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All posts by Philippe LAMACHE

Est-ce que c’est bon de dire la vérité ?

La vérité, c’est évidemment ce que nous devons dire depuis que nous sommes enfants.

En tout cas, c’est ce que nous ont rabâché nos parents dès que nous avons pu comprendre leur langage.

« Ne mens pas ! »

« Ce n’est pas beau de mentir ! »

« Je t’interdis de me mentir ! »

On nous a même parfois promis l’enfer…

À ce propos, selon l’expression consacrée, il y aurait-il de pieux mensonges

?Certaines vérités qui ne seraient peut-être pas bonnes à dire.

Serait-il finalement permis de mentir d’un point de vue moral ?

Depuis l’Antiquité, cette question taraude les esprits les plus brillants.

Platon et les stoïciens en Grèce, Cicéron et Quintilien à Rome.

Par la suite, même les Pères de l’Église comme Clément d’Alexandrie, Origène, Hilaire de Poitiers et Saint Jean Chrysostome ont traité le sujet.

Plus tard, Augustin avait apporté des éclaircissements sur cette interrogation à travers deux de ses ouvrages consacrés au mensonge :

Le De mendacio et le Contra mendacium.

Y aurait-il différents niveaux, différentes catégories de mensonges ?

Le mensonge « officieux » dont le but serait d’être utile, d’informer mais pas d’alerter…ou parfois même le contraire.

Mensonge toujours parfaitement justifié.

Le mensonge plaisant à des fins humoristiques, simplement pour faire rire…

Celui qui serait pernicieux et qui aurait une ou des intentions malignes, le mensonge qui serait donc toujours condamnable.

Le mensonge de convenance ou de politesse, le mensonge pour ne pas froisser…

Le mensonge pédagogique ou « légendaire » que l’on croit devoir utiliser dans l’intérêt des enfants.

Nous nous sommes vite rendus compte que les éducateurs, parents, frères et sœurs, politiques, institutions en général mentaient et parfois de façon éhontée.

Les mêmes moralistes qui nous disent à quel point le mensonge est mal, en font presque une profession de foi.

Mais mentir, pour celui qui ment intentionnellement, en son âme et conscience, porte nécessairement un fardeau.

Plus ou moins lourd, il faut bien l’avouer et inversement proportionnel à sa foi véritable.

Il sait néanmoins qu’il n’a pas dit la vérité et que cela peut avoir des conséquences, des répercussions et parfois même une réaction en chaîne discordante.

Lorsque les événements passent par le prisme du menteur, il s’opère alors une sorte de distorsion des faits.

Bâtir sur un défaut de vérité, c’est bâtir sur des fondations altérées et friables.

Ce qui aurait pu être limpide se trouble et finit parfois par rendre aveugle.

Je ne parle pas forcément des répercussions pour le menteur lui-même mais des conséquences en chaîne.

Il y a comme cela des histoires célèbres où dans certaines familles, le mensonge a été érigé au rang de « secret de famille » causant d’irréparables dégâts à la descendance.

Et pourtant, le mensonge ne fait pas partie des péchés capitaux….

Derrière le mensonge se terre l’intention et de mon point de vue, c’est l’intention qui rend réellement l’acte pernicieux ou qui le classe au niveau d’un épiphénomène sans véritables conséquences fâcheuses.

C’est l’intention qui fait de vous un manipulateur, un égocentrique ou tout au contraire quelqu’un de bienveillant.

Mais pour quelle raison mentez-vous ?

Il est évident que dans l’absolu, il serait préférable de ne jamais mentir.

Mais vous mentez, alors pourquoi le faites-vous ?

Voulez-vous réellement protéger un tiers de la souffrance ?

Vous voulez absolument, par le mensonge, offrir du bien-être en étant complètement désintéressé ?

Vous mentez donc comme vous feriez un don qui ne serait qu’offrande sans espérer quoi que ce soit en retour ?

Un mensonge compassionnel…

Dans ces conditions, vous imaginez bien que le mensonge est, d’un point de vue éthique et spirituel, tout à fait acceptable.

Même si une fois de plus mentir n’est jamais la bonne solution.

A contrario, si le mensonge est censé vous servir, vous valoriser, si il est érigé dans le but de manipuler, pour nourrir vos propres dessins, s’il crée la discorde et la souffrance, alors, nous sommes sur une des pires malhonnêteté intellectuelle.

Même si l’objet, l’intention n’était pas forcément de faire souffrir vos semblables mais simplement de couvrir votre triste existence, le mensonge n’en sera pas plus absout.

Au-delà de la malhonnêteté intellectuelle c’est de spiritualité qu’il est question.

Le jugement des hommes est une chose mais le jugement dernier en est une autre.

C’est bien de vous avec vous-même dont il est question!

Car en dernière analyse, tous se déroule entre vous et Dieu, vous et l’univers, vous et la force créatrice…

…Vous et vous.

En conclusion, nous ne sommes que de simples humains, là est notre faiblesse mais également notre force.

Nous faisons bien sûr ce que nous pouvons, loin de moi l’idée d’être moraliste, je n’en ai d’ailleurs aucune légitimité.

Quotidiennement, la vie met à l’épreuve notre honnêteté, chaque jour nous vivons de nouvelles expériences.

Nous devons faire le choix du mensonge ou de la vérité et à ce jeu, comme la majorité d’entre vous, je fais de mon mieux.

Faisons en sorte d’être honnête, il y va de notre salut et bien sûr de celui de l’humanité.

Oui c’est bon de dire la vérité !

Ce que je vous explique vous semble logique?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Perdre son ventre après 40 ans

C’est de notoriété publique, plus vous vieillissez et plus le physique se dégrade.

Plus les années passent, particulièrement à l’approche de la ménopause chez les femmes ou en ménopause, et plus il est difficile d’obtenir des résultats.

Chez les hommes le schéma est quasiment le même, mais on appelle ça l’andropause.

Cet état chez l’homme arrive rarement au même âge que la ménopause chez la femme.

Il arrive en général beaucoup plus tard.

Il est à souligner que dans quelques cas, cette « fin de cycle » peux ne jamais arriver chez l’homme et se produire parfois très tardivement chez les femmes, au-delà de 60 ans.

Quoi qu’il en soit, nous sommes tous atteints par la dégénérescence cellulaire, le vieillissement que l’on appelle scientifiquement la « Sarcopénie ».

Nous récupérons moins bien, nous nous réparons moins bien, nous fabriquons moins rapidement du tissu musculaire et le tissu adipeux, le gras, a une tendance à s’accumuler plus rapidement.

Nous perdons progressivement de la souplesse, notre structure s’affaisse et se soude…

La machine s’enraye et se fatigue.

Quel merveilleux tableau !

Le vieillissement est pris comme une fatalité accablante contre laquelle on ne peut pas grand-chose.

On peut le comprendre.

Il est dans l’ordre des choses, c’est un principe biologique, philosophique et spirituel.

Nous naissons, nous vivons et nous mourrons.

Est-ce que nous pouvons freiner le processus ?

Avons-nous un pouvoir quelconque sur ce triste schéma ?

Oui nous avons un pouvoir !

Je le pense sincèrement et je ne suis évidemment pas le seul à le penser.

Vous pouvez agir sur plusieurs facteurs et améliorer considérablement la façon dont vous allez vieillir.

Vous avez pleins pouvoirs sur : Votre état d’esprit, votre alimentation, vos activités physiques et sportives, votre environnement, vos fréquentations.

Comprenez-vous que vous pouvez agir sur votre vie, sur la façon dont vous vieillissez, c’est acté, nous le savons.

Imaginez-vous alors ce que vous pouvez faire pour votre ventre.

C’est tellement facile d’améliorer l’état de son ventre !

Je ne parle pas forcément d’avoir un ventre très musclé avec des abdos super apparents…

… mais au fond, si tel est votre souhait, pourquoi pas.

Je dis simplement que c’est plutôt aisé de diminuer cette couche disgracieuse et de faire de votre ventre, une partie de votre corps tonique et plus sexy.

Reprenez les cinq facteurs déterminants que je décris ci-dessus:

1)Votre état d’esprit

La première des choses serait que vous ayez un vrai désir pour cela.

Une réelle détermination, pas un jour comme une simple lubie mais durant quelques semaines et pourquoi pas toute une vie…

Cela vous évitera de recommencer à zéro à chaque fois.

L’état d’esprit favorable facilite évidemment la réalisation des résultats.

Avoir envie, cultiver votre désir, visualiser vos résultats est le départ du processus.

Comme pour chaque décision importante ou chaque changement de direction, il doit y avoir un déclencheur qui donnera forme au projet.

Une aspiration magistrale qui fera de l’idée de départ un résultat factuel parfaitement matérialisé.

Je veux ardemment, sans aucun doute un ventre plat, beau et tonique… et Je l’obtiens.

2)Votre alimentation

Changez-là !

Ne continuez pas à manger ce que vous mangez habituellement, cette alimentation qui contribue à augmenter votre masse grasse.

Mangez hypocalorique et protéiné pendant quelques temps jusqu’à obtenir les résultats que vous souhaitez.

Voici les liens de deux de mes articles, je pense qu’ils pourront vous aider.

S’alimenter pour la super sèche partie 1

S’alimenter pour la super sèche partie 2

Ensuite vous pourrez basculer sur une alimentation équilibrée qui vous permettra de maintenir les résultats.

Mais vraiment, changez ce qui ne fonctionne pas pour quelque chose qui fonctionne enfin.

Et de grâce, servez-vous de votre réflexion, de votre libre arbitre, ne vous engagez pas dans un ultime régime farfelu.

Voici le lien d’un de mes articles sur ce sujet, qui pourra vous aider.

Le seul régime qui fonctionne à tous les coups !

3)L’activité physique et sportive

Pour améliorer votre sangle abdominale, il faudra forcément faire quelques exercices, de façon répétée et avec passion.

C’est en cultivant son potager avec amour que l’on fini par obtenir des légumes de qualité.

Je ne connais pas d’autre approche.

Vous pouvez bien sûr essayer l’électrostimulation en étant assis dans votre fauteuil tout en regardant la télévision ou en lisant un bouquin.

Je ne suis ni spécialiste et bien sûr ni adepte de cette pratique.

Le désir, la motivation s’entretien aussi par la pratique.

Ne pas faire, ne pas s’impliquer physiquement dans la démarche aura forcément une incidence sur les résultats.

4)Votre environnement

Nous pourrions parler d’écosystème, celui-ci est évidemment très important.

Il vous influence et vous pouvez parfois même, également, l’influencer.

Si vous ne trouvez pas dans votre univers soit une ou plusieurs sources de motivation, cela peut rendre l’objectif plus difficile à réaliser.

Les endroits que vous fréquentez, vos lectures, les émissions ou les vidéos que vous regardez, votre emploi, vos hobbies, la région où vous résidez…

Tous ces paramètres ont évidemment une influence sur vos décisions et sur votre motivation.

S’il le faut, changez votre écosystème !

Cela veut dire, changez les endroits que vous fréquentez, ce que vous lisez, ce que vous regardez comme émission ou comme vidéo.

Changez cet emploi qui ne vous convient peut-être plus, changez vos hobbies et pourquoi pas, changez de région…

5)Vos fréquentations

Si autour de vous, vos amis, votre famille n’ont que faire du contrôle de l’alimentation et de la pratique sportive…

…Que pour votre entourage, un ventre avec peu de graisse, tonique et sexy n’a vraiment aucun intérêt et que cela ne fait vraiment pas partie de leur univers, vous ne puiserez donc pas la moindre motivation ou le moindre exemple auprès d’eux.

Ils vous décourageront à emprunter ce chemin et vous encourageons à faire tout le contraire.

Vous serez parfois dans l’obligation de vous préserver et de fréquenter ainsi des personnes motivantes capables d’insuffler chez vous un élan supplémentaire pour la réalisation de vos objectifs.

Il n’y a évidemment aucun mal à cela.

Changer de fréquentation est très souvent le résultat d’une évolution.


On vous le reprochera peut-être mais le plus important, c’est vous.

En conclusion, si améliorer votre ventre peut vous apporter du bien-être, de la valorisation, une certaine harmonie, alors mettez toutes les chances de votre côté.

Envisagez la réalisation de cet objectif de façon holistique en tenant compte de tous les paramètres que je décris ci-dessus.

C’est ainsi que vous y arriverez à coup sûr, même au delà de 40 ans, je n’en doute pas un instant.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Vous êtes adeptes du « yo-yo »

Vous n’êtes pas victimes du yo-yo, vous êtes bien adeptes du yo-yo.

J’insiste sur la notion de responsabilité que contient ce titre.

L’emploi le plus courant de ce terme est en relation avec l’alimentation, les régimes.

Mais je vous le garantis, ça ne s’arrête pas uniquement à l’accointance avec la nutrition.

Quelle définition pourrions-nous donner au « yo-yo » ?

Concernant la nutrition, ce serait ce va-et-vient incessant entre la perte de poids et la reprise du poids.

Pour un bon nombre d’entre vous, nous pourrions également qualifier de « yo-yo », la relation discontinue que vous avez avec le sport.

Vous en faites de façon saisonnière, pourrions-nous dire.

Quelques semaines par an et même pas chaque année…

Un coup vous êtes dedans et puis vous n’y êtes plus du tout.

En général, l’arrêt de l’activité sportive marche de concert avec la reprise de votre poids.

Non seulement parce que vous avez freiné la dépense énergétique mais aussi et surtout parce que vous cherchez à échapper aux règles…

…non pardon, vous vous échappez des règles que l’on peut associer à la discipline sportive, à savoir le contrôle de l’alimentation, entre autres.

Ne vous méprenez pas, ayez autant que possible un regard objectif sur la situation.

Un peu comme l’arrêt de la cigarette qui vous a fait grossir…

C’est surtout que vous substituez une addiction par une autre et qu’il faut combler tant bien que mal « un mal-être » par une attitude compulsive.

Si ce n’est plus la cigarette, ce sera l’alimentation ou autre chose.

En terme médical, nous pourrions parler de traitement palliatif et non pas de traitement curatif.

La manifestation de la souffrance ne se traduit plus par l’alcool, la cigarette, la drogue, le jeu ou l’intérêt exacerbé pour le sexe mais par l’alimentation à outrance.

Parfois certaines et certains les cumulent…

Bien évidemment, le problème n’est pas réglé.

La prise de responsabilité toujours très difficile à endosser est un sujet que je traite quelquefois dans mes articles.

Il est plus aisé de jeter la faute et parfois le discrédit sur les autres.

Il est plus simple de renvoyer la responsabilité sur une situation, des outils, des circonstances…

C’est la faute du régime !

C’est la faute des événements si j’ai eu un accident.

Mes problèmes de santé, je n’y suis pour rien, c’est héréditaire !

La justice est basée sur ce principe : en cas de conflit, lorsque le préjudice est porté devant les tribunaux, le système judiciaire cherche toujours à trouver des « responsables ».

Pour ma part, je n’irai jamais chercher bien loin…

Je pense que nous sommes toujours responsables de ce qui nous arrive.

Je comprends, dit comme ça, que bon nombre d’entre vous s’offusquent et me sortent leurs sempiternels contre-argumentation.

« Ah oui alors quand tu as un accident de la route et qu’on est venu te percuter alors que tu étais sur ta voie, c’est de ta faute ? »

« Un enfant qui tombe malade c’est de sa faute ? »

« Tu es victime d’une escroquerie, on t’a pris tout ton argent et là aussi c’est de ta faute ? »

Oui ! Vous êtes responsables.

Je ferai très bientôt un article dans lequel je détaillerai les mécanismes d’acceptation de sa propre responsabilité.

Ces mécanismes sont à la fois spirituels et quantiques.

Pour revenir notre sujet… le « yo-yo » n’est pas lié à autre chose qu’à votre responsabilité et par conséquent à la façon dont vous vous comportez.

Il faut impérativement que vous en ayez conscience pour que cessent les « montagnes russes ».

Si vous reprenez vos anciennes mauvaises habitudes alimentaires, vous redeviendrez comme vous étiez auparavant.

Le régime qui vous a fait perdre du poids, ce régime hypocalorique, car il n’est question de rien d’autre, n’est pas la garantie à vie que vous garderez cette perte de poids.

L’avez-vous compris ?

Vous aviez cessé pendant deux mois, l’alcool, la tartiflette, la charcuterie et les litres de glace.

Vous avez donc perdu du poids.

Une fois votre objectif atteint, vous avez repris toute cette alimentation et bien sûr les kilos qui vont avec.

Attention, il n’est pas ici question de régime à vie mais d’évoluer vers un équilibre raisonné, avec gestion.

Vous décidez, ce n’est pas l’alimentation qui décide pour vous.

Nous vivons une époque « excusante »où il est exclu de faire porter la responsabilité de quoi que ce soit à qui que ce soit.

Tant que vous pensez n’avoir aucune influence sur les événements et surtout sur votre propre vie rien ne changera.

On fait trop souvent l’amalgame entre la responsabilité et la culpabilité:

responsable ne veut pas dire coupable.

Il y a d’ailleurs un excellent sketch des inconnus qui met en scène un homme politique véreux dont la phrase comique de répétition est :

« responsable mais pas coupable»

Nous ne devons donc pas nous sentir coupables…

Je suis absolument d’accord, se sentir coupable avec tout le cortège de sentiments bas de souffrance qui va avec, n’a vraiment aucun intérêt.

Pas de culpabilité, simplement de la responsabilité.

Lorsque vous acceptez la responsabilité, vous pouvez alors agir.

Comme si votre vie était opaque et que subitement tout devenait plus clair.

Ce voile qui plombait votre existence disparaît miraculeusement, vous avez le pouvoir de faire, d’avoir et d’être vraiment.

Vous décidez !

Ce n’est donc pas le régime ou l’arrêt du régime qui a engendré cette reprise de poids, c’est bien vous, c’est tout.

Si vous aviez décidé de changer de philosophie alimentaire, plutôt que de réintroduire toute cette mal bouffe qui avait fait de vous un malade en puissance, vous auriez alors, aujourd’hui, conservé la forme, la santé et votre perte de poids.

Nous rencontrons exactement la même attitude dans les salles de remise en forme.

Mais également concernant le sport pratiqué à la maison ou en extérieur.

Et c’est une des raisons majeure pour laquelle vous n’atteignez pas vos objectifs.

Ce n’est certes pas la faute du matériel, de la salle, de sa fréquentation ou de votre programme d’entraînement à la maison…

À votre décharge, il est vrai que vous n’êtes pas ou peu suivi à moins d’avoir recours à un coach ou a un système de coaching bien ficelé.

A ce propos, jetez un œil sur mes programmes:

MASTERMENTORA

Cette option n’est pas toujours heureuse : les transmissions du savoir et de la passion, ne sont pas toujours au rendez-vous.

J’ai eu des professeurs qui m’ont fait aimer certaines matières et d’autres piètres enseignants qui ont fini par m’en détourner.

C’est toujours vrai aujourd’hui, j’ai du plaisir à recevoir l’enseignement de certains auteurs et conférenciers plutôt que d’autres.

Mais je m’intéresse et persiste et je trouve le ou les bons instructeurs qui me feront alors évoluer.

Néanmoins, pourquoi vous ne progressez pas physiquement ?

Parce que vous ne vous entraînez pas.

Comme pour le contrôle de votre alimentation, vous faites par intermittence et quand vous pratiquez c’est souvent avec peu d’intensité et mal exécuté.

Cela fait près de 40 ans, 38 ans exactement que je fréquente les salles de fitness, musculation, remise en forme… L’appellation a peu d’importance, c’est comme vous voulez.

Et je constate inlassablement les mêmes attitudes.

Je peux vous assurer que le match est joué d’avance.

Vous n’y arriverez jamais.

En tous les cas jamais de cette façon.

Cela fait 10 ans que vous fréquentez la salle de sport et parfois même beaucoup plus, sans progression et même très souvent avec régression au fil des années.

Pourquoi répétez-vous avec autant de pugnacité toujours le même fonctionnement qui finalement ne marche pas ?

Alors qu’il suffirait de mettre fin au « yo-yo », de mettre fin à ce va-et-vient.

Il VOUS suffirait de prendre une bonne résolution.

Dites stop à ce qui ne vous réussit pas, faites ce qui marche.

Copiez les personnes qui ont réussi à maintenir leur poids et à garder une forme et une santé pérennes.

Vous comprendrez enfin que le dénominateur commun de toutes ces réussites outre le désir est LA RÉGULARITÉ.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Quoi que vous fassiez vous serez critiqué

En fait, pas tout à fait, la seule situation où peut-être vous ne le seriez pas, serait l’anonymat absolu.

Vous ne connaîtriez personne et personne ne vous connaîtrait… vous n’existeriez pas.

Un ermite en somme.

Dès que vous existez, vous tombez sous le glaive du jugement.

Dès votre naissance, on vous trouve des ressemblances, on vous compare.

On estime que vous mangez trop ou pas assez, que vous criez plus que ne criait votre frère, que vous grossissez moins vite…

Vos parents vous trouvent si beau et les voisins si vilain…

Hypocritement, ils vous avaient encensé auprès de votre famille.

Mais peut-on décemment dire à des parents que leur bébé n’est pas beau ?

C’est un point essentiel que je soulève présentement :

L’acceptation de la critique.

Comment faire pour accepter d’être jugé, de recevoir de telles critiques, un tel flot de cruauté, de méchanceté à la limite du supportable ?

Contrairement à ce que l’on dit communément de la critique, qu’elle est constructive, en fait, elle l’est rarement.

L’intention de celui qui l’émet n’est quasiment jamais bienveillante et celui qui la reçoit la prends comme une agression.

Voici donc une première question qui me semble fondamentale.

Comment accepter la critique ?

Vous n’avez pas d’autre choix que de l’accepter, si vous ne voulez pas tomber malade.

Les critiques non acceptées génèrent de telles souffrances qu’elles vous assassinent parfois psychologiquement et vous rendent réellement malade physiquement.

Comprenez qu’il existe autant de points de vue qu’il existe d’individus.

Chacun crée sa réalité, c’est une loi quantique.

Les sons, les couleurs, les odeurs… ces nombreuses informations qui nous harcèlent continuellement ne sont jamais perçues de la même façon par chacun d’entre nous.

Et suivant le moment, l’époque et les circonstances où nous les recevons, nous ne les percevons nous-même jamais de la même façon.

Ainsi, vous n’êtes pas à la place de votre inquisiteur, vous ne savez pas quelle est sa vie, ce qu’il a enduré, ce qu’il a appris, ce qu’il ressent, quelles sont ses intentions…

Vous ne connaissez pas la moindre de ses souffrances.

Peut-être a-t-il connu dans le passé quelqu’un comme vous qui a été son bourreau?

Quelqu’un, évidemment, qui n’était pas vous mais qui vous ressemblait.

Lorsque la critique est générée par des intentions malignes, comprenez qu’elle est toujours instruite par le mal-être.

Je ne cherche pas à trouver des excuses au « critiqueur », je souhaite simplement désamorcer la relation « jugeur / jugé ».

La critique avec l’intention de faire mal, n’a de mon point de vue aucun sens au point qu’elle ne mérite finalement pas que l’on s’y attarde.

Chacun extrait ses émotions de son patrimoine, de sa propre réalité.

Comment pouvez-vous être atteint par quelque chose qui n’existe pas, en tout cas qui n’existe pas pour vous ?

Elle me trouve prétentieux, stupide et sans intérêt !

OK, c’est son point de vue, sa propre réalité.

Je peux le comprendre mais ce n’est pas ce que je pense de moi-même.

Je ne me trouve pas prétentieux, ni stupide et je ne me trouve pas non plus sans intérêt.

J’accepte néanmoins que l’on puisse me trouver ainsi.

C’est acté mais je n’y attache pas trop d’importance.

Remarquez que vous pouvez avoir les meilleures intentions du monde, avoir un désir profond de faire du bien et néanmoins, vous serez jugé, critiqué.

Vous serez même parfois portés au pilori, crucifiés en place publique.

Les prophètes, les grands hommes l’ont tous été, certains réhabilités à titre posthume mais la plupart ont été conspués de leur vivant.

Vous pensiez vraiment être dans l’amour et la paix et par un tour de passe-passe ahurissant, vous devenez la personne à abattre, le diable.

Quelle effroyable injustice pensez-vous ?

Comment peut-on dire de telles insanités à votre endroit ?

Alors qu’à aucun moment vous n’avez voulu blesser et générer cet acharnement…

Parfois même vous ne dites rien, vous existez et pour certains c’est déjà beaucoup trop.

Comment expliquer la critique ?

Comment expliquer cet état dans lequel certains individus se mettent lorsqu’ils s’engagent sur la voie toxique de votre condamnation ?

Voici la deuxième question fondamentale qui mérite que l’on s’y attarde un peu.

Qu’est-ce que cela génère chez eux, pourquoi le font-ils ?

Le comportement des gens qui critiquent à tour de bras, qui comparent, qui jugent, avec des intentions malignes, comme je l’ai dit un peu plus haut dans le texte, trahit forcément un état de souffrance.


Lorsque l’on est en paix, en harmonie avec soi-même et les autres, lorsque l’amour est le moteur principal de sa vie, alors, critiquer, juger n’a aucun sens.

L’individu heureux et parfaitement équilibré n’a pas besoin d’accabler ses semblables.

Il n’a pas besoin de comparer et la plupart du temps, de se comparer pour exister.

« Pardonnez à celui qui vous a offensé. »

Ne rentrez pas dans ce jeu de l’interaction ou vous vous sentez la légitimité de le critiquer à votre tour.

À l’instar de toutes les addictions, car je pense que le jugement effréné en est une, il peut générer, au commencement, une sorte de satisfaction trompeuse, une espèce de compensation de courte durée.

Mais il devient rapidement le foyer de sentiments bas, d’affrontements, de désordre et de mal-être.

La critique, devient pour celui qui la profère, son propre tombeau psychologique.

Ne critiquez pas tout d’abord pour vous-même.


L’époque actuelle est malheureusement propice aux déferlements de critiques.

Les réseaux sociaux sont une formidable fenêtre sur votre intimité.

Ils dévoilent les moindres recoins de votre personnalité physique et morale.

Mais alors, pourquoi vous en donner à cœur joie ?

Pourquoi vous répandre et répandre par la même occasion votre entourage?

Vous vous mettez en scène sans imaginer un seul instant toute cette hostilité qui vous observe.

C’est d’ailleurs du pain béni pour les créateurs de ce système et pour tous ceux qui en vivent.

La discorde, la rivalité et très souvent la haine génèrent l’addiction, c’est donc gagné.

Le but inavouable est atteint, vous devenez dépendant du système.

Un système basé sur « aimez- moi » (je parle du like) ne peut que générer de la souffrance.

Des milliards d’individus s’y engouffrent avec une candeur déconcertante.

Voici la troisième question fondamentale que m’inspire ce sujet.

Mais pourquoi donc vous exposez-vous ainsi ?


Peut-être parce que vous avez besoin de reconnaissance, vous avez besoin d’exister.

Vous vous inventez une vie et partagez ainsi votre existence hors du commun, qui en réalité la plupart du temps, est tout à fait commune.

Vous avez des idées à partager ou plutôt, vous relayez des idées à partager.

C’est un besoin que vous avez de montrer que vous savez danser, chanter, que vous réfléchissez bien, que vous êtes un expert dans un domaine ou dans un autre.

Vous souhaitez montrer au monde que vous n’êtes pas quelqu’un de banal, que votre message est important.

Vous avez tellement besoin que l’on vous dise « je t’aime ».

C’est déjà dur de ne pas l’entendre mais si en plus, vous recevez un déferlement de haine et de détestation, alors, cela devient un drame.

Ma conclusion sera courte.

Ne jugez plus, ne critiquez plus.

Acceptez d’être jugé, d’être critiqué à votre tour et n’en voulez plus aux inquisiteurs.

Ils ont de graves difficultés avec leur ego, ne les accablez pas.

Si vous n’êtes pas capable d’accepter d’être conspué, alors, effacez-vous, sortez des champs de vision, ne vous dispersez plus, retrouvez-vous.

N’étalez plus votre existence qui sera de toute façon toujours critiquable.

Ce que je vous explique vous semble logique?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Ne faites pas cet exercice il est réservé aux femmes

Cet article aurait pu s’intituler:

« Ne faites pas cet exercice il est réservé aux hommes. »

Existe-t-il des exercices par genre ?

Des mouvements que les hommes ne pourraient pas faire parce qu’ils sont réservés aux femmes et réciproquement.

Nous aurions donc des différences fondamentales, une structure différente, des muscles que les hommes auraient et que les femmes n’auraient pas et inversement.

Ces fameux muscles liés aux genres auraient une kinésiologie différente, ils ne répondraient peut-être pas aux mêmes stimulis.

Ils n’auraient pas les mêmes points d’attache.

Ainsi il y aurait donc des exercices qui n’auraient aucun intérêt pour l’un ou pour l’autre.

Je crois l’avoir entendu régulièrement tout au long de mon existence de pratiquant et de Coach.

Deux grandes tendances, deux chapelles idéologiques se sont engouffrées au cœur de ce sujet.

Tout d’abord, le dogme phallocrate, l’association des hommes à tendance machiste ou peut-être même plutôt à tendance blaireau qui a décrété, par exemple, que les machines :

« c’étaient pour les femmes. »

Je dis « par exemple » parce qu’ils décrètent généralement d’autres lois du même acabit.

Ils pensent également qu’il faut travailler lourd et uniquement lourd pour devenir musclé.

Ils pensent aussi qu’il faut manger beaucoup…

Des quantités énormes et de tout, pour devenir aussi gros qu’un bœuf…

Et que les hommes ça boit de la bière…

Vous en connaissez peut-être ?

Ce sont évidemment des dinosaures d’une autre époque.

Donc d’après eux, le développé à la machine pour les épaules ou les machines abducteurs / adducteurs… ne seraient que pour les filles.

Les mecs, ça travaillent aux barres et aux haltères uniquement.

Un autre groupe idéologique, un autre courant de pensée s’est approprié cette ségrégation des genres par la culture physique sélective.

Ce sont les femmes qui ont peur de devenir aussi musclé qu’un homme musclé.

Je dis bien « qu’un homme musclé « parce que c’est bien de cela qu’il s’agit.

Elles craignent de devenir cet athlète hypertrophié et très défini, cette bête à concours, ce gars qui s’entraîne très dur depuis des années, qui a une alimentation drastique et quasiment une vie d’ascète.

Rien qu’en regardant les flexions du monsieur ou ses développés, la dame imagine pouvoir devenir comme lui en trois temps deux mouvements.

Cette perspective l’horrifie.

Nous pouvons l’entendre et le comprendre mais nous sommes présentement dans une manifestation de délire sans une once de discernement.

Comme s’il suffisait de tenir une raquette de tennis pour devenir un grand joueur.

Ou d’acheter un piano pour devenir un virtuose.

De grâce, juste un peu de réflexion, peut-être un soupçon d’humilité…

Je pense évidemment que tous les exercices sont bons pour les hommes et les femmes et que les seuls critères de sélection devraient être les objectifs de chacun et nos capacités et aptitudes à pouvoir les réaliser.

Pourquoi mesdames ne pourriez-vous pas faire du soulevé de terre ?

Ou pourquoi ne pourriez-vous pas faire du squat en amplitude complète à la barre libre pour développer harmonieusement vos cuisses et vos fessiers ?

Vous augmenteriez ainsi, par la même occasion, votre condition physique générale, le transfert entre le haut et le bas de votre corps.

Vous travailleriez efficacement votre sangle abdominale et vos lombaires simplement parce qu’ils maintiennent la statique de votre corps pendant l’exercice.

Cet exercice, athlétique et polyarticulaire, grâce à son implication cardio importante, vous aidera à perdre votre surcharge graisseuse générale et localisée.

Un exercice fondamental qui est, lorsqu’il est pratiqué dans les règles, un précieux allié pour votre forme et vos formes.

Bien sûr, le squat demande un véritable apprentissage et une pratique contrôlée.

Qu’est-ce qui vous empêcherait de faire du rowing à la barre libre ?

C’est un exercice d’une grande efficacité pour tonifier tous le bas de votre corps, vos cuisses et vos fessiers.

Il est excellent également pour améliorer votre stabilité, pour augmenter la puissance de l’ensemble des muscles de votre dos et par conséquent pour une meilleure tonicité posturale.

Il participe ainsi à protéger vos vertèbres contre les outrages du temps et des mauvaises positions.

Et vous Messieurs, les ringards accrochés à vos certitudes d’une autre époque, vous auriez tout à gagner à vous servir des machines et de certains exercices que vous considérez comme « féminins ».

Vos articulations vous remercieraient et la qualité de votre physique s’en trouverait nettement améliorée.

C’est dans la diversité que l’on obtient un physique complet et harmonieux.

Travaillez vos adducteurs à la machine et vous verrez à quel point ce travail peut améliorer vos performances lors de vos flexions au squat ou à la presse.

N’hésitez pas à laisser tomber le développé couché pour travailler parfois aux machines ou aux câbles.

Ça fait 20 ans que vous faites la même chose, regardez-vous, ça va ?

Avec objectivité, vous trouvez que chacune des séances a été efficientes ?

Vous avez fait 1000 séances de développé couché, vous trouvez vraiment que les résultats sont à la hauteur de vos espérances?

1000 séances de développé militaire le bassin en avant, le corps oblique à 70° pour vous aider du faisceau claviculaire des pectoraux, en descendant la barre à mi-chemin et en verrouillant les coudes pour mettre encore plus de poids et montrer à quel point vous êtes fort.

N’y a-t-il pas une sorte d’acharnement à continuer à faire ce qui ne marche pas ou plus ?

Simplement par idéologie…

Avez- vous un physique parfait ?Est-il symétrique ?

La répartition de vos masses musculaires est-elle égale ?

Chaque faisceau de chaque muscle est-il harmonieusement équilibré ?

Votre définition est-elle parfaite ?….

C’est certainement ce qui vous donne la légitimité pour décréter que tel ou tel exercice n’est bon que pour les femmes.

A hurler son honnêteté, on finit par se persuader soi-même de son intégrité mais ça ne fait pas de vous pour autant un homme de foi.

Ce que je veux dire, c’est que les égo-théories sans fondement, les déclarations basées sur du vent, ne font pas de vous des experts.

En conclusion, utilisez tout ce que la culture physique vous offre comme exercices, techniques et matériels pour obtenir un physique esthétique, harmonieux et possédant des qualités physiques optimales et équilibrées.

C’est très exaltant de maîtriser un maximum de mouvements cela rend la discipline ludique et ouvre de vraies perspectives de progression.

Vous devez d’ailleurs tout faire, si vous êtes évidemment en capacité physique de le faire, pour prétendre maîtriser le sujet.

La culture physique ne se résume pas à 10 mouvements, elle est bien plus riche.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Comment avoir des fesses dures et galbées ?

Nous vivons notre vie entière sous les dictats de milliers de lois que l’on nous impose à juste titre ou pas…

Des milliers de lois mais également des centaines de dogmes, de pays, de groupes, de partis politiques, de courants, de tendances, de Dieux…

Et de modes.

La mode est certainement le dictat sous lequel se rassemble la plus grande majorité des individus.

Il y a certainement plus de gens qui se conforment scrupuleusement à la mode plutôt qu’aux lois de la république, ou de n’importe quel système dirigeant démocratique, royaliste ou même dictatorial.

Depuis quelques années, la mode chez les femmes est au cul bombé.

Même chez les hommes d’ailleurs.

C’est un phénomène relativement récent plutôt général mais particulièrement au sein de l’écosystème fitness.

Toutes les nanas qui se revendiquent de cet écosystème inondent leurs réseaux sociaux de ces fameux «selfions ».

Ces selfies qui mettent en valeur leurs fions…. pardon, leurs fesses.

Nous voyons même des filles avec des postérieurs énormes qui en font un véritable fond de commerce.

Vous avez certainement vu des comptes Instagram où les filles ne font rien d’autre que d’ellaborer de « fines stratégies de communication » autour de leur cul.

Ça doit marcher elles ont des centaines de milliers d’abonnés voir des millions.

Attention ! Ne pas confondre la graisse et le muscle.

Cette mode, de toute évidence, en avantage certaines qui n’ont de bombé que les amas graisseux qui se sont intelligemment posés sur leurs fessiers et au bon endroit.

Laissant croire ainsi que ces résultats ne sont pas l’association du derrière de la maman et des montagnes de Kinder Bueno ou d’Häagen Dazs, mais qu’elles ont bien la fibre de l’entraînement.

Elles auraient, grâce à une formidable implication, développé cet attribut sexy….s’il en est.

Une tricherie de plus.

Comme les filtres qui masquent les imperfections du visage ou tout simplement les marques du temps, l’angle de prise de vue de la photo offre une perspective avantageuse.

La taille est affinée et le fessier rebondi…

C’est incroyable ce que l’on peut faire dire aux photos.

C’est extraordinaire comme les photos peuvent donner le change par rapport à la réalité!

Un moyen supplémentaire d’échapper à la vraie vie.

Leurrer le monde, et plus important encore, se leurrer soi-même.

L’entraînement, encore l’entraînement et toujours l’entraînement.

Les pratiquantes et les pratiquants qui ont obtenu de vrais résultats, pas des chimères virtuelles, vous le diront, c’est par l’exercice, l’intensité, la maîtrise et surtout grâce à une grande motivation, qu’ils ont obtenu le Graal du fessier sexy.

Sans oublier une alimentation adéquate.

Vos fessiers devront être travaillés spécifiquement, de façon analytique mais également lors d’exercices polyarticulaires qui impliqueront également d’autres groupes musculaires comme les ischios, les quadriceps, les lombaires etc.

Les fessiers sont composés de trois parties ainsi, afin de les développer harmonieusement, il ne faudra en négliger aucune.

Le grand fessier ou grand glutéal.

Il constitue en grande majorité la partie postérieure des fesses.

Comprenez que c’est cette partie qui donnera l’aspect bombé à vos fessiers.

C’est le plus volumineux, il recouvre la plupart des autres muscles glutéaux (petit et moyen fessiers).

Une attention et une énergie toutes particulières devront être consacrées à la construction de cette partie essentielle de vos fesses.

Le grand fessier est un puissant extenseur de la cuisse au niveau de la hanche.

Il a également une action de stabilisation du bassin et permet l’abduction et la rotation latérale de la cuisse.

Il intervient notamment d’un point de vue fonctionnel pour se relever de la position assise.

Le grand fessier est donc sollicité lors des phases de flexion.

Il est impliqué également pour courir, grimper, sauter…

Quels sont les exercices qui le sollicitent ?

En premier lieu, les exercices polyarticulaires car ils ont ma préférence.

Je pense que de nombreuses et de nombreux pratiquants qui souhaiteraient obtenir des fessiers devraient véritablement s’attarder sur les exercices que je cite ci-dessous.

Le squat normal, front, sumo, mallette, unilatéral…

Les fentes de toutes sortes, marchées, statiques, alternées, avant, arrière, Bulgare…

Le soulevé de terre classique ou soulevé de terre jambes tendues (le good morning) en exécution bilatérale ou unilatérale.

Les presses à cuisses horizontales, obliques, verticales, en exécution bilatérale ou unilatérale avec une préférence en position sumo et les pieds posés sur la partie haute du plateau.

En second lieu les exercices ciblés ou analytiques.

Extension de hanche au sol avec leste, cable, élastique ou avec machine.

Hyper extension au banc à lombaires.

Hip thrust, parfois saccagé par l’absence total de contrôle lié à l’excès de poids.

Ces exercices engagent nécessairement plusieurs groupes musculaires mais ils sont d’une grande efficacité lorsqu’ils sont réalisés avec une précision d’orfèvre dans le respect des paramètres d’intensité.

Télécharger mon E-Books pour plus d’informations sur le sujet :

« Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans »

Je vous invite donc à travailler à pleine amplitude et à ne pas hésiter à aller chercher loin sur la phase excentrique…

…Si bien sûr vos articulations et votre mobilité vous le permettent.

Maîtrisez le tempo en évitant l’inertie et surtout, mettez de l’intensité !

Acceptez aussi qu’il faudra du temps, comme pour l’ensemble des autres groupes musculaires.

Le moyen fessier ou moyen glutéal.

Il est situé sous les hanches, de chaque coté du bassin.

Il a une action d’abduction et de rotation de la hanche.

Le moyen fessier améliore le galbe sur le haut des fesses.

Le petit fessier ou petit glutéal,

C’est un muscle profond, il est recouvert par le moyen glutéal.

Il a une action d’abduction et de rotation interne de la hanche.

Il est également un léger fléchisseur de la hanche.

Le petit fessier agit en synergie avec le moyen fessier.

Quels sont les exercices qui les sollicitent (le petit et le moyen fessiers) ?

Évidemment, les flexions lorsqu’elles sont exécutées dans les règles de l’art, comme je l’explique ci-dessus.

Elles sont une merveille pour développer intégralement vos fessiers.

Ensuite, les exercices spécifiques d’abduction.

Élévation latérale de la jambe lorsque vous êtes debout, avec leste, câble ou machine.

Abduction assis à la machine, celle qui en général travaille également l’adduction (réverse).

Élévation de la jambe allongé au sol, sur le côté avec leste ou élastique.

À genoux, mains posées au sol, élévation latérale de la jambe pliée.

Comme vous pouvez le constater, le choix des exercices est important mais c’est surtout l’utilisation que vous en faites qui vous fera progresser ou pas.

Le manque de désir, de persévérance, de méthode mais surtout d’apprentissage de la méthode font qu’il y’a tant de gens qui préfèrent lâcher et mettre le compte de leurs échecs sur le mauvais programme, le manque de temps ou leur génétique lamentable.

D’autres font croire qu’ils ont tout obtenu aidés avantageusement par le virtuel …

C’est valable aussi pour l’argent, la belle vie…les beaux mecs et les belles nanas.

Mais la réalité est tout autre.

Néanmoins, rappelez -vous que tout est possible et cela ne tient qu’à vous.


Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Je vous offre mon programme

FESSIERS GALBES ET TONIQUES

LÂCHEZ CES MACHINES CARDIO !

Lorsque j’arrive en salle, je dois passer par la zone cardio pour atteindre la zone de musculation et c’est à chaque fois la même constatation des plus consternantes : 

Il y en a un qui pédale sans trop de conviction…

Une qui piétine de manière ridicule en faisant du stepper à amplitude quasi nulle…

Une autre qui marche sur le tapis en parlant au téléphone et surtout, la grande majorité qui sont accrochés (voire même affalés) ou en appui sur leur appareil cardio !

J’ai envie de leur hurler dessus : « Mais qu’est-ce que vous foutez ? »

Et tel un commandant de l’armée, les faire tous descendre et leur infliger 100 pompes à titre de punition !

Autant vous dire que j’y passerai au moins la journée.

Je ne le ferai pas bien sûr…

Et je me tourne, un peu dépité, vers l’écriture avec l’espoir que certains d’entre eux me liront (ou m’écouteront puisqu’il y a maintenant la version audio !!!) et qu’ainsi j’arriverais peut-être à changer les choses.

Je vous en supplie…

Faites une vraie séance de cardio-training et, de grâce, cessez de vous agripper ou de vous accrocher à vos appareils cardio :

votre cœur et votre corps vous diront merci !

ARRÊTEZ VOS EXCUSES !

Que les choses soient claires : comprenez bien qu’aucun de vos arguments ne sera valable :

Ne mettez pas en avant votre taille, votre expérience, votre âge, votre poids ou vos objectifs car, dans tous les cas de figure, se tenir lorsque vous faites du cardio sera contre-indiqué.

Pour que vous compreniez bien à quel point ce type d’entraînement n’a aucun sens, répondez à la question suivante :

Quand vous marchez dans la rue, utilisez-vous un déambulateur ?

Nouvelle salle de cardio

Non ! Alors pourquoi diable en utilisez-vous un lorsque vous marchez sur le tapis de course, le stepper ou le vélo elliptique ?

LES 4 RAISONS POUR LESQUELLES VOUS NE DEVEZ PLUS VOUS ACCROCHER

1° ZÉRO BÉNÉFICE

Qu’est ce qui se passe au juste lorsque vous vous agrippez à votre appareil ?

J’ai envie de vous répondre : « justement pas grand-chose ».

Lorsque vous vous appuyez avec vos deux ou même une seule main en fait vous vous soulevez ce qui a pour conséquence de réduire votre poids de corps et d’alléger grandement le travail de vos jambes.

Nous avons fait l’expérience avec un pèse personne, je vous engage d’ailleurs à la faire, pesez vous préalablement, puis au même endroit, sans déplacer le pèse personne, placez 2 chaises de part et d’autre et prenez appui avec vos mains, comme vous le feriez sur les appareils cardio.

Constatez alors que vous ne pesez plus grand chose.

Rappelez vous que l’intensité de l’exercice, donc son efficacité est liée à la charge que vous véhiculez, c’est à dire à votre propre poids corporel.

Mais également liée à la vitesse d’exécution ainsi qu’à la résistance à l’effort matérialisé par la pente pour le tapis de course ou par le frottement ou le magnétisme pour les vélos et autres steppers et elliptiques.

Plus vous forcez, plus vous brûlez du carburant, plus vous dépensez des calories !

Alors, expliquez-moi l’intérêt de cette manœuvre ?

N’êtes-vous pas là pour vous entraîner ?

Alors cessez de vous mentir à vous-même et aux autres:

vous criez haut et fort que vous avez fait une bonne séance cardio mais tant que vous viendrez pour pédaler ou piétiner nonchalamment d’un petit mouvement sans amplitude et sans efficacité juste pour en finir avec le temps de votre séance cardio et tant que vous vous affalerez sur vos machines, il n’en sera rien.

Considérez que vous divisez par 2 ou 3 le nombre de calories que vous êtes sensés perdre!

Comprenez bien que cette démarche, cette tricherie, a surtout pour conséquence de réduire le nombre de calories que vous brûlez.

Vous savez ces fameux chiffres qui figurent sur votre console et qui indiquent le nombre de calories brûlées ?

Eh bien, lorsque vous vous appuyez sur la machine, vous pouvez d’ores et déjà les diviser par deux ou trois si vous souhaitez obtenir le nombre réel de calories dépensées au cours de votre séance.

2° VOTRE POSTURE EN PREND UN SACRE COUP

Un petit conseil : Demandez à quelqu’un de vous filmer en train de faire votre cardio et observez votre démarche et votre posture.

Voici les 3 postures que vous verrez certainement:

N°01 : les épaules sont arrondies (position voutée en avant),

N°02 :  le corps est incliné vers l’arrière, bras tendus (ce qui est souvent le cas lorsque vous optez de mettre un certain pourcentage d’inclinaison à votre tapis de course),

N°03 :  le corps est complètement affalé sur la machine (fréquemment avec le téléphone à la main).

Il n’y a rien de naturel, comprenez-vous.

C’est inefficace et vous allez finir par créer ou accentuer des défauts posturaux ce qui va à l’encontre d’un bon entraînement !

Lâchez les machines, redressez-vous et voyez combien de temps vous tenez ainsi…

Il y a de fortes chances que vous soyez rapidement essoufflés et que vous ayez besoin de réduire la vitesse ou l’inclinaison.

Lorsque vous marchez normalement, votre posture et la courbure de votre colonne vertébrale ont un maintien naturel.

Vos muscles stabilisateurs sont également sollicités afin de maintenir cette position verticale idéale.

Mettez-vous bien dans la tête que lorsque vous vous accrochez ces muscles stabilisateurs ne sont malheureusement plus sollicités.

Profitez donc de votre séance pour vous tenir bien droit, rentrer votre ventre, contracter toute votre sangle abdominale et respirer à plein poumon.

Vous serez sans doute obligés de réduire la vitesse et/ou l’inclinaison mais les bénéfices en valent vraiment la peine.

3° L’INCLINAISON OUI, MAIS À BON ESCIENT !

Il faut vraiment intégrer une chose importante :

Si vous mettez une inclinaison de 10% à votre tapis et que vous vous accrochez à la machine en vous penchant de 10% en arrière, cela revient à marcher à plat.

Alors, autant enlever l’inclinaison !

Suivez mon conseil :

Réduisez l’inclinaison de l’appareil et cessez de vous y accrocher.

Laissez vos bras se balancer naturellement et grimpez véritablement.

Petit à petit vous pourrez augmenter l’inclinaison et la vitesse.

En attendant, prenez l’habitude d’alterner les paramètres d’intensité en accélérant et décélérant la machine et/ou en augmentant ou baissant l’inclinaison.

Vous verrez c’est un tout autre entraînement qui vous attend et là vous pourrez vous fier au nombre de calories indiquées sur la console de votre machine !

4° ADIEU L’EQUILIBRE !

Qu’on le veuille ou non, chaque jour qui passe nous prenons de l’âge.

Je m’adresse particulièrement à vous les masters!

Il est prouvé que pour maintenir une certaine jeunesse nous devons autant que possible maintenir notre masse musculaire (en faisant de la musculation ou des exercices au poids de corps), travailler notre cœur (en faisant des exercices cardio-vasculaires) et faire des exercices qui améliorent notre équilibre.

Dans la vraie vie nous sommes sans cesse confrontés à toute une variété de « terrains » différents :

Un coup nous marchons à plat ou en pente, puis nous passons d’une surface lisse, type macadam à un sol inégal, type sable ou route en terre.

Nous sommes, voyez-vous, dans l’obligation de nous adapter et cela nécessite toute une gymnastique non seulement corporelle mais aussi cérébrale.

C’est toute une synergie qui se crée lorsque nous marchons ou courons afin que tous nos gestes soient coordonnés et que nous maintenions notre équilibre.

Et donc, lorsque vous vous accrochez cela revient en quelque sorte à dire à tous vos neurones qui circulent qu’ils peuvent aller se reposer.

Profitez de votre séance pour solliciter non seulement votre cœur, mais également un maximum de muscles et de neurones !

Cela maximisera votre entraînement et vous ressortirez de la salle, revigorés et avec tous vos sens en éveil.

NB: Comment devrez-vous faire pour passer de vos mauvaises habitudes et de vos entraînements déplorables à la pratiques performante, celle qui vous donne des résultats ?

Vous ne devrez plus vous agripper, vous devrez vous servir véritablement de votre poids, de l’amplitude des mouvements, adopter une bonne posture et mettre de l’intensité !

Vous devrez le faire en lâchant progressivement la console, une main après l’autre et en vous redressant petit à petit séance après séance pour retrouver l’équilibre.

Au départ de votre apprentissage, vous serez dans l’obligation de reconsidérer la pente, la vitesse ou la résistance et certainement le temps de pratique puisqu’ils étaient des leurres accrochés à votre mauvaise exécution.

Dans les conditions de bonnes pratiques, les paramètres d’intensité ne sont plus les mêmes.

Tout comme la culture physique, pratiquée de façon catastrophique dont le seul attrait se résume à pousser ou tirer des poids les plus lourds possible pour montrer que l’on est tellement fort.

Nous sommes finalement sur le même schéma:

« J’ai fait 2 heures de cardio sur le tapis à 10 km/h avec une pente de 6% »

Oui mais dans quelles conditions !!

Pour conclure, une dernière petite question :

Soyez totalement honnêtes avec vous-même et avouez la « vraie » raison pour laquelle vous vous accrochez ?

N’est-ce pas tout simplement parce que c’est nettement plus facile.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir !

Barbara Ratkoff

Insta: @foreverfit50 (Barbara Ratkoff)

En collaboration avec Philippe LAMACHE

Regardez bien sa mère avant de l’épouser

Connaissez-vous cette expression ?

Elle est censée vous prévenir de ce qui vous attend.

Une sorte de projection dans le futur.

Vous voyez ainsi clairement ce que l’avenir vous réserve.

Ne voyez pas dans mon article un soupçon de misogynie ou de jugement de valeur.

D’ailleurs, nous aurions pu tout aussi bien inverser le genre et intituler cet article :

« Regardez bien son père avant de l’épouser »

Je partage donc avec vous l’analyse, mon analyse de cette expression qui possède un fond de vérité mais qui n’est évidemment pas la règle.

Il y a deux idées importantes qui soulèvent pour moi de grands intérêts dans ce sujet.

La première idée serait que nous aurions une formidable capacité de « clonage ».

Cette espèce de phénomène qui fait de nous parfois la réplique d’un autre individu.

Ce drôle de phénomène de « duplication » nourrit par le mimétisme, l’éducation, la culture, la génétique, l’épigénétique et peut-être même au-delà, par l’état vibratoire.

Parfois même aussi engendré par une relation d’admiration évoluant dans certains cas vers une « connexité » ultra fusionnelle qui dérive fâcheusement vers un attachement aux relents nauséabonds de manipulation.

L’une ayant jeté son emprise sur l’autre.

Le second point serait que nous posséderions le libre arbitre.

Nous aurions la main sur notre destinée et par conséquent, la capacité à se défaire des entraves d’une personnalité envahissante, trop présente, « phagocytante ».

Concernant le premier point, vous pourrez effectivement avoir une image assez juste de ce que deviendra votre épouse.

Vous aurez donc une idée précise sur le fond mais pas toujours sur la forme.

En effet, votre prétendante est encore jeune, elle n’a pas subi les outrages, non pas de l’âge, mais des années de lamentation.

Bien sûr, l’époque n’est pas la même, une génération les sépare, 20 à 25 ans de culture et d’habitudes sociales élaborent un clone « nouvelle génération ».

Ainsi, la dulcinée prendra des contours différents qui peuvent parfois être des leurres qui vous empêcheront de voir la triste réalité.

Beaucoup s’extasient sur l’emballage avant de croquer le contenu frelaté et indigeste.

Leur cohabitation incessante, leur rapport omniprésent et la transmission chirurgicale des enclumes de la maman, comprenez de l’expérience de souffrance, auront raison de ce qui restait de personnalité de votre future épouse.

Elle aura été formatée à l’image de sa mère, celle-ci ayant été un merveilleux professeur.

Bon, il faut dire que l’enseignement est presque gagné d’avance, la parole de la mère est parole d’évangile, même Dieu n’a pas son mot à dire.

Et curieusement, petit à petit, avec les années, même la forme, le contour épousera celui de la mère.

Le copier-coller s’immiscera à tous les niveaux, dans la démarche, la posture, la forme ou la méforme physique.

La matriarche étant tellement complexée par sa culotte de cheval, le poids qu’elle a perdu et qu’elle a repris 100 fois, sa détestation des hommes et toute la souffrance que ces derniers lui ont fait subir.

Vous devrez envisager sérieusement de vous marier aussi avec la mère.

Elle sera omniprésente, envahissante pourrais-je dire.

Je vous l’assure, d’ores et déjà, attendez-vous à vivre avec les deux femmes…

…ou fuyez avec la promesse de ne jamais revenir.

Concernant la deuxième idée, la deuxième analyse que suscite ce sujet chez moi:

Quant il y a séparation d’esprit, lorsqu’il y a scission avec le monstre égoïque (la maman*), alors, il se produit un phénomène chez votre future épouse.

*Bien évidemment, les Mamans sont merveilleuses dans la grande majorité des cas.

Je ne parle pas de la séparation de corps, celle qui fait qu’on ne se côtoie plus.

Non, je parle de la séparation de l’esprit, de la non adhésion à l’emprise Maternelle.

En psychanalyse, on tue bien le père et bien dans cette configuration, on tuera la mère.

La jeune fille, votre future épouse, a compris l’influence, l’emprise et les agissements.

Elle a parfaitement cerné ce comportement qui pourrait passer pour un amour débordant et inconditionnel mais qui en fait, est un condensé de ce que génère l’égo.

La possession, la jalousie, la peur de l’abandon, la rivalité, l’orgueil, le jugement…etc…

Vous pourrez alors toujours regarder sa mère mais pas pour les mêmes conclusions.

Ce sera alors pour vous rendre compte de ce qu’elle aurait pu devenir et surtout ce qu’elle n’est surtout pas aujourd’hui.

Je voudrais d’ailleurs remercier ma compagne pour ce trait d’observation, cette deuxième analyse, qui m’a beaucoup aidé pour rédiger cet article.

Elle en est l’illustration parfaite.

En conclusion, durant mes quelques décennies d’observation socio-familiale, rien de scientifique, juste de l’observation, j’ai pu voir quelques cas de fusions malsaines de mère et de fille mais également de père et de fils.

L’enrichissement spirituel était exempt et l’issue pour les enfants était rarement heureuse.

Créer des enfants à sa propre image en leur transmettant nos travers, nos regrets, nos rancœurs, c’est souvent créer des « monstres ».

Nous sommes parents, nous faisons souvent ce que nous pouvons, les circonstances nous l’imposent, notre propre vie nous influence, notre expérience dicte nos décisions.

Observons nous intimement avec une grande attention.

Pourquoi agissons nous ainsi avec nos enfants ?

Est ce véritablement pour le compte inconditionnel de nos enfant ou pour notre propre compte?

Libérez vos enfants et libérez-vous de vos parents mais toujours dans l’amour.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Est-ce que l’entraînement court est efficace ?

J’entends systématiquement les gens attribuer à l’entraînement et à l’alimentation un pourcentage d’importance.

Ce serait donc une évaluation d’une part de la réussite des objectifs.

Par exemple : 30 % pour l’entraînement et 70 % pour l’alimentation…

Je ne sais pas sur quel barème ces savantes proportions sont établies… ne me posez pas la question.

D’ailleurs, lorsque je demande sur quels critères ils ont déterminé le pourcentage de l’entraînement ou de l’alimentation, je n’ai pas de réponse.

Je n’en ai d’ailleurs jamais eu.

Il y a comme cela un certain nombre de lieux communs qui fleurissent, qui animent la culture physique… et qui la pourrissent parfois aussi.

On ne sait pas vraiment où toutes ces légendes prennent racine.

Je vous engage à lire un de mes articles sur le sujet, voici le lien ci-dessous:

Les mythes et légendes en musculation que vous devez arrêter de croire

Comment peut-on attribuer un pourcentage à l’un ou l’autre de ces deux paramètres ?

Ils contribuent certes à progresser mais dans quelle proportion ?

Et que fait-on de la récupération ?

Que fait-on de l’investissement mental ?

Et dans l’investissement mental, quelle part accordons-nous au désir ?

Quelle part aux techniques de visualisation ?

Et pour les pratiquants qui se dopent, quel est le pourcentage de la progression que l’on pourrait attribuer à la chimie ?

Probablement 100 %, pour certains d’entre eux, tellement leur alimentation est déplorable et leurs entraînements hors de contrôle.

Si on veut pousser la réflexion un peu plus loin, quelle serait cette alimentation qui vaudrait 60, 70, 80 % de la réussite de vos objectifs?

Chacun y va de sa propre nutrition, de ses certitudes, de ses modes, de sa culture, de ses réussites mais également de ses erreurs.

Alors quid de cette nutrition si parfaite…

Concernant l’entraînement, puisque c’est le cœur du sujet de mon article, comment pourrions-nous lui attribuer cette fameuse part ?

Quels seraient alors les critères qui feraient que votre entraînement serait optimum ?

Qu’est ce qui ferait qu’il soit totalement efficient ?

Quel serait cet entraînement qui permettrait d’endosser cette part de réussite, ce pourcentage qui pour certains est équivalent à la nutrition et parfois même supérieur ?

J’ai une idée très précise sur le sujet, plutôt des idées précises que je partage avec vous au fil de mes articles, de mes posts et de mes vidéos.

Ce qui rend véritablement votre entraînement efficace, ce sont les paramètres d’intensité.

Dans ces conditions, l’entrainement peut représenter un 100%, comme la nutrition lorsqu’elle est parfaitement adaptée, comme les aspects mentaux lorsque vous êtes totalement impliqués.

Chaque aspect devient 100% de la réussite.

Pour ceux qui n’ont pas téléchargé mon E-book, dans lequel je parle des paramètres d’intensité, voici le lien :

« Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans »

S’entraîner longuement et mal, n’a évidemment aucun intérêt sauf celui de vous fatiguer, d’éroder votre véhicule (votre corps) et d’anéantir votre motivation…

Mais également de vous faire perdre votre temps.

S’entraîner longuement et bien, est de mon point de vue, une incohérence.

Lorsque l’entraînement est trop long, on ne peut pas maintenir d’intensité, je parle véritablement d’intensité.

Sauf dans de rares cas où le pratiquant, devrais-je dire plutôt l’athlète, possède des capacités physiques hors normes.

Je pense particulièrement à l’endurance de puissance mais également à une capacité élevée à la récupération et une propension naturelle à la robustesse articulaire, tendineuse, osseuse et musculaire…

Sans parler de l’implication mentale qui défie parfois l’entendement.

En plus de 35 ans, je n’en ai vu que quelques uns…

Soyons clair sur ce point, lorsque je parle d’entraînement longs, je ne parle évidemment pas des pratiquants qui passent des heures à la salle de sport.

Ceux qui prennent des temps de repos de cinq minutes entre chaque série, sous prétexte qu’ils travaillent lourd, et dont la proportion à s’entraîner est deux à trois inférieure à la capacité qu’ils ont de discuter.

Je parle bien d’entraînement longs où les séries sont enchaînées avec des temps de repos raisonnables et en excluant bien sûr le bavardage et le pianotage téléphonique.

Dans l’absolu, court ou long est une notion relative, nous parlons bien ici de temps…

Court pour certains peut signifier long pour d’autres.

C’est encore une question de point de vue.

Néanmoins, si je devais donner une notion factuelle, un temps déterminé en fonction des groupes musculaires, je dirais :

Court se situerait entre 15 minutes et 35 minutes

Long se situerait au-delà.

Pour exemple, lorsque je vois des pratiquants faire les cuisses pendant 1h ou 1h30 et je ne parle là que des flexions et des extensions pour les quadriceps, je ne peux m’empêcher de penser, que pour la majorité d’entre eux, c’est peine perdue.

Il ne manquerait plus qu’ils fassent une séance de rappel le lendemain…

En conclusion, je pense que seuls les entraînements courts exécutés avec une grande intensité, et de surcroît conscientisés, c’est-à-dire en élevant son niveau d’implication mentale au maximum, donne une efficacité optimum.

Le reste, c’est de la perte de temps.

Certains diront en lisant mon article que de toute façon, tous les chemins mènent à Rome et ce qui ne convient pas pour les uns, peut convenir pour les autres.

Oui effectivement, c’est tout à fait vrai, mais pour aller à Rome en partant de Toulon, je préfère passer par Vintimille.

D’autres préféreront passer par Munich.

En ce qui me concerne, le chemin sera plus court, j’arriverai plus vite à destination.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Le seul régime qui fonctionne à tous les coups !

Vous êtes perdus au milieu de toutes ces philosophies.

Vous errez dans le dédale de tous ces régimes.

Qu’ils soient hyper protéiné, Keto, jeûne intermittent, régime dissocié, préhistorique

Ah non désolé, je voulais dire paléo, les régimes mono aliment, les régimes en fonction de votre rhésus sanguin…

Les régimes Ayurvédiques….

Je vais vous livrer le secret, le seul régime qui fonctionne à tous les coups.

MANGEZ MOINS !

Comprenez vous ?

Ingérez moins de calories que vous n’en dépensez !

Le reste c’est du bla bla ….

Hyper protéiné

Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla ….

Keto

Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla …

Jeûne intermittent

Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla …

Régime dissocié

Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla ….

Régime paléo

Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla ….

régime mono aliment

Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla ….

Régimes en fonction de votre rhésus sanguin

Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla ….

Régimes Ayurvédiques

Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla ….

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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