Nous avons certainement vécu et nous vivons toujours aujourd’hui, le plus grand chamboulement de notre existence.
Je parle de, « nous« , civilisations confortables, ripaillant dans le luxe, gavées de médicaments, dépressives au dernier degré, percluses de drogue, de nourriture riche au point qu’elle nous empoisonne.
Très souvent un contre sens on un non-sens…
« Nous« , les insatisfaits, les égocentriques, les pleurnicheurs, ceux que l’on soigne gratuitement grâce à un système de santé parmi les plus performant au monde pourvu des professeurs les plus éminents, d’I.R.M, de scanner si puissants capables de vous faire des scintigraphies qui dissèquent chaque infime partie de votre corps.
Oui, je parle de « nous« , les nantis de ce monde.
Je ne parle évidemment pas de tous ces peuples qui vivent dans des conditions d’oppression absolue, de famine, de guerre des clans ou de religions.
Tous ces individus qui doivent « bagarrer » chaque instant pour ne pas succomber au choléra, à la dysenterie, à la déshydratation, à la prostitution forcée, à l’extrême nécessité de devoir migrer parce qu’ils n’ont plus rien.
Une expérience qu’ils devront vivre courageusement à travers la foi.
Alléluia, Inch’Allah.
Lorsque je dis « nous« , ce n’est pas qu’une question géographique mais c’est également une question trans générationnelle.
« Nous » tous !
Ou quasiment tous…
J’entends bien évidemment, ma génération, la génération X et celle de mes enfants, la génération Y.
À titre indicatif voici un petit rappel des périodes que couvrent chaque génération:
Génération silencieuse, personnes nées entre 1928 et 1945
Baby-boomers, personnes nées entre 1946 et 1965,
Génération x, personnes nées entre 1965 et 1980,
Génération y, personnes nées entre 1980 et 2000,
Et la Génération z, personnes nées à partir de l’an 2000
J’inclus aussi la génération de nos ancêtres directs, nos parents, la génération des « baby-boomers » allant jusqu’au début des années 40, la génération silencieuse.
En effet, ils ont connu la guerre, qui devait être sans aucun doute une période infiniment plus traumatisante que ne l’est la situation sanitaire actuelle.
Mais ils étaient bien jeunes à cette époque et n’en ont donc que de vagues souvenirs.
Certains ne s’en souviennent d’ailleurs même plus.
Ce sont donc ces générations à risque, les exposés, les premières lignes, qui sont tombés sous le feu de la mitraille de la première vague du SARS-COV-2.
Une existence élevée aux antibiotiques toujours plus féroces et aux autres traitements pharmaceutiques trop souvent inutiles et sur-consommés.
Des générations qui ont fini par être perfusées à l’industrie alimentaire, par sa chimie « autorisée » et sa sur-abondance.
Des générations qui se sont laissées envahir par l’obésité et les pathologies morbides qui y sont associées.
Nos pauvres vieux inondés de cancers divers et variés, traités à grand coups de chimiothérapie et de rayons « anéantisseurs » de cellules cancéreuses mais également de cellules saines.
Cette merveilleuse immunité également anéantie par un mal-être qui est devenu chronique.
C’est précisément là où je souhaitais en venir.
Le mal-être chronique, celui que l’on cultive par les discussions de comptoir, celui que l’on subit par l’information continue, ce matraquage immonde et incessant.
Je dis bien, incessant !
Ce pilonnage, ces coups de butoir que les médias Mainstream mais également les médias alternatifs nous assènent.
Nous subissons des attaques psychologiques non-stop, d’innombrables piqûres de rappel d’une grande toxicité.
Plusieurs fois par jour, on nous martèle le nombre de contaminés, les personnes en réanimation, les morts…
Les scientifiques et leur parole « divine » nous affolent et nous terrorisent.
Un professeur en médecine a certainement aujourd’hui une parole plus touchante que ne pourrait être la parole de Dieu.
Ils ne se rendent pas compte à quel point ils impliquent leur responsabilité sur la destinée de nos âmes si fébriles.
Leurs mots ont tellement de sens et d’influence, qu’ils décident, au détour d’une simple petite phrase, de votre guérison ou pas et parfois même de votre vie ou de votre trépas.
Et nos dirigeants, ils n’ont eu de cesse de se contredire, de manier la langue de bois avec brio, de mentir avec maestria.
Ils ont créé un tel climat d’insécurité et de défiance qu’il est devenu si difficile de déceler le vrai du faux.
Nous avons perdu toute notion d’objectivité.
Finalement, qu’est-ce qui est bien ou mal ?
Est-ce que cela nous protège vraiment et surtout, est-ce que cela protège nos semblables ?
Quels sont les chiffres exacts accrochés comme des morpions à cette pandémie?
Ce serait comme pour les manifestations, les uns ont compté 10 000 manifestants et les autres 100 000 ?
Mais qui a raison et qui a tort ?
Quelle est la proportion de jeunes gens en bonne santé qui se sont retrouvés dans la même situation ?
Le nombre de cas positifs est en constante augmentation, c’est incroyablement exponentiel.
Mais dans le même temps nous testons à tour de bras…
Si nous ne testons plus, nous ne trouverons plus de cas positif n’est-ce pas ?
Nous vivons un changement total de paradigme.
Nos valeurs, notre perception du monde s’en trouvent totalement bouleversées.
Nous sommes colonisés par cette nocivité insidieuse qui finit par s’installer à l’intérieur de notre corps et de notre esprit.
Plus de 8 millions de morts sur toute la planète…
La possibilité que je contamine mon père de 80 ans et que je réduise ainsi son espérance de vie, faisant de moi un potentiel porteur de mort….
Des jeunes de 20 ans sous assistance respiratoire, plongés dans un coma dont ils ne sortiront peut-être jamais…
Tous ces sportifs qui menaient pourtant une existence saine et heureuse et dont la vie a subitement basculé en enfer, précipités par ce virus qui a pris les traits d’une myocardite…
Etc. etc.
Je ne souhaite pas énumérer ici l’ensemble de toutes ces horreurs relayées par la doxa bien pensante et terrorisante.
Je veux souligner simplement le fait psychosomatique, reconnu aujourd’hui par toutes les sciences médicales.
Celui-ci n’a probablement jamais été aussi présent et aussi destructeur.
Pensez-vous que nous aurions pu vivre cette période en étant beaucoup plus responsables, en ayant infiniment moins peur et par conséquent avec plus de présence et de distanciation ?
Malgré mon esprit plutôt libre, j’ai néanmoins reçu non seulement ce virus mais aussi toute sa lourde histoire construite sur la manipulation et la terreur.
Je l’ai compris et j’ai donc pu m’en extraire pour ne pas apporter de la souffrance à la souffrance et finir encore plus malade et désemparé.
Le libre arbitre est votre bien le plus précieux : faites barrage aux influences négatives, écoutez votre cœur et votre esprit, si votre oreille est suffisamment attentive, vous saurez les entendre, les écouter et les comprendre.
Il n’est pas question dans mes propos d’être pour ou contre le vaccin, le pass sanitaire, le gouvernement ou je ne sais quelles autres institutions ou tendances complotistes…
Je vous demande simplement de nettoyer votre esprit et d’y mettre de l’ordre vous y verrez ainsi beaucoup plus clair.
Ce que je vous explique vous semble logique?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Je m’appelle Philippe LAMACHE, je suis coach sportif, coach mental, spécialisé dans l’alimentation et les compléments alimentaires pour sportifs ainsi que dans l’alimentation santé. Depuis plus de 35 ans, je coach des hommes et des femmes pour la pratique pure de la culture physique mais également pour améliorer les qualités physiques d’athlètes amateurs et professionnels, dont quelques champions, et cela dans bon nombre de sports individuels et collectifs.
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