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Les articles de la catégorie Santé

Comment ne plus avoir mal au dos ?

3ème et dernière partie

Voici donc la 3ème et dernière partie sur le thème :

« Comment ne plus avoir mal au dos ? »

Le manque d’exercices de tonification musculaire localisés, le surpoids et les mauvaises postures sont parmi les différentes causes majeures vecteurs de dorsalgie.

Dans mon article précédent, je vous offrais 2 programmes pour la tonification musculaire dont voici le lien :

TELECHARGEZ LES PROGRAMMES GRATUITS

Les étirements font partis aussi des « remèdes efficaces » et essentiels pour combattre le mal de dos.

Comme pour les programmes de tonification musculaire, chose promise chose due, j’ai laissé le soin à ma compagne Barbara RATKOFF de partager avec vous sa longue expérience dans ce domaine.

Voici le programme d’étirement.

Consignes pour un étirement efficace

Tout étirement doit s’effectuer sans à coup, sans rebondir.

Faites chaque exercice jusqu’à ce que vous sentiez un léger étirement ; vous ne devez pas avoir mal.

Maintenir la position entre 10 à 20 secondes tout en respirant normalement, en évitant surtout de bloquer la respiration.

Tout naturellement, la résistance devrait réduire.

A ce moment-là, étirez-vous davantage afin de prolonger la sensation d’étirement.

Tenez encore entre 10 à 15 secondes.

Puis relâchez.

Dans le cas où une douleur apparaîtrait, cela voudra dire que vous avez été trop loin.

Il vous suffira simplement de vous détendre et de relâcher légèrement.

Rappelez-vous que tout étirement doit vous procurer un bien-être et rester un plaisir.

Répétez chaque exercice une 2ème voire une 3ème fois.

Il n’y a pas de compétition qui tienne. Ne vous préoccupez pas de ce que les autres arrivent à faire. Restez à l’écoute de votre propre corps.

Toujours relâcher et sortir de son étirement en douceur.

Etirement du quadriceps debout (1)

Photo n°01 : Se tenir à un mur, si nécessaire, mais essayer progressivement de ne plus le faire.

PHOTO N°1

Penser à bien gainer le ventre et le bas du dos et à garder les cuisses bien alignées.

Redresser le buste puis étirer votre genou légèrement en arrière mais surtout en direction du sol.

L’erreur à éviter : de tirer la jambe fléchie trop en arrière ce qui vous oblige à cambrer le bas du dos.

PHOTO N°2

Répéter une 2ème fois. (Photo n°02 : variante à genoux)

Etirement des ischios contre le mur allongé (2)

Se placer à l’entrebâillement d’une porte.

PHOTO N°3

Laisser la jambe droite au sol et placer la jambe gauche sur le cadre de la porte.

Avec le temps chercher à bien rapprocher les fessiers du mur.

Rester dans cette position 1 min puis changer de jambe.

Etirement des pectoraux (3)

PHOTO N°4

Placer les bras fléchies dans l’entrebâillement d’une porte.

Se pencher légèrement en avant.

Ensuite, faire glisser les mains le long de l’encadrement pour un étirement en profondeur.

Etirement du grand pectoral (4)

PHOTO N°5
VARIANTE ASSISES PHOTO N°6

Debout, enlacer ses mains derrière son dos et tirer les bras en arrière.

Ressortir la poitrine mais tout en gardant le ventre et le bas du dos bien gainés (ne surtout pas cambrer).

Etirement du grand pectoral sur un ballon (5)

PHOTO N°7

Se placer sur un ballon, pied à plat sur le sol.

Ouvrir la cage thoracique ainsi que les bras et puis se détendre.

Laisser l’étirement agir de lui-même.

Etirement de la colonne (6)

Se mettre à “quatre pattes”.

PHOTO N°8

Prendre quelques secondes pour respirer de manière lente et contrôlée afin de se préparer pour cet exercice d’équilibre.

Bien gainer le ventre et le bas du dos puis, simultanément, tendre le bras gauche et la jambe droite.

Bien étirer le bras vers l’avant et la pointe du pied dans la direction opposée pour une bonne sensation d’étirement dans toute la colonne.

Maintenir la nuque dans l’alignement de la colonne.

Sortir de la position tout en douceur et reproduire de l’autre côté.

Etirement des abdominaux et amélioration de la mobilité de la colonne vertébrale (7)

PHOTO N°9

Allonger sur le ventre, les jambes tendues, placer les paumes des mains au sol à hauteur d’épaules.

Penser à bien rentrer les coudes et à les caler contre soi.

En inspirant, relever le buste comme sur la photo.

Veiller à bien rouler ses épaules en arrière, à garder la nuque dans une position neutre et à ce que les coudes ne dépassent pas un angle de 90°.

En expirant, revenir à la position initiale, allongée.

C’est un excellent exercice qui permet de renforcer la colonne ainsi que sa mobilité et qui ouvre en même temps la cage thoracique.

Contraction et relâchement des épaules et du cou (8)

PHOTO N°10

Le “Shrug”: lever les épaules en direction des oreilles jusqu’à sentir une légère tension au niveau du cou et des épaules.

Maintenir la contraction quelques secondes puis relâcher mais cette fois, pousser les mains, paumes à plat, vers le sol afin d’obtenir une sensation d’étirement.

Répéter plusieurs fois.

Cet exercice permet de détendre la région du cou et des épaules.

Renforcement du cou et étirement des pectoraux (9)

Enlacer les doigts derrière la tête, comme sur le dessin tout en maintenant les coudes ouverts sur les côtés.

PHOTO N°11

Appuyer la tête contre les mains afin de créer une tension dans l’arrière de la nuque. Relâcher et refaire deux fois.

Tout relâcher.

Enlacer les doigts derrière la tête à nouveau, tout en maintenant les coudes ouverts sur les côtés.

Ne pas cambrer le bas du dos.

Ensuite, chercher à rapprocher les omoplates afin de créer une contraction dans toute la partie supérieure du dos.

Ces deux exercices permettent de relâcher les tensions accumulées dans la nuque et tout le haut du dos.

PHOTO N°12

Etirement du Rhomboïde (10)

Entrelacer les doigts, retourner les mains et étendre les bras devant soi tout en maintenant le dos droit.

Cet exercice permet d’étirer la partie supérieure du dos ainsi que les bras.

Etirement complet du buste et des lombaires (11)

PHOTO N°13

Commencer le mouvement en étant allonger sur un côté, les genoux pliés au niveau des hanches et les deux bras tendus comme sur le dessin.

Tout en maintenant le dos dans une position stable, exécuter une rotation du buste tout en ouvrant et écartant le bras en allant aussi loin que possible.

L’étirement se fera ressentir au niveau des épaules et du buste. Reproduire de l’autre côté.

Rotation des genoux (12)

Cette fois-ci, s’allonger sur le dos, jambes fléchies.

Placer les bras tendus de part et d’autre du corps, en plaquant les mains au sol.

Laisser les genoux descendre tout en douceur vers la droite, tout en tournant la tête dans la direction opposée.

Cet exercice permet d’étirer les pectoraux et les lombaires.

Etirement du piriforme (13)

Le piriforme est un muscle qui se situe au niveau du grand fessier et qui est rarement étiré alors qu’il en a grandement besoin.

Se mettre sur le dos, jambes fléchies.

Ramener le pied droit sur le genou gauche puis placer les mains sous ce même genou.

Tirer la cuisse gauche tout en cherchant à ouvrir/écarter la cuisse.

Maintenir la position et essayer de bien se détendre.

En conclusion, j’espère que ces trois articles sur « Comment ne plus avoir mal au dos ? » vous auront aidés principalement à prendre conscience que vous avez « la main ».

Alors, commencez par agir maintenant et efficacement; vous n’avez plus d’excuses.

Les résultats sont souvent spectaculaires.

Soyez-en convaincu, vous n’êtes pas qu’une victime des circonstances, de votre hérédité, de la malchance, de l’âge…

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Barbara RATKOFF @foreverfit50

Philippe LAMACHE

Comment ne plus avoir mal au dos ?

2ème partie

C’est unanime, le mal de dos est de toute évidence le mal du siècle.

Lorsque vous croisez les informations via les spécialistes de la santé, Internet ou simplement votre entourage, l’analyse est claire et rapide à faire.

Quasiment tout le monde souffre ou a souffert du dos…

… et c’est exponentiel avec l’âge.

On constate que les douleurs dorsales, les plus répandues, se situent au niveau des lombaires et qu’entre 20 et 90 ans, les trois quarts de la population auront à un moment donné des douleurs dans cette région dorsale.

Il faut prendre en considération que dans le dernier quart restant, beaucoup ne consultent pas.

Ils vivent avec leurs douleurs et s’en accommodent tant bien que mal.
Ce qui rend plus difficile l’évaluation.

Finalement le pourcentage de personnes souffrant de douleurs lombaires sembleraient dépasser les 80 %.

D’après les études, 10 % des lombalgies, et je ne parle que des lombalgies, évoluent vers un déconditionnement physique et psychologique.

On parle là de conséquences sociales et professionnelles graves allant jusqu’à l’incapacité de travail temporaire ou définitive et même jusqu’à la rupture avec le milieu affectif…

Dans mon article précédent, la première partie de «Comment ne plus avoir mal au dos ? », j’évoquais les mauvaises postures qui engendraient les douleurs dorsales mais la réciproque est tout aussi juste.

Les douleurs dorsales engendrent les mauvaises postures.

Une conséquence directe de cet état de fait est « La Camptocormie » : la maladie du dos courbé.

Une maladie qui est étroitement liée à une mauvaise contraction des muscles extenseurs de la partie basse de la colonne, toujours la fameuse partie lombaire.

Dans le même temps les muscles fléchisseurs font leur travail convenablement ce qui crée un déséquilibre qui induit cette déformation de la posture que l’on voit fréquemment chez les personnes âgées.

C’est un handicap particulièrement présent au-delà de 70 ans, chez les super masters !

En lisant les publications scientifiques, en dehors évidemment d’accidents ayant entraînés des traumatismes vertébraux, en dehors de pathologies chroniques, de rhumatismes ou d’ostéoporose, on relève clairement que nous pourrions attribuer la majorité des dorsalgies à une déficience musculaire.

La surcharge pondérale en est également responsable, sans oublier bien évidemment les mauvaises postures.

Je me répète, vous avez un vrai pouvoir pour vous soulager, repousser l’échéance et peut-être même ne jamais avoir mal au dos.

C’est vous qui décidez de manger moins, d’adopter une posture correcte, de pratiquer des exercices d’étirements et de tonifier votre masse musculaire.

Comprenez bien que vous décidez en grande partie de souffrir ou de ne pas souffrir.

Chose promise chose due, je vous offre deux programmes, à réaliser chez vous ou en salle de sport.

Ils amélioreront votre tonicité musculaire dans le cadre de la prévention des dorsalgies mais ils peuvent également améliorer votre état si vous êtes déjà en souffrance.

Ces programmes sont évidemment à réaliser si vous n’avez aucune contre-indication formelle de votre médecin.

Je publierai un troisième article sur le sujet réservé spécialement aux étirements du dos.

C’est un sujet suffisamment important pour lui consacrer un volet spécial.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

TELECHARGEZ LES PROGRAMMES GRATUITS

Comment ne plus avoir mal au dos ?

Il semblerait que tout le monde ait mal au dos.

On lui donnerait d’ailleurs le nom de :

« Mal du siècle »

Serait-ce parce qu’il est extrêmement répandu ?

Serait-ce peut-être parce que nous en souffrons plus aujourd’hui qu’au siècle dernier ?

Pour écrire cet article je suis allé chercher quelques chiffres.

Quelques chiffres seulement, car trop de chiffres rendent parfois l’information insupportable et totalement indigeste.

Je ferai simplement référence à une enquête « Opinionway » réalisée pour une société spécialisée dans la micro-chirurgie du dos.

Celle-ci révèle que près des 2/3 des Français souffrent du dos.

C’est-à-dire environ 7 Français sur 10 qui déclarent souffrir du dos très souvent ou fréquemment.

J’ai du mal à véritablement voir la différence…

Bon c’est ce que révèle l’enquête et probablement les questions qui vont avec et qui ont conduit à ce constat.

Ce que cela révèle c’est qu’une forte majorité de gens souffrent du dos tout le temps !

Toujours d’après cette enquête, les femmes seraient majoritairement exposées soit plus de 60 %.

Pour finir à peine 20 % de ces personnes en souffrance déclarent que leurs traitements, parfois multiples, deux ou trois traitements cumulés en moyenne, leur apportent satisfaction.

Quelles seraient les raisons du mal de dos ?

1) Une mauvaise posture.

Ce serait la raison principale.

En effet, nous nous tenons mal, nous adoptons rarement des positions ergonomique.

Nous accumulons des milliers d’heures, au travail, devant la télé, devant les écrans, en bricolant et parfois même dans nos disciplines sportives où nous adoptons un positionnement catastrophique.

2) Le stress

Il serait la deuxième raison qui causerait les douleurs dorsales.

Avez-vous déjà employé cette expression ou l’avez-vous déjà entendu ?

« J’en ai plein le dos ».

Cette expression usuelle serait de toute évidence la manifestation verbale d’une souffrance physique déjà bien présente ou en passe de le devenir.

3) Le surpoids

La moitié des Français sont en surpoids.

Je suis tombé récemment sur une photo qui représentait des centaines de personnes sur une plage dans les années 70, aucun n’était en surpoids.

Le même cliché aujourd’hui trahit une évolution catastrophique du surpoids et de l’obésité.

Alourdir sa structure de masse inerte augmente sans nul doute les contraintes articulaires et osseuses au point de les déformer, de les abîmer et de les écraser…

Vous ne vous risqueriez pas à poser sur votre toiture le double du poids que peut supporter la charpente.

Je pense que ces trois causes sont étroitement liées.

Le stress engendrerait-t-il le surpoids ou serait-ce peut-être l’inverse ?

La mauvaise posture serait-elle dû à un excès de poids ?

Celle-ci serait-elle un signe distinctif de l’état psychologique ?

Et le mal-être dans tout ça ?

Les répercussions sur la vie familial, social, professionnel sont désastreuses.

Quelles sont les solutions généralement proposées ?

Je parle des solutions que l’on vous donne et que les gens mettent en application, plus ou moins, et qui bien sûr ne fonctionnent pas puisque le mal de dos est en perpétuelle évolution.

1) Les médicaments

Ils sont le réflexe numéro 1, plus de la moitié des personnes en souffrance du dos, utilisent cette alternative.

Le bénéfice est essentiellement palliatif, n’espérez pas solutionner le problème de cette façon.

C’est ce qu’on appelle clairement un pansement sur une jambe de bois.


En sachant que chez les jeunes adultes de 25 à 34 ans en souffrance du dos, un tiers reste passif, ils ne consultent pas leur médecin et n’utilisent pas d’antalgiques.

Ce qui viendrait augmenter de toute évidence le pourcentage d’utilisateurs de la pharmacopée.

2) L’amélioration de votre posture

On vous demande donc de vous tenir bien droit.

Quelques conseils vous sont donnés sur la façon de vous tenir assis ou debout.

Nous trouvons ça et là différents protocoles d’étirements que je trouve pour la plupart simples et efficaces mais pas toujours évidents à réaliser lorsque des années de souffrance dorsale ont entamé considérablement votre flexibilité.

3) Le sport

Il vous est demandé également de muscler votre dos afin de le tonifier pour éviter ce que l’on appelle les dorsalgies.

Les sports conseillers principalement et a fortiori par les médecins sont :

La natation, la marche, le vélo…

OK, pourquoi pas.

Je fais partie de ces gens qui vois toujours les aspects positifs dans chaque chose, dans chaque événement.

Je ne partage évidemment pas cet avis, particulièrement pour la marche et le vélo, mais je dis :

Pourquoi pas…

Les mêmes spécialistes conseillent de faire également des pompes.

J’ai extrait mot pour mot ce passage d’un article référant en la matière :


« Si vous cherchez un exercice pour muscler le dos, efficace et simple à faire chez vous, pensez aux pompes classiques : elles renforcent les muscles profonds de la ceinture abdo-lombaire. Elles s’effectuent jambes tendues, sur la pointe des pieds et avec les mains légèrement plus écartées que la largeur des épaules. Expirez en poussant sur les bras et inspirez en les pliant : votre dos doit rester droit quand votre buste effleure le sol. Le bon rythme ? 4 séries de 12 pompes en soufflant 30 secondes entre chaque série, si possible un jour sur deux. »

hellocare.com

Je ne pense évidemment pas que les pompes soit l’exercice de prédilection pour travailler le dos.

Les pompes seraient plutôt indiquées pour les muscles antagonistes du dos que sont les pectoraux, les deltoïdes antérieurs…

De plus, quatre séries de 12 pompes bien exécutées avec 30 secondes de repos entre chaque série est quasiment impossible à réaliser pour la majorité des gens en souffrance du dos.

Je rajouterai aussi que la plupart sont peu ou pas du tout entraînés et certainement âgés comme le démontrent les études sur le sujet.

Celui qui a écrit cet article est probablement technocrate des pompes… c’est-à-dire qu’il n’en a probablement jamais fait.

Comment ne plus avoir mal au dos de mon point de vue ?

1) Réduire impérativement la masse inerte que vous supportez quotidiennement.

Les personnes fortes ne sont pas les seules à souffrir du dos mais le surpoids est assurément un facteur aggravant.

Si vous ne l’aviez pas compris, c’est vous mettre au régime pour perdre votre surcharge pondérale.

Je ne parle pas là d’équilibre alimentaire, mais bien de régime hypocalorique.

Le déficit calorique est « obligatoire » pour démobiliser le surplus d’énergie que vous avez stocké année après année et qui contribue à développer toutes ces pathologies morbides mais également ces problèmes structurels dont les dorsalgies.

Les choses ne sont pas dites clairement, cela devient insupportable.

Il faut ménager les susceptibilités et ne pas appeler un chat un chat, éviter de culpabiliser les gros d’être gros.

Éviter de prendre la responsabilité est le meilleur moyen de ne pas se sentir concerné et par conséquent de ne pas perdre de poids.

Nous sommes trop gros, c’est un fait !

2) Pratiquer la culture physique

La culture physique est certainement la pratique la plus adaptée pour muscler votre dos mais également les antagonistes essentiels pour l’équilibre de votre posture.

Tout particulièrement lorsque l’on prend de l’âge, que l’on devient un Master, un plus de 40 ans.

C’est la discipline sportive par excellence qui permettra de travailler spécifiquement votre dos de « souffrance » grâce a l’utilisation d’exercices et de poids adaptés.

Le but étant de tonifier les muscles paravertébraux qui nous permettent de nous tenir droit.

A titre de rappel, les muscles sont là pour soutenir nos articulations et assurer ainsi la stabilité de notre corps.

Je conseillerais donc, tout naturellement, de travailler l’ensemble des muscles du dos, des trapèzes en passant par les rhomboïdes, les deltoïdes postérieurs, les petits et les grands ronds, les ilio-costaux du cou et des lombs, le grand dorsal, les lombaires…

Sans oublier évidemment, comme je l’ai écrit ci-dessus, les muscles pectoraux ainsi que l’ensemble des muscles de l’abdomen et particulièrement le grand oblique et les transverses.

Lors de mon prochain article je partagerai avec vous mon programme de culture physique spécifique pour renforcer et protéger votre colonne vertébrale.

3) Les étirements

La souplesse des ligaments, des tendons, des articulations et l’étirement musculaire ont une efficacité prouvée sur l’équilibre de la posture et ainsi que sa tonicité.

À titre préventif, pour recouvrer sa flexibilité, il est primordial de se soumettre plusieurs fois par semaine, si possible, à un protocole d’assouplissement.

Lors de mon prochain article je partagerai également avec vous mon programme d’étirement et d’assouplissement spécifique pour le dos.

4) conscientiser vos mouvements

Le mal au dos est souvent provoqué par des mouvements répétitifs et mal exécutés.

Prenez conscience de ce que vous faites et de la façon dont vous le faites.

Nous voyons quotidiennement des individus exécuter des tâches en se positionnant dangereusement.

C’est un point essentiel.

Regardez-vous faire et corrigez-vous avec intransigeance.

Imposez-vous un contrôle drastique, une sorte de scanner, de check-liste de bonnes attitudes.

Soyez vigilant lorsque vous devez tenir une position particulière ou que vous devez exécuter un mouvement spécial dans le cadre de votre travail ou de vos activités quotidiennes et sportives.

En conclusion, le mal de dos n’est pas une fatalité: nous en sommes la plupart du temps responsables.

Il n’est donc jamais trop tard de prendre la bonne décision et surtout d’être dans l’action.

Il y a des moyens efficaces de rectifier le tir et de retrouver une bonne santé « dorsale ».

Utilisez-les !

La balle est dans votre camp.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

La musculation ça empêche de grandir

Vous avez dû l’entendre des centaines de fois, n’est-ce pas ?

En bientôt 40 ans de pratique et de passion pour cette discipline, je l’ai effectivement entendu des centaines de fois.

Toujours avec le même aplomb, avec cette même conviction chevillée au corps que l’on peut avoir lorsque l’on défend ses idées, sa patrie, son équipe de foot ou sa religion…

Fort souvent, il n’y a aucune expertise et rares sont les argumentations.

Ce sont des affirmations lancées à la cantonade, vierges de fondement mais parfois capables de vous faire douter.

Du doute à l’acceptation d’une nouvelle théorie, il n’y a qu’un pas.

Et c’est ainsi que se colportent des ragots.

Vous a t-on déjà expliqué pourquoi ça empêcherait de grandir ?

Toutes les fois où l’on vous a dit que la musculation c’était mauvais pour la croissance des enfants, vous a t-on donné réellement une explication ?

Est-ce qu’on vous a fourni une théorie argumentée ?

Je ne parlerais même pas d’une théorie avec à l’appui une étude scientifique ou des faits qui pourraient factuellement corroborer cette idée ?

Simplement un argument qui permettrait d’alimenter le débat.

Une partie des gens qui me lisent ont plus ou moins mon âge, à 10 ou 15 ans près.

La génération X, celle qui est née entre 1960 et 1980.

Nous avons tous ou quasiment tous des enfants et même des petits-enfants.

Je vais donc m’adresser prioritairement à vous et à votre bon sens.

Je vais vous demander simplement, une fois n’est pas coutume, de vous servir de votre libre arbitre et de ne pas accepter systématiquement un ragot de plus sans fondement comme un fait établi.

Quand bien même ce serait un fait établi cela demanderait toutefois que l’on s’interroge sur le sujet et qu’on le comprenne, qu’on croise les informations et finalement qu’on se fasse son propre avis.

Alors quelles seraient donc les raisons qui feraient que la musculation empêcherait, freinerait, bloquerait la croissance ?

Les muscles seraient-ils si puissants qu’ils freineraient la croissance osseuse ?

Par son effet contractile puissant et apparemment constant, (oui celle-ci serait contractée tout le temps), la masse musculaire hypertrophiée, par son emprise liée à ses attaches sur les extrémités des os, empêcherait donc qu’ils se développent.

À peine croyable !

Et pourtant, Je l’ai entendu dire à maintes reprises.

J’ai souvent entendu dire également que de lourdes charges pouvaient écraser les cartilages de conjugaison et ainsi freiner la croissance.

Oui certainement, mais quels genres de musculation et quels encadrants autoriseraient de jeunes athlètes pour ne pas dire des enfants à squatter avec des charges monumentales ?

Nous parlons bien là de culture physique, de l’application de la kinésiologie, de cette discipline noble qui doit être réalisée dans les règles de l’art.

Qui peut conseiller à des enfants ou à des adolescents de faire du développé militaire avec des poids monstrueux qui finiraient par tasser leur colonne vertébrale broyant petit à petit ces fameux cartilages de conjugaison.

Il doit évidemment y avoir des cas, mais quelques cas isolés doivent-ils faire autorité en la matière ?

C’est certain, tout est possible en ce monde, nous voyons aujourd’hui à travers les réseaux sociaux les débordements les plus inconcevables, des enfants très musclés, entraînés par des pères déviants qui leur injecteraient même des stéroïdes.

Ce n’est certes pas la règle…

Comme ce ne devrait pas être la règle non plus d’exécuter les mouvements sans aucune maîtrise avec des charges surdimensionnées…

…et cela est valable pour tout le monde et non pas seulement pour les jeunes pratiquants.

D’autre part, sans vouloir évidemment jeter le discrédit sur d’autres sports très populaires, mais le rugby, pratiqué dans des conditions extrêmes, a certainement de lourdes conséquences sur l’intégrité physique de nos enfants.

C’était le cas d’un de mes fils, joueur de rugby:

Je ne comptais plus ses blessures accumulées tout au long de son adolescence.

Arrachement des ligaments, entorse cervicale, entorse de la cheville, fracture du nez, entorse acromio-claviculaire …

Un autre de mes garçons, footballeur, à peu près au même tarif, poignet cassé, nez cassé, doigt cassé, entorse etc. etc.

La culture physique est une belle discipline qui permet, lorsqu’elle est pratiquée dans les règles de l’art, le développement harmonieux des enfants et des adolescents.

Elle améliore tout au contraire la croissance de la masse osseuse.

Elle s’associe facilement à d’autres disciplines sportives pour devenir un outil exceptionnel de développement des qualités physiques.

La musculation a une action psychologique incontestable sur l’estime de soi, la confiance, la rigueur, la persévérance…

Elle permet également d’améliorer la posture trop souvent malmenée chez les jeunes gens, surtout à la suite des milliers d’heures qu’ils passent avachis devant leurs écrans vidéos.

C’est une excellente école d’humilité, de remise en question et d’apprentissage dans de nombreux domaines comme la physiologie, la biomécanique, la nutrition etc. etc.

À travers mes publications, mes articles et vidéos, je vous transmets le respect des paramètres d’intensité en culture physique ainsi que l’implication mentale pour des résultats maximisés.

Je vous engage à éviter l’inertie, à respecter le mouvement, l’ergonomie et le tempo, à contrôler l’exécution afin de focaliser la tension essentiellement sur le muscle concerné.


Télécharger mon e-Book gratuit dans lequel j’ai rassemblé les paramètres d’intensité, les règles de bonnes pratiques.

« Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans »

Lorsque l’on maîtrise ainsi la discipline, il n’y a que des avantages à la pratique de la culture physique même chez l’enfant.

Dans la première partie de mon article, je m’adressais principalement à vous, mes chers Masters, parce que vous êtes sages.

Vous devriez l’être !

Vous avez la parole que l’on écoute, la parole divine sur vos enfants et petits-enfants.

J’espère donc qu’après mon plaidoyer en faveur de la culture physique, vous encouragerez votre descendance à la pratiquer pour leur équilibre, pour leur croissance et pour leur santé.

Ce sera une excellente décision qui aura de toute évidence une empreinte positive sur leur futur.

Un fil rouge qui leur permettra de rester dans un cadre éthique en dehors de la mal bouffe, de l’alcool et de l’oisiveté physique responsables de tant de pathologie et de maux psychologiques.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

À quel âge on est vieux ?

C’est une question récurrente que nous avons tendance à nous poser particulièrement au-delà de la quarantaine.

Alors, à quel âge sommes-nous vieux?

Ou la vieillesse commencerait-elle à partir de cet âge là ?

Est-ce qu’il y a réellement un âge à partir duquel nous sommes vieux ?

Ce sont de véritables questions existentielles.

Je vois de plus en plus de jeunes femmes entre 20 et 25 ans déployer une quantité de filtres virtuels pour masquer d’imperceptibles ridules.

Même dans la vraie vie, de plus en plus de jeunes gens ont recours à la médecine esthétique « anti-aging » et même à la chirurgie.

Se sentiraient-ils vieux ou vieilles ?


… À 25 ans ?

Oui probablement, lorsque j’en discute avec eux, c’est effectivement le sentiment qu’il s’en dégage.

Mais alors, quel âge auront-ils à 40 ans dans leur esprit ?

Comment se percevront-ils ?

C’est terrifiant !

Dans l’absolu, nous sommes toujours le vieux ou la vieille de quelqu’un n’est-ce pas !

C’est d’une relativité implacable.

Mais quels seraient donc les signes qui détermineraient que nous avons basculé dans la vieillesse ?

Il faut avoir conscience que nous avons été propulsés dans une époque où le jeunisme fait loi.

Nous sommes totalement conditionnés par l’image.

Nous voyons éclore dangereusement, de mon point de vue, une forme de beauté intemporelle formatée.

Je dis bien « une forme de beauté », elle aussi toute relative.

Les visages finissent par se ressembler, les nez affinés, rehaussés, diminués.

Les bouches sont regonflées, les sourcils retravaillés, les pommettes rehaussées et saillantes.

Les visages sont lisses, incroyablement lisses et parfois même exempts d’expressions.

La liste des modifications du visage est longue et je n’imaginais même pas d’ailleurs que cela puisse exister avant d’en avoir discuté avec des femmes adeptes de ces pratiques.

Je ne juge pas, je constate simplement la popularité grandissante de ce « formatage ».

Je vis dans un endroit où il y a un regroupement important, une concentration, une transhumance parmi les plus importante de femmes possédant des visages quasi identiques.

Des êtres venus d’une autre planète ne trahissant aucune expression, aucune émotion.

Des êtres « masqués ».

Elles combattent activement les stigmates de l’âge, essentiellement sur leur visage, en faisant fi de leur posture parfois accablée par le poids des années et de leur état d’esprit, certainement tout aussi éprouvé.

L’âge est-il uniquement lié à la façade …

…à l’instar d’une maison dans un état de délabrement avancé pour laquelle on aurait refait une petite peinture extérieure ?

« Regardez comme elle est belle ma maison, elle tient debout grâce au coup de blanc ».

Albert Einstein, grâce à sa théorie sur la relativité, nous explique clairement que le temps n’existe pas, c’est une pure création de l’homme.

Cela voudrait dire clairement que ce n’est qu’une question d’approche sur la question.

Si vous considérez que le vieillissement ne serait lié qu’à l’affaissement cutanée, alors, vous deviendrez vieux très rapidement !

Vos fonctionnalités organiques et votre esprit vieilliront au diapason.

C’est une programmation d’une grande puissance, une certitude contre laquelle vous ne pourrez rien.

Vous n’y pourrez rien tant que votre esprit restera programmé sur cette fréquence.

Certains considèrent qu’ils ont pris du poids parce qu’ils ont 40 ans et que c’est normal, c’est dans l’ordre des choses.

C’est un état logique contre lequel on ne peut pas grand-chose, une fatalité en quelque sorte.

Serait-ce l’âge qui vous fait prendre des kilos et non pas ce que vous mangez ?

Vous devriez essayer de réduire votre alimentation: vous verrez, vous retrouverez progressivement le poids que vous faisiez il y a 10 ou 15 ans en arrière.

L’âge n’y est vraiment pour rien, comprenez-vous ?

D’autres estiment qu’ils courent moins vite qu’à 14 ans à l’époque où ils étaient de formidables sportifs et d’hypothétiques athlètes de haut niveau comme je l’ai souvent entendu dire.

« Quand j’étais jeune, j’étais un grand sportif! »

Ils sont d’ailleurs les seuls à s’en souvenir…

Encore une application de la relativité ou de la mémoire défaillante ou peut-être de la vantardise…

Cette chute des performances ne serait-t-elle pas dû uniquement au fait qu’ils ne font plus de sport et depuis si longtemps ?

La vieillesse a bon dos.

C’est une façon évidente de se retrancher derrière les années, l’excuse est magistrale.

Pour conclure, je pense qu’il n’y a pas d’âge à partir duquel nous puissions dire que nous sommes vieux.

C’est vraiment un état d’esprit et la façon que nous avons de considérer notre existence.

C’est nous qui déterminons le moment où nous basculons dans la vieillesse.

Vous êtes étouffés par votre poids, que vous cultivez méthodiquement et accablés par les douleurs physiques qui y sont associées.

Vous êtes submergés par les maux de l’âme que vous entretenez, que vous laissez macérer avec complaisance au cœur de votre esprit de souffrance.

Ne pas entretenir son corps et laisser la place au mal-être sont les 2 facteurs essentiels qui vous font basculer prématurément en gériatrie.

Aimez-vous dans toute votre globalité, physiquement et psychologiquement; le temps s’arrêtera ainsi et vous ne vieillirez probablement jamais.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Quels sont les meilleurs sports pour mincir à 50 ans ?

Je m’aperçois à quel point les gens de mon âge se posent des questions en relation avec leur physique et plus exactement avec leur esthétique.

Ils se posent évidemment aussi bon nombre de questions existentielles et métaphysiques.

C’est bien normal, lorsque l’on bascule progressivement vers le bout du chemin, il est légitime de chercher et de trouver des réponses.

Nous vivons plus âgés, ce serait une évidence d’après les statistiques.

Mais dans quelles conditions ?

En effet, l’espérance de vie a été considérablement rallongée non pas grâce à l’hygiènisme mais au progrès de la médecine et de la chirurgie qui inclut évidemment la pharmacopée.

Est-ce que nous vivons plus âgés parce que nous mangeons mieux ?

Parce que nous faisons plus de sport ?

Ou parce que nous avons un état d’esprit libre de toutes pensées erronées ?

Non je ne crois pas.

L’environnement professionnel, social et familial est de plus en plus difficile à vivre et de plus en plus anxiogène.

L’augmentation de notre surcharge pondérale est exponentielle et nous développons de plus en plus de pathologies morbides.

En ce qui concerne le sport, malgré les messages incitatoires incessants qui nous poussent à l’activité physique, nonobstant les 7 ou 8 millions de personnes qui fréquentent les salles de remise en forme, point de véritable philosophie, tout juste des attitudes folkloriques.

C’est tellement réconfortant d’être inscrit dans une salle de fitness, un petit peu comme on achète un bouddha qui nous donnerait d’un seul coup toute la spiritualité que l’on recherche.

Comme une croix que l’on porterait sans foi…

Voici la relation directe de cause à effet.

D’après l’organisation mondiale de la santé, le diabète lié factuellement à l’augmentation de la consommation de sucres, va plonger l’humanité dans une véritable pandémie et cela dans les 20 à 30 ans.

Pour le coup, cette fois, une véritable pandémie !

Violente et dévastatrice.

Toujours d’après l’OMS, les premiers touchés seront les jeunes Masters, les plus de 40 ans, nourris depuis le biberon au sucre poison qui finira en quelques décennies par pulvériser leur pancréas.

Et pour cette pandémie, point de vaccin, un simple remède, 100 % efficace, pas à 94,5 % mais 100 % efficace.

C’est d’arrêter de se goinfrer de sucre.

Bon pour conclure cette introduction un peu longue et mortifère, vivre plus âgé c’est parfait, mais dans de bonnes conditions de vie, ce serait mieux.

Qu’est-ce que ça veut dire dans de bonnes conditions de vie ?

C’est conserver sa mobilité, sa souplesse, sa santé, posséder un corps peu gras avec une bonne condition physique générale et tout ça dans la joie de vivre.

Un des facteurs majeurs aggravant les conditions de vie, est le surpoids.

Il suffit donc que je perde mon poids pour vivre dans de meilleures conditions ?

Oui en grande partie !

Le challenge consisterait plus exactement par se délester de son surpoids graisseux et simultanément tonifier sa masse musculaire.

Je vais donc vous expliquer ce qu’il serait souhaitable de faire.

Sans aucun doute adhérer à l’un de mes programmes élaboré pour les gens de notre âge et parfaitement conçu pour régler cette double problématique.

Moins de graisses et plus de muscles la combinaison gagnante pour se sentir dans une super forme et le plus longtemps possible.

Mais en attendant, quel sport devriez-vous faire pour mincir à 50 ans et je rajouterai encore, dans les meilleurs conditions ?

Sans nul doute de la culture physique associée à du cardio training sous forme de HIIT (High Intensity Interval Training ), en français, entraînement fractionné de haute intensité et des étirements.

Pourquoi ?

Parce que la culture physique vous permettra de travailler avec précision chacun des groupes musculaires de façon harmonieuse et ainsi obtenir un corps esthétique et équilibré.

De plus, un programme bien établi et bien exécuté de culture physique améliorera la tonicité de vos tissus, muscles et peau et développera l’ensemble de vos qualités physiques telles que:

La force, la souplesse, la vitesse, la résistance, l’endurance, la coordination.

La culture physique possède également une action efficace de lipolyse adipocytaire localisée (perte de graisse locale).

Je ferai très prochainement un article détaillé sur ce sujet.

Il est donc possible d’améliorer la perte de graisse de façon ciblée grâce à l’utilisation d’exercices spécifiques et analytiques.

Vous pouvez donc avoir une action focalisée de diminution de la masse grasse sur vos fessiers, vos cuisses, vos hanches, votre ventre !


Les HIIT (High Intensity Interval Training )

Les entraînements fractionnés de haute intensité comme leur nom l’indique, sont des sessions d’entraînement fractionnées et courtes.

Il est réellement très difficile de dépasser 30 minutes.

Par exemple:

  1. Enchainer 20″ de montées de genoux, 20″ climbers, 20″de planche, 20″ de jumping jacks, 20″de coups de poing, 20″ squat sumo avec coup de poing ensuite 1′ de repos.

Débutant répéter 2 fois, intermédiaire 4 fois et avancé 6 fois.

2. Montées de marches rapides 30″ et entre 30″ et 1′ de récupération et reproduire entre 4 et 10 fois en fonction de son niveau.

Quels en sont les bénéfices ?

L’action sur la perte du tissu adipeux est importante et durable, en effet, vous élevez tellement votre métabolisme que même après l’arrêt de la session d’entraînement, votre corps continue son action «brûle graisse ».

Vous économisez un temps précieux en évitant des séances de cardio training interminables.

De fait, vous préservez également vos articulations, tendons et ligaments en réduisant les tensions et les chocs répétitifs.

Les étirements sont également un point essentiel dans le processus du sport minceur.

En effet, nous perdons avec le temps de la mobilité articulaire, si précieuse pour la tonicité posturale.

La flexibilité est primordiale pour la bonne exécution des mouvements du quotidien mais aussi pour la bonne exécution des exercices physiques.

Un exercice mal exécuté est un exercice improductif, je ne cesse de le répéter.

Je vous ai donc livré la combinaison optimum et par conséquent gagnante pour la perte de poids sans la perte de muscles, pour la minceur tonique par le sport.

On pourra peut-être vous conseiller de courir des heures ou de vous inscrire à des cours de danse, on vous persuadera peut-être que le meilleur sport pour mincir c’est la natation…

…L’électro lipolyse, la corde à sauter, la pole dance…

…que sais-je encore.

C’est toujours une question de point de vue et d’expérience.

On peut tout entendre et respecter les avis des uns et des autres sans forcément les partager.

Mes points de vue et mes expériences m’ont amené à créer l’environnement Mastermentora pour la génération X.

Cette génération des 40 / 60 ans, trop souvent oubliée par le monde du fitness, en quête d’améliorer leurs conditions physiques et esthétique.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Finalement, c’est quoi la meilleure alimentation ?

Au-delà de l’alimentation elle-même, s’érigent des dogmes, des philosophies, des religions.

Là où il y a séparation, il y a confrontation et parfois même de véritables batailles prennent racine.

Pays, communautés, groupes, partis politiques, courants de pensées, religions, je le répète, nourrissent la division.

Autant de clivages, autant de discordes.

L’alimentation et ses courants alternatifs sont devenus passionnels avec en point d’orgue des enjeux économiques monstrueux.

La guerre est déclarée !

Chacun brandit son étendard alimentaire comme étant le seul, l’unique… Le parfait.

Chacun s’appuyant sur des études imparables, des vidéos qui expliquent tout, à charge pour les autres façons de s’alimenter bien évidemment.

« La meilleure alimentation c’est la mienne, c’est certain !

La preuve c’est que tous les gens qui se sont engagés dans cette alimentation ont vu leur santé s’améliorer, leurs performances augmentées… »

Ils sont même devenus plus beaux et plus intelligents.

Dans chaque être convaincu, il y a l’âme d’un convaincant.

Il se développe une quantité d’arguments tous plus prosélytiques les uns que les autres.

Nous devenons les représentants de commerce du Vegan, du régime Keto, du régime Paléo, de l’alimentation crue, vivante, biologique etc. etc.

Je ne fais certainement pas exception à la règle.

J’ai été, durant une grande partie de mon existence, engagé moralement pour telle ou telle cause et parfois avec la verve dithyrambique d’un pasteur Œcuménique.

Ce genre d’individu qui défend bec et ongles de grandes théories.

Ce ne sont finalement que de piètres combats, des combats de quartier, de petites chapelles sans clocher, parfois même des engagements du niveau de discussions de « comptoir » qui ne font pas avancer l’humanité…

C’est précisément ce que je pensais de moi et ce que je pense toujours des prêcheurs de troisième division.

Je crois avoir rectifié le tir et posséder aujourd’hui une approche holistique, moins fragmentée, moins divisante.

Auparavant, lorsqu’on avait des choses à dire, l’écoute était restreinte, elle se cantonnait à son cercle, à sa petite cour.

Aujourd’hui, chacun possède la tribune qu’Internet veut bien lui accorder.

La toile se nourrit ainsi d’une quantité indigeste de philosophes en carton.

YouTube n’existerait quasiment pas sans ces grands théoriciens.

Nous avons évidemment tous le droit d’avoir des idées et de les partager, c’est certainement d’une grande richesse…

…peut-être pas toujours.

En fait, je ne pense pas qu’il y ait une grande richesse intellectuelle, spirituelle et finalement physique à imposer sa vérité comme étant la seule et l’unique.

Il est d’une importance capitale de voir les choses dans leur ensemble et de son propre prisme, en utilisant encore ce merveilleux libre arbitre qui est probablement notre meilleur ami et que nous devons chérir et cultiver.

Ainsi, les outils les plus utiles que nous ayons à notre disposition sont : l’auto-observation, apprendre de ses erreurs, être honnête envers soi-même et le développement de sa curiosité afin de mieux comprendre ce que l’on mange réellement.

Au lieu de chercher encore un nouveau régime, un aliment ou un nouveau complément alimentaire miraculeux, pourquoi ne pas choisir de regarder son corps comme étant un vaisseau merveilleux et d’en prendre soin.

Les Grecs disaient que chaque symptôme était en réalité une visite des dieux.

Toi tu vois la maladie alors qu’en réalité c’est la cure.

Toi tu vois un problème alors que c’est en fait la solution.

En cherchant à comprendre les symptômes on trouve la solution…

Dans cette recherche introspective en association avec votre alimentation, voici une question fondamentale qu’on peut se poser:

Qui êtes-vous lorsque vous vous mettez à table ?

Êtes-vous le petit garçon ou la petite fille, le rebelle, la victime, le juge, le loup, le perfectionniste, celui à la recherche de plaisir, L’ado…?

Cela déterminera certainement ce que vous devriez manger et combien vous devriez en manger.

Et d’autre part, qui êtes vous ?

Vous êtes nés en Afrique de l’ouest, vous êtes Inuit, asiatique, suédois…

Votre culture culinaire ancestrale compte beaucoup également.

Ces vieilles habitudes ancrées, ce patrimoine viscéral inscrit depuis des générations dans votre chair et dans votre esprit.

Il y a également ces micro nutriments essentiels que l’on oublie trop souvent lorsque l’on s’alimente:

Vitamine T : Temps

Prenez-vous le temps de manger, de savourer pleinement ?

Vitamine A : Amour

Un plat préparé avec amour n’a pas la même saveur qu’un plat fait ou acheté à la va-vite.

Vitamine P : Plaisir

Il est primordial que vous éprouviez de la satisfaction lorsque vous mangez et que vous ressentiez du plaisir.

Être repus ou atteindre la satiété n’est pas suffisant.

Le plaisir est réellement un ingrédient essentiel.

Mangez quelque chose d’insipide ou qui ne vous procure aucun plaisir et vous verrez que vous allez rapidement vous lever pour aller chercher un aliment qui vous procurera satisfaction.

Vitamine J : joie

Il faut à tout prix éviter le stress, la colère et l’anxiété lorsque vous mangez.

Privilégiez la joie, la bonne humeur ou du moins la paix.

Mangez en étant heureux et vous verrez que votre digestion n’en sera que plus aisée.

Et surtout, bannir la colère et l’anxiété au cours des repas.

Pour conclure, évidemment il est souhaitable d’éviter l’alimentation industrielle qui ne vous veut pas du bien.

Il est préférable de consommer des aliments que vous connaissez.

Je m’explique sur ce point, vous avez peut-être la possibilité de cultiver vous-même dans l’amour de la pratique ou de connaître des producteurs et des éleveurs éthiques.

Dans ces conditions, vous conscientiserez forcément avec beaucoup plus de profondeur et de plaisir ces aliments que vous savez de qualité.

Dirigez-vous vers une alimentation qui vous veut vraiment du bien et que vous respectez.

Finalement, le plus important c’est que vous soyez en conformité avec ce que vous mangez, que vous vous sentiez bien et que cette alimentation que vous avez choisie vous fasse vibrer.

Il y a de multiples signes évidents que l’on refuse d’écouter et qui trahissent que vous n’êtes pas alignés ou en accord avec vos repas.

La surcharge pondérale, les difficultés à digérer, trop de maigreur, la culpabilité d’avoir trop ou mal mangé, l’addiction, la compulsion etc. etc.

Se sentir mal est une raison grandement suffisante pour changer les choses et ne pas persister dans la mauvaise direction.

Prenons soin de nous, faisons nous du bien.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Faites-vous opérer pour progresser musculairement.

C’est un titre curieux qui demande évidemment quelques explications.

Est-ce qu’il sous-entendrait que nous devrions nous faire opérer de tel ou tel organe ou de tel ou tel muscle pour finalement améliorer nos capacités physiques ?

Y aurait-il des opérations que nous devrions faire pour enfin évoluer musculairement ?

Le secret des champions serait-il enfin dévoilé ?

Serait-ce une glande qui secrèterait une hormone catabolisante ?

Ou alors secrèterait-elle des œstrogènes qui se mettraient en compétition avec la testostérone et qui, de fait, freinerait considérablement l’anabolisme tissulaire ?

Il suffirait d’enlever cette « mauvaise » glande comme on enlève les amygdales, les végétations ou l’appendicite.

Un professeur américain, biologiste / généticien, aurait-il enfin découvert le facteur qui nous empêcherait de devenir hypertrophié et ultra puissant ?

Je vais peut-être traiter dans cet article les toutes dernières opérations d’implantations de prothèses que certaines et certains affichent avec fierté.

Ils sont tellement persuadés qu’ils arborent le fruit d’un travail musculaire acharné.

C’est hallucinant à quel point on finit par se faire croire à soi-même une pure chimère comme étant la vérité vraie.

Comme certains s’injectent du « Synthol » ou d’autres substances inflammatoires directement au sein des masses musculaires créant ainsi d’horribles nécroses et de dangereux œdèmes.

Ils paradent alors exposants avec fierté leurs excroissances tumorales comme autant de bonnes masses musculaires obtenues par le fruit d’un travail rigoureux…

Comme le fruit d’une grande maîtrise et d’un amour immodéré pour la culture physique.

Rien ne va plus !

La conscience a pris du plomb dans l’aile, je pense même qu’elle est partie en congé… peut-être indéfiniment.

Je vais exprimer à présent le fond de ma pensée, ce qui a déclenché le désir d’écrire cet article.

À de nombreuses reprises ces dernières années, j’ai eu à encadrer des athlètes ou tout simplement des pratiquants en post opératoire.

Et parfois même quelques jours après leurs interventions.

Rupture des ligaments croisés, hernie inguinale, hernie discale lombaire principalement mais également dorsales et cervicales…

Ce fut à chaque fois le terreau d’une progression évidente.

Comment peut-on progresser alors que l’objectif est déjà et avant tout de retrouver ses capacités physiques ?

Celles que l’on avait avant la blessure.

Nous sommes alors dans l’obligation de réviser toute notre approche.

Les exercices devront être modifiés, adaptés idéalement à « l’handicap momentané ».

Ils devront, de plus, être en perpétuelle évolution.

L’adaptabilité constante est un facteur essentiel pour qu’évoluent les résultats de façon exponentielle sur la période courte et délicate du post traumatique.

Nous sommes alors dans la nécessité absolue d’engager un travail ultra analytique et à tous points de vue.

Les exercices utilisés d’une part, la façon dont on les exécute d’autre part et en troisième lieu, l’implication mentale.

C’est une période d’efficience par nécessité si on a bien sûr la volonté de recouvrer toutes ses aptitudes en un temps record.

J’ai eu récemment l’occasion de m’occuper d’un athlète opéré d’une hernie inguinale.

Pour mémoire, un petit rappel : on parle d’hernie inguinale lorsque les viscères traversent la paroi abdominale au niveau de l’aine et particulièrement au niveau du canal inguinal.

Il est donc bien question de protéger impérativement la région abdominale pendant l’exécution des exercices.

Là réside la difficulté.

La sangle abdominale et principalement les muscles transverses, ceux-la même qui participent activement à la stabilité et aux échanges entre le haut et le bas du corps, ne doivent plus être impliqués ou si peu.

Une stratégie doit donc être élaborée consistant à choisir des exercices adéquats, un positionnement particulier et des modes justes d’exécution au tempo.

Les exercices se doivent d’être exécutés à la perfection avec un contrôle permanent.

Le contrôle doit même débuter préalablement à l’exercice.

Ce qui implique que celui-ci doit être visualisé, conscientisé, comme le ferait un pilote de Formule 1 intégrant dans les moindres détails le tracé du circuit.

La notion d’impeccabilité qui m’est chère prend tout son sens dans cette situation.

L’athlète est dans la nécessité impérieuse de maîtriser à la perfection l’ensemble des paramètres d’intensité.

Je vous engage à télécharger gratuitement mon ebook qui détaille les paramètres d’intensité.

« Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans »

Ce travail d’orfèvre, où l’esprit est fondamentalement impliqué du début jusqu’à la fin du processus, accélère de façon synergique la «  rééducation » ainsi que le renforcement de la partie « endommagée ».

J’ai remarqué que systématiquement le pratiquant augmentait son niveau d’intensité et élevait son attention.

Les conséquences étaient que non seulement il retrouvait rapidement son niveau mais qu’il le dépassait dans les semaines qui suivaient.

Il passait invariablement un palier de progression.

En conclusion:

Les barrières que pourraient représenter les suites d’une intervention chirurgicale sont autant de clés de progression.

Elles sont des moyens pour enfin s’engager dans une approche véritablement conscientisée de la culture physique.

Vous l’avez compris, vous n’êtes évidemment pas obligé de vous faire opérer pour accéder à la bonne pratique.

Prenez simplement la décision de changer votre approche avant que ce ne soit la vie qui ne vous l’impose.

Avoir le choix est une richesse divine dont on en oubli trop souvent la jouissance.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

CE N’EST PAS UNE VIE !

Chaque année, à l’occasion des fêtes de fin d’année, mon patron organise une soirée « open bar » pour tous les employés :

boissons, canapés, plateaux garnis à volonté.

Il ne lésine pas non plus sur les activités proposées : babyfoot, bowling, billard etc., puis discothèque jusqu’au bout de la nuit.

A l’occasion d’une de ces soirées, un des associés de mon patron, me voyant avec un verre de Perrier à la main s’exclama :

« Mais Barbara, il faut savoir profiter de la vie et des bonnes choses !

Je te prends un petit verre ?

Tu verras, ça te fera du bien ! »

Selon moi, l’alcool et le travail ne font pas bon ménage, donc par principe, je ne bois jamais dans le cadre du travail.

Mais indépendamment de ce fait, je lui ai répondu :

« Je comprends bien que pour toi, « profiter de la vie » veut dire boire et manger sans limite, danser jusqu’au bout de la nuit et faire des nuits blanches.

Pour moi, « profiter de la vie » c’est un tout autre concept :

c’est me lever tôt le matin pour faire un footing ou marcher au bord de mer pour voir le soleil se lever ! ;

c’est prendre le temps de lire car j’y puise un réel bien-être ;

Mais c’est aussi partager un café quelque part avec mon amoureux et avoir des discussions sans fin sur une foultitude de sujets… »

L’associé, après un moment de silence, m’a dit :

« Oui, je dois l’admettre, c’est plutôt sympa comme vie aussi.

Je suis d’accord. »

C’est un choix. Oui !

En tous cas, c’est MON choix et vous n’êtes pas obligé(e) d’en convenir.

Chacun sa vie et on est tous libre de la vivre comme bon nous semble.

En ce qui me concerne, je vois les choses ainsi : notre corps est un merveilleux cadeau qui n’a de cesse d’exécuter à chaque seconde de nombreux miracles :

il nous permet de nous déplacer, de digérer ce que l’on mange, de lutter contre des maladies, de créer la vie.

Il nous permet aussi de se procurer du plaisir (lorsque l’on mange, reçoit un massage ou que l’on fait l’amour), de réfléchir etc. et il est, par conséquent, de notre devoir d’en prendre bien soin.

« Mon corps est un cadeau et je le remercie en prenant bien soin de lui. »

Prenez le temps de réfléchir à tout ce que votre corps vous permet d’accomplir chaque jour.

Etes-vous reconnaissant ou est-ce que vous agissez comme si toutes ces choses vous étaient dûes ?

Je m’adresse donc à toutes ces personnes qui me pointent du doigt et me critiquent, s’exclamant : « ce n’est pas une vie ! » et je me dois de rétorquer que :

« Aucun aliment ne peut procurer la sensation de bien-être que peut procurer un corps qui se sent en pleine forme ! »

Qu’en dites-vous : n’est-il pas temps que vous preniez votre corps en main ?

Faites-le et vous verrez que c’est lui qui vous dira « merci ».

Si tel est votre souhait, continuez à lire.

Je vais vous expliquer ce que cela implique d’avoir une vie saine et équilibrée, quelles sont les raisons pour laquelle vous devriez changer votre hygiène physique et alimentaire et enfin comment faire pour y parvenir.

Qu’est-ce que cela implique de mener une vie saine et équilibrée ?

Manger sainement le plus souvent possible.

A chaque fois que vous mangez, demandez-vous ce que vous pouvez faire afin de rendre votre repas/collation plus saine (rajouter un fruit ou un légume, boire de l’eau, supprimer un ingrédient riche en calories, réduire votre portion, ne pas se resservir, garder le dessert pour plus tard etc.).

Pratiquer une activité physique régulière et bouger plus souvent tout au long de la journée.

Je vous encourage vivement à être actif/active plusieurs fois quelques minutes par jour en plus de votre activité physique (faire un étirement, prendre les escaliers au lieu de l’ascenseur, descendre du bus deux arrêt avant et marcher etc.).

Maintenir un poids de forme :

ne pas laisser les kilos s’ajouter.

Il faut savoir réagir et se reprendre en main dès qu’un ou deux petits kilos se sont installés pour ne pas se retrouver submergé.

Lorsque l’on laisse 5 voire 10 kilos s’installer cela devient beaucoup plus compliqué et souvent très décourageant.

Ne pas fumer.

Vous empoisonnez votre corps à petit feu.

Ne pas boire !

De cette façon, entre l’alcool et les cacahuètes, vous éliminerez facilement entre 300 et 500 calories (voire même plus) et vous arriverez à table en ayant faim !

Je vous engage d’ailleurs à lire l’article de Philippe sur ce sujet:

L’APERO, L’ADDITION EST SALEE

Ce sera difficile quelques temps mais bientôt vous n’y penserez même plus !

Prendre le temps de s’occuper de soi :

être créatif, méditer, se recueillir etc., parce que le bien-être ça commence en soi et cela se travaille.

Trouver aussi des activités qui vous font plaisir comme la lecture, l’écriture, la mécanique etc. et plongez-vous dedans.

Pourquoi mener une vie saine et équilibrée ?

Pour bon nombre d’entre vous, faire de l’exercice est une réelle corvée et manger des cochonneries, un vrai bonheur.

Conclusion : si on veut se sentir bien, il faut éviter de faire du sport et manger des aliments qui nous procurent du plaisir.

De ce mode de vie, vous tirez un seul avantage : assouvir votre gourmandise en vous laissant aller à votre fainéantise.

Mais mettez le pour et le contre en équilibre et vous verrez que de mener une vie saine et équilibrée comporte de nombreux avantages !

Vous gagnerez en confiance : avoir un corps sain et en forme cela booste le morale et l’estime que l’on a de soi-même.

En effet, quand vous appréciez votre apparence extérieure alors vous vous sentez mieux, ce qui se répercute sur tous les autres domaines de votre vie (couple, travail, relations etc.).

Vous vivrez plus longtemps…

Et surtout, vous vivrez plus longtemps en bonne santé : vous éviterez en tous cas toutes ces maladies liées à une mauvaise hygiène de vie que sont le diabète, les maladies cardiovasculaires, la tension et l’obésité.

Vous serez une source d’inspiration pour vos enfants et votre famille.

Vous paraîtrez plus jeune et vous vous sentirez plus jeune !

Enfin vous vivrez sans douleurs.

Entraînez-vous (surtout des exercices de gainage alliés à des étirements) vous verrez que de nombreux « bobos » disparaîtront, notamment vos problèmes de dos.

Vous serez plus heureux : quand on est bien dans ses baskets, on sourit plus volontiers.

Vous réussirez à mieux gérer votre stress.

Les endorphines fabriquées lorsque vous faites de l’exercice ont un effet « relaxant » sur tout votre corps mais également sur votre esprit.

Vous dormirez mieux également.

Vous aurez plus d’énergie tout au long de la journée et une montée de marche ne vous fera plus peur.

Une belle peau et des cheveux brillants sont les premiers signes d’une bonne santé.

Réduisez les cochonneries et comme par miracle votre peau s’éclaircit et vos cheveux brillent.

Alors au lieu de focaliser sur ce que vous allez perdre, prenez plutôt le temps de voir tout ce que vous allez y gagner !

Comment se motiver afin de mener une vie saine et équilibrée ?

Dans la vie on sait ce qui est bien pour nous, mais il est beaucoup plus difficile de mettre ces choses en application sur le long terme.

Je vous propose ci-dessous, quelques astuces pour vous aider à maintenir le cap :

La première chose c’est de comprendre qu’il n’est JAMAIS TROP TARD.

En effet, peu importe où vous vous situez maintenant sur l’échelle de la santé, il n’est jamais trop tard pour s’y mettre.

Opérer par petits changements :

veillez à manger des fruits à 10h et 16h et des légumes à chaque repas, buvez de l’eau, réduisez les quantités, apprenez à poser votre fourchette régulièrement etc.

Se fixer des objectifs réalistes :

mieux vaut se fixer 15 à 20 mn de gym tous les jours qu’1h, acheter un podomètre et augmentez vos nombres de pas journaliers (ou fixez-vous un nombre de pas à atteindre), prenez l’habitude d’aller marcher ¼ d’heure après le repas du soir etc.

Faites des activités qui vous plaisent/vous ressemblent et non pas le dernier truc à la mode.

Si vous avez la bougeotte faites de la zumba, du biking, de la course à pied et si vous êtes plutôt du style « nature et découverte » alors adoptez plutôt la marche, la randonnée ou le stretching.

Prenez l’habitude de prendre bien soin de vous :

demandez-vous 5, 10, 15 fois par jour ce que vous pouvez faire immédiatement pour prendre soin de vous et faites-le (prendre une douche froide, boire un verre d’eau, se faire un jus à l’extracteur, prendre les escaliers, faire un peu de sport etc.)

Commencez par faire 5 choses et tentez d’arriver à en faire 20 minimum chaque jour.

Dormez suffisamment.

Lorsqu’on a bien et assez dormi, la journée se déroule autrement.

Faites-en sorte que ce soit une priorité.

Lorsque vous mangez, créez un rituel :

veillez à ce que votre assiette et/ou votre table soit belle.

Un repas se savoure d’abord avec les yeux !

Apportez de la variété dans votre assiette ainsi que dans vos activités :

sortez de votre zone de confort et découvrez de nouvelles saveurs (remplacez par exemple les sauces par des épices) ou de nouvelles activités (faire une balade à vélo, jouer au basket, faire de la varappe ou de l’accrobranche…).

Misez sur la qualité et non pas la quantité.

Mieux vaut passer 20 mn à faire du sport de manière complètement investi, qu’un mélange gym/bavardage d’1h30.

Prenez l’habitude de vous impliquer dans ce que vous faites.

La balle est maintenant dans votre camps, allez-vous continuer à vous lever le matin fatigué de la veille, manger un petit déjeuner déséquilibré qui vous laissera sans énergie, rester inactif et encore accumuler du poids, passer des heures mal assis et à souffrir du mal de dos, trop manger et vous sentir lourd et ballonné avec le coup de barre qui va avec etc..

C’est vous qui voyez !

Ou alors vous pouvez décider de changer et de sauter du lit chaque matin en étant en pleine forme.

Vous mangerez un petit déjeuner équilibré et vous aurez la pêche toute la matinée, vous restez assis mais les exercices de renforcement musculaire et de gainage font que vous ne souffrez plus de votre dos.

vous sortez de table et vous vous sentez léger prêt à attaquer le travail de l’après-midi etc.

Je dois vous laisser, il faut que je m’occupe de ma vie, elle est riche et mérite d’être vécue.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Barbara RATKOFF

INSTA: FOREVERFIT50

Perdre du poids n’est pas la finalité

Tout d’abord, perdre vraiment du poids, n’est pas le perdre un jour, c’est le perdre toujours.

Vous en conviendrez, à chaque fois que vous vous engagez dans un régime, c’est avec l’espoir que le problème de surpoids soit résolu définitivement.

Il y a peu de plaisir à devoir encore, encore et encore recommencer les mêmes procédures …

Les mêmes difficultés, les mêmes frustrations…

Pourquoi est-ce si difficile?

Pourquoi avons-nous autant de difficulté à maintenir la perte de poids?

Peut-être que derrière nos objectifs se cachent très souvent d’autres intentions.

Nous manifestons la volonté et même le désir ardent de vouloir, plus que tout, quelque chose et parfois même quelqu’un.

Nous voulons de l’argent, gagner 10 000 € par mois, remporter le super loto et peut-être même toucher un formidable héritage d’un oncle d’Amérique.

Je veux ce corps athlétique, sec, musclé et fort avec les mêmes proportions, la même esthétique.

Je voudrais être aussi performant que ce gars, et moi je voudrais la «shape» de cette fille, elle a des fesses incroyables !

Cette voiture de sport de plus de 300 000 € devient un véritable rêve.

Cette superbe montre, dont il existe quelques modèles dans le monde, est devenue une formidable source de motivation.

Nous voulons ressembler à cette icône du fitness, à ce chanteur ou à cet acteur.

Ce désir devient parfois obsessionnel au point où certaines et certains finissent par se transformer en leur modèle.

Ce mimétisme devient même troublant: corps, visage et même les traits de caractère deviennent similaires.

Nous voulons cette femme ou cet homme et nous sommes prêts à faire n’importe quoi pour l’obtenir.

Mais que voulons-nous vraiment ?

Qu’est-ce qui se cache derrière ces attitudes quelques fois obsessionnelles ?

Finalement le but avoué ne serait-il pas uniquement l’arbre qui cache la forêt ?

La perte de poids ne serait-elle pas le prétexte, l’outil pour accéder à autre chose ?

Ce ne serait donc pas la finalité et dans ces conditions, nous pourrions donc mieux comprendre pourquoi, dans la majorité des cas, la démarche de perte de poids est un échec et particulièrement dans sa pérennité.

Le problème n’est pas résolu, il ne peut d’ailleurs pas l’être puisqu’il n’est pas la cause véritable.

Perdre du poids pour perdre du poids n’a aucun sens.

Comprenez-vous ?

Quelle est la raison ou les raisons qui ont déclenché cette envie de perdre du poids ?

Oui bien sûr, les raisons peuvent être médicales et de fait, impératives.

Mais surtout, est-ce que cette perte de poids réglera le ou les problèmes réels?

Je parle des sous-jacents, des inavouables, ceux que l’on ne s’avoue même pas à soi-même…

Ces tristes émules égoïques, ces manifestations d’un ego meurtri, nos sentiments de souffrance, qui ont généré chez nous cette hausse du poids exponentielle.

Comme la majorité de nos traumatismes, les graines perfides prennent racine dans notre enfance et commencent à développer leurs fruits empoisonnés quasiment toujours pendant l’adolescence.

Ces fruits aigres, amères et non comestibles qui ont déclenché à chaque fois la procédure de perte de poids.

Ce mal être persistant initiateur de tant de désordres physiques.

En aparté, parents que nous sommes, nous devrions à ce sujet et très objectivement prendre notre part importante de responsabilité dans le processus qui a conduit nos enfants à s’alourdir de la sorte.

Les parents, parfois inconscients du mal qu’ils peuvent causer, et qui nourrissent de leur bénédiction le terreau où la graine frelatée grandit.

Ceci est un autre sujet, que je prendrai plaisir à traiter lors d’un prochain article.

Ne serait-il donc pas plus judicieux de traiter d’abord la cause, plutôt que de tenter inlassablement de se mettre au régime?

Pourquoi voulons-nous perdre du poids ?

Tout d’abord parce qu’on en a pris et beaucoup trop pris, c’est évident !

Il y va quelque fois de notre salut, de notre intégrité physique mais fort souvent les raisons sont toutes autres, elles sont liées aux déclencheurs enfouis dans les méandres de nos relations passées, entre autre avec nos parents, dont je parle ci-dessus.

Mais pas uniquement, il y a aussi nos relations d’école, les copains, les copines, nos professeurs, les institutions, toute notre expérience passée…

Les déclencheurs sont nombreux: L’humiliation, l’oppression, le manque d’amour, le manque d’attention, le manque de compréhension et de considération, les déceptions multiples, le manque d’estime de soi, les frustrations, la culpabilité, le besoin d’être accepté, d’être conforme au groupe…

La liste est longue et non exhaustive.

Tous ces fardeaux, ces enclumes, ces croix que l’on traîne de sa prime enfance et la plupart du temps jusqu’à sa mort, fabriquent la personne addictive à l’alimentation outrancière que nous sommes aujourd’hui.

Là est la racine de la prise de poids et de l’incapacité quasi générale à régler ce phénomène.

Vous pourrez suivre tous les régimes du monde, élaborés par les plus grands nutritionnistes, avec les aliments les meilleurs qui soient, in fine, cela n’aura pas plus d’efficacité qu’un pansement sur une jambe de bois.

Parlez-vous à vous même, comprenez et identifiez ce qui se cache derrière ce dérèglement et traitez la cause.

Vous l’avez compris, c’est à vous maintenant de prendre les rênes, d’endosser pleinement vos responsabilités.

Identifiez le ou les déclencheurs, en vous faisant aider au besoin par la lecture, l’éveil à la spiritualité, par une personne de confiance, un thérapeute…cherchez et vous trouverez la voie, frappez à la bonne porte et l’on vous ouvrira.

Parce que de comprendre la cause, nous permet en fait d’agir concrètement.

Toucher du doigt la réalité, mettre des mots sur l’origine de notre mal être, est déjà un pas de géant vers la guérison.

Comprenez qu’il n’est pas ici question de trouver un coupable, de blâmer encore quelqu’un ou quelque chose pour nos problèmes.

Bien au contraire, il est question de comprendre, de se responsabiliser et d’enfin prendre les choses, sa vie et son poids en main.
Et vous verrez qu’enfin..

…comme par enchantement, vous perdrez votre poids mais surtout vous ne le reprendrez pas.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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