancœur, freinent la libre circulation de l’énergie et alimentent le terreau de l’angoisse des blessures.

En cultivant cet état d’âme, vous appelez, à coup sûr, les problèmes.

Tous les problèmes !

Remémorez-vous l’état dans lequel vous étiez lorsque vous vous êtes blessés.

Peut-être pas au moment où la blessure est survenue mais les jours, les semaines précédentes.

Vous vous rendrez compte que vous en aviez vraiment « plein le dos ».

Finalement, cette blessure au dos au niveau de vos vertèbres lombaires, L 4 et L 5, cette sciatique, cette lombalgie, ce déplacement des os iliaques et du sacrum, ne seraient-ils pas en corrélation avec la somme de problèmes qui vous harcèlent actuellement.

Vous n’écoutez pas votre esprit qui vous parle.

Prenez soin d’écouter les signes physiques avant-coureurs, comme les premières alertes, qui auraient permis d’éradiquer le problème naissant.

Vous auriez pu arrêter vos entraînements ou les modifier raisonnablement et pratiquer le « pivotement » de l’esprit dont je parle dans mon article:

« Comment passer de l’ombre à la lumière »

Vous ne faites évidemment qu’aggraver la situation.

Les maladies psychosomatiques sont caractérisées par des symptômes physiques qui affectent un organe ou un système physiologique et dont les causes sont essentiellement émotionnelles.

Selon Wikipédia : Le terme psychosomatique (du grec ancien : psyché, l’esprit et soma, le corps) désigne les troubles physiques occasionnés ou aggravés par des facteurs psychiques.

Nous parlons bien de somatisation.

Plus généralement, ce terme désigne tout ce qui concerne les effets de L’esprit sur le corps humain.

Le terme « psychosomatique » pourrait être aussi définit comme étant un état dans lequel les influences émotionnelles jouent un rôle significatif dans leur genèse, dans leur récurrence ou dans leur potentialisation.

La définition est devenu d’usage courant en ce qui concerne les maladies déclenchée, pour faire simple, par un état psychologique de souffrance.

Il est acté qu’un traumatisme psychologique (décès, divorce,séparation, accident, perte d’emploi, …) engendre dans la majorité des cas la chute de nos défenses immunitaire.

Il existe donc de tout évidence un lien réel entre le système nerveux autonome et notre système immunitaire.

Nous pouvons l’associer également à nos blessures.

Je cite souvent cette phrase de Voltaire :

«J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé »

Il aurait pu dire de la même façon :

« J’ai décidé d’être heureux parce que je ne veux pas me blesser »

Gardez un esprit positif en toute circonstance, ne ressassez par le passé, il est passé …

Ne faites pas de projections hasardeuses vers un futur hypothétique, nous ne sommes pas assez malins pour prédire l’avenir et surtout nos prévisions sont souvent alarmistes et toujours très éloignées de ce qui se passe in fine.

Contentez-vous d’être attentifs au moment présent.

Si vous n’y arrivez pas, pratiquez le pivotement.

C’est une technique qui a fait ses preuves pour passer d’un état de mal-être vers un état de bien-être.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

La révolution n’est pas pour demain

Cet article m’a été inspiré très récemment suite à une réunion en visioconférence que j’ai eu avec un groupe d’amis au fait des choses philosophiques et spirituelles.

Nos réunions sont toujours l’occasion d’échanges enrichissants où chacun écoute l’autre avec grande attention et apporte à son tour une pierre à l’édifice de la discussion.

Nous parlions de sujets divers dont certains avaient attrait à cette situation particulière que nous vivons depuis plusieurs semaines.

Comment vivons-nous le confinement ?

Le manque de liberté ?

La promiscuité ?

Est-ce l’occasion de changements fondamentaux ?

Il y aura t’il une véritable prise de conscience lorsque nous retrouverons une vie « normale» ?

Certains le pensent et leur discours est parfaitement audible, empreint de bonté, d’espoir et probablement d’amour.

D’autres n’y crois pas, c’est mon cas, et certainement pas par pessimisme.

Je pense simplement et en toute modestie, que le chemin initiatique vers un peu plus de clarté, un peu plus de lumière, est le chemin d’une vie d’apprentissage.

C’est un chemin long, jonché d’enseignements de personnes à personne, de lecture, d’écoute et d’années d’application, de remise en question, de non jugement, d’acceptation et de prise de responsabilités pleines et entières.

Un lourd et long bagage que l’on finit par porter avec légèreté lorsque l’on a, peu être un jour, intégré quelques fondements philosophiques et spirituels.

En ces temps troublés, les humeurs, les états d’âme s’entrechoquent, s’emmêlent et se déchaînent, on peut voir des élans compassionnels mais également des crises de colère compulsionnels et infantiles.

Ainsi les élans de solidarité, de tolérance font place à des actes de délation et de furie.

De toute évidence, à situation exceptionnelle, réaction exceptionnelle.

Ce n’est certes pas la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous devons faire face à une crise sanitaire majeure.

Je pense, par exemple, à la grippe espagnole qui sévit de 1918 à 1919 et qui tua 100 millions d’êtres humains.

Rappelons-nous qu’à cette époque, la population mondiale n’était que de 1,6 milliards d’habitants, c’est par conséquent, approximativement 1/16 de la population mondiale qui mourut en l’espace d’une année.

Rapporté à notre situation actuelle, où la population est 4,5 fois plus importante, cela représenterait 450 millions de morts…

Encore plus récemment, la grippe de 1968 ou grippe de Hong Kong, qui a été causée par une souche réassortis H3N2 du virus H2N2 de la grippe et qui a sévi jusqu’au printemps 1970, a tué environ 1 million de personnes.

Sans évoquer bien sûr, la peste ou le choléra, contre lesquels l’humanité moyenâgeuse n’avait ni remède ni véritable protection.

Un autre fléau abominable que nous pourrions évoquer également, est la guerre, les guerres incessantes.

En effet, en 5500 ans, il y a eu 15 000 guerres, ce qui représente en moyenne deux guerres et demie chaque année.

Les catastrophes naturelles ne sont pas non plus en reste, entre les tremblements de terre, les éruptions volcaniques et les tsunamis…

Après toutes ces catastrophes répétitives, ces génocides, ces conflits majeurs initiés par la volonté de l’homme, de la nature ou peut-être du divin…

Et bien, point de bouleversements fondamentaux, point d’éveil, aucune prise de conscience universelle.

Sommes-nous suffisamment égocentriques pour imaginer un instant que cette fois ci, il y aura la révolution.

Comment pourrions-nous croire qu’au moment de notre humble passage au cours de l’immense histoire de l’humanité, il se passerait ce grand changement alors que celui-ci, de mémoire d’homme, n’a jamais eu lieu.

Jamais eu lieu !!

On ne parle pas d’une révolution de façade, sans plus de consistance ou d’intérêt qu’une discussion de comptoir entre deux copains alcoolisés qui refont le monde.

Ni non plus de toutes les révolutions que nous avons connu ici et ailleurs, sous notre ère ou sous une autre, dirigées par un dogme prenant la place d’un autre…

Non, ce n’est pas de ce type de révolution dont je parle et dont nous avons besoin.

La révolution nécessaire pour le salut de l’humanité passera inévitablement par une révolution individuelle.

Comme je l’explique plus haut dans le texte, cette révolte personnelle, ce bouleversement fondamental est le travail rigoureux d’une vie.

Ce sera la multiplicité des révolutions individuelles qui fera la grandeur du phénomène.

Effectivement, comme le soulignait un de mes chers amis, changer soi-même, c’est changer le monde.

Je rajouterai que, changer soi-même, c’est avant tout changer SON monde.

C’est déjà une « sacrée » performance dans le sens monumental, important mais également dans le sens du sacré, du divin.

Le monde opérera, enfin, un bouleversement réel et radical le jour où, nous serons suffisamment nombreux à avoir changés pour infléchir cette réalité obscure vers un monde honnête et lumineux.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir

Philippe LAMACHE

Comment passer de l’ombre à la lumière.

Quels sont les moyens pour passer d’une situation de souffrance, d’insécurité, une situation de stress, de peur, vers une situation de bien-être, de sécurité, de paix ?

Comment retourner la situation à son avantage ?

Il est entendu que je parle de vous avec vous-même, pas d’une situation conflictuelle quelconque où vous seriez opposé à un tiers.

Dans ces circonstances, je ne pourrais pas faire grand-chose pour vous, je ne connais pas l’objet de la discorde et ce qu’elle a engendré.

Un médiateur impartial ou un avocat fera certainement mieux l’affaire.

Par ailleurs, ce genre de situation conflictuelle, très souvent, disparaît avec la personne qui représentait à vos yeux le fruit du problème.

Vous changez d’endroit, vous ne côtoyez plus cet individu et alors loin des yeux, loin du cœur… Plutôt, loin du conflit pourrions nous dire.

Par contre se séparer de soi même est une autre paire de manches.

Se séparer de celui qui vous fait souffrir, le penseur, celui qui vous parle tout le temps, celui qui ne vous laisse quasiment jamais de répit.

Le harceleur, celui qui s’est installé à l’intérieur de vous, qui vous épuise par sa pugnacité, par son talent extraordinaire à vous manipuler et de la façon la plus perverse et machiavélique qui soit.

Celui-ci est certainement le plus puissant de vos ennemis parce qu’il connaît parfaitement vos points faibles et il en joue avec tellement de brio.

Nous l’appellerons « je » ou « moi » ou «l’égo».

Rappelez-vous d’une chose très importante, « je » n’est pas vous, ce n’est pas l’humain que vous êtes, c’est simplement le personnage que vous avez construit et que votre environnement vous a aidé à façonner.

À votre naissance, vous n’étiez pas jaloux, ni cruel, vous n’aviez pas peur que l’on vous abandonne, vous étiez dans l’émerveillement le plus total.

Parfaitement honnête et sans une once de corruption.

Plus nous nous sommes éloignés de notre source et plus les circuits neuronaux négatifs se sont installés et se sont fortifiés.

Imaginez dans quel état nous sommes à 40, 50 ans et plus… ces fameux circuits neuronaux sont énormes et durs comme des cailloux.

Ils sont totalement inflexibles.

Nous sommes plein de convictions, parfaitement certains que notre expérience de vie est la « vraie » vérité, bonne ou mauvaise et que l’existence est comme ça, un point c’est tout.

Alors comment se séparer de ce parasite qui vous consume à petit feu ?

À chaque fois que vous êtes harcelés par une idée, par un état, une situation qui vous fait vous sentir mal, pratiquez la technique du « pivotement ».

Cette fameuse technique que j’ai évoqué à plusieurs reprises et dont je parle dans mon dernier article :« Notre état vibratoire façonne notre existence. »

En quoi cela consiste exactement ?

Avant toute chose, vous devez être intimement convaincu que vous portez la responsabilité de votre état.

Je sais que nous vivons à une époque où il est politiquement incorrect de faire porter la responsabilité sur l’individu mais plutôt sur la collectivité, celle-ci est donc diluée et personne n’est vraiment responsable de quoi que ce soit….

Soyez vigilant, c’est un moyen de vous retirer toute possibilité d’agir.

Il ne doit pas être dit que vous êtes responsables de votre surcharge pondérale, ni que vous êtes responsables de l’état de vos finances, de l’éducation de vos enfants…

La culpabilité est un facteur de mal-être puissant chez beaucoup d’entre nous.

Il n’est certes pas question de vous culpabiliser, je souhaiterais simplement que vous intégriez le fait que vous avez la main, vous avez le pouvoir.

Ça change vraiment tout !

Vous avez le pouvoir de l’intention, des pensées et des décisions.

Vous vous êtes placés dans cet état de stress, de peur, de souffrance et vous pouvez en sortir de la même façon que vous y êtes rentrés.

Je vous rappelle que les événements extérieurs, les paroles, les comportements ou les individus n’ont de prise sur vous que si vous leur permettez de vous atteindre, uniquement si vous laissez la porte ouverte.

Si vous n’êtes pas capables de fermer la porte, alors, évitez le plus possible de vous exposer.

Voici un certain nombre de règles à suivre qui facilitent le pivotement lorsque vous êtes dans une situation de mal-être et qui permettent de passer ainsi vers un état de mieux être.

1) Protégez-vous en vous imperméabilisant ou en évitant les informations et les relations toxiques.

S’il le faut, évitez les médias, évitez de regarder des films qui vous bouleversent, des bouquins qui vous laissent un goût de tristesse ou de révolte.

Évitez de fréquenter des lieux où vous vous sentez mal, des endroits qui vous rappellent des souvenirs difficiles.

Oui, vous le pouvez, c’est vous qui décidez, c’est vous qui choisissez vos priorités.

Pivotez vers ce qui est bon pour vous.

2) Imposez-vous quotidiennement la lecture.

Pivotez vers des ouvrages, au détriment de livres anxiogènes, qui éveillent votre conscience pure, qui vous enseignent la façon dont vous pouvez mieux vivre avec vous-même.

Des ouvrages qui vous rapprochent d’un état de paix, d’harmonie, d’amour, de bonne santé et de prospérité.

J’ai de nombreux titres de bouquins exceptionnels à partager avec vous, n’hésitez pas à m’envoyer un message sur ce sujet.

3) Multipliez les moments de méditation.

Comme je l’explique fort souvent, la méditation, c’est comme vous voulez, quand vous voulez et le temps que vous voulez.

Lorsque vous vivez des déconvenues qui abaissent votre état vibratoire, faites un STOP !

Créez le silence dans le flux incessant de vos pensées, ne serait-ce que quelques secondes, c’est déjà un excellent début qui participe au pivotement.

Appréciez donc cet espace de répit entre deux pensées, même si ce moment ne dure qu’une milliseconde, l’important est que vous en ayez conscience.

C’est un pas énorme que vous faites vers la paix véritable.

4) Priez

En prenant soin de penser au monde, en offrant vos prières aux autres, pour leur bonne santé, leur équilibre, leur amour, leur expansion et leur bonheur.

Comme une offrande, faites don de vous par le recueillement.

Vous verrez, ce sera un cadeau que vous ferez à l’humanité, mais également à vous même.

Cet acte est créateur de bien-être infini lorsque l’on a le moral en berne.

5) La musique

Écoutez la musique que vous aimez est un excellent moyen de faciliter le pivotement.

Elle est stimulante, évocatrice et lorsque nous sommes dans une situation conflictuelle, elle apaise et nous projette vers d’autres horizons en nous faisant très souvent oublier le ressassement négatif.

Cela veut dire également, faire de la musique, pratiquer une activité artistique est d’une aide précieuse lorsque nous avons un besoin express de pivoter.

6) La danse

Danser est un moyen puissant de pivoter.

C’est une activité qui élève considérablement vos vibrations en vous plongeant dans un état de bien-être quasiment instantané.

Ce n’est pas toujours aisé de danser, suivant les circonstances, on risque de passer pour un « folle dingo ».

Vous pouvez aller jusqu’à vous imaginer danser et ressentir finalement les mêmes sensations.

Cela peut vous sembler spécial mais c’est ni plus ni moins de la visualisation créatrice.

7) Le sport

Le sport est également un moyen, non seulement de pivoter par l’attention que vous lui portez naturellement pendant la pratique et ainsi sortir momentanément de votre état, mais c’est également une occasion d’améliorer votre condition ainsi que vos qualités physiques, ce qui est une plus-value pour votre santé mais aussi pour votre moral.

L’un ne va pas sans l’autre.

8) Le travail manuel

Celui-ci demande une concentration particulière qui disperse l’attention que vous pouviez porter à vos pensées négatives.

Il est, lui aussi, un outil de pivotement.

Lorsque la tension est trop vive, il permet de dérouter l’esprit tourmenté pour le focaliser vers la réalisation manuelle.

9) Le jardinage

Voilà encore une activité, une passion pour certains, qui crée véritablement un espace de bien-être.

La relation avec la nature, avec la Terre, rapproche de l’essentiel.

La connexion avec le sol nous ancre et dilue l’égarement mental.

S’occuper de son potager, de ses arbres et de ses fleurs, libère nos pensées de souffrance.

10) Exercer une activité artistique

Se réaliser dans une activité artistique est un moyen sûr et efficace de pivoter lorsque le moral n’est pas au beau fixe.

Peindre, sculpter, créer en y mettant le cœur, est un point central d’alignement.

Encore un facteur de pivotement exceptionnel pour détourner votre attention du superflu vers l’essentiel.

11) Se promener

Faites l’expérience, vous ne vous sentez pas bien, sortez, marchez en direction du soleil en regardant l’horizon loin devant vous et alors, il se produit, comme par magie, une sensation de bien-être qui vous envahit petit à petit.

Vous êtes en plein pivotement.

L’espace est vivifiant pour votre esprit, l’horizon n’est plus bouché.

Le soleil a également des effets régénérants et même s’il ne fait pas beau, ce sera la lumière qui vous éclairera et peut-être même qui vous illuminera.

Voici ma liste, non exhaustive, de ce que vous pouvez faire pour vous sentir mieux et parfois instantanément mieux.

Plus vous ferez, plus vous cumulerez ces règles, meilleure sera votre existence et plus facile sera le pivotement.

J’aurais pu aussi vous parler de votre alimentation et particulièrement de certains aliments qui améliorent, non seulement votre physique, mais qui contribuent également à élever votre état vibratoire.

Ce sera le sujet d’un prochain article.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Notre état vibratoire façonne notre existence.

Nous sommes les créateurs de notre vie.

Aucun autre humain ne pense à votre place, nous ne récoltons pas ce que les autres ont semé.


Comprenez-vous !

Lorsque nous avons parfaitement intégré cette évidence alors nous endossons totalement la responsabilité de ce qui nous arrive.

Pour faire simple et factuel, nous sommes constitués d’atomes et les atomes sont de l’énergie, ils vibrent et sont en mouvement perpétuel.

Chaque chose en ce monde est constitué d’atomes qui vibrent à des fréquences différentes.

La science permet aujourd’hui de mesurer les fréquences vibratoires ou fréquences des vibrations, c’est-à-dire les vibrations émises par seconde.

Celles de la terre, par exemple, je parle de notre planète, se situait au milieu des années 90 aux alentours de 8HZ.

Cette fréquence a triplé en l’espace de quasiment 30 ans ans pour se retrouver aux alentours de 25 Hz.

Cette mesure est appelé par les physiciens : « la fréquence de Schuman ».

La science nous permet même de mesurer l’état vibratoire de chaque chose, des animaux, de la végétation et même des virus…

Le COVID-19 est une entité à faible vibration dont la fréquence de résonance oscille de 5,5 Hz à 14,5 Hz.

Elle nous permet également de mesurer les fréquences vibratoires que nous émettons en fonction de nos états.

Si nous sommes en colère, si nous sommes jaloux, envieux, en souffrance, si nous avons peur, si nous nous sentons coupables, mal-aimés…

Nous abaissons notre état vibratoire.

A contrario, les sentiments de bonheur, de bienveillance, de paix, d’amour, d’harmonie… élèvent nos vibrations.

Voici une idée de l’état vibratoire de quelques émotions :

La peur – de 0,2 à 2,2 Hz

La colère – 1,4 Hz

L’orgueil – 0,8 Hz

La pitié – 3 Hz

La générosité – 95 Hz

La compassion -150 Hz et plus

L’amour – de 50 Hz à plus de 200 Hz

Ce sont nos pensées, nos intentions qui influencent notre état.

Il y a pléthore de bouquins sur le sujet.

Certains sont des best-seller, écrit par des auteurs connus et reconnus mélangeant les neurosciences, la physique quantique et la spiritualité.

Je pense par exemple à Joe Dispenza qui est une véritable sommité en la matière.

Je vous engage vivement à lire un de ses bouquins :« Devenez super conscient ».

Nous pouvons comparer, d’une certaine manière, nos fréquences aux fréquences radio.

Si vous souhaitez recevoir l’émission sur X mégahertz de votre radio préférée, il suffit de régler votre récepteur sur la fréquence adéquate, la fréquence qui correspond.

Vous recevez alors la radio que vous avez choisi et si vous souhaitez changer de radio, la procédure est simple, vous changez de fréquence.

Nous fonctionnons exactement de la même façon, nous émettons et nous recevons.

Si nous souhaitons recevoir la prospérité, alors, générons de la prospérité en adoptant un état propice à la recevoir.

Ce n’est certes pas facile, je vous l’accorde, nous avons malheureusement des compétences évidentes à créer le chaos, la discorde, la plainte, la souffrance et le misérabilisme plutôt qu’à la création de bonheur et de bien-être.

Nous nous rendons plus facilement malades plutôt que nous ne fabriquons notre santé parfaite.

Nous avons des circonstances atténuantes, des ennemis pernicieux et extrêmement actifs, avides de pouvoir et de profits:

L’industrie chimique et ces nombreuses applications:

-La chimie « Médicamenteuse » qui s’est substituée à nos capacités divines de régénération et d’auto guérison…

Il faut dire que nous sommes dans un sale état, tellement éloignés de ce que nous étions.

-L’industrie agro qui nous fournit une alimentation gavée elle-même de chimie.

-L’industrie de la cigarette, n’est ce pas les états qui en font le commerce…

-l’alcool et la drogue à outrance contribuant à réduire notre horizon déjà limité par nos pensées suicidaires.

L’industrie d’un point de vue générale et sa pollution qui nous tue à petit feu.

Ces armes chimiques de destruction massive anéantissant tout libre arbitre et tout éveil de la conscience.

L’espérance de vie a certes augmenté mais les 20 dernières années de vie nous les passons accrochés à nos médicaments et à nos pathologies morbides.

Nous sommes maintenus comme des esclaves par nos boulets et nos chaînes.

Ainsi soit-il…

Il y a néanmoins une différence considérable entre les ondes, les vibrations de nos états et les émissions des ondes radio.

En effet, celles-ci voyagent de façon rectiligne et sont relayées par des antennes et des satellites.

Nos ondes, notre énergie, nos vibrations se déplacent avec beaucoup plus de mobilité, à la manière d’un gaz pourrions nous dire.

Le message est donc beaucoup plus impactant, plus influençant, bien plus puissant.

Je le répète, si j’émets de la haine, c’est ce que je reçois, si j’émets de l’amour, c’est ce que je reçois.

Plus l’émission est puissante et durable et plus fort sera le signal.

C’est une loi physique formelle au même titre que peut l’être la gravité par exemple.

Si vous jetez un objet en l’air, il retombe au sol, vous ne formulez évidemment aucun doute à ce sujet.

Cette loi vous semble tout à fait conforme et ne permet aucune contradiction.

Et bien, ne formulez non plus aucun doute sur le fait que nous soyons énergie et par conséquent vibrations et que nous ayons une réelle influence sur leur intensité et leur niveau.

Ne dit-on pas lorsque nous sommes en accord que nous sommes « au diapason ».

Nous parlons là de son, donc de fréquence.

Ne dit-on pas non plus, lorsque nous nous entendons bien avec quelqu’un que nous avons « des atomes crochus »

Cela veut dire que nous sommes sur « la même longueur d’onde ».

Et « qui se ressemble s’assemble », nous serions attirés mutuellement lorsque nous nous ressemblons, plus précisément attirés par ce que nous émettons, une fréquence de même niveau.

Ces expressions vous parlent n’est-ce pas !

Une fois que vous aurez vraiment intégré cette loi et bien, vous ne serez plus surpris par tout ce qui vous arrive, les belles expériences comme les plus difficiles.

Observez ce qui se passe autour de vous ou ce que vous vivez vous-même, il est vrai que c’est toujours plus difficile de s’observer soi-même, la distanciation est toujours plus délicate.

Est-ce que finalement, en toute objectivité, vous n’êtes pas responsable de ce qui vous arrive ?

Quel état d’esprit aviez-vous les jours, parfois même les heures qui ont précédé cette maudite blessure ?

Ou cette altercation ou peut-être cet accident ?… Analysez-vous.

Il est coutume de dire :« jamais deux sans trois », comme si un événement de même nature en attirait un autre…

Et bien effectivement, c’est le cas, à moins d’avoir la faculté de pratiquer le « pivotement ».

Le pivotement est la capacité que nous avons à passer d’un état à un autre en employant certaines techniques qui feront l’objet d’un prochain article.

Pour en avoir discuté des centaines de fois avec des personnes à qui il arrivait des expériences fâcheuses en cascade, des discordes dans leurs relations personnelles, des problèmes de santé, des problèmes financiers, et bien, la plupart du temps, elles se déresponsabilisaient et mettaient la faute systématiquement sur les autres, le contexte qui n’était pas favorable etc. etc.

Malgré leur état de souffrance permanent, leur colère, leur esprit de revanche, leur besoin de se valoriser, ils ne finissent même plus par voir leurs propres dysfonctionnements.

Ils le voient assurément chez les autres mais pas chez eux.

Vérifiez par vous-même, vous avez certainement dans votre entourage ce type d’individus toujours en colère.

Remarquez, ils se disputent avec tout le monde et ils disent que c’est toujours de la faute des autres, qu’ils ne sont responsables en rien de ces situations qui s’enchaînent.

Regardez leurs attitudes, elles sont constamment révoltées, colériques, agressives.

N’est-ce pas!

Voici une citation de Voltaire que je m’approprie très fréquemment et qui révèle toute la portée, toute la puissance que peux avoir votre état d’esprit sur votre état général:

« J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé »

Cultivez un état vibratoire élevé pour attirer à vous les circonstances, les choses, les êtres correspondant au même niveau vibratoire.

Je me permets de vous donner quelques directions :

  • Ne ressassez plus le passé, il est passé, c’est terminé, il n’existe plus et il n’a peut-être même jamais existé.
  • Ne faites plus de projections hasardeuses et la plupart du temps catastrophiques. Vous n’êtes pas assez malins pour prévoir ce qui va se passer et d’ailleurs, remarquez, ça se passe rarement comme vous l’aviez imaginé.
  • Évitez de juger, nous avons une compétence particulière à parler des autres et en règle générale certainement pas de la meilleure façon.
  • Pardonnez sans concession, pardonnez pour votre salut.
  • Donnez de l’attention à vos proches, ce sera déjà formidable et ensuite portez de l’attention au monde.
  • Surveillez vos paroles et vos actes et faites en sorte que les intentions qui les motivent soient nobles et conformes.

Je ne suis, bien évidemment, pas au-dessus de tout cela, comme vous tous, je fais de mon mieux, en tout cas j’y travaille tout le temps.

Je suis un apprenti, en quête de savoir.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Objectif super forme, débardeur et jean moulant

Derrière ce titre se cache toute une histoire.

Vous l’aurez compris, un débardeur et un jean moulant ou autre chose.

Le message que je fais passer est: remettez les vêtements que vous n’avez plus mis depuis longtemps, des vêtements qui vous plaisent, qui vous rendent sexy, des habits qui vous siéent et qui vous mettent en valeur, vos fringues de référence.

C’est une étape essentielle lorsque l’on décide de s’engager sur le chemin de la remise en forme.

Pour ce faire, je ne vous suggère pas uniquement de prendre un abonnement dans une salle de sport low-cost dans laquelle vous achèteriez la jouissance du matériel mais pas la vôtre.

Je vous le certifie, pas la vôtre, nous sommes dans un « temple » moderne où les réseaux sociaux font loi.

Vous croiserez tout un tas de mecs musclés jusqu’à la taille et des filles travaillant essentiellement les fesses.

Non ce ne sera pas suffisant, point d’amélioration pour vous, perdu dans les méandres des appareils de cardio et machines de musculation dont les fonctionnements vous sont étrangers et personne pour vous encadrer.

Vous avez aussi l’option de l’entrainement chez vous où en extérieur.

J’ai rédigé cet article avant cet épisode terrible du COVID 19 et notre confinement, de fait, l’entrainement au poids de corps devient une alternative tout à fait d’actualité.

Voici 2 programmes, homme et femme, au poids de corps que je partage avec vous et que vous pourrez télécharger en lisant cette article:

Entrainement au poids de corps, je vais vous faire progresser!

Que ce soit en salle ou chez vous, si vous souhaitez vraiment vous améliorez physiquement,

Vous serez dans l’obligation de cherchez et de trouver le bon coach, celui que je décris dans l’article:

Comment savoir en 10 points si mon coach est bon ?

Dans ces conditions, prévoyez un budget mensuel de 200 à 500 €, voir plus parfois.

Dans cet article, je parle bien de vous remettre en forme, foncièrement, remettre le débardeur et le jean moulant pas une fois mais plusieurs fois et pour longtemps.

Ce que je vous propose, c’est d’adopter un nouveau style de vie.

Donc, le sport bien sûr mais dans les règles de l’art et également l’alimentation raisonnée, conscientisée et l’état d’esprit, certainement le plus important, celui qui déclenche le désir, l’envie de réussir, la motivation et la foi.

Trop de personnes baissent les bras.

Effectivement, beaucoup se découragent quand passé un certain temps, leur forme a décliné et qu’ils se sont mis à prendre du poids, progressivement, insidieusement.

Certains se disent même que, au-delà de 40 ou 50 ans, ce n’est plus la peine de retrouver un physique fit et sexy.

Ça ne sert plus à rien et c’est trop compliqué, trop dur, on n’a plus à séduire… on cherche évidemment tout un tas de raisons, de mauvaises raisons pour ne pas faire, pour ne pas s’engager.

Dans ce désir vers le mieux être, il y a bien sûr l’aspect esthétique qui représente une source de motivation incontournable mais en premier lieu, c’est la santé qui devrait être le moteur suprême.

Le poids, la surcharge graisseuse est à proscrire, elle est à bannir de votre existence.

Elle est un fléau, génératrice d’innombrables pathologies physiques et psychologiques.

Nous voyons des associations, des défilés de mode de personnes en surpoids revendiquant qu’elles assument leurs rondeurs.

Je comprends évidemment la démarche communautariste.

Ne jugeons pas l’aspect physique, loin de moi cette idée, mais là, je parle de problème de santé liée au surpoids et de ce point de vue…

…il serait préférable de ne pas assumer ses rondeurs mais de s’en séparer.

Alors, d’une part, n’attendez pas que la méforme vous ronge le corps et l’esprit et d’autre part, sachez qu’il n’est jamais trop tard et que cette « dégénérescence » est totalement réversible.

Vous pouvez retrouver un super physique après 40 ans ou tout simplement le trouver, c’est à dire accéder à une forme que vous n’avez jamais eu.

De grâce, cessez d’écouter les « conseilleurs » vous expliquer qu’on perd difficilement la graisse après 40 ans et qu’il est quasiment impossible de construire du muscle.

Vous pouvez sans aucun doute retrouver un corps qui vous convienne, un poids de forme idéal, une silhouette athlétique et remettre ou mettre des vêtements dans lesquelles vous vous sentez belles et beaux.

Lorsque l’on peut à nouveau s’habiller comme on a pu le faire il y a de cela 5, 10 ou 15 ans auparavant, c’est extrêmement motivant, c’est une victoire !

Cela permet de passer une étape vers un véritable style de vie.

Souvenez-vous qu’il est important de se fixer régulièrement des objectifs et que ceux-ci soient atteignables pour ne pas baisser les bras.

Faites de la culture physique et de l’entraînement cardio une règle de vie, suivez plusieurs fois par semaine un entraînement adapté.

Adopter une alimentation raisonnée, ou les apports et les dépenses énergétiques s’équilibrent.

Privilégiez les glucides à index glycémique bas, les légumes et les fruits de bonne qualité, un apport en protéines suffisant pour pallier au catabolisme musculaire.

Utilisez les bons lipides, de préférence d’origine végétale, riche en oméga.

Consommer des supers aliments pour leurs richesses en anti radicaux libres, vitamines et minéraux.

Ayez un état d’esprit positif, tourné vers la santé et le bien-être.

Tout ceci, pas un jour, mais toujours !

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Les ennemis de la réussite.

Nous naissons tous purs, parfaitement libres et porteurs d’un message divin.

C’est à partir de la naissance que les choses se gâtent…

Nous plongeons alors dans un monde de tumultes où les individus œuvrent pour leur propre compte, totalement manipulés par leur ego de souffrance.

L’impartialité, la bienveillance, l’équité, le partage ne sont que des idées mythologiques, de beaux concepts d’une précieuse rareté.

Nous naissons donc avec de merveilleuses capacités, une morale, une éthique irréprochable, sans un soupçon de peur et avec une mission suprême; celle d’apporter de la valeur ajoutée à ce monde terrestre.

Nous oublions malheureusement une partie importante de ce que nous étions venu faire DANS ce monde et ce que nous étions venu faire POUR ce monde.

Notre entourage direct et indirect va déployer des stratégies pour nous éloigner de notre conscience pure et faire en sorte que nous perdions petit à petit nos attaches avec la source.

Ils ne sont évidemment pas vraiment responsables de leurs transmissions toxiques puisse qu’ils ont été eux-mêmes victimes de ces schémas dévastateurs.

Ils ne savent pas ce qu’ils font parce qu’ils ont perdu cette conscience, cette intelligence cosmique et universelle qui nous lie les uns aux autres, qui nous rassemble et non qui nous divise.

En première place de ces ennemis de la réussite, je souhaiterais parler de nos propres parents.

Cet article les concerne essentiellement, ils ne sont bien sûr pas les seuls à freiner, à bloquer l’épanouissement et à nourrir le fantôme du naufrage des futurs adultes.

J’aurai l’occasion très prochainement de publier une deuxième partie concernant les institutions puis une troisième partie concernant les médias.

Deux autres formidables ennemis du succès, des outils qui peuvent être parfois calamiteux.

Je vous en prie, ne vous offusquez pas !

Vous êtes probablement des parents aimants et vos parents l’ont certainement été pour vous.

Je me souviens de la réaction disproportionnée et hors sujet d’un garçon, suite à un de mes posts qui traitait cette idée et que j’avais publié sur un groupe Facebook privé que j’animais, il m’a dit :

« Les parents sont sacrés je les aime ! Tu ne peux pas dire ça ! »

Avant tout, oui je peux le dire, ce serait nier l’évidence de ne pas reconnaître la responsabilité de nos parents dans notre éducation, bonne ou mauvaise…

D’autre part, sa réaction devait certainement cacher quelque chose de plus profond chez lui…

Très souvent, les victimes aiment passionnément leur bourreaux… mais ceci est un autre sujet.

Ainsi nos parents nous transmettent leurs peurs, leurs enclumes, tout ce qu’ils considèrent comme leurs échecs, leurs discordes, leurs jalousies… Leurs violences.

Ils sont tellement proches de leurs enfants par le corps et l’esprit, ils ont la parole absolue, les enfants sont condamnés à les écouter et à les croire.

Le lien affectif, physique et même spirituel est si puissant !

Sous le couvert avouable de l’éducation, je dirais plutôt et à juste titre, sous le couvert de la non éducation, les parents inondent de mises en garde, de reproches, de projections négatives, de constructions mentales sans fondement:

« Moi à ton âge, j’étais capable de…et toi tu en es incapable »

« Si tu ne te couvres pas, tu vas attraper froid, tu vas tomber malade… »

« C’est bien, continue comme ça, tu vas me rendre malade… »

« Si tu insistes comme ça tu n’y arriveras pas… »

« Tu es aussi méchant que ton père… »

« Tu me fais penser à ton oncle… » Alors que l’oncle était détesté…

« Nous avons tous ce problème là dans la famille, tu n’y échapperas pas… »

« Qu’est-ce que je suis triste, tu me manques… »

« Ne fais pas comme ci, ne fait pas comme ça, tu vas tomber, tu vas te faire mal, tu vas te casser une jambe… »

« Tu finiras par me tuer ! »

Au titre de la prévention, ils y vont bon train, les formules sont toujours très négatives et posent des jalons de défaite, de peur et de non accomplissement. 

Les parents mêlent également très souvent leurs progénitures à leurs schémas de pensées torturées et ne peuvent s’empêcher de leur raconter à quel point ils souffrent.

Tout y passe, leurs problèmes d’argent, leur peine de cœur, leurs amitiés qui se font et se défont… leurs mésententes avec les membres de la famille, avec leurs voisins ou leurs voisines.

De plus, certains parents veulent tellement se faire aimer qu’ils sont prêts à tout donner à leurs petits, sans retenue, sans cadre, au risque de les intoxiquer mentalement et physiquement.

Je pense à cette incapacité qu’ils ont parfois à ne pas restreindre l’alimentation ou les jeux vidéo.

Loin de moi l’idée de généraliser cette situation, fort heureusement, tous les parents ne se comportent pas ainsi.

Les parents sont aussi des sources d’inspiration, de réels modèles, des exemples de bienveillance à la fois souples et rigides.

Si vous vous reconnaissez dans cette description un peu sombre, mais néanmoins réaliste, prenez conscience, s’il vous plaît, de la nécessité de réviser votre approche éducative.

Je ne suis certes pas un expert en éducation des enfants, j’ai simplement un point de vue et l’expérience à partager avec vous d’un papa, qui a eu trois enfants, qui a fait des erreurs et qui a corrigé le tir.

De grâce, ne promettez pas à vos enfants qu’ils vont tomber malade, qu’ils vont se faire mal, qu’ils ne vont pas y arriver ou que vous souffrez à cause d’eux ou pour eux.

Ne les accablez pas, ne leur faites pas porter la responsabilité de votre souffrance, évitez leur la culpabilité, c’est un fardeau trop lourd à supporter.

Comprenez que vous construisez petit à petit leurs difficultés, leurs peurs et par conséquent, leurs échecs.

Cessez aussi de les gaver d’aliments sucrés, de nourriture industrielle pleine d’adjuvants toxiques et de promesses mensongères ou de les abreuver de sodas « diabétisants ».

Vous participez à construire leur surcharge pondérale et vous alimentez le terreau de futurs problèmes de santé.

Pourquoi le faites-vous ?

Parce que vous ne supportez pas que vos enfants puissent ne pas vous aimer.

Vous avez tellement peur qu’ils vous en veuillent si vous ne répondez pas OUI à tout ce qu’ils vous demandent et particulièrement lorsqu’ils vous somment de leur donner ces produits addictifs.

Dites non, c’est très bon pour eux et très bon pour vous.

Vous n’imaginez pas à quel point vous leur offrez des perspectives d’avenir heureuses, vous œuvrez pour leur harmonie, leur paix et leur équilibre.

Le cadre est certainement la meilleure réponse, la meilleure des choses que vous offrirez à vos enfants.

Nombreux de mes lecteurs sont parents et certains grand parents, vous avez la légitimité, transmettez ce message:

L’amour inconditionnel et le cadre sont deux facteurs de croissance absolus pour la réussite de vos enfants et pour leurs succès d’adulte.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Les mythes et légendes en musculation que vous devez arrêter de croire !

J’en ai parlé à plusieurs reprises lors de mes différents posts et articles, le milieu de la musculation cultive des mythes persistants de génération en génération.

Je les entendais lorsque je suis arrivé dans ce milieu, je n’avais pas 17 ans et je les entends toujours à l’aube de mes 59 ans….. les mêmes idées rocambolesques.

De toute évidence, ils persisteront après ma mort.

Malgré pléthore d’articles qui viennent contredire ces histoires fantaisistes, le monde y adhère massivement.

Les mythes ont la belle vie !


L’évidence pour les uns ne l’est pas pour les autres, c’est toujours une question de point de vue.

Je vais donc vous donner mon point de vue au travers de plusieurs articles sur ces mythes que vous ne devriez plus croire.

«J’ai peur de devenir trop musclée» dixit de nombreuses femmes.


Je l’ai d’ailleurs entendu fort souvent également de la part des hommes.

Comme s’il suffisait de passer la porte d’une salle de musculation pour subitement devenir super musclé.

Serait-ce de l’arrogance ? Peut-être tout simplement un manque de culture sur le sujet ? Ou ne serait ce pas peut-être un peu de bêtise ?

Dit-on la même chose lorsque l’on s’inscrit dans un club de tennis, de boxe ou de toutes autres activités ?

J’ai peur de devenir trop bon au tennis ou trop fort à la boxe…. J’ai peur de devenir un trop grand peintre …. de devenir un grand musicien.

Ne vous inquiétez pas, vous ne deviendrez pas trop musclée ou musclé, il y a d’ailleurs de fortes chances que vous ne le deveniez jamais !


Vu le peu de résultats que les pratiquants obtiennent en règle générale et particulièrement le manque de pérennité des résultats.

Constatez par vous-mêmes, quel est le pourcentage de pratiquants qui devient musclé et définis* ?

*Définition musculaire (peu de graisse sur le corps au point de laisser apparaitre les faisceaux et fibres musculaires.)

Ou de pratiquantes qui prennent des fessiers rebondis, une taille affinée, un ventre dessiné qui laisse entrevoir des abdominaux sexy et des épaules qui se sont élargies ?

Qui obtient vraiment des résultats probants ?


Des résultats dont on peut dire :« waouh ! Tu es vraiment devenu musclé » ou « qu’est-ce que tu es devenue Fit ! »

La quantité est faible, très faible, infinitésimale… c’est mon avis bien sûr, en dehors de toutes statistiques mais je dirais moins de 5 %.

Je rajouterais que 10 à 20 % ont des résultats satisfaisants.

Nous sommes dans la règle du 20/80 qui fait souvent loi.

La grande majorité des gens qui fréquentent les salles de sport et pour certains qui les fréquentent depuis des années donnent vraiment l’impression physique qu’ils n’ont jamais bougé un haltère de leur vie.


Le constat peut sembler sévère mais je ne peux pas dire mieux, je vois même des individus coachés personnellement pendant des mois et cela plusieurs fois par semaine qui ne bougent pas d’un iota.

J’espère vraiment pour eux qu’ils ou qu’elles améliorent leur condition physique, ce serait la moindre des choses, parce qu’esthétiquement, rien ne change.

En effet, devenir musclé demande que cette activité devienne un sacerdoce.


Cela implique avant tout d’avoir un désir ardent, constant et puissant pour la culture physique et l’hypertrophie musculaire.

Par hypertrophie j’entends le développement musculaire, évidemment pas le développement à outrance comme l’est devenu le body-building moderne.

Celui-ci est réservé à une caste courageuse ou peut être complètement folle en regard des pratiques extrêmes et souvent morbides faisant autorités dans ce milieu.

Ainsi pour espérer progresser déjà un peu, il faut avoir de vraies et grandes ambitions, cultiver des images d’athlètes homme ou femme ayant des physiques exemplaires.

Même si le chemin semble long ce sont des points de mire très stimulants.

Le désir est un précurseur de motivation exceptionnel générant un cortège d’outils psychologiques, de visualisation, de concentration et d’implication motivant ainsi des prédispositions, des aptitudes mentales et physiques décuplées.

J’y crois bien plus qu’à une hypothétique génétique.

Cela demande aussi de s’entraîner très dur et de façon constante des mois et des années durant, d’avoir une alimentation optimum et une santé de fer.

Vous comprenez, devenir très musclé n’est certes pas systématique et même plutôt rare.

Ce que l’on prend parfois pour de l’hypertrophie musculaire « subite » n’est autre qu’une confusion avec l’évolution de la masse grasse, la rétention d’eau et ajoutez à cela une congestion musculaire qui parfois persiste un peu après l’entraînement.

Ne prenez donc pas, mesdames, le fait que vous ne rentriez plus dans votre pantalon après deux semaines d’entraînement ou d’un peu de stepper et d’elliptique en salle, comme une augmentation musculaire exponentielle de vos quadriceps, de vos fessiers et de vos ischio-jambiers.

Et vous messieurs, cet alourdissement spontané n’est autre que l’amoncellement du nombre de kilos de gras lié à votre « cheat alimentation » et votre obsession à grossir coûte que coûte.


La réalité est que dans des conditions normales de bonnes pratiques et d’investissement intégral, nous pouvons espérer prendre, en moyenne, 3 kg de masse maigre, c’est-à-dire de muscles, en une année et cela pour un homme jeune de corpulence moyenne.

Il y a des exceptions, les choses ne sont évidemment pas figées.

Je vous engage d’ailleurs à lire ou relire mon article :« les faits ne comptent pas »

Il y a parfois des progressions exceptionnelles et en dehors de toute chimie !

Pour conclure, vous l’avez compris, devenir très musclé est tout à fait possible mais cela requiert du temps, de la régularité, à la fois des qualités mentales, des aptitudes physiques et une dose de spiritualité.

Comme je l’ai parfois entendu de la gente féminine, au cours de ma carrière:« Je ne veux pas devenir comme toi c’est trop ! » Ou de certains autres me disant: « J’ai arrêté la muscul parce que je prenais trop vite… »

Soyons raisonnables, si c’était si simple, il n’existerait autour de nous que des canons Fit et des éphèbes en parfaite santé.

Nous vivons une augmentation exponentielle de l’obésité et des maladies graves associées ainsi qu’un mal-être croissant.

J’en profite pour vous dire qu’il n’existe pas de méthode miracle, de comprimés magiques, d’électrostimulation qui remplacerait l’entraînement au poids et haltères ou au poids de corps, qui remplacerait l’exercice physique en somme.

Vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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