La ponctuation à son importance.
En effet, je pose la question dans le titre.
Avec une pointe d’ironie…
Comme s’il était besoin de poser la question.
Et pourtant, il semblerait que ce ne soit pas très clair.
Il y aurait donc une sorte de conversion magique : la graisse se transformerait en muscle, l’eau en vin, le plomb en or…
Nous aurions donc affaire à un processus alchimique issu de sciences occultes, mélange de techniques chimiques et de spéculations mystiques.
Le muscle ce logerait donc en lieu et place où la graisse répand son manteau d’adipocytes.
Ce serait donc une sorte de transmutation.
Il faudrait peut-être d’abord comprendre, de façon simple et concise, ce qu’est la graisse.
C’est une structure anatomique spécifique constituée d’adipocytes dont la fonction est de stocker des lipides.
Ceux-ci constituent donc une partie importante des réserves d’énergie de l’organisme.
Lorsque la capacité de stockage des adipocytes est arrivée à saturation, ceux-ci se divisent créant de nouveaux adipocytes.
On appelle cela le processus de mitose.
La graisse est localisée en grande partie sous la peau, également autour de certains organes, entre les muscles mais aussi sous forme de graisse viscérale, que l’on appelle aussi graisse abdominale.
La perte de graisse est la conséquence de la libération d’atomes de carbone, d’hydrogène et d’oxygène contenus dans les cellules graisseuses.
Ainsi, lorsque vous perdez 1 kg de graisse, 840 g se volatilisent en dioxyde de carbone (CO2) et sont donc évacués par les poumons et les 160g restant sont transformés en eau, puis éliminés par l’urine, la sueur et les autres liquides corporels.
Voici un article intéressant, qui développe de façon simple et factuelle ce processus, publié dans le très sérieux British Medical Journal par Meerman et Andrew Brown, directeur du School of Biotechnology and Biomolecular Sciences de l’université de Nouvelle-Galles du Sud.
Juste un rappel dans l’éventualité où vous n’auriez pas compris le processus.
Pour perdre la graisse, il faut démobiliser l’énergie stockée.
La graisse est une réserve de calories excédentaires, votre grenier à blé, votre matelas.
Tout ce qui déborde, parce que vous n’en avez pas besoin, le trop-plein, vient enrichir votre capital, kilos après kilos.
Ainsi, pour perdre de la graisse, vous devez pousser le corps à aller chercher l’énergie que vous ne lui apportez pas par l’alimentation et dont il a besoin.
Le principe est donc inévitablement de manger hypocalorique.
C’est-à-dire, ingérer moins de calories que vous n’en dépensez.
L’excellente idée supplémentaire est que vous ayez en plus une activité physique énergivore qui augmentera alors vos dépenses.
Perte de graisse
-Dépenses énergétiques 2500 calories
-Apport énergétique 1500 calories
-Différentiel 1000 calories que votre organisme ira puiser dans vos réserves.
Pour accumuler des réserves, ce sera exactement l’opération inverse:
-Dépenses énergétiques 2000 calories
-Apport énergétique 3000 calories
-Différentiel 1000 calories que votre organisme stockera dans vos réserves
Les muscles sont organisés en faisceaux eux-mêmes formés de structures cylindriques contractiles constituées de fibres musculaires garnies de filaments ou sarcomères constituées de myofibrilles.
Ces filaments donnent le pouvoir au muscle de se contracter puis de se détendre.
Ils sont de deux sortes, actine et myosine et disposés de façon alternée.
Lorsque vous contractez vos muscles, l’actine et la myosine glissent l’une contre l’autre puis s’accrochent entre elles épaississant le muscle qui se raccourci.
Plus l’intensité est élevée, plus la contraction est forte et plus le nombre d’accrochages entre les filaments est par conséquent importants.
C’est à la fois le volume de contractions et leur intensité qui épaississent les fibres grâce à l’accroissement du diamètre et de la longueur des myofibrilles.
Grâce a l’entraînement musculaire et notamment grâce a la pratique de la culture physique, les fibres musculaires accélèrent leur taux de synthèse des protéines (actine et myosine).
Ils participent, entre autres, à assurer les qualités physiques essentielles comme:
la force, la puissance, la vitesse, la résistance, l’endurance, la coordination.
De fait, ils participent donc au mouvement et contribuent à maintenir notre posture.
Ils ont également un rôle essentiel dans les mouvements des organes internes comme par exemple, la contraction du cœur.
Je vous recommande cet article de l’institut de myologie qui traite avec précision des différents types de muscles.
Vous l’aurez évidemment compris, avant tout, il va falloir faire du sport.
Nous parlons essentiellement des muscles striés, ceux qui servent à la locomotion, au maintien (statique) et au mouvement.
Ils dépendent de notre système nerveux volontaire, nous avons donc une action directe sur leurs capacités, en fonction évidemment de notre implication.
Toujours cette même implication qui fait des miracles ou qui vous fait défaut et qui anéantit ainsi toute forme de progression possible.
Nous ne parlerons pas là du muscle cardiaque et des muscles lisses sur lesquelles notre volonté, en tout cas sur ce que la science sait aujourd’hui, n’a pas d’influence.
Voilà donc le processus pour augmenter son volume musculaire.
Sachez qu’elle est avant tout étroitement liée à l’inactivité.
Tous les pratiquants de musculation savent à quel point ils perdent rapidement leur volume musculaire, leur force, leurs qualités physiques d’un point de vue général.
Je vous conseille de lire cet article intéressant sur ce phénomène.
La perte de la masse musculaire est également associée à l’âge et à une maladie dégénérative, la Sarcopénie.
La « Sarcopénie » est un syndrome lié au vieillissement, un de ses symptômes correspond à une perte progressive et généralisée du volume musculaire ainsi que de la force.
La dégénérescence musculaire est aussi la résultante de maladies, notamment du cancer, de l’hyperthyroïdie et de certaines infections.
L’atrophie musculaire peut aussi s’expliquer par une mauvaise absorption des nutriments qu’engendrent notamment la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn et la maladie coeliaque.
Il est donc aisé de comprendre que la graisse et le muscle sont deux entités totalement distinctes, possédant des structures moléculaires parfaitement différentes.
Vous pouvez, sans aucun doute, perdre de la graisse et d’autres part, prendre du muscle, ce ne sont pas deux choses incompatibles.
Mais il ne pourra jamais y avoir aucune transformation de l’un en l’autre.
Ai-je besoin de souligner que l’inverse ne sera pas possible non plus, le muscle ne peut pas se transformer en graisse.
Vous l’aviez compris je pense.
Vous pourrez à présent affirmer que la graisse ne se transforme pas en muscle et en expliquer le processus.
Ce que je vous explique vous semble logique.
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
J’ai écrit un bon nombre d’articles, sur l’alimentation, la nutrition, les différents régimes.
En voici quelques liens:
Comment conserver sa masse musculaire en vieillissant ?
Perdre du poids n’est pas la finalité
Et bien d’autres articles que vous trouverez sur mon blog.
Je n’ai finalement d’autres objectifs que de transmettre le plus simplement possible l’intérêt majeur de s’alimenter convenablement, justement, avec une parfaite conscience des aliments consommés, simples, biologiques ou cultivés / élevés dans les règles de bonnes pratiques, exempts le plus possible de chimies destructrices et de préférence, issus de circuits courts.
Le plus important, c’est vraiment le processus qui unit l’alimentation à nos esprits et à nos corps.
Aimer ce que l’on fait pour que ça nous fasse du bien.
L’alimentation est véritablement au centre de tout.
Elle est au centre de notre vie, au centre de LA vie.
Elle est l’objet central de marchés faramineux, les plus gros marchés, les plus juteux, ceux qui déclenchent des mouvements financiers capables de déstabiliser des pays.
–L’énergie certainement aussi puissante économiquement que l’énergie fossile, nucléaire et renouvelable confondues.
–L’énergie à essayer de comprendre comment elle fonctionne, pourquoi nous rend-elle si malade, Ou tout au contraire, pourquoi fait-elle de nous des individus en parfaite santé ?
–L’énergie vitale, vibratoire, qu’elle déclenche lorsque nous y pensons et lorsque nous la consommons.
-Et l’énergie qu’elle produit et que l’on mesure par l’unité kilocalories ou kilojoules.
C’est de cette dernière dont j’aimerais m’entretenir avec vous.
Ils sont pour la plupart composés d’une combinaison de macro nutriments énergétiques:
Les protéines, les lipides, les glucides dont les différentes proportions les qualifient d’aliments glucidiques, protéinés ou lipidiques.
Ils sont composés parfois de fibres mais également d’un certain nombre de micro nutriments, comme les vitamines et les minéraux.
Chaque gramme de ces nutriments possède une valeur énergétique :
En aparté, chaque gramme d’alcool est équivalent à 7 kilocalories, je n’en ferai pas cas dans cet article, car je préfère me concentrer essentiellement sur l’alimentation et non pas sur le poison.
Je vous invite à lire mon article:
L’apéro, l’addition est salée !
Que vous consommiez cette pomme merveilleuse, ramassée sur l’arbre du jardin de votre grand-mère, cette pomme qui a poussé avec amour et sans l’ombre de pesticides, d’engrais ou d’autres traitements chimiques, ou que vous consommiez ces gâteaux apéritifs gorgés d’adjuvants chimiques, d’huile de palme hydrogénée et de soja génétiquement modifié, vous ingérez des calories.
Les valeurs et les qualités nutritionnelles de ces deux aliments sont totalement différentes, ainsi que la qualité des apports en micro nutriments et en fibres mais néanmoins, vous apportez des calories donc de l’énergie à votre organisme.
Il faut vraiment que cette notion soit claire et totalement comprise.
Vous consommez 1 kg de raisin, c’est-à-dire une grosse grappe, ce sont 700 calories issues essentiellement des glucides que vous injectez dans votre organisme.
À ce propos, le sucre contenu dans les fruits est appelé « fructose ».
Malgré sa structure moléculaire qui en fait un sucre simple, il possède néanmoins un index glycémique bas.
La consommation excessive de sucres rapides, à répétition et de façon prolongée finit par dérégler le pancréas, celui-ci épuisé de devoir sécréter à outrance de l’insuline, finit par induire, à terme, le diabète et son cortège de restrictions alimentaires.
Nous avons donc affaire à un aliment d’excellente qualité particulièrement si il est de saison, biologique et provenant de circuit court.
Il est riche en phytomicronutriments (caroténoïdes, polyphénols…), en trans-resvératrol (plus important pour le raisin noir) connu pour leurs propriétés antioxydantes, anticancérigènes et antitumorales.
Je vous invite à lire cet article scientifique qui traite des bienfaits et de la composition du raisin (il est en anglais.)
C’est donc un aliment d’excellence mais néanmoins très calorique et particulièrement de la façon dont on le consomme.
Nous avons une espèce de manie à l’instar des cerises, (aussi caloriques que le raisin) ou des amandes, des pistaches, des cacahouètes, environ 10 fois plus calorique pour ces dernières, à toujours y revenir.
vous savez, cette sorte d’appétence qui fait que l’on n’a pas envie de s’arrêter une fois que l’on a commencé
900 kcalories pour 100 ml !
Soit environs un petit verre.
Soit 30 % plus calorique que la crème fraîche épaisse.
Elle est effectivement riche en acides gras essentiels, comme le sont d’ailleurs beaucoup d’huiles végétales, mais elle est un incroyable « weight gainer* ».
*(nom que l’on donne aux aliments qui facilitent la prise de poids)
La quantité est donc un point important qui doit vous alerter.
Nous grossissons par excès, peu importe que votre alimentation soit médiocre ou de grande qualité, c’est réellement les apports caloriques trop importants qui font le « stockage ».
Le rapport des nutriments, c’est-à-dire le pourcentage de protéines, de lipides et de glucides, a évidemment aussi une incidence sur l’accumulation plus ou moins importante du tissu adipeux.
J’ai coutume de faire une analogie avec les finances.
Si vos rentrées d’argent, vos apports, sont plus importants que vos dépenses, alors, vous capitalisez, vous stockez.
Chaque mois je gagne 2000 € et je n’en dépense que 1000, j’accumule ainsi chaque mois 1000 €.
À ce rythme, au bout d’un an, j’aurai capitalisé 12 000 €.
Au bout de 10 ans, 120 000 €.
Pour les apports et les dépenses énergétiques, c’est exactement le même modèle.
Par exemple, vos dépenses énergétiques, qui se composent du métabolisme de base, l’énergie nécessaire pour assurer les fonctions vitales, plus les dépenses liées à vos diverses activités, y comprit professionnelles et sportives, sont égales à 1800 kilocalories par jour et vos apports, votre alimentation, sont équivalents à 2500 kilocalories / jours, alors, la différence, l’excédent représente 700 kilocalories.
Comme pour les finances, vous aurez mis de côté un joli tapis.
Je pense qu’expliqué ainsi, la situation est nettement plus claire.
Vous avez compris que si vous inversez la tendance, et donc si vous apportez moins que vous ne dépensez, alors, l’opération inverse se produit: vous déstockez.
Vous démobilisez petit à petit les calories stockées et les graisses deviennent ainsi votre carburant.
Vous voyez, le principe est simple.
Il est également simple de comprendre que d’avoir perdu votre surcharge adipeuse ne vous garantit pas, ad vitam aeternam, de ne pas la reprendre.
Ce n’est qu’une question simple de mathématique, addition et soustraction.
Je partage avec vous le lien d’un article que j’ai écrit sur les fluctuations de poids que l’on appelle le « yo-yo »:
Je conclurais en vous interpellant sur votre responsabilité et par la même occasion sur votre pouvoir de régler vos problèmes de prise de poids.
L’époque si particulière que nous vivons actuellement où l’on nous infantilise et où l’on nous enlève nos responsabilités et par la même occasion nos libertés, devrait nous alerter sur le malaise profond de l’ingérence.
Ils vous glisseront insidieusement dans l’esprit que vous ne pourrez jamais, parce que vous êtes malades ou parce que c’est trop tard que l’âge a fait son œuvre…
Laissez-moi vous dire une chose: vous pouvez avoir tout un tas de facteurs limitants à la perte de poids, hypothyroïdie, ménopause, andropause, traitement aux corticoïdes…
C’est toujours l’excès qui vous fera grossir.
Je vous le répète à nouveau, la règle est simple et factuelle: mangez moins et vous perdrez la surcharge qui vous pèse dans tous les sens du terme.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Au-delà de l’alimentation elle-même, s’érigent des dogmes, des philosophies, des religions.
Pays, communautés, groupes, partis politiques, courants de pensées, religions, je le répète, nourrissent la division.
Autant de clivages, autant de discordes.
L’alimentation et ses courants alternatifs sont devenus passionnels avec en point d’orgue des enjeux économiques monstrueux.
La guerre est déclarée !
Chacun s’appuyant sur des études imparables, des vidéos qui expliquent tout, à charge pour les autres façons de s’alimenter bien évidemment.
« La meilleure alimentation c’est la mienne, c’est certain !
La preuve c’est que tous les gens qui se sont engagés dans cette alimentation ont vu leur santé s’améliorer, leurs performances augmentées… »
Ils sont même devenus plus beaux et plus intelligents.
Il se développe une quantité d’arguments tous plus prosélytiques les uns que les autres.
Nous devenons les représentants de commerce du Vegan, du régime Keto, du régime Paléo, de l’alimentation crue, vivante, biologique etc. etc.
Je ne fais certainement pas exception à la règle.
J’ai été, durant une grande partie de mon existence, engagé moralement pour telle ou telle cause et parfois avec la verve dithyrambique d’un pasteur Œcuménique.
Ce ne sont finalement que de piètres combats, des combats de quartier, de petites chapelles sans clocher, parfois même des engagements du niveau de discussions de « comptoir » qui ne font pas avancer l’humanité…
C’est précisément ce que je pensais de moi et ce que je pense toujours des prêcheurs de troisième division.
Je crois avoir rectifié le tir et posséder aujourd’hui une approche holistique, moins fragmentée, moins divisante.
Auparavant, lorsqu’on avait des choses à dire, l’écoute était restreinte, elle se cantonnait à son cercle, à sa petite cour.
La toile se nourrit ainsi d’une quantité indigeste de philosophes en carton.
YouTube n’existerait quasiment pas sans ces grands théoriciens.
Nous avons évidemment tous le droit d’avoir des idées et de les partager, c’est certainement d’une grande richesse…
…peut-être pas toujours.
Il est d’une importance capitale de voir les choses dans leur ensemble et de son propre prisme, en utilisant encore ce merveilleux libre arbitre qui est probablement notre meilleur ami et que nous devons chérir et cultiver.
Ainsi, les outils les plus utiles que nous ayons à notre disposition sont : l’auto-observation, apprendre de ses erreurs, être honnête envers soi-même et le développement de sa curiosité afin de mieux comprendre ce que l’on mange réellement.
Les Grecs disaient que chaque symptôme était en réalité une visite des dieux.
Toi tu vois la maladie alors qu’en réalité c’est la cure.
Toi tu vois un problème alors que c’est en fait la solution.
Dans cette recherche introspective en association avec votre alimentation, voici une question fondamentale qu’on peut se poser:
Qui êtes-vous lorsque vous vous mettez à table ?
Êtes-vous le petit garçon ou la petite fille, le rebelle, la victime, le juge, le loup, le perfectionniste, celui à la recherche de plaisir, L’ado…?
Cela déterminera certainement ce que vous devriez manger et combien vous devriez en manger.
Et d’autre part, qui êtes vous ?
Vous êtes nés en Afrique de l’ouest, vous êtes Inuit, asiatique, suédois…
Votre culture culinaire ancestrale compte beaucoup également.
Ces vieilles habitudes ancrées, ce patrimoine viscéral inscrit depuis des générations dans votre chair et dans votre esprit.
Prenez-vous le temps de manger, de savourer pleinement ?
Un plat préparé avec amour n’a pas la même saveur qu’un plat fait ou acheté à la va-vite.
Il est primordial que vous éprouviez de la satisfaction lorsque vous mangez et que vous ressentiez du plaisir.
Être repus ou atteindre la satiété n’est pas suffisant.
Le plaisir est réellement un ingrédient essentiel.
Mangez quelque chose d’insipide ou qui ne vous procure aucun plaisir et vous verrez que vous allez rapidement vous lever pour aller chercher un aliment qui vous procurera satisfaction.
Il faut à tout prix éviter le stress, la colère et l’anxiété lorsque vous mangez.
Privilégiez la joie, la bonne humeur ou du moins la paix.
Mangez en étant heureux et vous verrez que votre digestion n’en sera que plus aisée.
Et surtout, bannir la colère et l’anxiété au cours des repas.
Pour conclure, évidemment il est souhaitable d’éviter l’alimentation industrielle qui ne vous veut pas du bien.
Je m’explique sur ce point, vous avez peut-être la possibilité de cultiver vous-même dans l’amour de la pratique ou de connaître des producteurs et des éleveurs éthiques.
Dans ces conditions, vous conscientiserez forcément avec beaucoup plus de profondeur et de plaisir ces aliments que vous savez de qualité.
Finalement, le plus important c’est que vous soyez en conformité avec ce que vous mangez, que vous vous sentiez bien et que cette alimentation que vous avez choisie vous fasse vibrer.
Il y a de multiples signes évidents que l’on refuse d’écouter et qui trahissent que vous n’êtes pas alignés ou en accord avec vos repas.
Se sentir mal est une raison grandement suffisante pour changer les choses et ne pas persister dans la mauvaise direction.
Prenons soin de nous, faisons nous du bien.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Tout d’abord, perdre vraiment du poids, n’est pas le perdre un jour, c’est le perdre toujours.
Vous en conviendrez, à chaque fois que vous vous engagez dans un régime, c’est avec l’espoir que le problème de surpoids soit résolu définitivement.
Les mêmes difficultés, les mêmes frustrations…
Pourquoi est-ce si difficile?
Pourquoi avons-nous autant de difficulté à maintenir la perte de poids?
Nous manifestons la volonté et même le désir ardent de vouloir, plus que tout, quelque chose et parfois même quelqu’un.
Nous voulons de l’argent, gagner 10 000 € par mois, remporter le super loto et peut-être même toucher un formidable héritage d’un oncle d’Amérique.
Je veux ce corps athlétique, sec, musclé et fort avec les mêmes proportions, la même esthétique.
Cette voiture de sport de plus de 300 000 € devient un véritable rêve.
Cette superbe montre, dont il existe quelques modèles dans le monde, est devenue une formidable source de motivation.
Nous voulons ressembler à cette icône du fitness, à ce chanteur ou à cet acteur.
Ce mimétisme devient même troublant: corps, visage et même les traits de caractère deviennent similaires.
Nous voulons cette femme ou cet homme et nous sommes prêts à faire n’importe quoi pour l’obtenir.
Qu’est-ce qui se cache derrière ces attitudes quelques fois obsessionnelles ?
Finalement le but avoué ne serait-il pas uniquement l’arbre qui cache la forêt ?
La perte de poids ne serait-elle pas le prétexte, l’outil pour accéder à autre chose ?
Le problème n’est pas résolu, il ne peut d’ailleurs pas l’être puisqu’il n’est pas la cause véritable.
Perdre du poids pour perdre du poids n’a aucun sens.
Comprenez-vous ?
Quelle est la raison ou les raisons qui ont déclenché cette envie de perdre du poids ?
Oui bien sûr, les raisons peuvent être médicales et de fait, impératives.
Je parle des sous-jacents, des inavouables, ceux que l’on ne s’avoue même pas à soi-même…
Ces tristes émules égoïques, ces manifestations d’un ego meurtri, nos sentiments de souffrance, qui ont généré chez nous cette hausse du poids exponentielle.
Comme la majorité de nos traumatismes, les graines perfides prennent racine dans notre enfance et commencent à développer leurs fruits empoisonnés quasiment toujours pendant l’adolescence.
Ce mal être persistant initiateur de tant de désordres physiques.
En aparté, parents que nous sommes, nous devrions à ce sujet et très objectivement prendre notre part importante de responsabilité dans le processus qui a conduit nos enfants à s’alourdir de la sorte.
Les parents, parfois inconscients du mal qu’ils peuvent causer, et qui nourrissent de leur bénédiction le terreau où la graine frelatée grandit.
Ceci est un autre sujet, que je prendrai plaisir à traiter lors d’un prochain article.
Pourquoi voulons-nous perdre du poids ?
Tout d’abord parce qu’on en a pris et beaucoup trop pris, c’est évident !
Il y va quelque fois de notre salut, de notre intégrité physique mais fort souvent les raisons sont toutes autres, elles sont liées aux déclencheurs enfouis dans les méandres de nos relations passées, entre autre avec nos parents, dont je parle ci-dessus.
Les déclencheurs sont nombreux: L’humiliation, l’oppression, le manque d’amour, le manque d’attention, le manque de compréhension et de considération, les déceptions multiples, le manque d’estime de soi, les frustrations, la culpabilité, le besoin d’être accepté, d’être conforme au groupe…
La liste est longue et non exhaustive.
Tous ces fardeaux, ces enclumes, ces croix que l’on traîne de sa prime enfance et la plupart du temps jusqu’à sa mort, fabriquent la personne addictive à l’alimentation outrancière que nous sommes aujourd’hui.
Vous pourrez suivre tous les régimes du monde, élaborés par les plus grands nutritionnistes, avec les aliments les meilleurs qui soient, in fine, cela n’aura pas plus d’efficacité qu’un pansement sur une jambe de bois.
Parlez-vous à vous même, comprenez et identifiez ce qui se cache derrière ce dérèglement et traitez la cause.
Vous l’avez compris, c’est à vous maintenant de prendre les rênes, d’endosser pleinement vos responsabilités.
Identifiez le ou les déclencheurs, en vous faisant aider au besoin par la lecture, l’éveil à la spiritualité, par une personne de confiance, un thérapeute…cherchez et vous trouverez la voie, frappez à la bonne porte et l’on vous ouvrira.
Parce que de comprendre la cause, nous permet en fait d’agir concrètement.
Comprenez qu’il n’est pas ici question de trouver un coupable, de blâmer encore quelqu’un ou quelque chose pour nos problèmes.
Bien au contraire, il est question de comprendre, de se responsabiliser et d’enfin prendre les choses, sa vie et son poids en main.
Et vous verrez qu’enfin..
…comme par enchantement, vous perdrez votre poids mais surtout vous ne le reprendrez pas.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
L’alimentation est omniprésente.
On pourrait même dire qu’elle remplit notre existence.
Nous la voyons partout, en vidéo, à la télévision, sur des panneaux d’affichage monumentaux, sur des maillots de sportif…
Les mêmes questions plusieurs fois par jour nous taraudent:
Qu’est-ce que nous allons bien pouvoir manger en entrée, en plat de résistance, en dessert ?
Dans quel restaurant allons-nous bien pouvoir diner ce week-end?
C’est un véritable casse-tête!
Mais bon, moi je suis un bon vivant, je sais ce que c’est que de bien manger et de bien boire !
A ce sujet, je vous engage à lire un autre de mes articles :
« Il faut que je me mette au régime pour la énième fois ! »
« Je n’en peux plus, j’ai tellement grossi, j’en suis malade, physiquement et psychologiquement, je ne peux plus me supporter. »
« Je ne peux plus m’habiller, je ne veux plus me mettre en maillot, je ne veux plus me dévêtir devant mon mari / ma femme, je n’ose même plus sortir… »
Nous pouvons comprendre cette attitude kafkaïenne.
Notre pauvre esprit, notre faible esprit est tiraillé entre la volonté de bien s’alimenter et la gourmandise… cette insatiable gourmandise suscitée par la publicité omniprésente et les occasions pléthore de « Beuveries ».
Les ingénieurs agroalimentaires aidés par les ténors du marketing ont pour mission de nous remplir comme des outres et que ça déborde de tous les côtés.
Je me demande s’ils n’auraient pas des accointances avec les laboratoires pharmaceutiques qui prendraient le relais dès que se développeraient toutes ces pathologies morbides liées à la mal bouffe…
Bon, j’ai peut-être un peu trop d’imagination…
Le combat est âpre, il faudra nettoyer votre esprit pour qu’il devienne fort et qu’il se transforme alors en un précieux allié.
Vous vous mettrez donc au régime, à la diète, à l’équilibre alimentaire, au rééquilibrage etc. etc. etc…
Peu importe, tous ces mots pour dire finalement la même chose.
Et je vous l’assure, nous allons devoir en perdre des tonnes, des tonnes et des tonnes de cette graisse au prorata de la surproduction et par conséquent de la surconsommation programmée.
Il vous faudra redoubler de vigilance, de libre arbitre, de méthode, d’abnégation, d’une volonté à toute épreuve pour déjouer les pièges hostiles de l’ennemi.
Vous allez donc devoir nourrir votre esprit d’autres choses que de publicités lobotomisantes et de pensées collectives qui iront toujours dans le sens de la consommation et du profit.
Pas le vôtre…
Je vais donc vous donner quelques conseils qui fonctionnent à cent pour cent.
qui vous passionne, qui vous remplit l’esprit d’images et d’émotions.
Ce sont des activités qui monopolisent votre corps et votre esprit.
comme la peinture, la sculpture, la musique ou la danse.
Pratiquez une activité physique qui vous plaise, avec laquelle vous vous sentez bien. Une activité sportive motivante.
en campagne, dans un bois ou une forêt de préférence. C’est régénérant et fondamental pour se sentir connecté et proche de l’essentiel.
C’est valorisant de donner de son temps et / ou de son argent pour celles et ceux qui en ont besoin. Très important pour l’estime de soi-même.
Elle est particulièrement anxiogène et distille trop de violence, de publicités alimentaires toxiques, trop d’informations erronées. Il en est de même pour la radio.
Ecoutez des podcasts sur des sujets passionnants ou alors des débats intéressants. Visionnez des vidéos motivantes et qui vous poussent à l’action. Ouvrez votre esprit : l’heure est à l’écoute, au questionnement et à la remise en question. Vous en sortirez grandis.
Méditez, visualisez, priez plus souvent. Ecoutez votre esprit.
Pour agir et changer, il faut comprendre ce que l’on fait. Lisez, documentez-vous, instruisez-vous sur l’étiquetage et la nutrition.
C’est un état de souffrance qui facilite la consommation d’aliments toxiques.
Plus vos pensées seront claires et limpides, plus vôtre esprit sera positif et occupé à des tâches valorisantes, et moins vous laisserez la place à l’addiction alimentaire et particulièrement aux aliments gras et sucrés car
derrière la surconsommation se cache un état de souffrance.
Ainsi, beaucoup de vos problèmes se régleront et particulièrement cet insupportable et préjudiciable addiction à la mal bouffe.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
C’est de notoriété publique, plus vous vieillissez et plus le physique se dégrade.
Plus les années passent, particulièrement à l’approche de la ménopause chez les femmes ou en ménopause, et plus il est difficile d’obtenir des résultats.
Cet état chez l’homme arrive rarement au même âge que la ménopause chez la femme.
Il arrive en général beaucoup plus tard.
Il est à souligner que dans quelques cas, cette « fin de cycle » peux ne jamais arriver chez l’homme et se produire parfois très tardivement chez les femmes, au-delà de 60 ans.
Nous récupérons moins bien, nous nous réparons moins bien, nous fabriquons moins rapidement du tissu musculaire et le tissu adipeux, le gras, a une tendance à s’accumuler plus rapidement.
Nous perdons progressivement de la souplesse, notre structure s’affaisse et se soude…
Quel merveilleux tableau !
Le vieillissement est pris comme une fatalité accablante contre laquelle on ne peut pas grand-chose.
On peut le comprendre.
Nous naissons, nous vivons et nous mourrons.
Est-ce que nous pouvons freiner le processus ?
Avons-nous un pouvoir quelconque sur ce triste schéma ?
Je le pense sincèrement et je ne suis évidemment pas le seul à le penser.
Vous pouvez agir sur plusieurs facteurs et améliorer considérablement la façon dont vous allez vieillir.
Comprenez-vous que vous pouvez agir sur votre vie, sur la façon dont vous vieillissez, c’est acté, nous le savons.
Imaginez-vous alors ce que vous pouvez faire pour votre ventre.
Je ne parle pas forcément d’avoir un ventre très musclé avec des abdos super apparents…
… mais au fond, si tel est votre souhait, pourquoi pas.
Reprenez les cinq facteurs déterminants que je décris ci-dessus:
La première des choses serait que vous ayez un vrai désir pour cela.
Une réelle détermination, pas un jour comme une simple lubie mais durant quelques semaines et pourquoi pas toute une vie…
Cela vous évitera de recommencer à zéro à chaque fois.
Avoir envie, cultiver votre désir, visualiser vos résultats est le départ du processus.
Comme pour chaque décision importante ou chaque changement de direction, il doit y avoir un déclencheur qui donnera forme au projet.
Je veux ardemment, sans aucun doute un ventre plat, beau et tonique… et Je l’obtiens.
Changez-là !
Ne continuez pas à manger ce que vous mangez habituellement, cette alimentation qui contribue à augmenter votre masse grasse.
Mangez hypocalorique et protéiné pendant quelques temps jusqu’à obtenir les résultats que vous souhaitez.
S’alimenter pour la super sèche partie 1
S’alimenter pour la super sèche partie 2
Ensuite vous pourrez basculer sur une alimentation équilibrée qui vous permettra de maintenir les résultats.
Mais vraiment, changez ce qui ne fonctionne pas pour quelque chose qui fonctionne enfin.
Voici le lien d’un de mes articles sur ce sujet, qui pourra vous aider.
Le seul régime qui fonctionne à tous les coups !
Pour améliorer votre sangle abdominale, il faudra forcément faire quelques exercices, de façon répétée et avec passion.
C’est en cultivant son potager avec amour que l’on fini par obtenir des légumes de qualité.
Je ne connais pas d’autre approche.
Je ne suis ni spécialiste et bien sûr ni adepte de cette pratique.
Ne pas faire, ne pas s’impliquer physiquement dans la démarche aura forcément une incidence sur les résultats.
Nous pourrions parler d’écosystème, celui-ci est évidemment très important.
Il vous influence et vous pouvez parfois même, également, l’influencer.
Si vous ne trouvez pas dans votre univers soit une ou plusieurs sources de motivation, cela peut rendre l’objectif plus difficile à réaliser.
Les endroits que vous fréquentez, vos lectures, les émissions ou les vidéos que vous regardez, votre emploi, vos hobbies, la région où vous résidez…
S’il le faut, changez votre écosystème !
Changez cet emploi qui ne vous convient peut-être plus, changez vos hobbies et pourquoi pas, changez de région…
Si autour de vous, vos amis, votre famille n’ont que faire du contrôle de l’alimentation et de la pratique sportive…
…Que pour votre entourage, un ventre avec peu de graisse, tonique et sexy n’a vraiment aucun intérêt et que cela ne fait vraiment pas partie de leur univers, vous ne puiserez donc pas la moindre motivation ou le moindre exemple auprès d’eux.
Vous serez parfois dans l’obligation de vous préserver et de fréquenter ainsi des personnes motivantes capables d’insuffler chez vous un élan supplémentaire pour la réalisation de vos objectifs.
Il n’y a évidemment aucun mal à cela.
On vous le reprochera peut-être mais le plus important, c’est vous.
En conclusion, si améliorer votre ventre peut vous apporter du bien-être, de la valorisation, une certaine harmonie, alors mettez toutes les chances de votre côté.
Envisagez la réalisation de cet objectif de façon holistique en tenant compte de tous les paramètres que je décris ci-dessus.
C’est ainsi que vous y arriverez à coup sûr, même au delà de 40 ans, je n’en doute pas un instant.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Vous n’êtes pas victimes du yo-yo, vous êtes bien adeptes du yo-yo.
J’insiste sur la notion de responsabilité que contient ce titre.
Mais je vous le garantis, ça ne s’arrête pas uniquement à l’accointance avec la nutrition.
Quelle définition pourrions-nous donner au « yo-yo » ?
Pour un bon nombre d’entre vous, nous pourrions également qualifier de « yo-yo », la relation discontinue que vous avez avec le sport.
Vous en faites de façon saisonnière, pourrions-nous dire.
Quelques semaines par an et même pas chaque année…
Un coup vous êtes dedans et puis vous n’y êtes plus du tout.
Non seulement parce que vous avez freiné la dépense énergétique mais aussi et surtout parce que vous cherchez à échapper aux règles…
…non pardon, vous vous échappez des règles que l’on peut associer à la discipline sportive, à savoir le contrôle de l’alimentation, entre autres.
Ne vous méprenez pas, ayez autant que possible un regard objectif sur la situation.
Un peu comme l’arrêt de la cigarette qui vous a fait grossir…
Si ce n’est plus la cigarette, ce sera l’alimentation ou autre chose.
En terme médical, nous pourrions parler de traitement palliatif et non pas de traitement curatif.
La manifestation de la souffrance ne se traduit plus par l’alcool, la cigarette, la drogue, le jeu ou l’intérêt exacerbé pour le sexe mais par l’alimentation à outrance.
Parfois certaines et certains les cumulent…
Bien évidemment, le problème n’est pas réglé.
Il est plus aisé de jeter la faute et parfois le discrédit sur les autres.
Il est plus simple de renvoyer la responsabilité sur une situation, des outils, des circonstances…
C’est la faute du régime !
C’est la faute des événements si j’ai eu un accident.
Mes problèmes de santé, je n’y suis pour rien, c’est héréditaire !
Pour ma part, je n’irai jamais chercher bien loin…
Je pense que nous sommes toujours responsables de ce qui nous arrive.
Je comprends, dit comme ça, que bon nombre d’entre vous s’offusquent et me sortent leurs sempiternels contre-argumentation.
« Ah oui alors quand tu as un accident de la route et qu’on est venu te percuter alors que tu étais sur ta voie, c’est de ta faute ? »
« Un enfant qui tombe malade c’est de sa faute ? »
« Tu es victime d’une escroquerie, on t’a pris tout ton argent et là aussi c’est de ta faute ? »
Je ferai très bientôt un article dans lequel je détaillerai les mécanismes d’acceptation de sa propre responsabilité.
Ces mécanismes sont à la fois spirituels et quantiques.
Pour revenir notre sujet… le « yo-yo » n’est pas lié à autre chose qu’à votre responsabilité et par conséquent à la façon dont vous vous comportez.
Il faut impérativement que vous en ayez conscience pour que cessent les « montagnes russes ».
Le régime qui vous a fait perdre du poids, ce régime hypocalorique, car il n’est question de rien d’autre, n’est pas la garantie à vie que vous garderez cette perte de poids.
L’avez-vous compris ?
Vous aviez cessé pendant deux mois, l’alcool, la tartiflette, la charcuterie et les litres de glace.
Vous avez donc perdu du poids.
Attention, il n’est pas ici question de régime à vie mais d’évoluer vers un équilibre raisonné, avec gestion.
Vous décidez, ce n’est pas l’alimentation qui décide pour vous.
Nous vivons une époque « excusante »où il est exclu de faire porter la responsabilité de quoi que ce soit à qui que ce soit.
Tant que vous pensez n’avoir aucune influence sur les événements et surtout sur votre propre vie rien ne changera.
responsable ne veut pas dire coupable.
Il y a d’ailleurs un excellent sketch des inconnus qui met en scène un homme politique véreux dont la phrase comique de répétition est :
« responsable mais pas coupable»
Nous ne devons donc pas nous sentir coupables…
Je suis absolument d’accord, se sentir coupable avec tout le cortège de sentiments bas de souffrance qui va avec, n’a vraiment aucun intérêt.
Pas de culpabilité, simplement de la responsabilité.
Comme si votre vie était opaque et que subitement tout devenait plus clair.
Ce voile qui plombait votre existence disparaît miraculeusement, vous avez le pouvoir de faire, d’avoir et d’être vraiment.
Vous décidez !
Si vous aviez décidé de changer de philosophie alimentaire, plutôt que de réintroduire toute cette mal bouffe qui avait fait de vous un malade en puissance, vous auriez alors, aujourd’hui, conservé la forme, la santé et votre perte de poids.
Nous rencontrons exactement la même attitude dans les salles de remise en forme.
Mais également concernant le sport pratiqué à la maison ou en extérieur.
Ce n’est certes pas la faute du matériel, de la salle, de sa fréquentation ou de votre programme d’entraînement à la maison…
À votre décharge, il est vrai que vous n’êtes pas ou peu suivi à moins d’avoir recours à un coach ou a un système de coaching bien ficelé.
A ce propos, jetez un œil sur mes programmes:
Cette option n’est pas toujours heureuse : les transmissions du savoir et de la passion, ne sont pas toujours au rendez-vous.
C’est toujours vrai aujourd’hui, j’ai du plaisir à recevoir l’enseignement de certains auteurs et conférenciers plutôt que d’autres.
Mais je m’intéresse et persiste et je trouve le ou les bons instructeurs qui me feront alors évoluer.
Néanmoins, pourquoi vous ne progressez pas physiquement ?
Parce que vous ne vous entraînez pas.
Cela fait près de 40 ans, 38 ans exactement que je fréquente les salles de fitness, musculation, remise en forme… L’appellation a peu d’importance, c’est comme vous voulez.
Et je constate inlassablement les mêmes attitudes.
Je peux vous assurer que le match est joué d’avance.
En tous les cas jamais de cette façon.
Cela fait 10 ans que vous fréquentez la salle de sport et parfois même beaucoup plus, sans progression et même très souvent avec régression au fil des années.
Pourquoi répétez-vous avec autant de pugnacité toujours le même fonctionnement qui finalement ne marche pas ?
Il VOUS suffirait de prendre une bonne résolution.
Dites stop à ce qui ne vous réussit pas, faites ce qui marche.
Copiez les personnes qui ont réussi à maintenir leur poids et à garder une forme et une santé pérennes.
Vous comprendrez enfin que le dénominateur commun de toutes ces réussites outre le désir est LA RÉGULARITÉ.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Vous êtes perdus au milieu de toutes ces philosophies.
Vous errez dans le dédale de tous ces régimes.
Qu’ils soient hyper protéiné, Keto, jeûne intermittent, régime dissocié, préhistorique…
Ah non désolé, je voulais dire paléo, les régimes mono aliment, les régimes en fonction de votre rhésus sanguin…
Les régimes Ayurvédiques….
Je vais vous livrer le secret, le seul régime qui fonctionne à tous les coups.
Comprenez vous ?
Le reste c’est du bla bla ….
Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla ….
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Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Il semblerait que l’apéro soit une des activités majeures autour de la convivialité et du partage.
Une activité incontournable, une pratique sociale, sociable, « sociabilisante » particulièrement aux beaux jours… Mais pas seulement…
L’alcool est la colonne vertébrale de l’apéro.
Quasi impossible d’organiser un apéro sans alcool.
Si tu ne bois pas d’alcool, tu n’es pas le bienvenu.
Faire l’apéro en buvant du Perrier ou du lait fraise est considéré comme un manquement grave à la déontologie du bon vivant.
A ce propos, je vous invite à lire mon article sur ce sujet:
Boissons | Quantité | Kcal par portion |
Vin rouge 12 ° | 1 verre de 10 cl | 70 |
Vin blanc sec | 1 verre de 10 cl | 70 |
Champagne brut | 1 flûte de 10 cl | 70 |
Kir | 1 verre de 8 cl | 75 |
Izarra | 1 verre de 3,5 cl | 105 |
Martini | 1 verre de 8 cl | 120 |
Ambassadeur | 1 verre de 8 cl | 112 |
Cinzano | 1 verre de 8 cl | 112 |
Pizang/jus d’orange | 1 verre de 15 cl | 156 |
Triple sec Curaçao 1 verre de 3, 5 cl | 1 verre de 3,5 cl | 106 |
Rhum agricole | 1 verre de 2,5 cl | 70 |
Porto | 1 verre de 5 cl | 90 |
Sherry doux | 1 verre de 5 cl | 77 |
Sherry dry | 1 verre de 6 cl | 51 |
Whisky | 1 verre de 4 cl | 110 |
Cognac | 1 verre de 3 cl | 70 |
Vodka/coca | 1 verre de 15 cl | 122 |
Bière Pils | 1 bouteille de 25 cl | 110 |
Kriek lambic | 1 verre de 20 cl (la bouteille de 25 cl) | 96 (116) |
Duvel | 1 verre de 15 cl (la bouteille de 33 cl) | 93 (204) |
Guinness Stout | 1 verre de 16,5 cl (la bouteille de 33 cl) | 115 (214) |
Chimay Brune | 1 verre de 14 cl (la bouteille de 33 cl) | 97 (230) |
Trappiste de Rochefort | 1 verre de 15 cl (la bouteille de 33 cl) | 114.5 (252) |
Vieux temps Blonde | 1 bouteille de 25 cl | 102 |
Abbaye de Leffe Brune | 1 verre de 19,5 cl (la bouteille de 25 cl) | 109 (137) |
Geuze Lambic | la bouteille de 25 cl | 103 |
Stella light | la bouteille de 25 cl | 90 |
Cidre | 1 verre de 15 cl | 50 |
Pineau | 1 verre 4cl | 50 |
Apéritif de base | 1 verre 4cl | 54 |
Apéritif à la gentiane | 1 verre 4cl | 60 |
Champagne | Flute en moyenne | 100 |
Pastis | 1 verre 4cl | 110 |
Madère | 1 verre 7cl | 112 |
Punch / Sangria | 1 verre 8 cl | 150 |
Muscat | 1 verre 15 cl | 240 |
Soda ordinaire | 1 bouteille de 33 cl | 130 |
Chips en tout genre, gâteaux apéritifs frits et croustillants aux arômes de bacon et autres saveurs exotiques.
Cacahouètes grillées et salées, mélanges de fruits secs, olives, tapas, fromages type « Apéricubes »… parfois quelques légumes crus… »
Aliments | Nombre de Calories (pour 100G) |
Bretzels | 370 Kcal |
Gressins | 400 Kcal |
Pop-corn | 420 Kcal |
Crêpes fourrées | 430 Kcal |
Galettes de maïs | 460 Kcal |
Soufflés goût cacahuètes | 470 Kcal |
Crackers (moyenne) | 500 Kcal |
Snacks pizza | 480 Kcal |
Frites | 480 Kcal |
Pétales | 490 Kcal |
Tortilla chips | 500 Kcal |
Chips de crevettes | 530 Kcal |
Tuiles | 540 Kcal |
Chips | 560 Kcal |
Mini-choux | 570 Kcal |
Mélange graines salées/raisins secs | 460 Kcal |
Cacahuètes | 600 Kcal |
Pistaches | 600 Kcal |
Noix de cajou | 600 Kcal |
Amandes | 600 Kcal |
Noisettes | 600 Kcal |
Noix de pécan | 600 Kcal |
Olives vertes en saumure | 120 Kcal |
Sauce mexicaine | 40 Kcal |
Sauce chili | 40 Kcal |
Guacamole | 200 Kcal |
Tapenade | 260 Kcal |
Olives à l’huile d’olives | 180 Kcal |
Olives noires en saumure | 290 Kcal |
Gougères | 360 Kcal |
Olives noires à la grecque | 340 Kcal |
Tartelette | 290 à 330 Kcal |
Feuilletés | 280 à 330 Kcal |
Petits fromages | 275 Kcal |
Pain surprise | 260 à 300 Kcal |
Canapés traiteur | 230 Kcal |
Saucisses cocktail | 250 Kcal |
L’énergie issue de l’alimentation s’appelle calories, plus précisément kcalories ou kjoules.
Sans bénéfice pour votre organisme donc pour votre santé.
C’est même évidemment tout le contraire.
On ne peut pas dire non plus que les calories issues des amuse-gueules aient des qualités nutritionnelles de premier ordre.
Un apéro:
Léger ce sera jusqu’à 500 calories.
Moyen entre 500 et 1000 calories.
Costaud au-delà de 1000 calories.
De la mort, plus de 2000 calories.
L’énergie consommée ci-dessous s’entend dans des conditions de pratique, je précise, active !
Non pas comme est pratiqué le cardio training par la majorité des adhérents dans les salles de fitness c’est à dire mollement, sans conviction, pour tuer le temps ou en piétinant sans amplitude sur un stepper.
Activité ou sport / heure | 60 kg | 70 kg | 85 kg |
Aquabiking (vélo dans l’eau) | 501 | 588 | 714 |
Aquagym (aqua-aérobic) | 236 | 281 | 345 |
Aviron, position assise, allure lente | 413 | 493 | 604 |
Aviron, position assise, allure modérée | 502 | 598 | 733 |
Aviron, position assise, allure très vigoureuse | 708 | 844 | 1035 |
Aviron, position assise, allure vigoureuse | 561 | 669 | 819 |
Aérobic, enseignement dans une classe | 354 | 422 | 518 |
Aérobic, faible impact | 295 | 352 | 431 |
Aérobic, fort impact | 413 | 493 | 604 |
Aérobic, général | 384 | 457 | 560 |
Badminton, en compétition | 413 | 493 | 604 |
Badminton, hors compétition | 266 | 317 | 388 |
Baseball | 295 | 352 | 431 |
Basket-ball, arbitrage | 413 | 493 | 604 |
Basket-ball, en fauteuil roulant | 384 | 457 | 561 |
Basket-ball, en match | 472 | 563 | 690 |
Basket-ball, général | 354 | 422 | 518 |
Basket-ball, tirs aux paniers | 266 | 317 | 388 |
Billard | 148 | 176 | 216 |
Bobsleigh | 413 | 493 | 604 |
Bowling | 177 | 211 | 259 |
Boxe, entraînement (mode sparring partner) | 531 | 633 | 776 |
Boxe, frappant les sacs | 354 | 422 | 518 |
Boxe, sur le ring, général | 708 | 844 | 1035 |
Broomball, ballon-balai, ballon sur glace | 413 | 493 | 604 |
Canoë-kayak, allure lente | 177 | 211 | 259 |
Canoë-kayak, allure modérée | 413 | 493 | 604 |
Canoë-kayak, en équipe, mode compétition | 708 | 844 | 1035 |
Catch, lutte | 354 | 422 | 517 |
Club de remise en forme, exercices, général | 325 | 387 | 474 |
Corde à sauter, allure lente | 472 | 563 | 690 |
Corde à sauter, allure modérée, général | 590 | 704 | 863 |
Corde à sauter, allure rapide | 708 | 844 | 1035 |
Course d’orientation | 531 | 633 | 775 |
Course à pied | 384 | 457 | 561 |
Course à pied, 10,8 km/h | 649 | 774 | 949 |
Course à pied, 11,25 km/h | 679 | 809 | 992 |
Course à pied, 12 km/h | 738 | 880 | 1078 |
Course à pied, 13 km/h | 797 | 950 | 1165 |
Course à pied, 13,8 km/h | 826 | 985 | 1208 |
Course à pied, 14,5 km/h | 885 | 1056 | 1294 |
Course à pied, 16 km/h | 944 | 1126 | 1380 |
Course à pied, 17,5 km/h | 1062 | 1267 | 1553 |
Course à pied, 8 km/h | 472 | 563 | 690 |
Course à pied, 9,5 km/h | 590 | 704 | 863 |
Course à pied, cross country | 531 | 633 | 776 |
Course à pied, en montant les escaliers | 885 | 1056 | 1294 |
Course à pied, général | 472 | 563 | 690 |
Course à pied, sur une piste, pratique en équipe | 590 | 704 | 863 |
Courses de chevaux, galopant | 472 | 563 | 690 |
Cricket | 295 | 352 | 431 |
Croquet | 148 | 176 | 216 |
Crosse | 472 | 563 | 690 |
Curling | 236 | 281 | 345 |
Cyclisme, 19 à 22 km/h, allure modérée | 472 | 563 | 690 |
Cyclisme, 22 à 25 km/h, allure vigoureuse | 590 | 704 | 863 |
Cyclisme, 25 à 30 km/h, très rapide, en course | 708 | 844 | 1035 |
Cyclisme, < 16 km/h, loisirs | 236 | 281 | 345 |
Cyclisme, > 32 km/h, courses | 944 | 1126 | 1380 |
Cyclisme, de 16 à 19 km/h, allure lente | 354 | 422 | 518 |
Cyclisme, VTT en montagne ou BMX | 502 | 598 | 733 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure lente | 325 | 387 | 474 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure modérée | 413 | 493 | 604 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure très lente | 177 | 211 | 259 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure très vigoureuse | 738 | 880 | 1078 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure vigoureuse | 620 | 739 | 906 |
Cyclisme, vélo d’appartement, général | 295 | 352 | 431 |
Danse (aérobic, ballet ou moderne) | 354 | 422 | 518 |
Danse (salle de bal, lente) | 177 | 211 | 259 |
Danse (salle de bal, rapide) | 325 | 387 | 474 |
Danse de salon (en couple), lente | 177 | 211 | 258 |
Danse de salon (en couple), rapide | 325 | 387 | 474 |
Danse, général | 266 | 317 | 388 |
Descendre l’escalier en marchant | 177 | 211 | 258 |
Dormir | 37 | 43 | 54 |
Déménager (déballant les cartons) | 207 | 246 | 301 |
Entraînement en circuit, général, peu de repos | 472 | 563 | 690 |
Equitation, général | 236 | 281 | 345 |
Equitation, marche | 148 | 176 | 216 |
Equitation, trot | 384 | 457 | 561 |
Escalade, varappe, ascension de rochers | 649 | 774 | 949 |
Escalade, varappe, descente en rappel | 472 | 563 | 690 |
Escrime | 354 | 422 | 518 |
Etirements, hatha yoga | 236 | 281 | 345 |
Etirements, léger | 148 | 176 | 215 |
Exercices corporels, à la maison, allure légère ou modérée | 266 | 317 | 388 |
Exercices corporels, à la maison, allure vigoureuse | 472 | 563 | 690 |
Football (exercices, course drapeaux, général) | 472 | 563 | 690 |
Football, mode compétition | 590 | 704 | 863 |
Football, occasionnel, général | 413 | 493 | 604 |
Frisbee (mode rythmé) | 207 | 246 | 302 |
Frisbee, général | 177 | 211 | 259 |
Frisbee, ultimate | 480 | 560 | 680 |
Gainage (sur les mains) | 410 | 480 | 580 |
Golf (mini-série ou frapper au loin) | 177 | 211 | 259 |
Golf (tirant les clubs) | 295 | 352 | 431 |
Golf (transportant des clubs) | 325 | 387 | 474 |
Golf (utilisant le chariot) | 207 | 246 | 302 |
Golf, général | 236 | 281 | 345 |
Gymnastique suédoise, maison, effort léger/modéré | 210 | 245 | 298 |
Gymnastique, général | 236 | 281 | 345 |
Haltérophilie, allure modérée | 177 | 211 | 259 |
Haltérophilie, allure vigoureuse | 354 | 422 | 518 |
Handball (jeu en équipe) | 472 | 563 | 690 |
Handball, général | 708 | 844 | 1035 |
Hockey sur gazon | 472 | 563 | 690 |
Hockey sur glace | 472 | 563 | 690 |
Jardinage, général | 295 | 352 | 431 |
Jaï-alaï (pelote basque) | 720 | 840 | 1020 |
Jeu de palet, de boulingrin | 177 | 211 | 259 |
Jogging, dans l’eau (aquajogging) | 472 | 563 | 690 |
Jogging, général | 413 | 493 | 604 |
Judo, jujitsu | 590 | 704 | 863 |
Karaté | 590 | 704 | 863 |
Kayak | 295 | 352 | 431 |
Kick Boxing | 590 | 704 | 863 |
Kickball | 420 | 490 | 595 |
Laver le chien | 207 | 246 | 302 |
Les Mills BodyAttack | 475 | 554 | 672 |
Les Mills BodyBalance/BodyFlow | 232 | 270 | 328 |
Les Mills BodyCombat | 481 | 561 | 682 |
Les Mills BodyPump | 325 | 379 | 460 |
Les Mills BodyStep | 478 | 558 | 677 |
Les Mills Grit | 549 | 641 | 778 |
Les Mills RPM | 449 | 524 | 637 |
Lire (en s’asseyant) | 67 | 79 | 97 |
Luge | 413 | 493 | 604 |
Marche rapide (ex. : parade militaire) | 384 | 457 | 561 |
Marcher/Courir, jouant avec enfant, allure modérée | 236 | 281 | 345 |
Marcher/Courir, jouant avec enfant, allure vigoureuse | 295 | 352 | 431 |
Natation sychronisée | 472 | 563 | 690 |
Natation, brasse papillon, général | 660 | 770 | 935 |
Natation, brasse, général | 590 | 704 | 863 |
Natation, dos, général | 472 | 563 | 690 |
Natation, laps, allure modérée | 472 | 563 | 690 |
Natation, laps, allure rapide | 590 | 704 | 863 |
Natation, papillon, général | 649 | 774 | 949 |
Natation, pour le loisir, général | 354 | 422 | 518 |
Natation, sur place, allure modérée | 236 | 281 | 345 |
Natation, sur place, allure rapide | 590 | 704 | 863 |
Nettoyage (voiture, fenêtres, etc.), lourd et vigoureux | 266 | 317 | 388 |
Nettoyage du garage, du trottoir | 236 | 281 | 345 |
Nettoyage du sol, utilisant mains et genoux | 325 | 387 | 474 |
Nettoyage, allure lente ou modéré | 148 | 176 | 216 |
Nettoyage, dans la maison, général | 207 | 246 | 302 |
Parachutisme | 177 | 211 | 258 |
Patinage sur glace, 14 km/h ou moins | 325 | 387 | 474 |
Patinage sur glace, allure rapide (> 14 km/h) | 531 | 633 | 776 |
Patinage sur glace, allure rapide (mode compétition) | 885 | 1056 | 1294 |
Patinage sur glace, général | 413 | 493 | 604 |
Patinage, roller | 413 | 493 | 604 |
Pelleter la neige, à la main | 354 | 422 | 518 |
Pilates | 150 | 175 | 213 |
Plongée en apnée (snorkeling) | 295 | 352 | 431 |
Plongée sous-marine, général | 413 | 493 | 604 |
Polo | 472 | 563 | 690 |
Pompes, intense | 474 | 553 | 672 |
Port de charges lourdes (comme des briques) | 472 | 563 | 690 |
Porter entre 12 et 22 kilos en montant l’escalier | 472 | 563 | 690 |
Porter entre 7 et 11 kilos en montant l’escalier | 354 | 422 | 517 |
Pousser ou tirer une poussette avec enfant | 148 | 176 | 216 |
Promenade à pied, 3 km/h, allure lente | 148 | 176 | 216 |
Promenade à pied, 5 km/h, allure modérée | 207 | 246 | 302 |
Promenade à pied, 5,5 km/h, en montée | 236 | 281 | 345 |
Promenade à pied, 6,5 km/h, allure très rapide | 354 | 422 | 518 |
Promenade à pied, en montant | 472 | 563 | 690 |
Promenader à pied, moins de 3 km/h, allure très lente | 118 | 141 | 172 |
Promener le chien | 177 | 211 | 258 |
Pédalo | 236 | 281 | 345 |
Racketball, jeu normal | 413 | 493 | 603 |
Racketball, mode compétition | 590 | 704 | 862 |
Rafting | 295 | 352 | 431 |
Rameur; allure lente | 207 | 246 | 302 |
Rameur; allure modérée | 413 | 493 | 603 |
Rameur; allure rapide | 502 | 598 | 733 |
Rameur; allure très rapide | 708 | 844 | 1035 |
Randonnée pédestre, cross country | 354 | 422 | 518 |
Raquette (sur neige) | 472 | 563 | 690 |
Ratisser la pelouse | 236 | 281 | 345 |
Redressement assis, intense | 474 | 553 | 672 |
Repeindre la maison à l’extérieur | 295 | 351 | 431 |
Rugby | 590 | 704 | 863 |
Réparation automobile | 177 | 211 | 259 |
S’asseoir dans une classe, travail de bureau | 104 | 123 | 152 |
Saut à ski (montée au lieu du saut en emportant les skis) | 413 | 493 | 604 |
Sauts avec écart (Jumping Jack), intense | 498 | 581 | 706 |
Skateboard | 295 | 352 | 431 |
Ski sur l’eau, ski nautique | 354 | 422 | 518 |
Ski sur neige, général | 413 | 493 | 604 |
Ski, en descente, allure lente | 295 | 352 | 431 |
Ski, en descente, allure modérée | 354 | 422 | 518 |
Ski, en descente, allure vigoureuse | 472 | 563 | 690 |
Ski, ski de fond, allure course | 826 | 985 | 1208 |
Ski, ski de fond, allure lente | 413 | 493 | 604 |
Ski, ski de fond, allure modéré | 472 | 563 | 690 |
Ski, ski de fond, allure vigoureuse | 531 | 633 | 776 |
Ski, ski de fond, en montée | 974 | 1161 | 1423 |
Snowboard | 372 | 434 | 527 |
Softball, arbitrage | 240 | 280 | 340 |
Softball, lancer rapide ou lent | 295 | 352 | 431 |
Sortir la poubelle | 177 | 211 | 258 |
Spinning | 420 | 490 | 595 |
Squash | 708 | 844 | 1035 |
Step, intense | 400 | 420 | 450 |
Stepper, machine simulateur d’escalier | 531 | 633 | 775 |
Surf (couché ou debout sur la planche) | 177 | 211 | 259 |
Séance de jeu avec enfant, mouvements légers | 148 | 176 | 216 |
Tae Bo | 606 | 707 | 859 |
Tae Kwon Do | 590 | 704 | 863 |
Tai chi | 236 | 281 | 345 |
Tennis de table, ping-pong | 236 | 281 | 345 |
Tennis, double | 354 | 422 | 518 |
Tennis, général | 413 | 493 | 604 |
Tennis, simple | 472 | 563 | 690 |
Tir à l’arc (en tant que sport et non en situation de chasse) | 207 | 246 | 302 |
Tondre la pelouse, général | 325 | 387 | 474 |
Tractions (exercice de musculation), intense | 456 | 532 | 646 |
Trampoline | 207 | 246 | 302 |
Travail (léger) dans un bureau | 89 | 106 | 130 |
Travailler sur l’ordinateur | 81 | 96 | 119 |
Travaux d’électricité, plomberie | 177 | 212 | 259 |
Tâches ménagères, faire le ménage, général | 207 | 246 | 302 |
Voile, bateau, planche à voile, général | 180 | 210 | 255 |
Voile, en mode compétition | 295 | 352 | 431 |
Voile, planche à voile, général | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball dans l’eau | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball, hors compétition | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball, mode compétition, dans un gymnase | 236 | 281 | 345 |
Volley-ball, à la plage | 472 | 563 | 690 |
Vélo elliptique (allure modérée) | 410 | 477 | 580 |
Vélo elliptique (allure vigoureuse) | 485 | 566 | 687 |
Water polo | 590 | 704 | 863 |
Wii | 210 | 245 | 298 |
Zumba | 350 | 370 | 400 |
Pour un apéro léger d’environ 500 calories, soit 2 coupes de Champagne, une poignée de cacahuètes et de pistaches et quelques gâteaux apéritifs, il vous faudra courir environ 1 heure 30mn.
Pour un apéro de la mort, soit 2000 calories minimum, vous pourrez soit courir 6 à 10 heures (c’est-à-dire environ 3 marathons!!!), ou alors nager 4 à 6 heures de crawl rapide.
Vous en sentez-vous capable?
Vous pourrez bien faire tout le sport et les activités que vous voudrez que vous ne parviendrez pas à rééquilibrer les balances apports / dépenses.
Regardez les individus qui boivent régulièrement ce qu’ils deviennent…
Je ne peux plus regarder d’images sur les réseaux sociaux censées nous faire rire et qui mettent en scène des personnes alcoolisées.
Sans parler des dégâts physiques, neuronaux, psychologiques, socio-familiaux et professionnels.
C’est festif, branché, social, génial mais tellement insidieux.
Une forme d’esclavagisme, consentant au départ, une merveilleuse manipulation de plus qui a fait ces preuves chez tellement de peuples durant l’histoire récente de l’humanité.
A 20 ans, Estelle ne buvait jamais.
D’ailleurs, elle détestait l’alcool.
Puis, pour faire comme les autres, pour « faire partie du groupe » elle a commencé à boire un verre occasionnellement.
Elle s’est rendue compte qu’un petit verre la désinhibait…
Et puis, progressivement, ces petits verres de rouge, blanc ou de rosé sont devenus une vraie source de plaisir !
A maintes reprises, elle a bien essayé d’arrêter car finalement, c’est un peu comme la cigarette…
Ça coûte cher et puis on le sait, c’est mauvais pour la santé !
Mais c’est difficile, voire même, semblerait-il, impossible d’arrêter tant l’influence des autres impacte notre comportement.
Parce que vous comprenez, le soir, après une longue journée de travail, un petit verre ou deux ça détend.
Nombreux sont ceux qui se retrouvent dans la même situation qu’Estelle. Peut-être vous reconnaissez-vous…
Essayez d’être honnête avec vous-même.
Et je saisis l’opportunité de cette confrontation avec vous-même pour vous poser LA question :
Vous savez, lorsque vous n’arrivez plus à vous en passer…
Je vous entends déjà… : « Moi ? Alcoolique ? Jamais de la vie ! Je peux m’en passer sans problème ! »
Une petite parenthèse pour vous rappeler la définition « d’alcoolique » :
« C’est une personne qui boit avec excès et de façon habituelle des boissons alcooliques. »
Est-ce deux verres ? Trois verres ? un apéritif et deux verres ?
Je vous propose donc un petit défi cette semaine : buvez « zéro » goutte d’alcool et voyez comment cela vous affecte…
ou encore mieux…
Mais… en êtes-vous seulement capable ?
Êtes-vous prêts à relever le défi ?
Ce que je vous explique, vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir !
Philippe LAMACHE, co écrit avec Barbara RATKOFF
P.S. Bientôt, je publierai un nouvel article qui définira les bienfaits de l’arrêt total de l’alcool
Cela devient vraiment difficile de savoir ce que l’on doit manger et quand on doit le manger.
Si c’est vraiment bon pour la santé.
Ou si c’est simplement « mangeable ».
Des millions de données qui paraissent toutes plus vraies les unes que les autres avec des témoignages à l’appui, des offres exceptionnelles.
Les producteurs, les fabricants y vont tous de leurs études, la plupart du temps plus commerciales que scientifiques.
Ils s’approprient les vertus de certains aliments pour gonfler la qualité de leurs produits industriels reconstitués.
Il y a très souvent, à la base, des études scientifiques détournées à des fins mercantiles.
Comment peut-on s’y retrouver dans tout ce marasme organisé par des experts en la matière ?
Ces spécialistes ne sont pas dupes, c’est leur métier, ils connaissent la qualité alimentaire médiocre qu’ils produisent.
Ils savent parfaitement ce qu’ils font lorsqu’ils contribuent à fabriquer des aliments gorgés d’additifs « border line » pas encore toxiques mais qui le deviendront peu-être un jour.
À ce propos, je vais réécrire ce que j’ai écrit déjà à plusieurs reprises et que je continuerai à écrire :
Ce sera déjà une excellente démarche qui ira dans le sens de votre santé.
Je souhaitais vous parler de cinq aliments simples possédant d’excellentes qualités nutritionnelles lorsqu’ils sont consommés le plus proche de leur état naturel et raisonnablement.
Quand ils sont détournés, associés ou surconsommés, ils peuvent créer alors de véritables problèmes de santé.
Il est un aliment exceptionnel, riche en protéines et en lipides d’excellente qualité.
Son goût est exceptionnel, il est riche en micro nutriments, magnésium, potassium et phosphore.
Il est également riche en théobromine qui a des effets vasodilatateurs et protecteurs pour le coeur.
La fève de cacao a la réputation d’augmenter l’attention, elle a également un pouvoir euphorisant grâce à la théobromine et la tyramine.
Elle contient également de la sérotonine ainsi que des endorphines dont on connaît les bienfaits sur la stimulation sexuelle.
La fève de cacao est riche en substances bénéfiques et stimulantes pour le cerveau, d’ailleurs, ne ressemble-t-elle pas un peu à un cerveau ?
Tout va bien me direz-vous ?
Il n’y a évidemment aucun problème avec le cacao, c’est son association avec le mauvais chocolat qui crée la confusion chez les consommateurs.
Cela devient évidemment un moyen de légitimer la surconsommation d’un aliment qui finit par être toxique.
« Le chocolat c’est bon pour le moral »
Je pense que vous l’avez tous entendu !
Ce qu’il faut véritablement comprendre c’est que le chocolat au lait (faiblement dosé en cacao) est un terreau à cholestérol et diabète et que son côté addictif est lié en grande partie au sucre.
100 g de chocolat à 70 % de cacao, c’est quand même près de 600 calories !
Une petite tablette…
Le chocolat avec peu de cacao est une tromperie sur ses vertus, je le rappelle, c’est surtout du gras et du sucre.
Le chocolat avec un fort pourcentage de cacao est meilleur de toute évidence mais on ne doit pas pour autant en consommer des quantités déraisonnable.
Ce sont d’excellents aliments, je suis le premier à en vanter leurs vertus.
Ils sont riches en micro nutriments, en fibres, en vitamines, minéraux et en antioxydants…
Mais néanmoins, ils sont également riches en glucides.
Certains parmi eux, en plus d’être caloriques, nous incitent au « no limite ».
Je pense particulièrement aux raisins et aux cerises, que nous mangeons tant qu’il y en a…
Contrairement aux pommes ou aux oranges qui représentent en moyenne une valeur énergétique de 40kcal / 100g, soit en moyenne 100 calories pour une pomme.
Quand nous en terminons une, c’est assez rare que nous y revenions.
Consommez des fruits, ce sont d’excellents aliments mais attention n’en abusez pas si vous devez contrôler votre poids.
Lorsqu’elle est de première qualité, les bienfaits de l’huile d’olive ne sont plus à démontrer.
Elle possède une haute teneur en acides gras mono insaturés et elle est riche en polyphénols.
Sans parler de ses bienfaits cosmétiques.
L’huile d’Olive rime avec bien-être, santé, qualité de la peau etc. etc.
Cet aliment est biblique, en effet, l’olivier est le premier arbre mentionné dans la bible.
En effet, le terme « Olea », désignant l’huile en général, tire son origine du mot « olive ».
C’est acté, l’huile d’olives est une merveille !
C’est environ 30 % plus calorique que la crème fraîche épaisse.
Ce n’est pas parce qu’elle est bonne pour vous qu’elle doit être consommée sans modération.
N’imaginez pas un instant que plus vous en consommez et meilleure sera votre santé, cela pourrait être tout le contraire.
Je me souviens avoir discuté avec le père d’un ami qui était déjà en surpoids et que je voyais tremper du pain dans un bol entier d’huile d’olive.
Je l’interpellais en lui disant qu’il était déjà pourvu de quelques pathologies liées au surpoids et qu’il serait peut-être bon qu’il freine sa consommation d’huile d’olive.
Celui-ci me répondit que c’était très bon pour sa santé et que tous les jours ou en tous cas le plus souvent possible, il consommait ça comme un élixir de bien-être, presque comme un médicament qui guérit de tout.
Donc faites attention, ne soyez pas victime de la popularité de cette huile divine, rationnez-la un peu.
Pour une fois que la raison l’emporte sur la passion.
Une cuillère à soupe c’est déjà prêt de 100 calories !
Les oléagineux sont des plantes cultivées principalement pour en extraire de l’huile.
Ils sont divisés en 3 catégories :
• Graines oléagineuses : courge, lin, sésame, tournesol…
• Fruits secs oléagineux (à coque) : noix, amandes, noisettes, pistaches, noix du Brésil…
• Fruits oléagineux : avocat, noix de coco, olive.
Autant de protéines que dans la viande ou dans le poisson.
Ce sont des aliments riches en fibres, en vitamines et en minéraux.
Ils ont également une action antioxydante grâce aux caroténoïdes et aux phytostérols.
La liste des bienfaits liés à la consommation de ces aliments est pléthore, de la diminution des inflammations à la réduction des risques de diabète et des maladies cardio-vasculaires.
Le problème est leur valeur énergétique, jusqu’à 650 kcalories pour 100 g !
Il faut bien l’avouer lorsqu’on commence à en grignoter, on a beaucoup de mal à s’arrêter…
On peut très rapidement en consommer 50 à 100 g, sans s’en rendre compte.
A titre indicatif, 1 amande est égale à 1g soit entre 6 et 7 kcal.
Elles sont très souvent conseillées dans le cadre d’un suivi alimentaire pour leurs côtés satiétant et nutritionnel.
Mais les conseilleurs ont juste oublié qu’elles sont un véritable « weight gainer » et que l’on joue par conséquent avec le feu lorsque l’on doit contrôler son poids.
Lorsqu’elles sont complètes, elles sont très riches en fibres, en glucides et apportent des vitamines (B et E), des minéraux (fer, magnésium, zinc, potassium, sélénium).
Elles apportent aussi des acides gras essentiels et des protéines.
En effet, suivant que l’on consomme de l’avoine, de l’épeautre, de l’orge, du blé…complet, semi complet ou raffiné, broyé, modifié, nous aurons alors un IG plus ou moins élevé.
Les fruits ainsi que les légumes possèdent des sucres simples et des IG de moyen à bas.
Pommes de terre cuites et pain blanc composés de sucres complexes ont des index glycémiques élevés.
Néanmoins, le type de fibres présentent dans les céréales, contiennent notamment un grand nombre de facteurs dits « anti-nutritionnels » (phytates, lectines et autres inhibiteurs de protéase), qui vont bloquer l’absorption de certains minéraux ou de certaines protéines.
C’est une protéine dont on sait qu’elle est responsable d’intolérances pouvant faciliter la perméabilité de notre muqueuse intestinale.
Cela a parfois des conséquences sur les inflammations et peut freiner considérablement le processus immunitaire.
Je ne m’étalerais pas sur le gluten, je n’en suis pas un spécialiste.
Pendant des décennies, certainement des siècles, nous en avons consommé énormément, le blé étant pour certains quasiment la seule source alimentaire.
Le monde ne tombait pas malade pour autant…
Revenons sur le sujet de mon article.
Ces dizaines de mètres linéaires, sous l’appellation « céréales », que vous trouverez dans vos supermarchés et à destination de vos enfants, remplis de paquets à l’effigie de petits oursons, de gentilles abeilles ou de coussinets gorgés de chocolat, ne sont pas des céréales !
Regardez la liste des ingrédients sur les paquets, vous verrez des farines, du sucre et plein d’autres choses.
Vous pensez acheter des céréales pour vos enfants et leur faire bénéficier de leurs vertus mais vous faites fausse route, et on vous aide largement à faire fausse route.
C’est-à-dire que le premier aliment que vous trouvez sur cette liste est celui qui est en quantité la plus importante dans le produit.
Renseignez-vous, croisez les informations, servez-vous de votre libre arbitre et ne prenez pas tout pour argent comptant.
D’un point de vue général, ne succombez pas au folklore, restez le patron de vos décisions, ne vous laissez pas diriger innocemment.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE