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En finir avec les blessures après la quarantaine.

Outre les résultats et la performance, un des objectifs majeurs des sportifs est de ne pas se blesser.

Lorsque l’on se blesse, on perd un temps précieux, pour progresser d’une part, d’autre part réaliser ses objectifs et ensuite pour se reconstruire.

Que l’on soit amateur et a fortiori un professionnel, la peur de la blessure tourne à l’obsession: il y a tellement d’enjeu !

C’est d’ailleurs en grande partie pour cette raison, la peur, que les athlètes multiplient les blessures.

Ils créent un état de stress qui augmente avec les enjeux, la notoriété, l’argent, le sentiment fort de ne pas décevoir, l’attachement à un statut, un niveau qu’ils ne veulent perdre sous aucune condition.

Ceci est un autre sujet que je prendrai grand plaisir à partager avec vous.

Il est établi que lorsque l’on est jeune, le post traumatique est moins long.

La période de rétablissement est donc plus courte et l’on peut retrouver la salle, les terrains, les pistes, plus vite et dans de meilleures conditions.

Ceci étant lié aux mécanismes de réparation des tissus plus aptes à reconstruire, la mécanique plus neuve, les lésions encore peu nombreuses n’ayant pas imprimé fondamentalement le physique et l’esprit.

Les blessures et l’esprit sont également un sujet qui fera l’objet d’un article très prochainement.

Encore l’esprit, le mental, les pensées…la conscience, c’est comme vous voulez.

Ainsi, se blesser lorsqu’on est jeune est un problème mais passé 40 ans, c’est une sinécure, une obligation d’éviter les traumatismes.

Trop de schémas encombrent notre esprit lorsque l’on devient un ou une Master.

Nous sommes victimes de nos vieux schémas, on nous a tellement raconté, que passé un certain âge, la blessure était synonyme d’arrêt total de l’activité, que nous cultivons un stress quasi permanent à ne pas faire tel ou tel exercice et à rester le plus souvent possible dans sa zone de confort.

Les principes, la philosophie que je défends prend tout son sens quand on aborde le sujet des blessures, un sens encore plus pointu pour les Master.

Commencez par cultiver votre état d’esprit.

N’adhérez plus à ce concept qui nous dicterait de réduire ou cesser la pratique sportive intensive au risque de se blesser assurément.

De qui vient l’idée ?

De ceux qui se sont blessés ? 

Des sédentaires ? Des personnes négatives ?

Quel était l’état physique de ceux qui se sont blessés ?

Comment pratiquaient-ils ?

Connaissaient-ils les bonnes pratiques ?

Est-ce qu’ils continuaient à pratiquer comme ils pratiquaient à 20 ans ?

Quels étaient leurs états d’esprit ?

La transmission des idées noires et des mauvaises pratiques sont malheureusement plus répondues que le contraire et elles sont d’une efficacité redoutable.

Donc avant toute chose, cessez de penser blessures, pensez santé, bien-être, progression, développement, performance.

Vous avez pris de l’âge, vous êtes devenus des Masters et dans Master, il y a évidemment la notion de maturité mais également la notion de maîtrise.

C’est le moment d’adapter intelligemment votre entraînement, de respecter la pratique dans les règles de l’art.

Les règles de l’art, c’est le respect des paramètres d’intensité.

Commencez donc par comprendre ce que vous faites, planifiez votre entraînement, organisez votre routine, le où les groupes musculaires que vous allez travailler, les exercices que vous allez effectuer et pourquoi vous allez faire ce mouvement plutôt qu’un autre.

Le conditionnement est déjà bien engagé, vous êtes déjà dans l’entraînement avant d’avoir commencés, vous êtes parfaitement impliqués, très concentrés.

L’éparpillement crée le désordre, le désordre crée la discorde et la discorde est précurseur de blessures.

C’est dans ces moments, ces périodes où vous êtes désunis, inattentifs, lorsque votre esprit est distrait, que l’on perd le contrôle, que l’on perd la conscience aux choses, que nous ne sommes plus présents.

Lorsque vous attaquez véritablement l’entraînement, prenez grand soin à l’impeccabilité.

Votre corps positionné parfaitement, l’angle d’exécution idéal, le tempo à sa juste mesure, constamment dans l’action, sans un souffle d’inertie et en prenant soin de ne pas faire collaborer le moindre muscle parasite ou si peu.

Vous faites corps avec votre corps, vous êtes dans la conscientisation du moindre de vos mouvements, tout est ressenti, visualisé, focalisé.

Je vous garantis que vous éviterez les  blessures, en tout cas, votre attitude sera conforme et propice à éviter les traumatismes.

Vous aurez même le luxe d’intensifier vos entraînements au point où vous progresserez à tous niveaux.

C’est quoi les paramètres d’intensité ?

 Comment je les maîtrise ?

Qu’est-ce que je dois faire pour être si concentré, si impliqué ? 

Chaque semaine, je publie 2 articles qui traitent fréquemment des paramètres d’intensité et de la conscientisation: le poids, l’ergonomie, l’amplitude, les muscles parasites, l’inertie, les temps de repos, le tempo….les pensées, la visualisation, la focalisation…

Apprenez en ma compagnie, suivez moi, je partage avec vous mon apprentissage, l’ensemble de mes vérités, ce qui a marché sur tant d’athlètes, sur tant de pratiquants et qui a marché sur moi-même et continu à fonctionner.

Je vous encourage vivement à télécharger gratuitement mon E-Book, si ce n’est déjà fait, vous recevrez un enseignement gratuit sur les paramètres d’intensité.

Les 10 règles essentielles pour progresser après 40 ans

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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À propos de l'auteur Philippe LAMACHE

Je m’appelle Philippe LAMACHE, je suis coach sportif, coach mental, spécialisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires pour sportifs ainsi que dans l’alimentation santé. Depuis plus de 35 ans, je coach des hommes et des femmes pour la pratique pure de la culture physique mais également pour améliorer les qualités physiques d’athlètes amateurs et professionnels, dont quelques champions, et cela dans bon nombre de sports individuels et collectifs.

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