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Le sexe après 40 ans est un facteur de progression musculaire

On nous rabat les oreilles continuellement en nous disant que, passé un certain âge, tout est plus difficile, quasiment impossible et que tout décline.

L’intellect, le physique, prendre du muscle ou ne serait-ce que de le conserver, perdre de la graisse corporelle, faire du sport en général, rester en éveil, conserver sa souplesse, avoir des relations sexuelles….

…et même tout simplement être vivant, représentent des challenges insurmontables.

Les idées reçues, les schémas réducteurs de vie liés à l’andropause ou à la ménopause, nous enfoncent petit à petit et de façon inéluctable dans le gouffre de l’impuissance, de la frigidité, de la fragilité… de la souffrance.

Nous vivons cette dégénérescence imposée comme une fatalité, une loi à laquelle nous ne pouvons échapper.

D’autres avant nous l’ont vécu et nous le transmettent comme une profession de foi, un moyen pour eux de partager leur sentiment aigre de fin de vie et finalement, de ce fait, ils ne se sentent plus seuls.

J’ai un conseil majeur à vous donner, n’écoutez pas et ne suivez pas les mauvais exemples.

Si votre désir est d’être dans une forme parfaite à plus de 40 ans, alors, n’écoutez pas ceux qui se retranchent derrière la fatalité de l’âge et qui attendent la maladie ou la mort.

Écoutez et suivez les bons exemples, celles ou ceux qui possèdent la forme, la santé, la vigueur, le sex-appeal.

À tous ceux qui ont choisi le chemin de l’expansion, celui d’améliorer son physique et ses qualités physiques à plus de 40 ans et de continuer à jouir dans tous les sens du terme, j’ai une toute autre théorie à partager avec vous.

Tout d’abord, dans la majorité des cas où il y a une perte d’appétit, de performances sexuelles, celles-ci sont d’ordre psychologiques quasi systématiquement.

L’impuissance, la frigidité existent d’abord dans votre esprit, surtout dans votre esprit.

Ces problèmes prennent, dans la plupart des cas, suite à un désordre lié à une expérience ou des expériences fâcheuses, des traumatismes, des souffrances, des partenaires mal choisis, des habitudes pesantes et anéantissantes.

J’affirme que le sexe va vous aider à progresser dans vos objectifs de développement et de définition musculaire, de densité ou de perte de poids.

Le sexe déclenche un état physiologique et psychologique « exacerbé ».

Il vous élève et fait de vous un être plus réceptif, plus sensible plus vivant.

Le sexe stimule les sécrétions d’hormones en cascade, celles entre autres, qui augmentent l’anabolisme des tissus, qui boostent votre système immunitaire, qui diminuent votre stress, qui augmentent la confiance en vous, repousse le seuil de la douleur

Tout est réuni pour que vous progressiez musculairement n’est-ce pas !

Parmi ces hormones bienfaitrices, stimulantes, anabolisantes, dé-stressantes, on trouve : L’ocytocine, parfois qualifiée « d’hormone de l’amour », précurseur d’endorphine, véritable antistress naturel.

Nous savons à quel point le fait de ne pas être stressé est bénéfique pour conserver et focaliser notre énergie.

Les individus en paix sont plus prompts à se concentrer sur leurs activités et leurs objectifs avec efficacité.

Ne pas être stressé est une bonne attitude pour appréhender vos sessions d’entraînement pour les rendre efficientes.

Une autre hormone sécrétée est la DHEA.

Elle peut vous aider à booster votre système immunitaire, réputée pour augmenter les fonctions cognitives, pour conserver une peau en bonne santé et même fonctionner comme un antidépresseur.

C’est encore une hormone très importante dans le processus de développement musculaire.

En effet, il est essentiel d’avoir un organisme en parfaite santé, apte à se défendre contre les agressions pathogènes.

Vous le savez, les gens constamment malade stagnent, ne progressent pas ou peu.

La DHEA a également une action sur les capacités à apprendre, c’est un des points fondamental en culture physique.

Intégrons de façon consciente l’ensemble des processus de progression.

Je parle des paramètres d’intensité qui sont des sujets d’apprentissage permanent et l’approche mentale, qui elle aussi, demande un apprentissage rigoureux.

La testostérone, les oestrogènes, l’hormone folliculo-stimulante (FSH)…

Ainsi que l’hormone lutéinisante (LH), la prolactine et différentes prostaglandines, la dopamine et la sérotonine sont toutes des hormones stimulées durant l’acte sexuel.

Celles-ci ont une action bénéfique sur votre développement musculaire, votre récupération, votre envie, que vous soyez un homme ou une femme.

En dehors de tous ces aspects hormonaux, qui je le répète, sont très bénéfiques pour votre épanouissement en culture physique, l’acte lui-même est physique et, à ce titre, il déclenche une dépense énergétique non négligeable qu’on pourrait apparenter parfois même à du sport et à du sport à haute intensité pour certaines et certains !

L’activité sexuelle représente un moment de répit…

un instant plus ou moins long ou nous ne sommes plus dans le ressassement ni dans les projections.

Un pur moment de présence, un moment de bonheur où l’on se sent vivant !

Une forme de méditation en mouvement.

Pratiquez le sexe le plus possible, c’est excellent pour votre santé et excellent pour vos objectifs d’évolution physique !

Ce que je vous explique vous semble logique.

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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À propos de l'auteur Philippe LAMACHE

Je m’appelle Philippe LAMACHE, je suis coach sportif, coach mental, spécialisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires pour sportifs ainsi que dans l’alimentation santé. Depuis plus de 35 ans, je coach des hommes et des femmes pour la pratique pure de la culture physique mais également pour améliorer les qualités physiques d’athlètes amateurs et professionnels, dont quelques champions, et cela dans bon nombre de sports individuels et collectifs.

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