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Les 10 « anti-commandements »

1ère partie.

Les 10 commandements sont des merveilles de règles divines et fondamentales que nous devrions suivre avec application ou en tout cas, vers lesquelles nous devrions œuvrer de notre mieux, toute notre vie, pour nous les rendre accessibles.

Ce sont des lois que nous retrouvons dans chaque religion, dans finalement chaque courant de pensées philosophiques, de l’antiquité la plus lointaine aux fondements de l’humanité.

Ces lois célestes sont basées simplement sur le bon sens, sur l’honnêteté intellectuelle et spirituelle.

Je ne suis pas en train de vous parler de chrétienté, ni d’aucune autre religion, ni de Dieu.

C’est avec pragmatisme, loin de toutes idéologies religieuses et dogmatiques de toutes sortes et de toutes tendances, que j’aborde le sujet de cet article.

Je souligne simplement le bon sens que révèle de tels écrits.

Malheureusement, nous n’avons pas suivi ces enseignements…

Nous avons fait tout le contraire, nous avons érigé nos propres commandements, nos « anti commandement ».

Nous faisons donc scrupuleusement tout pour que nous nous sentions mal, malades psychologiquement et physiquement, dépressifs, agressifs, anxieux, peureux, en conflit…

Voici la liste, non exhaustive, des commandements de l’absurde, que la majorité d’entre nous suit rigoureusement et bien sûr en toute auto-légitimité.

Surtout, ne nous culpabilisons pas, c’est mauvais pour notre équilibre.

1) Tu boiras de l’alcool

C’est festif !

Si tu ne bois pas d’alcool, tu ne sais pas t’amuser, tu ne sais pas vivre…

Même le corps médical nous a conseillé pendant des décennies de boire du vin, c’était bon pour la santé, plein de polyphénols actifs contre le vieillissement !

La bière excellent pour la récupération.

En réalité, l’alcool tue massivement.

7 % des décès en France sont attribués à l’alcool, soit 41 000 morts.

Environ un demi million de morts en 10 ans!

Il crée une misère sociale effrayante, violences conjugales, violences sur les enfants, accidents de la route, etc. etc.

Dommages collatéraux qui ne viennent malheureusement pas gonfler les chiffres de la mortalité liée à l’alcoolisme et qui pourtant représentent un nombre de décès importants.

Il est responsable de pathologies innombrables dont certaines sont morbides.

N’est-ce pas aussi l’alcool qui est en grande partie responsable du génocide des Indiens d’Amérique ?

Ce discours n’alerte évidemment pas les alcooliques mondains, les adolescents, les jeunes adultes ou les « bons vivants ».

De toute façon, nous aimons baigner dans notre jus réconfortant, nous nous sentons rarement concernés, les autres oui, mais nous non.

2) Tu te drogueras

Cannabis, cocaïne, MDMA, héroïne, opium…

Peux importe ce que tu prendras mais tu te drogueras.

Je ne suis pas un spécialiste de ces substances qui se fument, se sniffent, s’injectent, se prennent en comprimé, en tisane, que sais-je encore…

En plus des dégâts physiques qu’elles occasionnent et parfois jusqu’à la mort, (environ 10 000 morts par overdose en Europe chaque année), elles détruisent l’état vibratoire.

La spiritualité dans les chaussettes.

Apathie, passivité, déficits d’attention, de concentration, trous de mémoire, diminution de la libido, problèmes cardio-vasculaires, dépression, anxiété, troubles cardiaques…. la liste est longue et non exhaustive.

Les seules études qui vanteraient les bienfaits de certaines drogues sont à des fins « thérapeutique » lorsque, finalement, les effets secondaires n’ont plus grande importance par rapport à l’état du patient.

Elles ont toutes et à des niveaux diverses les propriétés de distordre l’acuité du libre penseur.

Elles empêchent que vos désirs décollent, elles font de vous des esclaves.

Rien d’autre, des esclaves, qui en plus paient un lourd tribut, financier, en santé physique, mentale et spirituelle et en vrai liberté !

N’était-ce pas le gouvernement chinois qui organisait le trafic de l’opium ?

Mais quel en était le projet ?

Pourquoi droguer son peuple ?

Ne pourrions-nous pas endiguer cette pandémie qui détruit une partie de l’humanité ?

Il y a-t-il vraiment la volonté de le faire ?… probablement que non

3) Tu fumeras

Tu cultiveras de lourdes pathologies, des cancers diverses, des insuffisances respiratoires.

Insidieusement, tu te priveras de tes fonctions vitales, jour après jour, mois après mois, année après année.

Une partie importante de ton maigre budget partira en fumé.

Un paquet de cigarettes coûte aux alentours de dix euros, c’est-à-dire en moyenne un budget de 300 € par mois.

Lorsque le SMIC est à 1200 € net, c’est un quart des revenus !

Quelle folie dépensière pour se tuer à petit feu !

Voici un trafic finement organisé par l’état et qui génère entre 70 et 80 000 morts.

Un cancer sur trois est lié au tabagisme.

C’est plutôt pas mal !

Chaque année, en France, des centaines de milliers de gens sont sous traitement médicaux ou de substitution à la cigarette.

Par voies de patch, de comprimés ou de vaporettes et autres… et parfois même tout cumulé…

L’industrie fonctionne à plein régime.

4) Tu mangeras n’importe quoi et en grosse quantité

La mauvaise alimentation que nous sur-consommons est devenue probablement le fléau numéro un dans nos sociétés dites « civilisée ».

La malbouffe cause plus de morts par an que le sexe, l’alcool et le tabac réunis.

Il est annoncé à l’horizon 2030 aux alentours de 3,5 milliards d’individus en surpoids dans le monde.

Est-il besoin d’énumérer le cortège de pathologies morbides liées au surpoids et causées par la suralimentation ?

Diabète, maladies cardio-vasculaires, hypertension artérielle, cholestérol… maladies structurelles, psychologiques etc. etc.

Pourquoi autorisons-nous cette débauche hallucinante ?

Qui sommes nous devenus pour nous autoriser cette folie ?

Pourquoi les autorités dirigeantes le permettent ?

Probablement l’économie de marché, les profits, un moyen supplémentaire de rendre les peuples esclaves par l’addiction.

Le pouvoir encore le pouvoir.


Sommes-nous devenus si désespérés et si faibles pour être incapables de contrôler quoi que ce soit ?

Nous ne sommes que des consommateurs ultra boulimiques et de toute façon, si l’on tombe malade, il y aura les médicaments…

5) Tu prendras des médicaments pour tout et n’importe quoi

Nous sommes devenus totalement dépendants de l’industrie du médicament et les laboratoires sont évidemment devenus complètement dépendants de nous.

Ils ne vivent et font d’énormes profits que si nous consommons massivement leurs remèdes.

Ils nous encouragent par tous les moyens pour que nous nous fassions ausculter, dépister, opérer, vacciner…

Nous devons consommer beaucoup, beaucoup de médicaments pour nous sentir en sécurité et en consommer également à titre préventif, au cas ou !

Et ça marche !

Vu le nombre complètement surréaliste de molécules que certains ingurgitent et cela parfois depuis des décennies.

J’ai quelques fois l’impression que les gens qui sortent de la pharmacie reviennent du supermarché, leurs sacs pleins à craquer.

Ce n’est plus important aujourd’hui de travailler sur notre immunité, de l’améliorer, de la renforcer, puisque la chimie peut se substituer à la capacité que nous avons naturellement de nous guérir.

Il y a des médecins partout, des pharmacies dans chaque rue, des laboratoires d’analyses dans chaque quartier, des cliniques, des hôpitaux qui débordent, des spécialistes surchargés, dans tous les coins, le système sature et s’emballe.

Nous vivons de plus en plus vieux, paraît-il, ceci n’est pas si sûr, mais surtout dans quelles conditions…

Hypertension, cholestérol, diabète, cancer, appareillés de toute part comme des humanoïdes.

Pourquoi sommes-nous devenus si faibles, si maladifs ?

Nous sommes incapables de supporter un rhume.

Fin de la première partie…

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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À propos de l'auteur Philippe LAMACHE

Je m’appelle Philippe LAMACHE, je suis coach sportif, coach mental, spécialisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires pour sportifs ainsi que dans l’alimentation santé. Depuis plus de 35 ans, je coach des hommes et des femmes pour la pratique pure de la culture physique mais également pour améliorer les qualités physiques d’athlètes amateurs et professionnels, dont quelques champions, et cela dans bon nombre de sports individuels et collectifs.

  • Julie dit :

    Très juste, des propos qui impulsent de multiples pistes de réflexion . . .

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