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Les articles de la catégorie Mental

Le top 10 des questions que l’on me pose sur la musculation.

2 ème partie (les cinq dernières questions)

Voici les cinq autres questions qui taraudent l’esprit des pratiquants et pratiquantes de la musculation, du fitness, de la culture physique, c’est comme vous voulez l’appeler.

Nous parlons évidemment de la même discipline.

Est-ce que c’est bon de s’entraîner avec l’estomac plein?

L’estomac vraiment plein ? C’est-à-dire après avoir fait un gros repas, ou simplement après avoir mangé normalement ?

En premier lieu, je réponds par ces questions, car en effet, s’alimenter raisonnablement avant d’aller faire sa séance n’est pas forcément disqualifiant, trop et mal s’alimenter peut l’être.

Tout dépend également du groupe musculaire qui est travaillé et l’intensité avec laquelle vous vous entraînez.

La digestion demande de l’énergie à l’organisme et nécessite un afflux sanguin particulier au niveau du système hépatique, ce qui monopolise, évidemment pour une partie, notre système organique.

Nous savons à quel point nous avons besoin de toute notre énergie lorsque l’entraînement est sévère.

Nous savons aussi que la digestion peut être un handicap, particulièrement lorsque le repas est inapproprié, trop compliqué à digérer à cause de la qualité et de la quantité des aliments qui le compose.

Il y a encore un autre facteur à prendre en compte, c’est la capacité que nous avons chacune et chacun à digérer, d’une part et d’autre part à monopoliser notre énergie là où nous en avons vraiment besoin.

Le conditionnement fait parfois des miracles.

En conclusion évitez de manger trop et mal avant votre entraînement.

Est-ce que j’aurai de bons résultats si je ne fais pas trop attention à ma diète?

Clairement non !

De plus, en règle général, ne pas faire trop attention, c’est ne pas faire attention du tout.

L’alimentation est prépondérante pour votre progression, pour la qualité de votre physique, pour votre récupération, pour votre énergie, pour votre construction musculaire et avant tout pour votre santé.

La culture physique c’est être aussi hygiéniste, c’est épouser une philosophie.

Comment peut-on se suralimenter d’une alimentation industrielle grasse et sucrée et avoir pour ambition d’améliorer ses qualités physiques et son esthétique ?

Si votre désir est d’obtenir ce physique tant espéré dans les conditions les meilleures, le plus rapidement et avec pérennité bien sûr, alors, vous devrez être rigoureux avec votre alimentation.

Les pratiquants secs au possible et qui vous expliquent à quel point ils peuvent manger n’importe quoi tout le temps et dans des quantités qui défient l’entendement, ont probablement des aides exogènes dont vous ne pouvez même pas imaginer la puissance chimique.

Mangez juste et conscientisez votre alimentation, elle vous le rendra au centuple.

Combien je dois faire de séances par semaine?

Je dirais en premier lieu que vous devez faire dans la semaine les séances que vous êtes capables de faire.

Cela dépend bien sûr de l’intensité avec laquelle vous faites chacune de vos séances.

Cela dépend également de la capacité que vous avez à récupérer et la récupération est multifactorielle, ce qui veut dire, que d’une semaine à une autre, vous ne récupérez pas de la même façon.

Il y a par conséquent des semaines où vous pourrez enchaîner une, voir deux séances chaque jour, tout dépendra à ce stade de votre disponibilité.

A contrario, il y aura des semaines ou vous n’irez pas au-delà de deux séances, la fatigue, les obligations professionnelles et familiales et la motivation d’un point de vue général limitant votre énergie et votre mobilisation.

Parfois même moins de séances peut vouloir dire plus d’intensité.

À ce propos, je vois un grand nombre de pratiquants qui passent leur temps à la salle de sport mais qui ne progressent pas pour autant.

Tout est possible, c’est une question d’efficience, de qualité de votre approche de la discipline et de l’implication, pas du nombre de séances.

En conclusion, faites donc les séances que vous pouvez faire mais faites-les bien.

Suivez l’ordre des choses, parmi les nombreuses règles importantes à suivre, respectez la fréquence de travail de chacun des groupes musculaires en évitant d’en privilégier un au détriment d’un autre.

À moins que vous ayez un souci d’équilibre et que un ou plusieurs de vos groupes musculaires soient déficients, à ce titre, ils mériteront plus d’attention, donc peut-être plus de fréquence et surtout plus d’intensité.

Combien de jours par semaine je dois me reposer?  

Cette question rejoint une des 5 questions de la première partie de mon article:

« Je dois m’entraîner combien de jours par semaine? »

Le repos est très personnel, vous êtes seul maître à bord pour répondre à cette question.

Et d’un jour à l’autre, d’une semaine à l’autre, votre besoin de repos peut être totalement différent.

Il est inconcevable de réglementer le repos, comme c’est souvent le cas d’ailleurs où l’on vous impose de ne pas vous entraîner le week-end ou le dimanche ou deux jours dans la semaine après avoir terminé votre cycle d’entraînement.

Si vous vous sentez en pleine forme, motivé, pourquoi ne pas continuer et se reposer quand vous en aurez vraiment besoin.

Il m’est arrivé de m’entraîner cinq semaines d’affilées sans aucun jour de repos et je me sentais dans une forme exceptionnelle avec un grand désir d’entraînement.

C’est d’ailleurs une période où j’ai beaucoup progressé.

Il m’arrive également de prendre trois ou quatre jours de repos parce que je le sens, parce que je suis fatigué, que mes articulations m’envoient des signaux…

Apprenez à vous écouter, à vraiment vous écouter, pas les bruits extérieurs, ce que vous dit votre fort intérieur et vous comprendrez si vous pouvez continuer ou vous arrêter parce que vous avez besoin de récupérer.

C’est quoi la meilleure technique pour progresser?    

La meilleure technique pour progresser est celle qui vous réussit.

On ne peut certainement pas faire de généralité avec tel ou tel système qui en a fait progresser 1, même s’il en a fait progresser 100 ou 1000.

C’est certainement une bonne technique, même une technique excellente, mais elle ne peut pas être valable pour tout le monde.

Ce qui est exceptionnel pour votre frère jumeau ne l’est pas forcément pour vous.

Je pense aux copains qui se passent les programmes et qui s’entraînent donc de la même façon, malgré leurs disparités, leurs tailles et leur poids différents, leurs motivations et leurs alimentations aux antipodes etc. etc. 

L’écart de progression est parfois édifiant alors qu’apparemment, ils font la même chose.

D’autre part, la technique qui vous a fait progresser un temps, ne vous fera pas forcément progresser toujours.

Soyez imaginatifs, testez régulièrement de nouvelles choses et choisissez ce qui est bon pour vous.

Mais surtout entraînez-vous dans les règles de l’art en respectant les paramètres d’intensité et en conscientisant ce que vous faites.

La technique n’a finalement pas tant d’importance que cela, elle est de mon point de vue un support motivationnelle avant tout.

Si il suffisait d’appliquer la règle des 10 répétitions pour faire  systématiquement de l’hypertrophie alors on aurait que des pratiquants hypertrophiés.

Ce n’est vraiment pas le cas…

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Apprenez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Le top 10 des questions que l’on me pose sur la musculation.

1ère partie (les cinq premières questions)

Voici les cinq premières questions qui reviennent assez régulièrement, peu importe le genre, le niveau et l’âge.

Ce sont des interrogations légitimes qui trouvent malheureusement toujours des réponses pragmatiques, institutionnalisées, mathématiques devrais-je dire.

C’est un fait, les gens ont besoin d’être rassurés, qu’on leur donne une solution clé en main, des statistiques, des chiffres, des repères.

Mon approche de la culture physique fait appel à votre libre arbitre.

Mais également à vos ressentis, à votre intelligence, celle du corps et de l’esprit.

Je ne suis qu’un facteur déclenchant, celui qui peut stimuler votre curiosité vers d’autres horizons, vers un autre chemin où vous êtes au centre des questions, non pas à l’extérieur.

Qu’est-ce que je dois mettre comme poids?

Le poids que tu es capable de véhiculer dans les meilleures conditions de pratique de la culture physique.

C’est-à-dire, la charge que tu es capable de transporter d’un point A à un point B, dans un contrôle parfait et dans le respect total des paramètres d’intensité.

Sans tricher, sans raccourcir l’amplitude, sans se servir de l’inertie et en évitant la contribution d’autres muscles.

En ne modifiant pas non plus l’ergonomie de ton corps, c’est-à-dire en te contorsionnant comme un malheureux.

Sans prendre de temps de repos pendant l’exécution de ta série en bloquant les articulations pour échapper à la tension.

Sans te servir d’un partenaire qui, plutôt que de t’assurer en veillant sur toi, soulève ou tire à ta place etc. etc.

Par conséquent, si tu arrives à déplacer ce poids sans compenser, que tu fasses six ou 30  répétitions, cela ne change rien, le bon poids est celui que tu maîtrises.

N’oublie pas que c’est toi qui maîtrise et qui décide, ce n’est pas le poids qui décide à ta place.

Je dois m’entraîner combien de jours par semaine?

Il n’y a véritablement pas de règles, sauf les règles qui te concernent, je m’explique.

Les jours d’entraînement dans la semaine sont fonction de tes disponibilités, de ton implication, de ta récupération, de la façon dont tu te sens et d’une semaine sur l’autre les règles peuvent changer.

Nous sommes des êtres constitués d’énergie et celle-ci oscille à des fréquences qui ne sont pas identiques d’heure en heure et de jour en jour freinant nos capacités de régénération et d’implication.

Nous pouvons formidablement bien récupérer après une séance très intensive et les enchaîner sans que cela ne nous porte préjudice.

Parfois, c’est tout à fait le contraire, notre état d’esprit est moins vibrant, la fatigue plus importante, les problèmes de la vie courante plus envahissants, notre santé un peu fébrile et des douleurs articulaires polluantes s’installent insidieusement, alors, notre capacité à nous remobiliser est en berne.

Il faut donc s’écouter… Mais pas trop.

Écouter objectivement ses ressentis et ne pas tomber dans la « pleurnicheries » et la complainte.

Vous pouvez prendre à la suite plusieurs jours de repos si cela est nécessaire et pourquoi pas enchaîner des semaines d’entraînement sans que cela ne cause ni dégâts ni perte de motivation.

Apprenez à écouter votre libre arbitre.

Combien de temps doit durer ma séance ?

Ce qui importe avant tout est l’efficience, c’est-à-dire la façon avec laquelle tu es impliqué corps et âme.

Lorsque chaque mouvement est parfaitement compris et conscientisé et que chaque série est poussée à son maximum dans l’application contrôlée et parfaite des paramètres d’intensité jusqu’à la faillite, il est alors peu probable que la séance s’éternise.

L’entraînement d’un groupe musculaire doit durer entre 20 et 40 minutes.

Cette recommandation prend encore plus de sens avec les années de pratique et l’âge.

Lorsque l’on a plus de 40 ans et qu’on persiste sur des séances marathon, alors, il y a de fortes probabilités que l’on augmente les traumatismes articulaires, musculaires et que l’on finisse par perdre le plaisir et la motivation.

lorsque l’on dépasse une heure pour un groupe musculaire, je pense qu’il y a un réel manque d’intensité donc d’efficacité et cela peu importe l’âge.

Est-ce que tu fais les programmes que tu préconises?

Oui bien sûr, c’est une nécessité professionnelle !

Mais au-delà de tout c’est une question d’éthique.

Mes programmes sont destinés aux hommes et aux femmes, aux jeunes et aux moins jeunes, aux  sportifs professionnels dans le cadre de leur préparation physique ainsi qu’aux débutants.

Je teste et fais tester continuellement sur mes élèves ayant des profils totalement différents, de nouveaux exercices, des modes de contraction, des tempos et des temps de récupération différents.

J’associe et combine certains exercices pour des résultats précis dans des conditions précises.

La transmission par l’exemple est une forme d’honnêteté à laquelle je me sens intimement lié.

On ne préconise que ce que l’on connaît vraiment.

La connaissance sans la pratique n’est pas la connaissance.

Savoir et ne pas faire n’est pas savoir.

Je suis intimement convaincu que ma pratique intensive « psychosomatique » et holistique de la culture physique est responsable des résultats que j’obtiens depuis plus de 30 ans sur mes élèves.

Quand est-ce que je vais vraiment voir les résultats?

La culture physique est une discipline avec laquelle on ne triche pas.

Tu récolteras ce que tu sèmeras.

En cela c’est extraordinaire, c’est pour cette raison que j’insiste sur la bonne pratique et l’implication mentale.

D’autres vous diront:

« ce n’est pas de ma faute si je ne progresse pas, je ne suis pas doué, c’est une affaire de génétique…

ou je ne prends pas de produits dopants ou j’ai un travail qui ne me permet pas de m’entraîner suffisamment…

ou c’est ma femme, mes enfants, mes parents etc. »

Toutes les excuses sont bonnes pour justifier le manque de résultats et rarement est impliquée notre propre responsabilité.

Je dirais donc, que plus on est méthodique, que l’on cultive son désir et que l’on y met son esprit, plus vite vient la progression, plus vite on obtient les résultats si chèrement souhaitez.

La balle est dans votre camp, uniquement dans votre camp, vous avez le pouvoir de progresser vite ou de ne jamais évoluer.

J’ai vu des pratiquants obtenir en quelques semaines bien plus de résultats que certains en plusieurs années.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir

Philippe LAMACHE

Les faits ne comptent pas.

Comment ça les faits ne comptent pas !

Bien sûr qu’ils comptent, certains phénomènes se produisent 10 000 fois, 100000 fois et le résultat est toujours identique.

Les faits comptent !

Nous savons très bien qu’en période de crise, créer un Business augmente le risque d’échec, c’est ainsi, ce sont les faits.

En période de crise, les activités commerciales souffrent, périclitent, c’est une évidence.

Demandez aux chefs d’entreprise, ceux-ci ne cessent de clamer leurs difficultés en brandissant des chiffres d’affaires et des bénéfices à la baisse.

La crise est synonyme de faillite et de perte d’emploi, c’est ainsi.
Qui peut dire le contraire ?

Comme pour les jeux d’argent, la probabilité de gagner le gros lot au loto en France est de 1 pour 20 millions, à chaque tirage.

Nous le savons, c’est incontournable, c’est factuel, ce sont les statistiques, ce sont les faits !

À l’instar des maladies, lors d’épidémies de grippe ou de gastro entérite, dès qu’un membre de la famille tombe malade, vous pouvez être sûr que c’est l’hécatombe dans la famille, tout le monde tombe malade à son tour.

Combien de fois l’avez-vous vérifié par vous-même, pour vous-même et chez les autres.

Ceci étant dit, je pense néanmoins que les faits ne comptent pas.

Je vais m’en expliquer.

Je voudrais vous faire part d’une réflexion, d’une analyse fondamentale qui ouvre de grandes perspectives, une réflexion qui donne accès à une grande liberté.

La liberté de choisir, le libre arbitre.

Les choses peuvent bien se répéter des centaines, pourquoi pas des milliers de fois et donner un résultat identique et qu’à un moment, ce résultat change.

Ce qui semblait impossible devient possible.

Ce qui s’était répété encore et encore de façon immuable, l’espace d’un instant, change.

Au-delà de l’expérience, au-delà des faits, malgré tout ce qu’on vous a dit, malgré la persistance de votre entourage à vous persuader que la vérité, est la vérité universelle, qu’il n’en existe pas d’autres et qu’elle doit être admise par tout le monde, l’irrévocable vérité.

Et pourtant, apparaît un autre horizon, d’autres perspectives, un nouveau point de départ.

Bien au-delà de l’analyse fine des spécialistes, bien au-delà de l’arrogance de certains scientifiques qui brandissent la science comme la vérité vraie, celle qui ne tolère aucune controverse.

Malgré les médias rationalistes, fondamentalement acquis à l’information factuelle et de son sempiternel bourrage de crâne, s’offrent à nous de nouvelles perspectives.

Même si tout indique un résultat sûr et certain, que les statistiques le confirment et que les bookmakers vous le vendent à 100 contre un, le résultat alors défi l’entendement.

Pourquoi ?

Parce que rien n’est figé indéfiniment. Les statistiques sont faites pour être démenties et les records pour être battus.

Les performances sportives en sont des exemples frappants.

Pouvions-nous imaginer un jour qu’un être humain aurait les capacités de pousser 415 kg au développé couché ?

Blaine Summer est un américain champion du monde de powerlifting détenteur de ce record.

Blaine y a probablement cru plus que tout et il l’a fait. Il a rendu possible l’impossible.

Avant que l’on ne réussisse à courir le 100 mètres en dessous de 10 secondes, cela semblait inimaginable!

C’est Jim Hines, premier athlète à franchir la barrière des 10 secondes au chronométrage électronique, qui a ouvert le chemin.

Avant qu’il n’y ait eu un jour un athlète qui puisse ouvrir de nouvelles perspectives, une nouvelle vérité, cela semblait totalement impossible.
Les faits disaient tout le contraire.

Prenons les statistiques concernant les jeux de hasard: elles nous expliquent que nous ne devrions pas gagner.

La probabilité de remporter le gros lot est quasiment nulle…. alors de le remporter plusieurs fois !

Richard Lustig est un américain qui a gagné 7 fois le gros lot à la loterie américaine appelée « Power Ball ».

Et pourtant, selon les spécialistes statisticiens, les chances de gagner le gros lot sont de 1 sur 175 millions à chaque tirage.

Je me répète, gagner 1 fois est peu probable mais gagner 7 fois…autant dire que c’est inimaginable et pourtant…

Récemment, Richard Lustig a décroché le jackpot estimé à 550 millions de dollars, soit plus de 423 millions d’euros.

C’était bien la septième fois qu’il remportait le gros lot.

Mais quelle est la probabilité de remporter 7 fois le gros lot à cette loterie?

La possibilité est certainement d’une chance sur des milliards, réduisant la probabilité à néant.

En ce qui concerne la santé, on nous classe dans des cases statistiques et malgré cela, bon nombre sont inclassables, parce qu’ils ne répondent pas à la normalité.

Ils ne répondent pas aux faits.

Ils devraient avoir telle ou telle pathologie liée à leurs antécédents, à leur âge, à leur génétique, à leur hygiène de vie, mais la magie de l’existence en a décidé autrement.

Je connais des gens âgés qui n’ont jamais eu besoin de lunettes !

Des personnes condamnées par une maladie incurable qui s’en sont sortis et qui sont aujourd’hui en rémission totale!

Il y a des individus qui auraient dû récolter les maladies de leur propre père, patrimoine transmis par leur grand-mère, qu’elle avait reçu de sa propre mère.

Le cancer du colon par exemple que les scientifiques nous promettent en héritage.

Des personnes qui n’attrapent pas forcément la gastro-entérite ou la grippe malgré que tous soient infectés au sein de leur foyer.

Des entrepreneurs qui ont créé des business qui étaient censés ne pas fonctionner et qui ont fait fortune !

En pleine crise et dans des secteurs d’activités touchés et même parfois extrêmement touchés.

Des films ou des chansons qui ont été assassinés par les critiques de tous bords augurant un destin éphémère.

Même au regard des spécialistes du domaine, l’avenir ne présageait aucun succès et pourtant, ce sont devenus des hits.

Malgré les faits et malgré les circonstances, tout est possible.

Ne vous limitez pas, restez créatifs, ayez une foi furieuse et inébranlable.

Plus votre désir sera intense, constant, sans doute, plus vous cultiverez la réussite et plus vos chances de succès augmenteront.

C’est vous et vous seul qui faites mentir les faits.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Comment je peux m’entraîner avec des problèmes plein la tête ?

J’ai l’impression que l’anxiété, les souffrances mentales, les peurs en général, sont devenues les premières préoccupations de nos sociétés dites «civilisées».

Je précise « civilisées », parce que ce ne sont pas toujours les préoccupations des pays qui ne le seraient pas et qui de mon point de vue ont certainement tout gagné à ne pas l’être.

Voici une définition de CIVILISER: CIVILISÉ, ÉE, part. passé et adj.A.−Vx ou littér. [Le compl. d’obj. désigne une pers.] Rendre plus civil, plus conforme aux exigences de la vie en société.

− Emploi pronom. à valeur passive ou intrans. Se civiliser. Devenir plus apte à la vie en société, devenir plus raffiné.

B.−Usuel. [Le compl. désigne une collectivité (nation, peuple)] Faire passer d’une condition primitive à un état de plus haut développement matériel, intellectuel, social. Civiliser un peuple…

Il serait peut-être temps, soit de donner une autre définition à ce mot ou peut-être de ne plus l’employer comme qualificatif pour nos sociétés.

Lors de quelques voyages où je visitais des pays dit « non civilisés » ou « moins civilisés », j’y ai trouvé l’intelligence, l’humanisme, de la bienveillance, de la tolérance, bien supérieures à ce que je peux connaître en France d’un point de vue général.

Ces civilisations rencontrent d’autres problèmes qui parfois sont du domaine de la survie.

Vont-ils pouvoir s’alimenter, s’habiller et dormir sous un toit…

Pas le loisir ni le temps de se préoccuper de sa personne et des tumultes psychologiques qu’engendrent une société de surconsommation.

Surconsommation d’aliments industriels, surconsommation de médicaments, de drogues, de cigarettes et d’alcool.

Surconsommation de médias anxiogènes et surconsommation de problèmes…

Voici la liste non exhaustive de ce que nous surconsommons.

Lorsqu’il est question d’alimentation, cela se voit.

Nous sommes rapidement informés par un indicateur visuel, nous stockons et nous devenons adipeux puis avec le temps, obèses.

L’alimentation c’est de l’énergie et lorsque vous apportez trop d’énergie par rapport à votre consommation et bien celle-ci déborde, inonde votre corps et finit par vous rendre difforme.

Oui je sais ce n’est pas politiquement correct de tenir de tels propos.

Mais c’est ainsi, cet état est toxique pour votre santé, mauvais pour votre propre estime, difficile à supporter mentalement.

Lorsqu’il est question de surconsommation de cigarettes, de drogue et d’alcool, la sentence est l’addiction.

En d’autres termes, c’est la privation de liberté, la maladie et très souvent la mort.

Je vais vous sembler à nouveau politiquement incorrect, certainement rabat-joie et particulièrement en ce qui concerne l’alcool.

Mais, la meilleure façon de ne pas sombrer dans ces puissants poisons, ce serait de ne jamais y toucher, même pas pour la rigolade!

Pour le coté « festif » et « bon vivant ».

La pollution liée à la surconsommation de ces «stupéfiants» est clairement visible.

L’excès d’alcool entraîne, outre l’alcoolisme et son cortège d’abominations, comme l’alimentation d’ailleurs, le surpoids et l’obésité.

L’alcool est également un nutriment énergétique et pas des moindres puisqu’il est presque aussi calorique que le sont les lipides.

La consommation excessive de cigarettes marque le physique, porte atteinte à la peau et à son éclat, noircit les dents et abime la voix.

Sans parler du nombre incalculable de pathologies dont certaines sont morbides.

En ce qui concerne la drogue c’est un fléau mondial, une aberration humaine.

De mon point de vue, c’est un outil d’aliénation et de régulation des masses, une arme de destruction massive.

Ne serait-ce pas un moyen d’éradiquer une partie de la population ?
Certainement un autre débat…

Venons en aux problèmes plein la tête et de cette surconsommation de souffrances.

Celle-ci nourrit nos circuits neuronaux négatifs baignant dans notre jus d’égocentrisme.

Le débordement, le trop plein d’anxiété n’est pas visible.

Votre cerveau ne gonfle pas au point de devenir difforme sous le poids de l’énergie négative qu’il aurait accumulé.

Nous n’écoutons pas les alertes, elles sont méta physiques, nous ne les voyons pas ou nous ne voulons pas les voir…

Il est parfois trop tard lorsque nos pensées deviennent totalement incohérentes, divagantes, attachées uniquement à notre souffrance, à nos peurs, au ressassement du passé et aux projections vers un futur toujours très noir.

Alors comment faire pour rester concentré et assidu à l’entraînement quand nous sommes dans cet état là ?

J’ai toujours considéré la culture physique comme un moment particulier où le corps et l’esprit faisaient « corps ».

C’est pour moi un véritable moment de méditation en mouvement, un espace de plénitude et de quiétude.

Il y a comme ça très peu de moments où je ressens une connexion qui se situe au niveau quantique et spirituelle, la méditation me procure cet état, la musique parfois et la pratique de la culture physique telles que je l’entends.

En effet, cet état se révèle seulement lorsque vous êtes impliqués à un niveau tel que vous contrôlez parfaitement les paramètres d’intensité.

Lorsque vous contrôlez la gestuelle, c’est-à-dire votre ergonomie, l’amplitude de votre mouvement, que vous êtes dans l’action contrôlée, que vous n’impliquez quasiment que le muscle concerné.

Cet état se révèle quand la fréquence du tempo est parfaitement maîtrisée et que vos temps de récupération sont millimétrés.

Quand votre esprit est alors focalisé sur rien d’autre, aucune dispersion n’est alors possible.

A ce moment, seul existe le moment présent, exempt le passé, le futur, la peur de l’abandon, l’insécurité, vos relations personnelles et professionnels difficiles.

Exempt les difficultés financières, le manque de considération de votre entourage, exempt votre esprit torturé par ce que vous auriez dû faire et que vous n’avez pas su ou pas pu faire.

Quand vous pratiquez la culture physique de cette façon, avec ce degré de maîtrise, alors les problèmes n’existent plus, ils ont quitté votre esprit l’espace d’un instant…L’espace d’une heure ou deux.

Malgré l’intensité de l’entraînement et l’inconfort physique que cela peut générer, vous avez réussi à créer un espace mental de confort, un havre de repos, vous avez réussi à faire respirer votre âme.

Quand vous êtes dans cet état de mal-être profond, je vous engage à appliquer scrupuleusement les règles de l’art en culture physique afin d’occuper votre esprit à autre chose qu’à son bavardage toxique et incessant.

Croyez-en mon expérience, vous vous sentirez même dans de meilleures dispositions pour le reste de la journée.

Je vous engage à lire mon article « Faites du squat et pas la guerre », il évoque également cet état que provoque un entrainement intense et complet.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Pourquoi vous devriez m’écouter

C’est un titre qui peut sembler très orgueilleux, une position parfaitement égocentrique.

Vous pourriez penser de moi que je suis quelqu’un d’arrogant, un narcissique de plus.

Vous auriez peut-être raison, je dois certainement l’être, beaucoup plus que certains et beaucoup moins que d’autres.

Tout est une question de perception, de point de vue.

La façon dont vous voyez les choses est liée à votre vécu, vos expériences, mais également à ce qui est inné chez vous, vos désirs, vos frustrations, vos réussites…

Ainsi vous pouvez me voir comme quelqu’un de détestable, un véritable « con » ou une personne que vous souhaiteriez côtoyer et avec qui, pourquoi pas, vous aimeriez devenir ami.

En tous les cas, quelqu’un qui peux vous apporter une plus-value, qui peut répondre à vos attentes.

Ceci étant dit, vous pourrez bien penser ce que vous voulez, cela vous appartient, il vous reste, bien heureusement, votre liberté de penser, là est la vraie liberté.

Je pense donc que je suis la personne qu’il vous faut, celui que vous devriez écouter pour améliorer votre condition physique générale, votre esthétique, celui que vous devriez écouter pour vous sentir plus performant, physiquement et mentalement plus fort, globalement plus sûr de vous.

Vous allez peut-être vous dire: « oui mais ce « mec », toute sa vie il n’a fait que ça! »

ça ! c’est facile pour lui !

Oui effectivement vous avez raison, il y a plus de 35 ans que je fais ça; est-ce que vous vous rendez compte ce que cela veut dire ?

Près de 40 ans que je travaille chaque jour pour m’améliorer, que j’apprends, que je teste, que je remets 100 fois, 1000 fois mon travail à l’ouvrage et vous pensez réellement que c’est facile ?

C’est évidemment tout le contraire, c’est un labeur à plein temps, mais quelle richesse! Quel plaisir lorsque l’on obtient tous ces merveilleux résultats !

Considérez que je vous livre, à travers ma méthode, l’essence de toutes ces décennies d’apprentissage.

Je partage avec vous les meilleurs ingrédients et leurs quantités justes pour que la recette fonctionne parfaitement.

Savez-vous qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Que vous ayez 40 ans, 50 ans, 60 ou même plus, votre capacité à changer les choses, à vous améliorer physiquement et mentalement, est sans limite.

Les seuls véritables limites que vous ayez, ce sont vos pensées, vos désirs et votre foi… la croyance que vous y mettrez ou pas.

Le dénominateur commun pour la réussite d’un projet, c’est l’enthousiasme, la certitude d’y arriver.

Vous êtes tellement loin d’avoir utilisé toutes vos capacités. En fait, vous n’avez quasiment rien exploité.

Pourquoi suis-je la personne que vous devez écouter ?

En premier lieu, parce que j’ai ce que vous voulez… je détiens ce que vous recherchez, je sais comment y parvenir, pour l’avoir vécu et suis donc à même de pouvoir vous l’enseigner.

J’ai réussi à 53 ans à avoir une forme optimum, une excellente condition physique générale, une santé parfaite et un état d’esprit positif.

Je vous parle donc de ce que je connais, de ce que je mets en pratique à chaque instant.

La transmission par l’exemple.

En règle générale, si vous voulez avoir de la richesse financière, lisez des biographies de gens riches, côtoyez les, apprenez d’eux, soyez enseignables, recevez l’information à bras, à cœur, à esprit ouverts.

Alors vous deviendrez surement riches, encore que cela dépend aussi de la façon dont vous avez reçu l’information, de la mise en application, de votre détermination, de vos désirs…

Et même si vous ne devenez pas riches, vous augmenterez probablement vos revenus parce que vous aurez intégré de nouveaux concepts, vous aurez acquis une nouvelle perception, vous aurez compris que c’était possible parce que d’autres y étaient arrivés.

Alors pourquoi pas vous ?

Et ça marche de cette façon pour tout ce que vous désirez.

Si votre souhait ardent est d’être un grand cuisinier, un grand musicien ou simplement un musicien; ce sera déjà pas mal; vous choisirez celle ou celui qui a fait ses preuves, qui vous semble parfaitement approprié, un exemple que vous suivrez et qui vous inspirera.

J’ai œuvré dans ce sens une partie importante de ma vie, plus de 35 ans.

J’ai acquis une expérience qui est physiquement vérifiable, une expertise qui m’a conduit à entraîner des centaines de personnes sur ce chemin, avec réussite dans une grande majorité des cas.

Je me considère toujours comme un apprenti, j’ai toujours soif d’apprendre, de me remettre en question et de transmettre.

Pour toutes ces raisons, vous pouvez me faire confiance. Je suis la personne que vous pouvez écouter.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Ce ne sont pas les mots mais l’expérience qui nous enseigne la connaissance

Nous vivons un déferlement d’informations, de mots et d’images à travers les médias «traditionnels» que sont la télévision, la radio et la presse papiers.

Ceux-ci étant même devenus, avec le temps, « l’information en continue ».

Ce que cela veut dire, c’est que les médias nous noient continuellement sous un flot de nouvelles répétitives.

La plupart du temps, elles sont totalement anxiogènes.

Des mots, encore des mots, toujours des mots qui ne nous apprennent rien.

Dans le sens où ils ne nous cultivent pas.

Ils nous informent bien sûr, lorsque par exemple, nous apprenons qu’un pont s’est écroulé emportant avec lui d’innombrables vies et son cortège d’histoires effrayantes et de dénouements catastrophiques.

Ils nous apprennent aussi qu’un scandale sanitaire a fait au moins 1500 morts et qu’il y aurait probablement le double ou le triple de victimes…

Nous pourrions faire la liste, des crimes, guerres, attentats, escroqueries et autres catastrophes naturelles dont ces médias se nourrissent et qu’ils nous injectent sous perfusion 24 heures sur 24.

Est-ce que ce type d’informations nous enseigne la connaissance ?

Il y a de plus, depuis quelques années, Internet, d’un point de vue général et plus spécifiquement l’omniprésence des réseaux sociaux.

Ils nous submergent, ils nous « tsunamisent ».

C’est inimaginable à quel point nous sommes bombardés d’images et de mots.

Est-ce que toutes ces informations font de nous des personnes plus instruites?

Est-ce qu’elles nous intellectualisent ?

Je ne le pense pas…

Vu le niveau d’analphabétisation qui gagne des parts de marché d’années en années, l’entreprise de la bêtise prolifère de façon exponentielle.

Celle-ci a vraiment de beaux jours devant elle.

Il n’est évidemment pas question que d’instruction mais également de bon sens, de libre arbitre et d’intelligence.

J’ai la forte impression qu’en l’espace d’une à deux générations, les cerveaux se sont « hypotrophiés ».

Les idées se sont raccourcies, au point d’être inconsistantes, vides de sens, de philosophie et de spiritualité.

La pensée est devenue collective, manipulée et dirigée dans le même sens.

En moins de 40 ans, malgré tous les moyens dont nous disposons pour nous instruire, notre chute culturo-intellectuelle a été vertigineuse.

C’est l’effondrement de l’esprit d’une génération qui a transmis épigénétiquement à la suivante, ses nouveaux caractères génétiques déficients.

L’épigénétique, la science qui explique les mutations rapides influencées entre autres par les caractères sociaux, puise tout son sens dans cette vaste et désastreuse expérience.

La France est certainement le meilleur des moins bons élèves dans ce domaine.

En effet, l’école française était parmi l’élite mondiale, elle est aujourd’hui totalement larguée.

Elle se retrouve à la 27ème place du classement « Pisa » datant de 2016.

Cette enquête internationale fait référence en la matière, elle mesure tous les trois ans les acquis scolaires des jeunes de 15 ans.

Elle évalue leurs performances, en lecture, mathématiques et sciences.

Dans ce même classement : l’Estonie est 3ème et le Vietnam 8ème.

Les enfants passent pourtant une partie importante de leur existence à recevoir l’enseignement.

Mais alors, quels sont ces mots répétés à longueur de journée qui leur enseignent finalement peu et de moins en moins.

Il serait peut-être temps d’en tirer un constat évident et de réformer enfin cette institution.

Ceci est un autre débat…

Parmi les flots de mots, il y a évidemment tous ces échanges de personne à personne ou de groupes à groupes; ils ne font que nourrir les conversations de comptoir.

Ces conversation où l’on se plaint chacun son tour et où l’on raconte son existence sans saveur, ses difficultés et ses tourments.

Lors de ces conversations, l’égo se nourrit d’être enfin protagoniste d’une histoire, tenir enfin le premier rôle aussi morne soit-il.

Mais là encore, point de connaissances, du bavardage tout au plus.

J’aimerais partager avec vous cet extrait d’une conférence de Jiddu Krishnamurthi.

Celui-ci est retranscrit dans un de ses ouvrages: le livre de la méditation et de la vie.

14 avril
Une vue de l’esprit
« Ce que nous appelons notre amour est une vue de l’esprit. (…) Or l’amour n’est pas une fusion, un ajustement réciproque – il n’est ni personnel ni impersonnel, c’est une modalité d’être, un état.

L’amour ne connaît ni fusion ni diffusion, il n’est ni personnel ni impersonnel, c’est un état d’être que l’esprit n’est pas apte à trouver ; il peut le décrire, le désigner, le nommer, mais le mot, la description ne sont pas l’amour.

Ce n’est que lorsque l’esprit est silencieux et immobile qu’il peut connaître l’amour, et cet état de tranquillité n’est pas une chose qui se cultive. »

Dans ce cours extrait, Jiddu Krishnamurthi dit clairement que le mot n’est pas la chose.

Pour connaître l’amour il faut l’avoir vécu.

Je pense que chaque chose, pour être véritablement comprise doit être vécue.

Les mots sans l’expérience, ne sont que vagues théories, une sorte de pays lointain dont on nous a parlé et dont on parle à notre tour mais pour lequel on ne connaît ni la terre, ni les odeurs, ni les gens…

Remarquez que nous nous approprions la plupart du temps l’expérience des autres pour en faire une pâle copie.

Nous sommes influencés par notre parcours de vie, nos joies, nos désillusions, nos victoires et nos défaites.

Nous avons pris l’habitude de nous exprimer sur tout, sans expertise, comme de bons « mauvais supporters ».

Ceux qui font, refont et défont les matchs sans avoir, la plupart du temps, pratiqués la discipline ou si peu…

Quel crédit pouvons nous accorder aux individus qui parlent sans savoir ?

Assurément aucun crédit, même lorsque l’expérience est vécue, elle est si personnelle qu’elle ne représente finalement qu’un point de vue.

Alors, lorsque ce ne sont que des mots sans expérience, vous imaginez à quel point la caution est faible…

Nous parlons de ce que nous ne connaissons pas et nous sommes sûrs de ce que nous disons.

Sommes-nous arrogants à ce point ?

Oui, nous le sommes !

Expérimentons, enrichissons-nous en faisant, alors pointera l’écueil du savoir.

L’humilité est une qualité qui grandit proportionnellement avec la véritable connaissance.

Les hommes d’esprit et d’expertise ne tartinent pas le monde d’une boue de mots et d’idées indigestes.

C’est un signe, dorénavant, vous pourrez aisément démasquer l’usurpateur de connaissances, vous saurez à qui vous avez à faire.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Multipliez votre progression en vous entraînant en pleine conscience

Vous avez certainement entendu parler de cette expression: «la pleine conscience».

C’est être en action et en étant conscient de ce que l’on fait.

L’intégration absolue de ce que vous faites, c’est être impliqué totalement.

Nous sommes en général peu présents lorsque nous travaillons, lorsque nous réalisons nos tâches quotidiennes, lorsque nous mangeons et lorsque nous pratiquons notre sport ou quand nous écoutons.

Notre corps est là, à œuvrer de façon mécanique mais notre esprit vagabonde dans le passé ou vers le futur.

Nous ressassons et nous nous projetons dans des constructions mentales qui sont hasardeuses la plupart du temps.

La pleine conscience est une forme de méditation, un état mental « élevé » où l’on est particulièrement attentif.

Ce que vous faites, au moment où vous le faites, est la chose la plus importante.

Votre éveille vous rend présent.

Même les taches qui vous semblent les plus rébarbatives, des tâches qui a priori seraient sans intérêt, comme faire la vaisselle, deviennent alors importantes.

Appréciez la façon dont vous réalisez le geste, l’intérêt d’avoir une vaisselle propre et saine.

Vous ne souffrez pas d’être là au moment où vous l’êtes, bien au contraire, vous êtes dans l’appréciation, le geste est alors plus fluide, plus coordonné.

Vous devenez plus efficace tout en étant dans une forme de plénitude.

Chaque action qui participe à laver votre vaisselle, est exécutée avec précision et bonheur.

Je parle délibérément de vaisselle parce qu’il est de coutume de reléguer cette tâche, de ne pas l’apprécier, d’en faire un travail mineur réservé aux apprentis ou comme punition pour les enfants.

La vaisselle étant considérée comme une basse besogne sans intérêt intellectuel ou spirituel.

Je vous le certifie, faire la vaisselle peut devenir un pur moment méditatif.

Tout ce qui est fait en pleine conscience, avec ce niveau d’attention très élevé, est toujours réalisé de la meilleure façon qui soit.

Dans plusieurs de mes articles et posts, je parle des paramètres d’intensité comme étant les outils incontournables de bonne pratique.

Je souligne avec insistance que la culture physique doit être pratiquée dans les règles de l’art, j’inclus la conscientisation qui n’est autre que la pleine conscience.

Celle-ci étant certainement le paramètre sans lequel le reste a peu d’existence.

Comprenez-vous à quel niveau vous pouvez pratiquer la culture physique.

Imaginez le pouvoir que vous pouvez donner à cette discipline censée améliorer vos qualités physiques et votre esthétique.

Si vous arrivez à placer votre esprit au centre des tâches ménagères alors qu’en sera-t-il si vous faites de même pour la culture physique ?

Il se passera un phénomène extraordinaire, vous allez progresser comme jamais vous avez progressé !

Comment devez-vous faire pour vous entraîner en pleine conscience ?

En premier lieu, consacrez le temps qui vous est imparti à l’entraînement, uniquement à l’entraînement et ne vous dispersez plus.

Ne soyez pas distrait par le bavardage extérieur ni par le bavardage intérieur, ce dernier étant vos pensées, le discours omniprésent avec vous-même, celui qui vous empêche de vivre au présent.

Imaginez ce moment où vous entraînez votre corps dans un espace exempt de tout autre chose.

Envisagez une dimension réservée à votre évolution physique, une bulle ou rien d’autre ne peut pénétrer.

Regardez chaque geste que vous exécutez, son impeccabilité, le respect de l’exécution, le choix judicieux de tel ou tel exercice et de tel ou tel poids.

Voyez le contrôle que vous opérez sur votre mouvement, chaque phase d’exécution est réalisée dans la perspective d’améliorer votre physique.

Vous visualisez la croissance musculaire et l’évolution de vos qualités de force, d’endurance, de récupération.

Vous sentez à quel point toute l’énergie que vous y mettez est bénéfique et profitable.

Votre esprit et votre corps sont en osmose, parfaitement unis, totalement impliqués l’un pour l’autre.

Là vous touchez l’implication de l’esprit dans le processus physique.

Enfin, vous y mettez votre conscience, à chaque instant et à chaque seconde.

Comprenez-vous ce qu’est la pleine conscience ?

Depuis quelques années nous sommes malheureusement collés à un outil de dispersion supplémentaire et celui-ci est de premier ordre:

C’est votre smartphone.

Impossible d’accéder à la pleine conscience en étant dispersé aux quatre vents des réseaux sociaux, de vos messages, de vos conversations téléphoniques.

Vous passez votre temps à vérifier si l’on vous aime et qui vous pouvez aimer à votre tour…ou détester.

Vous gesticulez certainement mais vous ne vous entraînez pas de façon efficiente en y mettant votre conscience.

L’optimisation de vos entraînements de culture physique, en d’autres termes, votre progression, se situe avant tout au niveau de votre esprit.

Vous avez la capacité à vous rassembler vous-même en unissant votre conscience aux mécanismes physiques.

L’utilisation des filières énergétiques, les sécrétions hormonales, la digestion, l’utilisation de l’oxygène, l’afflux sanguin etc. etc. sont générés par des messages qui proviennent de votre cerveau.

Votre cerveau est stimulé par vos pensées, c’est ce que vous pensez, votre implication, vos intentions qui déclenchent la mécanique.

Votre corps vous obéit, donnez-lui l’ordre conscient de progresser encore et encore.

Il est loyal et appliqué, il vous obéira.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Penser à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Faites du squat et pas la guerre.

C’est à la suite d’une discussion empreinte de philosophie que nous en sommes arrivés à cette conclusion.

En effet, nous échangions avec ma femme au sujet de Jiddu Krishnamurthi et particulièrement sur l’un de ses bouquins:

« Trouver la paix ».

Il dénonce dans cet ouvrage l’incapacité humaine à ne faire autre chose que la guerre.

En effet, en cinq mille ans d’histoire et 15 000 guerres, l’esprit n’a pas changé, il est toujours belliqueux, dogmatique et nationaliste.

Nous nous divisons, en pays, en religions, en courants philosophiques.

Nous nous divisons même dans nos propres pays et au sein de nos propres religions.

Voyez la haine guerrière qui anime les supporters de deux clubs de football.

Ils s’insultent, se crachent dessus, se frappent et certain même se tuent.
Et pourtant, ce n’est qu’un jeu…

Nous avons été inspirés par : « Faites l’amour pas la guerre »

Cette phrase est à l’origine un slogan anti guerre issue de la contre-culture des années 1960 aux États-Unis.

Ce slogan était principalement utilisé par les opposants à la guerre du Vietnam.

Les conflits naissent souvent du désœuvrement, du peu de foi qu’il nous reste et de notre propre souffrance.

C’est la peur de ne plus avoir, ne plus posséder, de ne pas être considéré, c’est la jalousie, la possession, le désir de soumettre.

Et pourtant, tout le monde y va de sa phrase magique empruntée au dalaï-lama, à Martin Luther King ou à Nelson Mandela.

Tout le monde s’improvise écrivain en partageant ses délires humanistes de non jugement, de compassion et d’acceptation mais tout en dénonçant « les autres » et paradoxalement en les jugeant.

« Moi j’aime le monde, je suis contre la misère, j’aime aussi les petits chats et je suis gentille mais les autres sont méchants et ils me jugent, alors ce sont tous des cons ».

Alors, tu juges ou tu ne juges pas ?

Ces genres de messages qui inondent les réseaux sociaux et les blogs perso, aussi anodins soient-ils, finissent par des déclarations de guerre…

Les réseaux sociaux sont un terreaux pour l’ego de souffrance, des machines à règlement de compte et d’échanges de haine.

Je ne vous apprends rien sur ce sujet.

Bon la guerre est partout, c’est un fait et nous nous disions qu’il y a finalement assez peu d’espace pour le calme.

Il y a peu de havre de paix où nous ne sommes plus préoccupés par nos intentions belliqueuses.

Lorsque nous sommes heureux, les intentions sont bonnes, l’espace est libre de toutes intentions erronées.

C’est comme lorsque nous sommes en amour, il n’y a, à cet instant, aucune volonté de nuisance.

Lorsque nous vivons des moments sexuels intenses, notre esprit est généralement focalisé pleinement sur ce que nous faisons.

Exempt la rancœur, la peur, le manque de confiance en soi.

À l’instar de la méditation et de la prière qui sont, qui devraient être des moments précieux où l’ego devrait être lissé et les pensées finalement sans accroche, sans grande importance.

Ce sont véritablement de merveilleux moments de répit.

Ainsi un autre espace de tranquillité nous est apparu, en relation directe avec notre activité sportive:

C’est le post-entraînement des cuisses, lorsque celui-ci a été ultra intensif.

Lorsque vous vous êtes entraînés à haute intensité, en respectant scrupuleusement les paramètres d’intensité, en impliquant bien sûr toute la mécanique physique mais également votre conscience et cela à chaque instant, à chaque milliseconde.

Vous enchaînez les exercices d’extensions et de flexions avec des temps de repos courts, au chronomètre et à la seconde.

Vous contrôlez tout, comme un orfèvre, votre exécution, votre amplitude, le tempo et particulièrement devrais-je dire, quand la douleur est insoutenable et qu’il vous reste à faire encore 6, 8,10 répétitions.

La brûlure est quasiment insoutenable, vous ne pouvez plus respirer et votre cœur va s’extraire de votre poitrine et malgré cela, vous continuez encore et encore…

Eh bien, lorsque enfin, toute cette folle expérience s’arrête et que votre corps et votre esprit se mettent au repos alors s’installe une sorte de paix.

Je vous garantis que vous n’avez aucune envie de faire la guerre à qui que ce soit.

Le squat pourrait-il sauver le monde ?

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Comment avoir un physique de rêve pour les beaux jours ?

Là est la grande question qui revient chaque année toujours à la même période.

En général cette question taraude les esprits après les fêtes, courant des mois de janvier et février et parfois même au printemps alors qu’il ne vous reste plus qu’un à deux mois avant de vous dévêtir et exposer vos formes qui ne vous conviennent plus.

La condition physique est déplorable, vous n’avez cessé de vous goinfrer depuis la fin de l’été, entre les apéritifs, les anniversaires, Noël, le premier de l’an, les repas de famille etc. etc.

Vous avez repris entre 5 et 10 kilos depuis l’été dernier, c’est une véritable catastrophe.

Perdre du poids c’est facile !

Heureusement tous les magazines sont là pour vous donner les bons conseils, LA nouvelle technique révolutionnaire pour perdre son poids rapidement et sans effort.

Tout le monde s’y met, même votre pharmacien vous matraque.

Il veut que vous perdiez votre poids et aussi votre argent (vous perdrez plus d’argent que de poids), à grand renfort de pilule « fatburner », de crèmes amincissantes à base de caféine ou autres substances amincissantes.

Il vous le dit:  » ça a fait ses preuves, regardez l’étude ! »

Oui, c’est vrai, s’est soutenu par une étude dirigée par le propre laboratoire qui la commercialise.

Juge et partie !

La télévision vous bombarde d’appareils d’électrostimulations bien plus efficaces que n’importe quels exercices que vous pourriez faire chez vous ou en salle de musculation.

Imaginez un instant, qu’en mettant cette ceinture ou cette combinaison 5 à 10 minutes, vous obtenez plus de résultats que si vous pratiquiez la culture physique en salle de sport pendant des heures.

Êtes-vous assez stupides pour le croire ?

Êtes vous conscient que les athlètes désireux d’améliorer leurs physique et leur qualités physiques ont obtenu véritablement des résultats en s’entraînant dur, très dur, terriblement dur.

Ils se sont accrochés aux barres, poids de corps, haltères et machines ou en pratiquant spécifiquement leur discipline sportive pendant des mois et des années.

De plus, ces athlètes sont doués, totalement impliqués et vous pensez obtenir les même abdos, allongés sur votre canapé en regardant la télé ou votre smartphone.

Vous pensez obtenir un corps musclé, galbé, avec peu de graisse comme le mec ou la nana de la publicité en faisant quelques mouvements, déguisés en surfer du dimanche et branchés sur une machine design.

Tout le concept est là ! design révolutionnaire, personnalité du showbiz ou du sport en guise de caution, études scientifiques avec si possible garantie médicale….. Il ne se passera rien de plus!

Sérieusement, vous y croyez ?

Vous êtes tellement désespérés que vous êtes prêts à tout gober, à tout écouter, à tous lire, à tout manger, à tout vous passer sur le corps pour pouvoir perdre vos kilos, vous muscler, vous tonifier, vous sculpter.

Vous voulez ressembler le plus rapidement possible et avec le moins d’effort possible aux figures, pour la plupart Photoshopées, de vos magazines préférés ou aux présentateurs fitness qui évidemment ne font pas du tout ce qu’ils vous disent de faire.

Il est vrai que l’entrainement en salle est tellement improductif.

Tant de pratiquants ont si peu de résultats, par manque d’encadrement, manque de motivation et de discipline, par incompréhension et mauvaise utilisation de cet outil qui pourtant est merveilleux et qui est d’une grande efficacité.

Mais malheureusement, la culture physique ne permet donc plus de s’opposer, de concurrencer l’absurde déferlante marketing de la perte de poids et de la tonicité musculaire.

La porte est ouverte, à toutes les chimères.

Vous êtes mûrs, prêt à tout croire !

L’histoire est toujours la même, et elle se répète encore et encore, vous avez, la fâcheuse habitude…

N’allons pas plus loin, la suite est contenue dans ce nom et son qualificatif, « la fâcheuse habitude », c’est exactement ça, une habitude fâcheuse, aliénante, cette tendance à répéter toujours les mêmes choses même lorsque ça ne fonctionne pas.

Si ça marchait, vous ne recommenceriez pas chaque année le même protocole à quelque chose près.

Parfois même plusieurs fois par an.

Souhaiteriez-vous que ça change ?

Si je vous disais que j’ai la solution pour que vous ne fassiez pas chaque année, voir plusieurs fois par an les mêmes erreurs.

Vous prenez du poids que vous voulez reperdre, puis vous reprenez du poids que vous voulez reperdre à nouveau etc. etc.

Cela devient de plus en plus dur à chaque fois parce que votre corps et votre esprit réagissent, se défendent, ils connaissent le mécanisme et supportent de moins en moins bien la privation et l’excès d’exercices sporadiques.

Ma solution est simple, ne prenez plus de poids!

Vous n’aurez ainsi plus à le perdre.

Ce que je vous propose c’est d’avoir un physique de rêve, tout le temps, d’être en super condition physique tout le temps.

Suivez toute l’année un programme adapté, réactualisé, motivant.

C’est réellement un beau projet, épouser un style de vie qui vous élève à tous points de vue.

Prendre sa forme en main, ne plus être victime des vendeurs de perte de poids subite, des marchands de rêves plein de promesses intenables et éphémères.

Vous aurez votre physique de rêve pour les beaux jours mais également pour les jours moins ensoleillés.

Votre forme deviendra fondamentale, votre corps et votre mental vous le rendront au centuple.

En dehors du harcèlement des bonimenteurs lobotomisants, réveillez-vous !

Finissez par comprendre que la forme physique, la condition, l’esthétique, ce n’est pas un mois par an, c’est toute l’année.

Et pensez surtout à votre santé.

Je vous propose donc que vous changiez, que vous deveniez tout le temps la meilleure version de vous-même.

Je suis prêt à vous accompagner toute l’année.

Rejoignez ma tribu et suivez mes programmes, ils sont efficaces et adaptés.

Cliquez sur l’image ci-dessous

Je m’adresse au plus grand nombre mais particulièrement au plus de 40 ans qui physiquement et mentalement subissent les assauts et les outrages répétés du temps qui passe.

Je vous aiderai à réalisez vos objectifs, à obtenir rapidement des résultats.

Vous apprendrez à vous alimenter pour votre bien-être, votre forme et votre santé.

C’est de cette façon que l’on construit des fondations qui tiennent, que l’on gagne, pas un jour, mais toujours.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Dépassez vos limites !

Ça veut dire quoi dépasser vos limites ?

Dépasser ses limites, c’est aller non seulement au-delà de sa zone de confort mais bien plus loin encore.

La zone de confort est la vitesse de croisière, c’est l’espace où l’on se prélasse, où l’on se conforte.

C’est une zone sans changement, sans surprise et sans engagement, un état où il ne se passera rien ou si peu.

La vie continuera à suivre son cours sans que nous soyons acteurs, de simples figurants tout au plus.

Une grande majorité évolue dans cette zone par facilité et par peur de bousculer sa vie.

Nous oscillons d’ailleurs entre cette zone et une zone d’inconfort, une zone où l’on se sent mal et que l’on accepte comme une fatalité…

Très curieusement, l’inconfort est un état que l’on subit sans que cela nous pousse à dépasser nos limites ou très rarement.

À quoi ça sert de dépasser ses limites ?

Lorsque l’on dépasse ses limites, c’est là que tout se crée, on ouvre alors le champ des possibilités, de toutes les possibilités.

Dans tous les domaines, c’est en dépassant ses limites que l’on accède au niveau supérieur.

Vous ne pouvez pas imaginer changer de condition sociale, financière, spirituelle ou autre, si vous continuez à faire toujours la même chose, de la même façon et au même niveau d’investissement.

Comme vous ne pouvez pas imaginer changer de forme physique en faisant ce que vous avez toujours fait.

Il est vraiment nécessaire d’en prendre conscience pour ne plus se retrancher derrière des chimères, des promesses de camelots qui vous vendent des mensonges et parfois très chers.

On vous promet de passer d’un corps fatigué, mou, sans condition à un corps athlétique, jeune avec une peau resplendissante et tout ça sans effort !

C’est bien spécifié, sans effort !

On vous encourage alors à ne pas dépasser vos limites et à rester dans votre zone de confort.

Qui peut le croire ?

Et pourtant ça marche… En fait, ça ne marche pas pour vous mais pour les commerçants qui vous vendent le concept.

Non, pour vous ça ne marchera jamais, vous perdrez du temps, de l’argent et de l’espoir.

Toutes ces fâcheuses expériences participeront à grignoter votre capital confiance.

Vous finirez par penser que rien ne fonctionne sur vous, que vous n’êtes pas doués, qu’il n’y a rien à faire pour que vous changiez puisque vous avez tout essayé.

Je fréquente les salles de remise en forme et je suis coach depuis environs 35 ans, le constat est affligeant.

Durant toutes ces années je vois une écrasante majorité de pratiquants qui n’évolue pas d’un iota.

Je les vois pédaler mollement, marcher sur des tapis de course avec autant de vivacité qu’un unau (c’est l’animal que l’on nomme le paresseux).

Ils parlent, téléphonent, ils sont accrochés obsessionnellement aux réseaux sociaux.

Et ils gesticulent en reproduisant maladroitement quelques exercices glanés sur Internet.

Pas d’application ni d’implication, pas d’intensité et peu de désirs donc pas de résultats.

Même leur alimentation décide pour eux et les porte au gré de leurs pulsions, de leurs envies et même de la mode…

L’alimentation est encore un domaine où il ne faut surtout pas rester dans sa zone de confort; c’est ce qui conduit aujourd’hui à ce qu’un français sur 2 soit en surpoids.

Mesdames et Messieurs dépassez vos limites pour aller outre, bousculez vous si vous voulez changer.

Il n’y a pas d’autres possibilités, vous devez vous pousser en dehors de ce que vous faites et qui ne fonctionne pas.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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