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Les 6 pratiques alimentaires que vous devez éviter après 40 ans

C’est vrai, on vous bassine tout le temps sur ce que vous devez faire ou ne pas faire.

Particulièrement en ces temps de crise sanitaire où vous devenez de simples pions coopératifs à la solde des instances gouvernementales.

Enfin, dans « l’obligation » d’être coopératif évidemment…

Une fois de plus, vous tombez sur quelqu’un qui vous dit ce que vous devez faire sous peine de mal finir.

J’aurais pu écrire:

« les 6 pratiques alimentaires qu’il serait souhaitable d’éviter après 40 ans…et même avant 40 ans d’ailleurs. »

Ce serait un peu moins dictatorial, j’aurai ainsi mis les formes.

Finalement le fond reste le même.

Mais êtes-vous prêts à faire preuve d’un peu de discipline ?

Êtes-vous prêts à changer les choses ?

J’ai souvent l’impression qu’une certaine forme de schizophrénie vous habite.

Vous vous sentez mal, fatigués, pas en forme, gros, complètement démoralisés, vous ne vous supportez plus.

C’est ainsi que vous vous engagez à suivre un régime, à prendre des compléments alimentaires, à faire appel à un coach.

Vous semblez vraiment motivés !

Mais curieusement, dès la première déconvenue, au premier véritable effort, à la première difficulté, vous reprenez vos vieilles mauvaises habitudes.


Et alors reviennent les plaintes, les pleurnicheries sur votre triste sort:

« Le régime n’est pas bon, le coach n’est pas motivant, le programme n’est pas efficace… »

« Je n’ai pas une bonne génétique »

« Je n’ai plus le temps en ce moment…

… trop d’anniversaires, trop de fêtes, etc. etc. »

Vous reconnaissez-vous ?

Pourquoi seraient-ce des pratiques que vous ne devriez plus avoir après 40 ans ?

Parce que tout fatigue et s’use avec le temps.

Vos systèmes organiques sont de moins en moins opérationnels et pour certains, vraiment plus du tout.

Votre structure accuse également le coup, un peu comme le moral.

Ne pensez-vous pas que nous avons besoin de plus de rigueur alimentaire pour reprendre ce que les années et les habitudes déplorables nous ont volé ?

Je vous garantis qu’en suivant ces quelques conseils cela pèsera lourdement dans la balance du mieux-être et de la santé physique et morale.

1) Ne sautez plus le petit déjeuner.

Je suis plutôt dubitatif avec les fameux jeûnes intermittents qui ne sont en réalité qu’une appellation « sexy », (encore du folklore), pour donner une excuse « technique » afin de légitimer la mauvaise habitude de ne pas prendre son petit déjeuner.

Le jeûne intermittent est également basé sur le principe de suppression du repas du soir au bénéfice du petit déjeuner.

Cet aspect est curieusement beaucoup moins populaire.

Moins populaire, mais infiniment plus efficace.

S’alimenter le matin est un moyen sûr et efficient de contrôler son poids et de fournir l’ensemble des bons macros et micros nutriments à son organisme…

…à condition de petit déjeuner correctement.

Ce que vous mangez tôt le matin vous n’aurez pas à le manger tard le soir.

Ainsi, les conséquences sur l’utilisation de l’énergie et son « stockage » seront diamétralement opposées suivant l’heure à laquelle vous vous alimenterez.

2) Ne sortez plus de table en étant repus.

C’est le signe que vous avez TROP mangé.

Nous avons pris la fâcheuse habitude de manger jusqu’à nous remplir.

Nous ne supportons plus de sortir de table en ayant même encore une légère faim.

De plus, nous confondons très souvent la faim et la gourmandise.

Les envies ou le besoin de manger du sucre à la fin du repas ne sont pas « la faim ».

Alors que de sortir de table avec une petite appétence est, pour le coup, le signe que vous avez mangé raisonnablement et que la digestion en sera ainsi facilitée.

Votre organisme n’aura plus besoin de consacrer toute cette énergie et toute cette attention à cataboliser et à stocker à outrance.

Il vous restera plein de vitalité pour penser, pour renforcer votre immunité, pour vous régénérer, vous soigner, vous activer physiquement et intellectuellement.

De plus, trop manger est également mauvais pour la planète.

Voici un article intéressant sur le sujet:

Trop manger est vraiment mauvais pour notre planète

3) Ne vous goinfrez plus le soir devant la télé.

Votre alimentation avait été à peu près correcte toute la journée et tout s’est effondré le soir devant votre télévision en avalant 1 l de glace.

À titre indicatif, cela représente 2 à 3000 calories en fonction du produit consommé.

Voici un tableau des calories de différentes crèmes glacées et sorbets.

Cliquez sur l’image ci-dessous pour accéder au tableau

Pour certaines et certains ce sera des bonbons, du chocolat, riche ou pas en cacao, ça ne fait pas de différence, de la pâte à tartiner, des gâteaux, du fromage et du pain…

Ne vous étonnez plus si malgré les restrictions alimentaires de la journée votre poids décolle.

Cela peut vous sembler parfois injuste mais vous comblez par une à deux fois vos besoins énergétiques d’une journée entière et par des aliments qui sont essentiellement gras et sucrés.

Le but de mon article est avant tout de mettre en exergue les pratiques alimentaires que vous ne devriez plus avoir.

Je n’ai ni la prétention ni les compétences pour vous apporter des solutions radicales qui mettraient fin à ces pratiques qui vous terrassent.
(Définition de terrasser: Abattre quelqu’un physiquement ou moralement, le priver de toutes ses forces : La maladie l’a terrassé en pleine activité. Synonyme : foudroyer)

Elles sont systématiquement initiées par votre psyché, en prendre conscience c’est commencer déjà par corriger le problème.

Voici ci-dessous un article qui je l’espère vous éclairera sur la corrélation entre l’alimentation et le mental.

Impulsivité alimentaire et troubles du comportement alimentaire : de la neuropsychologie à la psychologiecliniqueFood impulsivity and eating disorders: From neuropsychology to clinical psychology

4) Évitez de vous faire des repas de fromage

Voilà encore une pratique étendue particulièrement chez nous, le merveilleux pays du fromage.

Je sais que le fromage, comme le vin rouge et le pain sont institutionnels en France.

On ne doit pas y toucher !

Ils sont tellement goûteux et tellement diversifiés.

Ce n’est pas leur consommation qui pose problème mais leur surconsommation.

À titre indicatif, 100 g de fromage représente entre 300 et 400 calories sans compter les aliments « institutionnels » qui l’agrémentent.

Ce type de repas peut aisément monter à 8 ou 900 calories…

Parfois riche en protéines suivant le fromage consommé mais toujours richissime en lipides et particulièrement en graisses saturées…

… un véritable bonheur pour votre cholestérol et pour la culture de votre surpoids.

Voici un tableau des calories de différents fromages.

Cliquez sur l’image pour accéder au tableau

5) Arrêtez l’alcool

Et arrêter tout ce qui va avec !

Nous vivons une époque où nous ne cessons de scander « liberté ! »

Voilà encore un outil d’asservissement gérer de bout en bout par les institutions dirigeantes.

Mais peut-être que celui-ci vous convient…

Des peuples entiers ont été éradiqués par cet Instrument magistral de soumission.

Je vous engage à lire cet article édifiant.

Alcool et Amérindiens : au-delà des stéréotypes

« Arrêtez tout ce qui va avec !»

Ce sont évidemment toutes les cochonneries, biscuits, chips, cacahouètes ultra salées, charcuterie etc…

…qui représentent véritablement des nids à pathologies et des « boosters » de prise de poids.

Je vous engage à lire ou à relire un article que j’avais écrit sur ce sujet :

L’apéro, l’addition est salée !

Je pense alors avoir tout dit.

Je n’ai, au delà de ce que j’ai pu écrire sur ce sujet, rien de plus à rajouter.

6) Autant que possible, ne consommez plus une alimentation industrielle

J’ai écrit des dizaines de posts sur le sujet ainsi que des articles.

Je dénonce à chaque fois le fondement même de cette industrie basée essentiellement sur le profit et certainement pas sur l’amélioration de votre santé.

Les scandales sanitaires ne se comptent plus tellement ils sont nombreux.

Voici un papier de l’express sur le sujet:

Les grands scandales alimentaires

L’industrie agroalimentaire est certainement un des trusts qui contribue le plus à nous rendre obèses et par conséquent malades.

De grâce, consommez des aliments simples que vous « amalgamez » vous-même.

Faites votre propre cuisine avec des aliments de qualité, non modifiés, non transformés, non trafiqués, non gorgés d’adjuvants toxiques, d’exhausteurs de goûts, de colorants, d’épaississants qui vous incitent à en manger encore plus.

Trouvez le temps pour cuisiner.

Il suffira simplement que vous réduisiez un peu Internet et ses réseaux sociaux chronophages.

Voici un article très intéressant sur le sujet:

Les réseaux sociaux en France et dans le monde : les chiffres d’utilisation en 2021

Ce n’est donc qu’une affaire de priorité et d’organisation.

En conclusion:

Je ne suis qu’un observateur, un témoin de son temps qui constate humblement la déliquescence d’une certaine qualité de vie où nous étions moins malades, moins addicts aux médicaments, infiniment moins gros et plus présents.

Je partage donc avec mes semblables ma philosophie dans le seul but de contribuer, en toute humilité, à votre mieux être.

Vous ferez bien ce que vous voudrez évidemment, le mal-être a de toute façon de beaux jours devant lui.

Il vous restera les psychotropes, nous en sommes déjà les champions du monde de la consommation, cela ne fera que renforcer notre titre prestigieux.

Mais dites-moi, quand même, lorsque vous voyez deux personnes de même âge, mettons 40 ou 50 ans, dont l’une est plutôt athlétique, dans une forme physique et esthétique correcte, dégageant une certaine forme de sérénité et une autre, en surpoids, qui passe son temps chez le médecin à contrôler son cholestérol, sa glycémie et sa tension, ne pensez-vous pas alors, qu’il y a là un choix fondamental à faire qui serait basé sur le bon sens ?

Il y a bien longtemps que je ne crois plus à ces « punchlines » ringardes censées déculpabiliser les pseudos « épicuriens » qui devraient prendre le temps, justement et à toutes fins utiles, de relire Épicure.

« Je suis épicurien »

« Je suis un bon vivant »

« On ne vit qu’une fois »

Tout au contraire, je suis persuadé que prendre soin du merveilleux véhicule qui nous a été offert à la naissance, est une forme d’épicurie bien plus noble, intelligente et prospère.

Je terminerai cet article en citant deux phrases de mon épouse qui est une source d’inspiration intarissable pour moi.

Elles me semblent tout indiquées pour conclure la conclusion de cet article.

La vie est un cadeau. La façon dont je choisis de la vivre est ma manière de dire… « Merci »

Barbara LAMACHE
RATKOFF-ROJNOFF

Faites votre choix.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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À propos de l'auteur Philippe LAMACHE

Je m’appelle Philippe LAMACHE, je suis coach sportif, coach mental, spécialisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires pour sportifs ainsi que dans l’alimentation santé. Depuis plus de 35 ans, je coach des hommes et des femmes pour la pratique pure de la culture physique mais également pour améliorer les qualités physiques d’athlètes amateurs et professionnels, dont quelques champions, et cela dans bon nombre de sports individuels et collectifs.

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