Quand on parle « masse musculaire », on a tendance à penser culturistes, body-building, hypertrophie…
Et bien sûr, nous viennent à l’esprit ces physiques extravagants, parfaitement critiquables parce qu’extraordinaires dans le sens hors du commun.
Trop musclés…Plus souvent raillés qu’honorés.
Ainsi, « masse musculaire » déclenche les images de ces « Monstres» démesurés.
Ces mutants hors normes sont accompagnés par leurs cortèges de mythes et légendes mais parfois aussi par de véritables histoires où s’entremêlent le dopage à la sauce «gonflette », la virilité déclinante, l’environnement brutal, excessif et surfait, sans parler de l’étroitesse des idées qui ferait parfois passer un baudet pour un prix Nobel.
C’est avec une forme de tendresse et de complaisance que je me permets la critique.
Ainsi, je ne parle évidemment pas de cette « masse musculaire » là, n’ayez crainte, vous ne l’aurez jamais…
… mais bien de celle qui maintient votre structure en place, qui vous donne une bonne posture, une bonne tonicité et qui vous permet de vivre dans de bonnes conditions.
* Dégénérescence tissulaire liée à l’âge
Conserver sa masse musculaire et pourquoi pas l’améliorer est quasi vital.
Je dis quasi vital parce que, même de la perdre au point de devenir impotent ne vous empêchera pas de vivre: tellement de gens survivent à coups « d’assistance ».
Vous resterez en vie assurément mais peut-être pas en étant vivant.
Je vous propose donc un ensemble de solutions pour conserver votre masse musculaire, votre masse noble, votre « vivant ».
Il consiste à faire de vous des humains programmés qui tomberont irrémédiablement dans la dégénérescence.
Même si l’altération cellulaire n’était pas votre intention, même si vous êtes un irréductible, un incorruptible, vous finirez par être tellement conditionné que vous sombrerez au plus vite dans la déchéance tissulaire.
Tous vous le martèlent quotidiennement et inlassablement: le système médical, votre entourage, les médias, la littérature…
Vous vieillissez, c’est ainsi.
Cela fait partie du cycle de la vie mais de grâce, n’accélérez pas le processus, l’esprit à un tel pouvoir.
Je ne cesse de le dire et de l’écrire sous toutes les formes, faites de la culture physique.
C’est le moyen le plus sûr, le plus précis, le plus efficace pour conserver et améliorer votre potentiel musculaire.
La musculation est l’application directe de la physiologie du mouvement, que l’on appelle aussi la kinésiologie ou cinésiologie, la discipline qui étudie également les postures biomécaniques, articulaires et musculaires.
Lorsque l’on rentre dans l’âge, c’est réellement l’outil idéal je vous l’affirme.
De plus, la culture physique peut être pratiquée chez soi, en extérieur, avec très peu de matériel et même sans matériel du tout, au poids de corps ou dans une salle équipée.
Mais dans tous les cas, j’insiste sur le fait que la culture physique doit être pratiquée dans les règles de l’art, en respectant principalement le mouvement, le positionnement de votre corps, l’amplitude, en évitant l’inertie et dans le contrôle absolu des charges lorsqu’elles sont utilisées ou lorsque vous utilisez votre poids du corps.
Je vous engage à télécharger, en cliquant ci-dessous, mon e-book où je détaille, point par point, les paramètres d’intensité pour une bonne pratique lorsqu’on est un Master ou tout simplement un pratiquant.
Pratiquer la musculation comme un cinquantenaire, veut dire se servir avant tout de son esprit, s’exercer avec efficience et implication, cesser de s’entrainer avec nonchalance.
Lorsque une activité consiste à faire un maximum de mouvements dans un minimum de temps, avec un maximum de poids, vous comprendrez bien qu’il n’y a plus la place au contrôle ni de surcroîts à la conscientisation.
A fortiori dans un but d’améliorer uniquement votre système cardio-vasculaire mais également pour augmenter vos capacités physiques et ainsi exploiter plus efficacement la pratique de la culture physique.
Je vous renvoie, en cliquant ci-dessous, à un article que j’ai écrit à ce sujet où j’expliquais pourquoi il était préférable d’opter pour des entraînements à haute intensité.
Les HIIT vous permettent de gagner du temps, puisque les entraînements sont courts, d’épargner votre structure et sont, de plus, d’une grande efficacité.
La protéine est le nutriment bâtisseur, c’est lui qui construit et régénère la masse musculaire.
C’est le matériau de construction par excellence, le collagène dans la peau, la kératine dans les cheveux.
Les enzymes et certains anticorps sont également des protéines.
L’ alimentation « moderne », je sous-entends cette alimentation néfaste qui nous fait grossir et nous rend malade, nous dirige essentiellement vers le sucre et les graisses au détriment du seul nutriment essentiel.
Je vous engage aussi, en cliquant ci-dessous, à lire cet article que j’ai écrit récemment où je dresse les contours du nutriment « Protéine ».
Nous devrions avoir atteint la sagesse et comprendre ainsi l’utilité de mettre en application ces quelques règles et le faire avec le soin et l’application qu’elles le demandent.
Aidé par l’âge, nous devrions faire preuve d’un peu plus de paix, de réflexion et avoir lissé notre ego.
Nous sommes donc censés prendre des décisions passées par le filtre de notre expertise et de nos expériences.
Des décisions mûrement réfléchies, de bonnes décisions.
Alors, je ne saurais donc trop vous recommander vivement de cultiver, dès à présent votre corps, non pas pour vivre plus longtemps – je ne pourrais évidemment pas vous le garantir- mais certainement pour vivre dans de meilleures conditions.
N’aimeriez-vous pas monter une volée d’escalier avec facilité ?
N’aimeriez- vous pas devenir plus fort, plus endurant ?
C’est toujours possible, il n’est jamais trop tard.
Foi d’un Master qui parle aux Masters, à tous ces êtres, femmes et hommes de bon sens, et qui met en application ce qu’il dit.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Au-delà de l’alimentation elle-même, s’érigent des dogmes, des philosophies, des religions.
Pays, communautés, groupes, partis politiques, courants de pensées, religions, je le répète, nourrissent la division.
Autant de clivages, autant de discordes.
L’alimentation et ses courants alternatifs sont devenus passionnels avec en point d’orgue des enjeux économiques monstrueux.
La guerre est déclarée !
Chacun s’appuyant sur des études imparables, des vidéos qui expliquent tout, à charge pour les autres façons de s’alimenter bien évidemment.
« La meilleure alimentation c’est la mienne, c’est certain !
La preuve c’est que tous les gens qui se sont engagés dans cette alimentation ont vu leur santé s’améliorer, leurs performances augmentées… »
Ils sont même devenus plus beaux et plus intelligents.
Il se développe une quantité d’arguments tous plus prosélytiques les uns que les autres.
Nous devenons les représentants de commerce du Vegan, du régime Keto, du régime Paléo, de l’alimentation crue, vivante, biologique etc. etc.
Je ne fais certainement pas exception à la règle.
J’ai été, durant une grande partie de mon existence, engagé moralement pour telle ou telle cause et parfois avec la verve dithyrambique d’un pasteur Œcuménique.
Ce ne sont finalement que de piètres combats, des combats de quartier, de petites chapelles sans clocher, parfois même des engagements du niveau de discussions de « comptoir » qui ne font pas avancer l’humanité…
C’est précisément ce que je pensais de moi et ce que je pense toujours des prêcheurs de troisième division.
Je crois avoir rectifié le tir et posséder aujourd’hui une approche holistique, moins fragmentée, moins divisante.
Auparavant, lorsqu’on avait des choses à dire, l’écoute était restreinte, elle se cantonnait à son cercle, à sa petite cour.
La toile se nourrit ainsi d’une quantité indigeste de philosophes en carton.
YouTube n’existerait quasiment pas sans ces grands théoriciens.
Nous avons évidemment tous le droit d’avoir des idées et de les partager, c’est certainement d’une grande richesse…
…peut-être pas toujours.
Il est d’une importance capitale de voir les choses dans leur ensemble et de son propre prisme, en utilisant encore ce merveilleux libre arbitre qui est probablement notre meilleur ami et que nous devons chérir et cultiver.
Ainsi, les outils les plus utiles que nous ayons à notre disposition sont : l’auto-observation, apprendre de ses erreurs, être honnête envers soi-même et le développement de sa curiosité afin de mieux comprendre ce que l’on mange réellement.
Les Grecs disaient que chaque symptôme était en réalité une visite des dieux.
Toi tu vois la maladie alors qu’en réalité c’est la cure.
Toi tu vois un problème alors que c’est en fait la solution.
Dans cette recherche introspective en association avec votre alimentation, voici une question fondamentale qu’on peut se poser:
Qui êtes-vous lorsque vous vous mettez à table ?
Êtes-vous le petit garçon ou la petite fille, le rebelle, la victime, le juge, le loup, le perfectionniste, celui à la recherche de plaisir, L’ado…?
Cela déterminera certainement ce que vous devriez manger et combien vous devriez en manger.
Et d’autre part, qui êtes vous ?
Vous êtes nés en Afrique de l’ouest, vous êtes Inuit, asiatique, suédois…
Votre culture culinaire ancestrale compte beaucoup également.
Ces vieilles habitudes ancrées, ce patrimoine viscéral inscrit depuis des générations dans votre chair et dans votre esprit.
Prenez-vous le temps de manger, de savourer pleinement ?
Un plat préparé avec amour n’a pas la même saveur qu’un plat fait ou acheté à la va-vite.
Il est primordial que vous éprouviez de la satisfaction lorsque vous mangez et que vous ressentiez du plaisir.
Être repus ou atteindre la satiété n’est pas suffisant.
Le plaisir est réellement un ingrédient essentiel.
Mangez quelque chose d’insipide ou qui ne vous procure aucun plaisir et vous verrez que vous allez rapidement vous lever pour aller chercher un aliment qui vous procurera satisfaction.
Il faut à tout prix éviter le stress, la colère et l’anxiété lorsque vous mangez.
Privilégiez la joie, la bonne humeur ou du moins la paix.
Mangez en étant heureux et vous verrez que votre digestion n’en sera que plus aisée.
Et surtout, bannir la colère et l’anxiété au cours des repas.
Pour conclure, évidemment il est souhaitable d’éviter l’alimentation industrielle qui ne vous veut pas du bien.
Je m’explique sur ce point, vous avez peut-être la possibilité de cultiver vous-même dans l’amour de la pratique ou de connaître des producteurs et des éleveurs éthiques.
Dans ces conditions, vous conscientiserez forcément avec beaucoup plus de profondeur et de plaisir ces aliments que vous savez de qualité.
Finalement, le plus important c’est que vous soyez en conformité avec ce que vous mangez, que vous vous sentiez bien et que cette alimentation que vous avez choisie vous fasse vibrer.
Il y a de multiples signes évidents que l’on refuse d’écouter et qui trahissent que vous n’êtes pas alignés ou en accord avec vos repas.
Se sentir mal est une raison grandement suffisante pour changer les choses et ne pas persister dans la mauvaise direction.
Prenons soin de nous, faisons nous du bien.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
C’est encore les élucubrations d’un quinquagénaire en mal de jeunisme!
Quasiment tout le monde le sait, physiologiquement c’est impossible d’être plus en forme à 50 ans qu’à 25 ans.
Les faits parlent d’eux-mêmes !
J’en ai d’ailleurs parlé à plusieurs reprises lors de différents articles.
La machine s’est usée, les articulations ont souffert et souffrent à présent.
Les organes accusent le poids de l’infamie qu’on leur a très souvent fait subir.
L’alcool, la nourriture outrancière, indécente devrais-je dire, le tabac, la consommation boulimique de médicaments, la drogue…
Un véritable protocole mortifère savamment orchestré, chaque jour, pour atteindre l’intégrité de notre véhicule (notre corps) mais également pour soumettre nos volontés.
Une des plus incroyable aberration de notre époque.
Il y a aussi le travail et même la lourde besogne pour certaines et certains d’entre nous qui contribue, sans nul doute, à fatiguer nos fins rouages organiques, métaboliques et structuraux.
Lorsque l’on dépeint le tableau de cette façon, il est certain que l’état dans lequel se trouve la génération X fait peine à voir.
Nous sommes donc physiquement épuisés, dépressifs, multi pathologiques, exposés à tous les vents viraux et incapables de nous défendre vu l’état de notre immunité.
Bien heureusement, nous ne sommes pas tous dans cet état de décrépitude.
Il y a même une « Caste » de Masters qui se mettent dans une arrogante rivalité avec la jeunesse et de façon souvent exacerbée, je vous l’accorde.
Ce qu’ils font, ce qu’ils disent, la façon dont ils pensent est supérieure à l’ensemble de ce qu’exprime cette nouvelle génération.
Ils en sont convaincus !
C’est leur côté « vieux dinosaure » sentant pointer le météorite annonçant l’extinction prochaine.
Ce n’est pas le sens de mon propos.
Je pense simplement qu’il y a une réelle optimisation des gestes, des actes, des paroles, des pensées, de l’énergie d’un point de vue général pour tendre vers l’efficience.
Pour aller vers une efficacité « rentable ».
Il y a de cela quelques années, j’ai préparé une course à pied qui pour moi était un véritable challenge à l’aube de mes 50 ans.
En effet, il m’a fait observer comment couraient les jeunes gens, en règle générale et la façon dont ils dispersaient leur d’énergie.
Il m’a demandé de courir autrement et de penser autrement.
Sur ses recommandations, j’ai modifié ma course et mon état d’esprit.
J’ai donc ainsi amélioré ma rapidité et mon endurance en réduisant considérablement ma dépense énergétique.
Barbara, ma compagne, me comptait également son expérience sur le sujet.
Elle a été dans la nécessité d’améliorer sa technique de « crawl » pour les mêmes raisons d’optimisation du rendement par rapport à la dépense énergétique.
Elle est devenue plus performante, son mouvement ainsi que sa coordination ont évolué.
Barbara a ainsi été capable de réduire son intensité pour un résultat amélioré.
Je vais vous décrire une scène cocasse dont nous avons été témoins un hiver passé.
Une troupe de militaires, donc de jeunes gens motivés et en pleine santé, s’entraînait sur la plage et s’apprêtait à se jeter à l’eau en se motivant à grand coup de langage fleuri propre à l’esprit commando.
Ils ne se préparaient pas aller à la guerre mais c’était tout comme.
Bon c’était l’hiver, il fallait rassembler tout son courage pour affronter la morsure d’une eau à quelques degrés.
Sans broncher, juste le temps de faire tomber les 2 vêtements qui les recouvraient, les voilà en maillot nageant avec volupté au milieu de cette mer hivernale.
Ils ont laissé le groupe de commandos loin derrière toujours en train de tergiverser…
Il y a quelques grandes règles à suivre lorsque l’on veut faire preuve d’efficacité et mettre à profit notre âge pour sublimer la performance.
Vous pouvez être une meilleure version que la version de vous-même que vous étiez il y a 20 ou 25 ans en arrière.
Elle vous permet de mesurer l’étendue de l’évolution ou de l’involution de vos performances.
D’abord, l’implication mentale doit être juste et précise.
Cet état s’appelle la conscientisation.
Vous devez fournir à votre véhicule (votre corps) une énergie cérébrale puissante et focalisée, cet état d’esprit qui ne doute pas.
Quand vous vous engagez dans votre séance d’entraînement, c’est avec une grande concentration.
Dans ces conditions, votre esprit est puissant, il devient un allié de grande valeur.
Ensuite, il y a l’implication physique.
À l’instar de l’implication mentale, celle-ci doit être tout aussi juste et précise.
Une parfaite synergie entre le corps et l’esprit.
Pas question d’une once de dispersion, pas de téléphone, pas de discussion, pas d’idées vagabondes, l’esprit doit être le plus proche possible du moment présent.
Pour espérer, et c’est tout à fait possible, obtenir la condition physique et les performances que vous n’avez peut-être jamais eu, vous devrez forcément faire ce que vous n’avez jamais fait.
Vous devrez ainsi réviser votre copie sur l’approche de la culture physique.
J’ai écrit à ce propos un eBooks qui décrit précisément les bonnes pratiques, l’exécution dans les règles de l’art pour mettre 100 % de chances de votre côté.
Téléchargez-le gratuitement:
Un autre aspect sera à prendre en considération avec une grande justesse et une grande précision.
Ce sera votre alimentation.
Elle aussi devrait être au diapason de vos implications mentale et physique.
Comprenez bien que votre hygiène alimentaire doit être « irréprochable ».
(Je vous engage à lire l’excellent article de Barbara RATKOFF sur ce sujet:)
Mieux vaut rester tels que nous sommes plutôt que de vouloir à tous prix remonter le temps mais souffrir tellement en contrepartie…
Oui effectivement, pour certains ce ne sera pas possible, d’ailleurs ça ne l’a jamais été et ça ne le sera jamais.
Je semble intraitable sur le sujet, extrémiste, mais je vous propose quand même d’être meilleur à 50 ans qu’à 25 ans…
Ce n’est pas une mince affaire.
Il va falloir se sublimer, aller chercher la perf !
Quelle belle perspective.
Et puis, il faut savoir ce que l’on veut !
Si vous n’êtes pas dans ces dispositions alors vous n’êtes peut-être pas prêt à devenir à 50 ans, et plus, la meilleure version de vous-même.
Mais en y réfléchissant, vous ne pensez pas, qu’à notre âge, nous avons tous les atouts en mains, sagesse, patience, expérience…
La balle est dans votre camps.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Chaque année, à l’occasion des fêtes de fin d’année, mon patron organise une soirée « open bar » pour tous les employés :
boissons, canapés, plateaux garnis à volonté.
Il ne lésine pas non plus sur les activités proposées : babyfoot, bowling, billard etc., puis discothèque jusqu’au bout de la nuit.
A l’occasion d’une de ces soirées, un des associés de mon patron, me voyant avec un verre de Perrier à la main s’exclama :
Je te prends un petit verre ?
Tu verras, ça te fera du bien ! »
Selon moi, l’alcool et le travail ne font pas bon ménage, donc par principe, je ne bois jamais dans le cadre du travail.
Mais indépendamment de ce fait, je lui ai répondu :
Pour moi, « profiter de la vie » c’est un tout autre concept :
c’est me lever tôt le matin pour faire un footing ou marcher au bord de mer pour voir le soleil se lever ! ;
c’est prendre le temps de lire car j’y puise un réel bien-être ;
L’associé, après un moment de silence, m’a dit :
« Oui, je dois l’admettre, c’est plutôt sympa comme vie aussi.
Je suis d’accord. »
C’est un choix. Oui !
En tous cas, c’est MON choix et vous n’êtes pas obligé(e) d’en convenir.
En ce qui me concerne, je vois les choses ainsi : notre corps est un merveilleux cadeau qui n’a de cesse d’exécuter à chaque seconde de nombreux miracles :
il nous permet de nous déplacer, de digérer ce que l’on mange, de lutter contre des maladies, de créer la vie.
Il nous permet aussi de se procurer du plaisir (lorsque l’on mange, reçoit un massage ou que l’on fait l’amour), de réfléchir etc. et il est, par conséquent, de notre devoir d’en prendre bien soin.
Prenez le temps de réfléchir à tout ce que votre corps vous permet d’accomplir chaque jour.
Etes-vous reconnaissant ou est-ce que vous agissez comme si toutes ces choses vous étaient dûes ?
Je m’adresse donc à toutes ces personnes qui me pointent du doigt et me critiquent, s’exclamant : « ce n’est pas une vie ! » et je me dois de rétorquer que :
Qu’en dites-vous : n’est-il pas temps que vous preniez votre corps en main ?
Faites-le et vous verrez que c’est lui qui vous dira « merci ».
Si tel est votre souhait, continuez à lire.
Je vais vous expliquer ce que cela implique d’avoir une vie saine et équilibrée, quelles sont les raisons pour laquelle vous devriez changer votre hygiène physique et alimentaire et enfin comment faire pour y parvenir.
A chaque fois que vous mangez, demandez-vous ce que vous pouvez faire afin de rendre votre repas/collation plus saine (rajouter un fruit ou un légume, boire de l’eau, supprimer un ingrédient riche en calories, réduire votre portion, ne pas se resservir, garder le dessert pour plus tard etc.).
Je vous encourage vivement à être actif/active plusieurs fois quelques minutes par jour en plus de votre activité physique (faire un étirement, prendre les escaliers au lieu de l’ascenseur, descendre du bus deux arrêt avant et marcher etc.).
ne pas laisser les kilos s’ajouter.
Il faut savoir réagir et se reprendre en main dès qu’un ou deux petits kilos se sont installés pour ne pas se retrouver submergé.
Lorsque l’on laisse 5 voire 10 kilos s’installer cela devient beaucoup plus compliqué et souvent très décourageant.
Vous empoisonnez votre corps à petit feu.
De cette façon, entre l’alcool et les cacahuètes, vous éliminerez facilement entre 300 et 500 calories (voire même plus) et vous arriverez à table en ayant faim !
Je vous engage d’ailleurs à lire l’article de Philippe sur ce sujet:
Ce sera difficile quelques temps mais bientôt vous n’y penserez même plus !
être créatif, méditer, se recueillir etc., parce que le bien-être ça commence en soi et cela se travaille.
Trouver aussi des activités qui vous font plaisir comme la lecture, l’écriture, la mécanique etc. et plongez-vous dedans.
Pour bon nombre d’entre vous, faire de l’exercice est une réelle corvée et manger des cochonneries, un vrai bonheur.
Conclusion : si on veut se sentir bien, il faut éviter de faire du sport et manger des aliments qui nous procurent du plaisir.
De ce mode de vie, vous tirez un seul avantage : assouvir votre gourmandise en vous laissant aller à votre fainéantise.
Vous gagnerez en confiance : avoir un corps sain et en forme cela booste le morale et l’estime que l’on a de soi-même.
En effet, quand vous appréciez votre apparence extérieure alors vous vous sentez mieux, ce qui se répercute sur tous les autres domaines de votre vie (couple, travail, relations etc.).
Et surtout, vous vivrez plus longtemps en bonne santé : vous éviterez en tous cas toutes ces maladies liées à une mauvaise hygiène de vie que sont le diabète, les maladies cardiovasculaires, la tension et l’obésité.
Vous serez une source d’inspiration pour vos enfants et votre famille.
Enfin vous vivrez sans douleurs.
Entraînez-vous (surtout des exercices de gainage alliés à des étirements) vous verrez que de nombreux « bobos » disparaîtront, notamment vos problèmes de dos.
Vous serez plus heureux : quand on est bien dans ses baskets, on sourit plus volontiers.
Les endorphines fabriquées lorsque vous faites de l’exercice ont un effet « relaxant » sur tout votre corps mais également sur votre esprit.
Vous dormirez mieux également.
Vous aurez plus d’énergie tout au long de la journée et une montée de marche ne vous fera plus peur.
Réduisez les cochonneries et comme par miracle votre peau s’éclaircit et vos cheveux brillent.
Alors au lieu de focaliser sur ce que vous allez perdre, prenez plutôt le temps de voir tout ce que vous allez y gagner !
Dans la vie on sait ce qui est bien pour nous, mais il est beaucoup plus difficile de mettre ces choses en application sur le long terme.
Je vous propose ci-dessous, quelques astuces pour vous aider à maintenir le cap :
En effet, peu importe où vous vous situez maintenant sur l’échelle de la santé, il n’est jamais trop tard pour s’y mettre.
veillez à manger des fruits à 10h et 16h et des légumes à chaque repas, buvez de l’eau, réduisez les quantités, apprenez à poser votre fourchette régulièrement etc.
mieux vaut se fixer 15 à 20 mn de gym tous les jours qu’1h, acheter un podomètre et augmentez vos nombres de pas journaliers (ou fixez-vous un nombre de pas à atteindre), prenez l’habitude d’aller marcher ¼ d’heure après le repas du soir etc.
Si vous avez la bougeotte faites de la zumba, du biking, de la course à pied et si vous êtes plutôt du style « nature et découverte » alors adoptez plutôt la marche, la randonnée ou le stretching.
demandez-vous 5, 10, 15 fois par jour ce que vous pouvez faire immédiatement pour prendre soin de vous et faites-le (prendre une douche froide, boire un verre d’eau, se faire un jus à l’extracteur, prendre les escaliers, faire un peu de sport etc.)
Commencez par faire 5 choses et tentez d’arriver à en faire 20 minimum chaque jour.
Lorsqu’on a bien et assez dormi, la journée se déroule autrement.
Faites-en sorte que ce soit une priorité.
veillez à ce que votre assiette et/ou votre table soit belle.
Un repas se savoure d’abord avec les yeux !
sortez de votre zone de confort et découvrez de nouvelles saveurs (remplacez par exemple les sauces par des épices) ou de nouvelles activités (faire une balade à vélo, jouer au basket, faire de la varappe ou de l’accrobranche…).
Mieux vaut passer 20 mn à faire du sport de manière complètement investi, qu’un mélange gym/bavardage d’1h30.
Prenez l’habitude de vous impliquer dans ce que vous faites.
La balle est maintenant dans votre camps, allez-vous continuer à vous lever le matin fatigué de la veille, manger un petit déjeuner déséquilibré qui vous laissera sans énergie, rester inactif et encore accumuler du poids, passer des heures mal assis et à souffrir du mal de dos, trop manger et vous sentir lourd et ballonné avec le coup de barre qui va avec etc..
Ou alors vous pouvez décider de changer et de sauter du lit chaque matin en étant en pleine forme.
Vous mangerez un petit déjeuner équilibré et vous aurez la pêche toute la matinée, vous restez assis mais les exercices de renforcement musculaire et de gainage font que vous ne souffrez plus de votre dos.
vous sortez de table et vous vous sentez léger prêt à attaquer le travail de l’après-midi etc.
Je dois vous laisser, il faut que je m’occupe de ma vie, elle est riche et mérite d’être vécue.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Tout d’abord, perdre vraiment du poids, n’est pas le perdre un jour, c’est le perdre toujours.
Vous en conviendrez, à chaque fois que vous vous engagez dans un régime, c’est avec l’espoir que le problème de surpoids soit résolu définitivement.
Les mêmes difficultés, les mêmes frustrations…
Pourquoi est-ce si difficile?
Pourquoi avons-nous autant de difficulté à maintenir la perte de poids?
Nous manifestons la volonté et même le désir ardent de vouloir, plus que tout, quelque chose et parfois même quelqu’un.
Nous voulons de l’argent, gagner 10 000 € par mois, remporter le super loto et peut-être même toucher un formidable héritage d’un oncle d’Amérique.
Je veux ce corps athlétique, sec, musclé et fort avec les mêmes proportions, la même esthétique.
Cette voiture de sport de plus de 300 000 € devient un véritable rêve.
Cette superbe montre, dont il existe quelques modèles dans le monde, est devenue une formidable source de motivation.
Nous voulons ressembler à cette icône du fitness, à ce chanteur ou à cet acteur.
Ce mimétisme devient même troublant: corps, visage et même les traits de caractère deviennent similaires.
Nous voulons cette femme ou cet homme et nous sommes prêts à faire n’importe quoi pour l’obtenir.
Qu’est-ce qui se cache derrière ces attitudes quelques fois obsessionnelles ?
Finalement le but avoué ne serait-il pas uniquement l’arbre qui cache la forêt ?
La perte de poids ne serait-elle pas le prétexte, l’outil pour accéder à autre chose ?
Le problème n’est pas résolu, il ne peut d’ailleurs pas l’être puisqu’il n’est pas la cause véritable.
Perdre du poids pour perdre du poids n’a aucun sens.
Comprenez-vous ?
Quelle est la raison ou les raisons qui ont déclenché cette envie de perdre du poids ?
Oui bien sûr, les raisons peuvent être médicales et de fait, impératives.
Je parle des sous-jacents, des inavouables, ceux que l’on ne s’avoue même pas à soi-même…
Ces tristes émules égoïques, ces manifestations d’un ego meurtri, nos sentiments de souffrance, qui ont généré chez nous cette hausse du poids exponentielle.
Comme la majorité de nos traumatismes, les graines perfides prennent racine dans notre enfance et commencent à développer leurs fruits empoisonnés quasiment toujours pendant l’adolescence.
Ce mal être persistant initiateur de tant de désordres physiques.
En aparté, parents que nous sommes, nous devrions à ce sujet et très objectivement prendre notre part importante de responsabilité dans le processus qui a conduit nos enfants à s’alourdir de la sorte.
Les parents, parfois inconscients du mal qu’ils peuvent causer, et qui nourrissent de leur bénédiction le terreau où la graine frelatée grandit.
Ceci est un autre sujet, que je prendrai plaisir à traiter lors d’un prochain article.
Pourquoi voulons-nous perdre du poids ?
Tout d’abord parce qu’on en a pris et beaucoup trop pris, c’est évident !
Il y va quelque fois de notre salut, de notre intégrité physique mais fort souvent les raisons sont toutes autres, elles sont liées aux déclencheurs enfouis dans les méandres de nos relations passées, entre autre avec nos parents, dont je parle ci-dessus.
Les déclencheurs sont nombreux: L’humiliation, l’oppression, le manque d’amour, le manque d’attention, le manque de compréhension et de considération, les déceptions multiples, le manque d’estime de soi, les frustrations, la culpabilité, le besoin d’être accepté, d’être conforme au groupe…
La liste est longue et non exhaustive.
Tous ces fardeaux, ces enclumes, ces croix que l’on traîne de sa prime enfance et la plupart du temps jusqu’à sa mort, fabriquent la personne addictive à l’alimentation outrancière que nous sommes aujourd’hui.
Vous pourrez suivre tous les régimes du monde, élaborés par les plus grands nutritionnistes, avec les aliments les meilleurs qui soient, in fine, cela n’aura pas plus d’efficacité qu’un pansement sur une jambe de bois.
Parlez-vous à vous même, comprenez et identifiez ce qui se cache derrière ce dérèglement et traitez la cause.
Vous l’avez compris, c’est à vous maintenant de prendre les rênes, d’endosser pleinement vos responsabilités.
Identifiez le ou les déclencheurs, en vous faisant aider au besoin par la lecture, l’éveil à la spiritualité, par une personne de confiance, un thérapeute…cherchez et vous trouverez la voie, frappez à la bonne porte et l’on vous ouvrira.
Parce que de comprendre la cause, nous permet en fait d’agir concrètement.
Comprenez qu’il n’est pas ici question de trouver un coupable, de blâmer encore quelqu’un ou quelque chose pour nos problèmes.
Bien au contraire, il est question de comprendre, de se responsabiliser et d’enfin prendre les choses, sa vie et son poids en main.
Et vous verrez qu’enfin..
…comme par enchantement, vous perdrez votre poids mais surtout vous ne le reprendrez pas.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
L’alimentation est omniprésente.
On pourrait même dire qu’elle remplit notre existence.
Nous la voyons partout, en vidéo, à la télévision, sur des panneaux d’affichage monumentaux, sur des maillots de sportif…
Les mêmes questions plusieurs fois par jour nous taraudent:
Qu’est-ce que nous allons bien pouvoir manger en entrée, en plat de résistance, en dessert ?
Dans quel restaurant allons-nous bien pouvoir diner ce week-end?
C’est un véritable casse-tête!
Mais bon, moi je suis un bon vivant, je sais ce que c’est que de bien manger et de bien boire !
A ce sujet, je vous engage à lire un autre de mes articles :
« Il faut que je me mette au régime pour la énième fois ! »
« Je n’en peux plus, j’ai tellement grossi, j’en suis malade, physiquement et psychologiquement, je ne peux plus me supporter. »
« Je ne peux plus m’habiller, je ne veux plus me mettre en maillot, je ne veux plus me dévêtir devant mon mari / ma femme, je n’ose même plus sortir… »
Nous pouvons comprendre cette attitude kafkaïenne.
Notre pauvre esprit, notre faible esprit est tiraillé entre la volonté de bien s’alimenter et la gourmandise… cette insatiable gourmandise suscitée par la publicité omniprésente et les occasions pléthore de « Beuveries ».
Les ingénieurs agroalimentaires aidés par les ténors du marketing ont pour mission de nous remplir comme des outres et que ça déborde de tous les côtés.
Je me demande s’ils n’auraient pas des accointances avec les laboratoires pharmaceutiques qui prendraient le relais dès que se développeraient toutes ces pathologies morbides liées à la mal bouffe…
Bon, j’ai peut-être un peu trop d’imagination…
Le combat est âpre, il faudra nettoyer votre esprit pour qu’il devienne fort et qu’il se transforme alors en un précieux allié.
Vous vous mettrez donc au régime, à la diète, à l’équilibre alimentaire, au rééquilibrage etc. etc. etc…
Peu importe, tous ces mots pour dire finalement la même chose.
Et je vous l’assure, nous allons devoir en perdre des tonnes, des tonnes et des tonnes de cette graisse au prorata de la surproduction et par conséquent de la surconsommation programmée.
Il vous faudra redoubler de vigilance, de libre arbitre, de méthode, d’abnégation, d’une volonté à toute épreuve pour déjouer les pièges hostiles de l’ennemi.
Vous allez donc devoir nourrir votre esprit d’autres choses que de publicités lobotomisantes et de pensées collectives qui iront toujours dans le sens de la consommation et du profit.
Pas le vôtre…
Je vais donc vous donner quelques conseils qui fonctionnent à cent pour cent.
qui vous passionne, qui vous remplit l’esprit d’images et d’émotions.
Ce sont des activités qui monopolisent votre corps et votre esprit.
comme la peinture, la sculpture, la musique ou la danse.
Pratiquez une activité physique qui vous plaise, avec laquelle vous vous sentez bien. Une activité sportive motivante.
en campagne, dans un bois ou une forêt de préférence. C’est régénérant et fondamental pour se sentir connecté et proche de l’essentiel.
C’est valorisant de donner de son temps et / ou de son argent pour celles et ceux qui en ont besoin. Très important pour l’estime de soi-même.
Elle est particulièrement anxiogène et distille trop de violence, de publicités alimentaires toxiques, trop d’informations erronées. Il en est de même pour la radio.
Ecoutez des podcasts sur des sujets passionnants ou alors des débats intéressants. Visionnez des vidéos motivantes et qui vous poussent à l’action. Ouvrez votre esprit : l’heure est à l’écoute, au questionnement et à la remise en question. Vous en sortirez grandis.
Méditez, visualisez, priez plus souvent. Ecoutez votre esprit.
Pour agir et changer, il faut comprendre ce que l’on fait. Lisez, documentez-vous, instruisez-vous sur l’étiquetage et la nutrition.
C’est un état de souffrance qui facilite la consommation d’aliments toxiques.
Plus vos pensées seront claires et limpides, plus vôtre esprit sera positif et occupé à des tâches valorisantes, et moins vous laisserez la place à l’addiction alimentaire et particulièrement aux aliments gras et sucrés car
derrière la surconsommation se cache un état de souffrance.
Ainsi, beaucoup de vos problèmes se régleront et particulièrement cet insupportable et préjudiciable addiction à la mal bouffe.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
C’est de notoriété publique, plus vous vieillissez et plus le physique se dégrade.
Plus les années passent, particulièrement à l’approche de la ménopause chez les femmes ou en ménopause, et plus il est difficile d’obtenir des résultats.
Cet état chez l’homme arrive rarement au même âge que la ménopause chez la femme.
Il arrive en général beaucoup plus tard.
Il est à souligner que dans quelques cas, cette « fin de cycle » peux ne jamais arriver chez l’homme et se produire parfois très tardivement chez les femmes, au-delà de 60 ans.
Nous récupérons moins bien, nous nous réparons moins bien, nous fabriquons moins rapidement du tissu musculaire et le tissu adipeux, le gras, a une tendance à s’accumuler plus rapidement.
Nous perdons progressivement de la souplesse, notre structure s’affaisse et se soude…
Quel merveilleux tableau !
Le vieillissement est pris comme une fatalité accablante contre laquelle on ne peut pas grand-chose.
On peut le comprendre.
Nous naissons, nous vivons et nous mourrons.
Est-ce que nous pouvons freiner le processus ?
Avons-nous un pouvoir quelconque sur ce triste schéma ?
Je le pense sincèrement et je ne suis évidemment pas le seul à le penser.
Vous pouvez agir sur plusieurs facteurs et améliorer considérablement la façon dont vous allez vieillir.
Comprenez-vous que vous pouvez agir sur votre vie, sur la façon dont vous vieillissez, c’est acté, nous le savons.
Imaginez-vous alors ce que vous pouvez faire pour votre ventre.
Je ne parle pas forcément d’avoir un ventre très musclé avec des abdos super apparents…
… mais au fond, si tel est votre souhait, pourquoi pas.
Reprenez les cinq facteurs déterminants que je décris ci-dessus:
La première des choses serait que vous ayez un vrai désir pour cela.
Une réelle détermination, pas un jour comme une simple lubie mais durant quelques semaines et pourquoi pas toute une vie…
Cela vous évitera de recommencer à zéro à chaque fois.
Avoir envie, cultiver votre désir, visualiser vos résultats est le départ du processus.
Comme pour chaque décision importante ou chaque changement de direction, il doit y avoir un déclencheur qui donnera forme au projet.
Je veux ardemment, sans aucun doute un ventre plat, beau et tonique… et Je l’obtiens.
Changez-là !
Ne continuez pas à manger ce que vous mangez habituellement, cette alimentation qui contribue à augmenter votre masse grasse.
Mangez hypocalorique et protéiné pendant quelques temps jusqu’à obtenir les résultats que vous souhaitez.
S’alimenter pour la super sèche partie 1
S’alimenter pour la super sèche partie 2
Ensuite vous pourrez basculer sur une alimentation équilibrée qui vous permettra de maintenir les résultats.
Mais vraiment, changez ce qui ne fonctionne pas pour quelque chose qui fonctionne enfin.
Voici le lien d’un de mes articles sur ce sujet, qui pourra vous aider.
Le seul régime qui fonctionne à tous les coups !
Pour améliorer votre sangle abdominale, il faudra forcément faire quelques exercices, de façon répétée et avec passion.
C’est en cultivant son potager avec amour que l’on fini par obtenir des légumes de qualité.
Je ne connais pas d’autre approche.
Je ne suis ni spécialiste et bien sûr ni adepte de cette pratique.
Ne pas faire, ne pas s’impliquer physiquement dans la démarche aura forcément une incidence sur les résultats.
Nous pourrions parler d’écosystème, celui-ci est évidemment très important.
Il vous influence et vous pouvez parfois même, également, l’influencer.
Si vous ne trouvez pas dans votre univers soit une ou plusieurs sources de motivation, cela peut rendre l’objectif plus difficile à réaliser.
Les endroits que vous fréquentez, vos lectures, les émissions ou les vidéos que vous regardez, votre emploi, vos hobbies, la région où vous résidez…
S’il le faut, changez votre écosystème !
Changez cet emploi qui ne vous convient peut-être plus, changez vos hobbies et pourquoi pas, changez de région…
Si autour de vous, vos amis, votre famille n’ont que faire du contrôle de l’alimentation et de la pratique sportive…
…Que pour votre entourage, un ventre avec peu de graisse, tonique et sexy n’a vraiment aucun intérêt et que cela ne fait vraiment pas partie de leur univers, vous ne puiserez donc pas la moindre motivation ou le moindre exemple auprès d’eux.
Vous serez parfois dans l’obligation de vous préserver et de fréquenter ainsi des personnes motivantes capables d’insuffler chez vous un élan supplémentaire pour la réalisation de vos objectifs.
Il n’y a évidemment aucun mal à cela.
On vous le reprochera peut-être mais le plus important, c’est vous.
En conclusion, si améliorer votre ventre peut vous apporter du bien-être, de la valorisation, une certaine harmonie, alors mettez toutes les chances de votre côté.
Envisagez la réalisation de cet objectif de façon holistique en tenant compte de tous les paramètres que je décris ci-dessus.
C’est ainsi que vous y arriverez à coup sûr, même au delà de 40 ans, je n’en doute pas un instant.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Vous n’êtes pas victimes du yo-yo, vous êtes bien adeptes du yo-yo.
J’insiste sur la notion de responsabilité que contient ce titre.
Mais je vous le garantis, ça ne s’arrête pas uniquement à l’accointance avec la nutrition.
Quelle définition pourrions-nous donner au « yo-yo » ?
Pour un bon nombre d’entre vous, nous pourrions également qualifier de « yo-yo », la relation discontinue que vous avez avec le sport.
Vous en faites de façon saisonnière, pourrions-nous dire.
Quelques semaines par an et même pas chaque année…
Un coup vous êtes dedans et puis vous n’y êtes plus du tout.
Non seulement parce que vous avez freiné la dépense énergétique mais aussi et surtout parce que vous cherchez à échapper aux règles…
…non pardon, vous vous échappez des règles que l’on peut associer à la discipline sportive, à savoir le contrôle de l’alimentation, entre autres.
Ne vous méprenez pas, ayez autant que possible un regard objectif sur la situation.
Un peu comme l’arrêt de la cigarette qui vous a fait grossir…
Si ce n’est plus la cigarette, ce sera l’alimentation ou autre chose.
En terme médical, nous pourrions parler de traitement palliatif et non pas de traitement curatif.
La manifestation de la souffrance ne se traduit plus par l’alcool, la cigarette, la drogue, le jeu ou l’intérêt exacerbé pour le sexe mais par l’alimentation à outrance.
Parfois certaines et certains les cumulent…
Bien évidemment, le problème n’est pas réglé.
Il est plus aisé de jeter la faute et parfois le discrédit sur les autres.
Il est plus simple de renvoyer la responsabilité sur une situation, des outils, des circonstances…
C’est la faute du régime !
C’est la faute des événements si j’ai eu un accident.
Mes problèmes de santé, je n’y suis pour rien, c’est héréditaire !
Pour ma part, je n’irai jamais chercher bien loin…
Je pense que nous sommes toujours responsables de ce qui nous arrive.
Je comprends, dit comme ça, que bon nombre d’entre vous s’offusquent et me sortent leurs sempiternels contre-argumentation.
« Ah oui alors quand tu as un accident de la route et qu’on est venu te percuter alors que tu étais sur ta voie, c’est de ta faute ? »
« Un enfant qui tombe malade c’est de sa faute ? »
« Tu es victime d’une escroquerie, on t’a pris tout ton argent et là aussi c’est de ta faute ? »
Je ferai très bientôt un article dans lequel je détaillerai les mécanismes d’acceptation de sa propre responsabilité.
Ces mécanismes sont à la fois spirituels et quantiques.
Pour revenir notre sujet… le « yo-yo » n’est pas lié à autre chose qu’à votre responsabilité et par conséquent à la façon dont vous vous comportez.
Il faut impérativement que vous en ayez conscience pour que cessent les « montagnes russes ».
Le régime qui vous a fait perdre du poids, ce régime hypocalorique, car il n’est question de rien d’autre, n’est pas la garantie à vie que vous garderez cette perte de poids.
L’avez-vous compris ?
Vous aviez cessé pendant deux mois, l’alcool, la tartiflette, la charcuterie et les litres de glace.
Vous avez donc perdu du poids.
Attention, il n’est pas ici question de régime à vie mais d’évoluer vers un équilibre raisonné, avec gestion.
Vous décidez, ce n’est pas l’alimentation qui décide pour vous.
Nous vivons une époque « excusante »où il est exclu de faire porter la responsabilité de quoi que ce soit à qui que ce soit.
Tant que vous pensez n’avoir aucune influence sur les événements et surtout sur votre propre vie rien ne changera.
responsable ne veut pas dire coupable.
Il y a d’ailleurs un excellent sketch des inconnus qui met en scène un homme politique véreux dont la phrase comique de répétition est :
« responsable mais pas coupable»
Nous ne devons donc pas nous sentir coupables…
Je suis absolument d’accord, se sentir coupable avec tout le cortège de sentiments bas de souffrance qui va avec, n’a vraiment aucun intérêt.
Pas de culpabilité, simplement de la responsabilité.
Comme si votre vie était opaque et que subitement tout devenait plus clair.
Ce voile qui plombait votre existence disparaît miraculeusement, vous avez le pouvoir de faire, d’avoir et d’être vraiment.
Vous décidez !
Si vous aviez décidé de changer de philosophie alimentaire, plutôt que de réintroduire toute cette mal bouffe qui avait fait de vous un malade en puissance, vous auriez alors, aujourd’hui, conservé la forme, la santé et votre perte de poids.
Nous rencontrons exactement la même attitude dans les salles de remise en forme.
Mais également concernant le sport pratiqué à la maison ou en extérieur.
Ce n’est certes pas la faute du matériel, de la salle, de sa fréquentation ou de votre programme d’entraînement à la maison…
À votre décharge, il est vrai que vous n’êtes pas ou peu suivi à moins d’avoir recours à un coach ou a un système de coaching bien ficelé.
A ce propos, jetez un œil sur mes programmes:
Cette option n’est pas toujours heureuse : les transmissions du savoir et de la passion, ne sont pas toujours au rendez-vous.
C’est toujours vrai aujourd’hui, j’ai du plaisir à recevoir l’enseignement de certains auteurs et conférenciers plutôt que d’autres.
Mais je m’intéresse et persiste et je trouve le ou les bons instructeurs qui me feront alors évoluer.
Néanmoins, pourquoi vous ne progressez pas physiquement ?
Parce que vous ne vous entraînez pas.
Cela fait près de 40 ans, 38 ans exactement que je fréquente les salles de fitness, musculation, remise en forme… L’appellation a peu d’importance, c’est comme vous voulez.
Et je constate inlassablement les mêmes attitudes.
Je peux vous assurer que le match est joué d’avance.
En tous les cas jamais de cette façon.
Cela fait 10 ans que vous fréquentez la salle de sport et parfois même beaucoup plus, sans progression et même très souvent avec régression au fil des années.
Pourquoi répétez-vous avec autant de pugnacité toujours le même fonctionnement qui finalement ne marche pas ?
Il VOUS suffirait de prendre une bonne résolution.
Dites stop à ce qui ne vous réussit pas, faites ce qui marche.
Copiez les personnes qui ont réussi à maintenir leur poids et à garder une forme et une santé pérennes.
Vous comprendrez enfin que le dénominateur commun de toutes ces réussites outre le désir est LA RÉGULARITÉ.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Vous êtes perdus au milieu de toutes ces philosophies.
Vous errez dans le dédale de tous ces régimes.
Qu’ils soient hyper protéiné, Keto, jeûne intermittent, régime dissocié, préhistorique…
Ah non désolé, je voulais dire paléo, les régimes mono aliment, les régimes en fonction de votre rhésus sanguin…
Les régimes Ayurvédiques….
Je vais vous livrer le secret, le seul régime qui fonctionne à tous les coups.
Comprenez vous ?
Le reste c’est du bla bla ….
Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla ….
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Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Il semblerait que l’apéro soit une des activités majeures autour de la convivialité et du partage.
Une activité incontournable, une pratique sociale, sociable, « sociabilisante » particulièrement aux beaux jours… Mais pas seulement…
L’alcool est la colonne vertébrale de l’apéro.
Quasi impossible d’organiser un apéro sans alcool.
Si tu ne bois pas d’alcool, tu n’es pas le bienvenu.
Faire l’apéro en buvant du Perrier ou du lait fraise est considéré comme un manquement grave à la déontologie du bon vivant.
A ce propos, je vous invite à lire mon article sur ce sujet:
Boissons | Quantité | Kcal par portion |
Vin rouge 12 ° | 1 verre de 10 cl | 70 |
Vin blanc sec | 1 verre de 10 cl | 70 |
Champagne brut | 1 flûte de 10 cl | 70 |
Kir | 1 verre de 8 cl | 75 |
Izarra | 1 verre de 3,5 cl | 105 |
Martini | 1 verre de 8 cl | 120 |
Ambassadeur | 1 verre de 8 cl | 112 |
Cinzano | 1 verre de 8 cl | 112 |
Pizang/jus d’orange | 1 verre de 15 cl | 156 |
Triple sec Curaçao 1 verre de 3, 5 cl | 1 verre de 3,5 cl | 106 |
Rhum agricole | 1 verre de 2,5 cl | 70 |
Porto | 1 verre de 5 cl | 90 |
Sherry doux | 1 verre de 5 cl | 77 |
Sherry dry | 1 verre de 6 cl | 51 |
Whisky | 1 verre de 4 cl | 110 |
Cognac | 1 verre de 3 cl | 70 |
Vodka/coca | 1 verre de 15 cl | 122 |
Bière Pils | 1 bouteille de 25 cl | 110 |
Kriek lambic | 1 verre de 20 cl (la bouteille de 25 cl) | 96 (116) |
Duvel | 1 verre de 15 cl (la bouteille de 33 cl) | 93 (204) |
Guinness Stout | 1 verre de 16,5 cl (la bouteille de 33 cl) | 115 (214) |
Chimay Brune | 1 verre de 14 cl (la bouteille de 33 cl) | 97 (230) |
Trappiste de Rochefort | 1 verre de 15 cl (la bouteille de 33 cl) | 114.5 (252) |
Vieux temps Blonde | 1 bouteille de 25 cl | 102 |
Abbaye de Leffe Brune | 1 verre de 19,5 cl (la bouteille de 25 cl) | 109 (137) |
Geuze Lambic | la bouteille de 25 cl | 103 |
Stella light | la bouteille de 25 cl | 90 |
Cidre | 1 verre de 15 cl | 50 |
Pineau | 1 verre 4cl | 50 |
Apéritif de base | 1 verre 4cl | 54 |
Apéritif à la gentiane | 1 verre 4cl | 60 |
Champagne | Flute en moyenne | 100 |
Pastis | 1 verre 4cl | 110 |
Madère | 1 verre 7cl | 112 |
Punch / Sangria | 1 verre 8 cl | 150 |
Muscat | 1 verre 15 cl | 240 |
Soda ordinaire | 1 bouteille de 33 cl | 130 |
Chips en tout genre, gâteaux apéritifs frits et croustillants aux arômes de bacon et autres saveurs exotiques.
Cacahouètes grillées et salées, mélanges de fruits secs, olives, tapas, fromages type « Apéricubes »… parfois quelques légumes crus… »
Aliments | Nombre de Calories (pour 100G) |
Bretzels | 370 Kcal |
Gressins | 400 Kcal |
Pop-corn | 420 Kcal |
Crêpes fourrées | 430 Kcal |
Galettes de maïs | 460 Kcal |
Soufflés goût cacahuètes | 470 Kcal |
Crackers (moyenne) | 500 Kcal |
Snacks pizza | 480 Kcal |
Frites | 480 Kcal |
Pétales | 490 Kcal |
Tortilla chips | 500 Kcal |
Chips de crevettes | 530 Kcal |
Tuiles | 540 Kcal |
Chips | 560 Kcal |
Mini-choux | 570 Kcal |
Mélange graines salées/raisins secs | 460 Kcal |
Cacahuètes | 600 Kcal |
Pistaches | 600 Kcal |
Noix de cajou | 600 Kcal |
Amandes | 600 Kcal |
Noisettes | 600 Kcal |
Noix de pécan | 600 Kcal |
Olives vertes en saumure | 120 Kcal |
Sauce mexicaine | 40 Kcal |
Sauce chili | 40 Kcal |
Guacamole | 200 Kcal |
Tapenade | 260 Kcal |
Olives à l’huile d’olives | 180 Kcal |
Olives noires en saumure | 290 Kcal |
Gougères | 360 Kcal |
Olives noires à la grecque | 340 Kcal |
Tartelette | 290 à 330 Kcal |
Feuilletés | 280 à 330 Kcal |
Petits fromages | 275 Kcal |
Pain surprise | 260 à 300 Kcal |
Canapés traiteur | 230 Kcal |
Saucisses cocktail | 250 Kcal |
L’énergie issue de l’alimentation s’appelle calories, plus précisément kcalories ou kjoules.
Sans bénéfice pour votre organisme donc pour votre santé.
C’est même évidemment tout le contraire.
On ne peut pas dire non plus que les calories issues des amuse-gueules aient des qualités nutritionnelles de premier ordre.
Un apéro:
Léger ce sera jusqu’à 500 calories.
Moyen entre 500 et 1000 calories.
Costaud au-delà de 1000 calories.
De la mort, plus de 2000 calories.
L’énergie consommée ci-dessous s’entend dans des conditions de pratique, je précise, active !
Non pas comme est pratiqué le cardio training par la majorité des adhérents dans les salles de fitness c’est à dire mollement, sans conviction, pour tuer le temps ou en piétinant sans amplitude sur un stepper.
Activité ou sport / heure | 60 kg | 70 kg | 85 kg |
Aquabiking (vélo dans l’eau) | 501 | 588 | 714 |
Aquagym (aqua-aérobic) | 236 | 281 | 345 |
Aviron, position assise, allure lente | 413 | 493 | 604 |
Aviron, position assise, allure modérée | 502 | 598 | 733 |
Aviron, position assise, allure très vigoureuse | 708 | 844 | 1035 |
Aviron, position assise, allure vigoureuse | 561 | 669 | 819 |
Aérobic, enseignement dans une classe | 354 | 422 | 518 |
Aérobic, faible impact | 295 | 352 | 431 |
Aérobic, fort impact | 413 | 493 | 604 |
Aérobic, général | 384 | 457 | 560 |
Badminton, en compétition | 413 | 493 | 604 |
Badminton, hors compétition | 266 | 317 | 388 |
Baseball | 295 | 352 | 431 |
Basket-ball, arbitrage | 413 | 493 | 604 |
Basket-ball, en fauteuil roulant | 384 | 457 | 561 |
Basket-ball, en match | 472 | 563 | 690 |
Basket-ball, général | 354 | 422 | 518 |
Basket-ball, tirs aux paniers | 266 | 317 | 388 |
Billard | 148 | 176 | 216 |
Bobsleigh | 413 | 493 | 604 |
Bowling | 177 | 211 | 259 |
Boxe, entraînement (mode sparring partner) | 531 | 633 | 776 |
Boxe, frappant les sacs | 354 | 422 | 518 |
Boxe, sur le ring, général | 708 | 844 | 1035 |
Broomball, ballon-balai, ballon sur glace | 413 | 493 | 604 |
Canoë-kayak, allure lente | 177 | 211 | 259 |
Canoë-kayak, allure modérée | 413 | 493 | 604 |
Canoë-kayak, en équipe, mode compétition | 708 | 844 | 1035 |
Catch, lutte | 354 | 422 | 517 |
Club de remise en forme, exercices, général | 325 | 387 | 474 |
Corde à sauter, allure lente | 472 | 563 | 690 |
Corde à sauter, allure modérée, général | 590 | 704 | 863 |
Corde à sauter, allure rapide | 708 | 844 | 1035 |
Course d’orientation | 531 | 633 | 775 |
Course à pied | 384 | 457 | 561 |
Course à pied, 10,8 km/h | 649 | 774 | 949 |
Course à pied, 11,25 km/h | 679 | 809 | 992 |
Course à pied, 12 km/h | 738 | 880 | 1078 |
Course à pied, 13 km/h | 797 | 950 | 1165 |
Course à pied, 13,8 km/h | 826 | 985 | 1208 |
Course à pied, 14,5 km/h | 885 | 1056 | 1294 |
Course à pied, 16 km/h | 944 | 1126 | 1380 |
Course à pied, 17,5 km/h | 1062 | 1267 | 1553 |
Course à pied, 8 km/h | 472 | 563 | 690 |
Course à pied, 9,5 km/h | 590 | 704 | 863 |
Course à pied, cross country | 531 | 633 | 776 |
Course à pied, en montant les escaliers | 885 | 1056 | 1294 |
Course à pied, général | 472 | 563 | 690 |
Course à pied, sur une piste, pratique en équipe | 590 | 704 | 863 |
Courses de chevaux, galopant | 472 | 563 | 690 |
Cricket | 295 | 352 | 431 |
Croquet | 148 | 176 | 216 |
Crosse | 472 | 563 | 690 |
Curling | 236 | 281 | 345 |
Cyclisme, 19 à 22 km/h, allure modérée | 472 | 563 | 690 |
Cyclisme, 22 à 25 km/h, allure vigoureuse | 590 | 704 | 863 |
Cyclisme, 25 à 30 km/h, très rapide, en course | 708 | 844 | 1035 |
Cyclisme, < 16 km/h, loisirs | 236 | 281 | 345 |
Cyclisme, > 32 km/h, courses | 944 | 1126 | 1380 |
Cyclisme, de 16 à 19 km/h, allure lente | 354 | 422 | 518 |
Cyclisme, VTT en montagne ou BMX | 502 | 598 | 733 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure lente | 325 | 387 | 474 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure modérée | 413 | 493 | 604 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure très lente | 177 | 211 | 259 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure très vigoureuse | 738 | 880 | 1078 |
Cyclisme, vélo d’appartement, allure vigoureuse | 620 | 739 | 906 |
Cyclisme, vélo d’appartement, général | 295 | 352 | 431 |
Danse (aérobic, ballet ou moderne) | 354 | 422 | 518 |
Danse (salle de bal, lente) | 177 | 211 | 259 |
Danse (salle de bal, rapide) | 325 | 387 | 474 |
Danse de salon (en couple), lente | 177 | 211 | 258 |
Danse de salon (en couple), rapide | 325 | 387 | 474 |
Danse, général | 266 | 317 | 388 |
Descendre l’escalier en marchant | 177 | 211 | 258 |
Dormir | 37 | 43 | 54 |
Déménager (déballant les cartons) | 207 | 246 | 301 |
Entraînement en circuit, général, peu de repos | 472 | 563 | 690 |
Equitation, général | 236 | 281 | 345 |
Equitation, marche | 148 | 176 | 216 |
Equitation, trot | 384 | 457 | 561 |
Escalade, varappe, ascension de rochers | 649 | 774 | 949 |
Escalade, varappe, descente en rappel | 472 | 563 | 690 |
Escrime | 354 | 422 | 518 |
Etirements, hatha yoga | 236 | 281 | 345 |
Etirements, léger | 148 | 176 | 215 |
Exercices corporels, à la maison, allure légère ou modérée | 266 | 317 | 388 |
Exercices corporels, à la maison, allure vigoureuse | 472 | 563 | 690 |
Football (exercices, course drapeaux, général) | 472 | 563 | 690 |
Football, mode compétition | 590 | 704 | 863 |
Football, occasionnel, général | 413 | 493 | 604 |
Frisbee (mode rythmé) | 207 | 246 | 302 |
Frisbee, général | 177 | 211 | 259 |
Frisbee, ultimate | 480 | 560 | 680 |
Gainage (sur les mains) | 410 | 480 | 580 |
Golf (mini-série ou frapper au loin) | 177 | 211 | 259 |
Golf (tirant les clubs) | 295 | 352 | 431 |
Golf (transportant des clubs) | 325 | 387 | 474 |
Golf (utilisant le chariot) | 207 | 246 | 302 |
Golf, général | 236 | 281 | 345 |
Gymnastique suédoise, maison, effort léger/modéré | 210 | 245 | 298 |
Gymnastique, général | 236 | 281 | 345 |
Haltérophilie, allure modérée | 177 | 211 | 259 |
Haltérophilie, allure vigoureuse | 354 | 422 | 518 |
Handball (jeu en équipe) | 472 | 563 | 690 |
Handball, général | 708 | 844 | 1035 |
Hockey sur gazon | 472 | 563 | 690 |
Hockey sur glace | 472 | 563 | 690 |
Jardinage, général | 295 | 352 | 431 |
Jaï-alaï (pelote basque) | 720 | 840 | 1020 |
Jeu de palet, de boulingrin | 177 | 211 | 259 |
Jogging, dans l’eau (aquajogging) | 472 | 563 | 690 |
Jogging, général | 413 | 493 | 604 |
Judo, jujitsu | 590 | 704 | 863 |
Karaté | 590 | 704 | 863 |
Kayak | 295 | 352 | 431 |
Kick Boxing | 590 | 704 | 863 |
Kickball | 420 | 490 | 595 |
Laver le chien | 207 | 246 | 302 |
Les Mills BodyAttack | 475 | 554 | 672 |
Les Mills BodyBalance/BodyFlow | 232 | 270 | 328 |
Les Mills BodyCombat | 481 | 561 | 682 |
Les Mills BodyPump | 325 | 379 | 460 |
Les Mills BodyStep | 478 | 558 | 677 |
Les Mills Grit | 549 | 641 | 778 |
Les Mills RPM | 449 | 524 | 637 |
Lire (en s’asseyant) | 67 | 79 | 97 |
Luge | 413 | 493 | 604 |
Marche rapide (ex. : parade militaire) | 384 | 457 | 561 |
Marcher/Courir, jouant avec enfant, allure modérée | 236 | 281 | 345 |
Marcher/Courir, jouant avec enfant, allure vigoureuse | 295 | 352 | 431 |
Natation sychronisée | 472 | 563 | 690 |
Natation, brasse papillon, général | 660 | 770 | 935 |
Natation, brasse, général | 590 | 704 | 863 |
Natation, dos, général | 472 | 563 | 690 |
Natation, laps, allure modérée | 472 | 563 | 690 |
Natation, laps, allure rapide | 590 | 704 | 863 |
Natation, papillon, général | 649 | 774 | 949 |
Natation, pour le loisir, général | 354 | 422 | 518 |
Natation, sur place, allure modérée | 236 | 281 | 345 |
Natation, sur place, allure rapide | 590 | 704 | 863 |
Nettoyage (voiture, fenêtres, etc.), lourd et vigoureux | 266 | 317 | 388 |
Nettoyage du garage, du trottoir | 236 | 281 | 345 |
Nettoyage du sol, utilisant mains et genoux | 325 | 387 | 474 |
Nettoyage, allure lente ou modéré | 148 | 176 | 216 |
Nettoyage, dans la maison, général | 207 | 246 | 302 |
Parachutisme | 177 | 211 | 258 |
Patinage sur glace, 14 km/h ou moins | 325 | 387 | 474 |
Patinage sur glace, allure rapide (> 14 km/h) | 531 | 633 | 776 |
Patinage sur glace, allure rapide (mode compétition) | 885 | 1056 | 1294 |
Patinage sur glace, général | 413 | 493 | 604 |
Patinage, roller | 413 | 493 | 604 |
Pelleter la neige, à la main | 354 | 422 | 518 |
Pilates | 150 | 175 | 213 |
Plongée en apnée (snorkeling) | 295 | 352 | 431 |
Plongée sous-marine, général | 413 | 493 | 604 |
Polo | 472 | 563 | 690 |
Pompes, intense | 474 | 553 | 672 |
Port de charges lourdes (comme des briques) | 472 | 563 | 690 |
Porter entre 12 et 22 kilos en montant l’escalier | 472 | 563 | 690 |
Porter entre 7 et 11 kilos en montant l’escalier | 354 | 422 | 517 |
Pousser ou tirer une poussette avec enfant | 148 | 176 | 216 |
Promenade à pied, 3 km/h, allure lente | 148 | 176 | 216 |
Promenade à pied, 5 km/h, allure modérée | 207 | 246 | 302 |
Promenade à pied, 5,5 km/h, en montée | 236 | 281 | 345 |
Promenade à pied, 6,5 km/h, allure très rapide | 354 | 422 | 518 |
Promenade à pied, en montant | 472 | 563 | 690 |
Promenader à pied, moins de 3 km/h, allure très lente | 118 | 141 | 172 |
Promener le chien | 177 | 211 | 258 |
Pédalo | 236 | 281 | 345 |
Racketball, jeu normal | 413 | 493 | 603 |
Racketball, mode compétition | 590 | 704 | 862 |
Rafting | 295 | 352 | 431 |
Rameur; allure lente | 207 | 246 | 302 |
Rameur; allure modérée | 413 | 493 | 603 |
Rameur; allure rapide | 502 | 598 | 733 |
Rameur; allure très rapide | 708 | 844 | 1035 |
Randonnée pédestre, cross country | 354 | 422 | 518 |
Raquette (sur neige) | 472 | 563 | 690 |
Ratisser la pelouse | 236 | 281 | 345 |
Redressement assis, intense | 474 | 553 | 672 |
Repeindre la maison à l’extérieur | 295 | 351 | 431 |
Rugby | 590 | 704 | 863 |
Réparation automobile | 177 | 211 | 259 |
S’asseoir dans une classe, travail de bureau | 104 | 123 | 152 |
Saut à ski (montée au lieu du saut en emportant les skis) | 413 | 493 | 604 |
Sauts avec écart (Jumping Jack), intense | 498 | 581 | 706 |
Skateboard | 295 | 352 | 431 |
Ski sur l’eau, ski nautique | 354 | 422 | 518 |
Ski sur neige, général | 413 | 493 | 604 |
Ski, en descente, allure lente | 295 | 352 | 431 |
Ski, en descente, allure modérée | 354 | 422 | 518 |
Ski, en descente, allure vigoureuse | 472 | 563 | 690 |
Ski, ski de fond, allure course | 826 | 985 | 1208 |
Ski, ski de fond, allure lente | 413 | 493 | 604 |
Ski, ski de fond, allure modéré | 472 | 563 | 690 |
Ski, ski de fond, allure vigoureuse | 531 | 633 | 776 |
Ski, ski de fond, en montée | 974 | 1161 | 1423 |
Snowboard | 372 | 434 | 527 |
Softball, arbitrage | 240 | 280 | 340 |
Softball, lancer rapide ou lent | 295 | 352 | 431 |
Sortir la poubelle | 177 | 211 | 258 |
Spinning | 420 | 490 | 595 |
Squash | 708 | 844 | 1035 |
Step, intense | 400 | 420 | 450 |
Stepper, machine simulateur d’escalier | 531 | 633 | 775 |
Surf (couché ou debout sur la planche) | 177 | 211 | 259 |
Séance de jeu avec enfant, mouvements légers | 148 | 176 | 216 |
Tae Bo | 606 | 707 | 859 |
Tae Kwon Do | 590 | 704 | 863 |
Tai chi | 236 | 281 | 345 |
Tennis de table, ping-pong | 236 | 281 | 345 |
Tennis, double | 354 | 422 | 518 |
Tennis, général | 413 | 493 | 604 |
Tennis, simple | 472 | 563 | 690 |
Tir à l’arc (en tant que sport et non en situation de chasse) | 207 | 246 | 302 |
Tondre la pelouse, général | 325 | 387 | 474 |
Tractions (exercice de musculation), intense | 456 | 532 | 646 |
Trampoline | 207 | 246 | 302 |
Travail (léger) dans un bureau | 89 | 106 | 130 |
Travailler sur l’ordinateur | 81 | 96 | 119 |
Travaux d’électricité, plomberie | 177 | 212 | 259 |
Tâches ménagères, faire le ménage, général | 207 | 246 | 302 |
Voile, bateau, planche à voile, général | 180 | 210 | 255 |
Voile, en mode compétition | 295 | 352 | 431 |
Voile, planche à voile, général | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball dans l’eau | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball, hors compétition | 177 | 211 | 259 |
Volley-ball, mode compétition, dans un gymnase | 236 | 281 | 345 |
Volley-ball, à la plage | 472 | 563 | 690 |
Vélo elliptique (allure modérée) | 410 | 477 | 580 |
Vélo elliptique (allure vigoureuse) | 485 | 566 | 687 |
Water polo | 590 | 704 | 863 |
Wii | 210 | 245 | 298 |
Zumba | 350 | 370 | 400 |
Pour un apéro léger d’environ 500 calories, soit 2 coupes de Champagne, une poignée de cacahuètes et de pistaches et quelques gâteaux apéritifs, il vous faudra courir environ 1 heure 30mn.
Pour un apéro de la mort, soit 2000 calories minimum, vous pourrez soit courir 6 à 10 heures (c’est-à-dire environ 3 marathons!!!), ou alors nager 4 à 6 heures de crawl rapide.
Vous en sentez-vous capable?
Vous pourrez bien faire tout le sport et les activités que vous voudrez que vous ne parviendrez pas à rééquilibrer les balances apports / dépenses.
Regardez les individus qui boivent régulièrement ce qu’ils deviennent…
Je ne peux plus regarder d’images sur les réseaux sociaux censées nous faire rire et qui mettent en scène des personnes alcoolisées.
Sans parler des dégâts physiques, neuronaux, psychologiques, socio-familiaux et professionnels.
C’est festif, branché, social, génial mais tellement insidieux.
Une forme d’esclavagisme, consentant au départ, une merveilleuse manipulation de plus qui a fait ces preuves chez tellement de peuples durant l’histoire récente de l’humanité.
A 20 ans, Estelle ne buvait jamais.
D’ailleurs, elle détestait l’alcool.
Puis, pour faire comme les autres, pour « faire partie du groupe » elle a commencé à boire un verre occasionnellement.
Elle s’est rendue compte qu’un petit verre la désinhibait…
Et puis, progressivement, ces petits verres de rouge, blanc ou de rosé sont devenus une vraie source de plaisir !
A maintes reprises, elle a bien essayé d’arrêter car finalement, c’est un peu comme la cigarette…
Ça coûte cher et puis on le sait, c’est mauvais pour la santé !
Mais c’est difficile, voire même, semblerait-il, impossible d’arrêter tant l’influence des autres impacte notre comportement.
Parce que vous comprenez, le soir, après une longue journée de travail, un petit verre ou deux ça détend.
Nombreux sont ceux qui se retrouvent dans la même situation qu’Estelle. Peut-être vous reconnaissez-vous…
Essayez d’être honnête avec vous-même.
Et je saisis l’opportunité de cette confrontation avec vous-même pour vous poser LA question :
Vous savez, lorsque vous n’arrivez plus à vous en passer…
Je vous entends déjà… : « Moi ? Alcoolique ? Jamais de la vie ! Je peux m’en passer sans problème ! »
Une petite parenthèse pour vous rappeler la définition « d’alcoolique » :
« C’est une personne qui boit avec excès et de façon habituelle des boissons alcooliques. »
Est-ce deux verres ? Trois verres ? un apéritif et deux verres ?
Je vous propose donc un petit défi cette semaine : buvez « zéro » goutte d’alcool et voyez comment cela vous affecte…
ou encore mieux…
Mais… en êtes-vous seulement capable ?
Êtes-vous prêts à relever le défi ?
Ce que je vous explique, vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir !
Philippe LAMACHE, co écrit avec Barbara RATKOFF
P.S. Bientôt, je publierai un nouvel article qui définira les bienfaits de l’arrêt total de l’alcool