fbpx

Comment ne plus avoir mal au dos ?

2ème partie

C’est unanime, le mal de dos est de toute évidence le mal du siècle.

Lorsque vous croisez les informations via les spécialistes de la santé, Internet ou simplement votre entourage, l’analyse est claire et rapide à faire.

Quasiment tout le monde souffre ou a souffert du dos…

… et c’est exponentiel avec l’âge.

On constate que les douleurs dorsales, les plus répandues, se situent au niveau des lombaires et qu’entre 20 et 90 ans, les trois quarts de la population auront à un moment donné des douleurs dans cette région dorsale.

Il faut prendre en considération que dans le dernier quart restant, beaucoup ne consultent pas.

Ils vivent avec leurs douleurs et s’en accommodent tant bien que mal.
Ce qui rend plus difficile l’évaluation.

Finalement le pourcentage de personnes souffrant de douleurs lombaires sembleraient dépasser les 80 %.

D’après les études, 10 % des lombalgies, et je ne parle que des lombalgies, évoluent vers un déconditionnement physique et psychologique.

On parle là de conséquences sociales et professionnelles graves allant jusqu’à l’incapacité de travail temporaire ou définitive et même jusqu’à la rupture avec le milieu affectif…

Dans mon article précédent, la première partie de «Comment ne plus avoir mal au dos ? », j’évoquais les mauvaises postures qui engendraient les douleurs dorsales mais la réciproque est tout aussi juste.

Les douleurs dorsales engendrent les mauvaises postures.

Une conséquence directe de cet état de fait est « La Camptocormie » : la maladie du dos courbé.

Une maladie qui est étroitement liée à une mauvaise contraction des muscles extenseurs de la partie basse de la colonne, toujours la fameuse partie lombaire.

Dans le même temps les muscles fléchisseurs font leur travail convenablement ce qui crée un déséquilibre qui induit cette déformation de la posture que l’on voit fréquemment chez les personnes âgées.

C’est un handicap particulièrement présent au-delà de 70 ans, chez les super masters !

En lisant les publications scientifiques, en dehors évidemment d’accidents ayant entraînés des traumatismes vertébraux, en dehors de pathologies chroniques, de rhumatismes ou d’ostéoporose, on relève clairement que nous pourrions attribuer la majorité des dorsalgies à une déficience musculaire.

La surcharge pondérale en est également responsable, sans oublier bien évidemment les mauvaises postures.

Je me répète, vous avez un vrai pouvoir pour vous soulager, repousser l’échéance et peut-être même ne jamais avoir mal au dos.

C’est vous qui décidez de manger moins, d’adopter une posture correcte, de pratiquer des exercices d’étirements et de tonifier votre masse musculaire.

Comprenez bien que vous décidez en grande partie de souffrir ou de ne pas souffrir.

Chose promise chose due, je vous offre deux programmes, à réaliser chez vous ou en salle de sport.

Ils amélioreront votre tonicité musculaire dans le cadre de la prévention des dorsalgies mais ils peuvent également améliorer votre état si vous êtes déjà en souffrance.

Ces programmes sont évidemment à réaliser si vous n’avez aucune contre-indication formelle de votre médecin.

Je publierai un troisième article sur le sujet réservé spécialement aux étirements du dos.

C’est un sujet suffisamment important pour lui consacrer un volet spécial.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

TELECHARGEZ LES PROGRAMMES GRATUITS

Sharing is caring!

À propos de l'auteur Philippe LAMACHE

Je m’appelle Philippe LAMACHE, je suis coach sportif, coach mental, spécialisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires pour sportifs ainsi que dans l’alimentation santé. Depuis plus de 35 ans, je coach des hommes et des femmes pour la pratique pure de la culture physique mais également pour améliorer les qualités physiques d’athlètes amateurs et professionnels, dont quelques champions, et cela dans bon nombre de sports individuels et collectifs.

>