Qu’est-ce que cela évoque pour vous ?
Avez-vous vécu cet état ?
Une période de notre vie où l’on se remet en question mais pas toujours de la meilleure des façons.
Nous sommes quasiment à la moitié de notre existence, nous faisons le bilan de ce qui a été plutôt une réussite mais également le bilan de nos échecs.
Le bilan, c’est faire les comptes, aligner l’actif et le passif, les points positifs et les points négatifs.
Idéalement, ce serait de se nourrir des bons points et ce serait aussi de tirer des enseignements des points moins glorieux.
Nous avons la faculté de voir le verre à moitié vide.
Cela vous parle n’est-ce pas.
Nous savons que le passé est passé et que nous ne pouvons pas faire marche arrière.
Pour certains c’est une philosophie, un état de penser, qui incite à vivre au présent, à ne pas ressasser et à apprécier chaque moment intensément.
Pour ceux-ci, pas de crise de la quarantaine, l’acceptation est le maître mot.
Pour d’autres, c’est une mine de regrets, d’apitoiements, de remords, de souffrances.
Le constat est tellement sombre, que même l’avenir devient noir.
À ce moment précis, nos décisions deviennent encore plus irréfléchies, motivées par notre état de mal-être.
On s’échappe vers de nouvelles relations personnelles, un nouveau job, un nouvel eldorado, nous courons après on ne sait quoi.
Le sport devient une nouvelle religion, comme cette alimentation tendance, nous nous y jetons à corps perdu puis nous faisons des voyages au Tibet, en Inde ou je ne sais où.
Nous nous rapprochons d’un maître bouddhiste, nous nous tatouons, nous changeons de look…
Nous ne savons plus quoi faire.
On veut changer de vie et on veut changer le reste du monde.
Passer d’une certaine insouciance adolescente (même à 40 ans et plus), vers un état de conscience « pur ».
Un état de conscience moins pollué, ce serait déjà pas mal.
Pourquoi s’accrocher à ce qui est passé, à ce qui n’existe plus ?
Ce qui est fait est fait ! C’est une réalité absolue.
Vous n’avez aucune espèce d’influence sur des événements qui ont eu lieu dans des circonstances particulières, en présence de gens particuliers, à un moment particulier de votre vie.
Cela génère quasiment tout le temps des sentiments de souffrance; pourquoi se rendre malade ?
Vous savez qu’il n’y a aucune solution aux problèmes que vous êtes en train de vous créer.
Vous utilisez une énergie considérable à construire des châteaux de cartes sur un sol glissant, mou, inconsistant et votre château s’écroule encore et encore et vous le reconstruisez indéfiniment…
Est ce que vous reconstruiriez ce château de carte en sachant qu’il n’a aucune chance de tenir ?
C’est absurde n’est-ce pas ?
En second lieu, reconnaissez que vous êtes le seul responsable de ce qui vous arrive.
Vous avez le pouvoir de prendre les choses en main, le pouvoir de décision que personne ne peut avoir à votre place.
Lorsque l’on s’échappe, on ne peut plus rien faire pour soi.
« Quelque chose qui soit réellement à la hauteur de vos désirs. »
Ne soyez pas dans la fuite mais dans la paix et le bonheur.
Voici enfin un tournant que vous pouvez exploiter pour votre bien-être.
Vous avez le pouvoir de l’intention, la force de changer les choses, à partir du moment où vous acceptez cette loi, que vous en êtes réellement convaincu, que vous sentez en vous cette énergie puissante capable de renverser des montagnes.
Voici 10 propositions qui vous aideront à prévenir cette crise de la quarantaine :
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
J’ai très souvent entendu ce genre de commentaire, vous avez dû l’entendre très souvent à votre tour.
Lire la suiteOn nous rabat les oreilles continuellement en nous disant que, passé un certain âge, tout est plus difficile, quasiment impossible et que tout décline.
L’intellect, le physique, prendre du muscle ou ne serait-ce que de le conserver, perdre de la graisse corporelle, faire du sport en général, rester en éveil, conserver sa souplesse, avoir des relations sexuelles….
Les idées reçues, les schémas réducteurs de vie liés à l’andropause ou à la ménopause, nous enfoncent petit à petit et de façon inéluctable dans le gouffre de l’impuissance, de la frigidité, de la fragilité… de la souffrance.
D’autres avant nous l’ont vécu et nous le transmettent comme une profession de foi, un moyen pour eux de partager leur sentiment aigre de fin de vie et finalement, de ce fait, ils ne se sentent plus seuls.
Si votre désir est d’être dans une forme parfaite à plus de 40 ans, alors, n’écoutez pas ceux qui se retranchent derrière la fatalité de l’âge et qui attendent la maladie ou la mort.
À tous ceux qui ont choisi le chemin de l’expansion, celui d’améliorer son physique et ses qualités physiques à plus de 40 ans et de continuer à jouir dans tous les sens du terme, j’ai une toute autre théorie à partager avec vous.
Tout d’abord, dans la majorité des cas où il y a une perte d’appétit, de performances sexuelles, celles-ci sont d’ordre psychologiques quasi systématiquement.
Ces problèmes prennent, dans la plupart des cas, suite à un désordre lié à une expérience ou des expériences fâcheuses, des traumatismes, des souffrances, des partenaires mal choisis, des habitudes pesantes et anéantissantes.
J’affirme que le sexe va vous aider à progresser dans vos objectifs de développement et de définition musculaire, de densité ou de perte de poids.
Il vous élève et fait de vous un être plus réceptif, plus sensible plus vivant.
Le sexe stimule les sécrétions d’hormones en cascade, celles entre autres, qui augmentent l’anabolisme des tissus, qui boostent votre système immunitaire, qui diminuent votre stress, qui augmentent la confiance en vous, repousse le seuil de la douleur
Parmi ces hormones bienfaitrices, stimulantes, anabolisantes, dé-stressantes, on trouve : L’ocytocine, parfois qualifiée « d’hormone de l’amour », précurseur d’endorphine, véritable antistress naturel.
Nous savons à quel point le fait de ne pas être stressé est bénéfique pour conserver et focaliser notre énergie.
Ne pas être stressé est une bonne attitude pour appréhender vos sessions d’entraînement pour les rendre efficientes.
Elle peut vous aider à booster votre système immunitaire, réputée pour augmenter les fonctions cognitives, pour conserver une peau en bonne santé et même fonctionner comme un antidépresseur.
C’est encore une hormone très importante dans le processus de développement musculaire.
En effet, il est essentiel d’avoir un organisme en parfaite santé, apte à se défendre contre les agressions pathogènes.
La DHEA a également une action sur les capacités à apprendre, c’est un des points fondamental en culture physique.
Intégrons de façon consciente l’ensemble des processus de progression.
Je parle des paramètres d’intensité qui sont des sujets d’apprentissage permanent et l’approche mentale, qui elle aussi, demande un apprentissage rigoureux.
Ainsi que l’hormone lutéinisante (LH), la prolactine et différentes prostaglandines, la dopamine et la sérotonine sont toutes des hormones stimulées durant l’acte sexuel.
En dehors de tous ces aspects hormonaux, qui je le répète, sont très bénéfiques pour votre épanouissement en culture physique, l’acte lui-même est physique et, à ce titre, il déclenche une dépense énergétique non négligeable qu’on pourrait apparenter parfois même à du sport et à du sport à haute intensité pour certaines et certains !
un instant plus ou moins long ou nous ne sommes plus dans le ressassement ni dans les projections.
Un pur moment de présence, un moment de bonheur où l’on se sent vivant !
Une forme de méditation en mouvement.
Pratiquez le sexe le plus possible, c’est excellent pour votre santé et excellent pour vos objectifs d’évolution physique !
Ce que je vous explique vous semble logique.
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
La perte de graisse est la résultante de différents facteurs et dépend du métabolisme de chacun.
Cela peut être dû à une chute des apports nutritionnels, donc énergétiques, donc caloriques, devenant insuffisants par rapport aux besoins.
Cela peut être la conséquence également de l’augmentation des besoins liés à l’activité physique, sportive, intellectuelle, devenues plus importante.
Dans les trois cas de figure, la balance est déséquilibrée et la demande énergétique n’est pas honorée.
Cette capacité a brûler est associée au métabolisme plus ou moins élevé que l’on a parfois récolté de son patrimoine génétique.
De ce point de vue, l’évolution de la science en matière d’épigénétique aurait tendance à disculper en partie la génétique.
Notre activité physique, notre niveau de stress, notre alimentation, nos relations personnels, notre état d’esprit.
S’il vous plaît, ne mettez pas non plus sur le dos de votre âge, les difficultés que vous avez à prendre du muscle et à perdre votre graisse : regardez objectivement vos habitudes…
Vous vous trouvez continuellement des tas d’excuses pour ne pas faire de sport, vous buvez trop d’alcool, grignotez trop et sous le couvert de l’épicurie, vous vous gavez d’une alimentation qui fait de vous « un bon vivant ».
D’autres facteurs sont à prendre en considération tels que :
L’exposition à des températures très chaudes ou très froides, la nicotine, la caféine, les traitements médicaux, la drogue, le dopage…
En effet, plus votre masse musculaire est importante et plus votre métabolisme de base est élevé, par conséquent, plus la perte de votre tissu adipeux sera conséquente et plus rapide.
En effet, avec plus de masse musculaire, votre métabolisme de base est plus élevé, votre organisme a besoin de plus d’énergie ; il en résulte une réduction progressive des graisses.
Pour le même poids, un corps musclé consommera plus de calories au repos qu’un corps moins musclé.
Alors musclez-vous, vous augmenterez ainsi votre métabolisme et vous brûlerez plus, même au repos !
La théorie d’augmentation de la masse musculaire que je défends, va à l’encontre des théories sur l’activité aérobic qui ont été depuis une trentaine d’années privilégiées dans le cadre de la perte de masse grasse.
Il y a une confusion, même chez les gens qui veulent prendre cette fameuse masse et qui ont tendance à confondre le gras et les muscles.
Évoluer musculairement est plutôt une bonne chose: signe de vitalité et d’amélioration de nombreuses qualités physiques; cela va à l’encontre de la sarcopénie, se définissant comme une baisse progressive et généralisée de la masse musculaire (MM), de la force et de la performance physique.
Il est à souligner d’ailleurs que, l’autonomie du troisième âge, voir du quatrième âge, était associée à la souplesse mais il est évident qu’aujourd’hui, après de nombreuses études, ce serait le manque de tonicité musculaire, donc de muscles, qui serait le facteur handicapant et totalement limitant pour les tâches quotidiennes, telles que: se lever du lit ou d’une chaise, attraper des objets ou tout simplement marcher.
En effet, tout gain ou perte de poids est la conséquence d’une modification de nos apports énergétiques, ce que l’on appelle la balance énergétique.
Celle-ci doit être déséquilibrée.
La balance doit être négative, c’est-à-dire, brûler plus d’énergie que les calories ingérées.
Serait-ce donc seulement une affaire de calories ?
Non attention ! Lisez bien ce qui suit.
Il est démontré que la valeur nutritive d’un aliment inscrite sur l’étiquette nutritionnelle peut être de 20 à 30 % plus élevée ou plus faible selon votre métabolisme et votre état psychique:
Cela veut dire que nous sommes tous différents : nous n’utilisons pas les apports énergétiques de la même façon.
Nous absorbons plus d’énergie venant des aliments qui sont cuits parce que ces processus décomposent les cellules végétales et animales augmentant donc leur biodisponibilité.
Lorsque l’on est dans le contrôle du poids, absorber plus d’énergie n’est évidemment pas souhaité.
Pourquoi manger des fruits et des légumes crus ?
Quels en sont les bénéfices ?
Celui-ci n’est pas dénaturé par la cuisson, par la congélation, par la conserverie, par trop de matières grasses, par trop de sel et par trop d’adjuvants…
Vous récoltez l’ensemble des bienfaits des micro nutriments.
Le simple fruits ou légumes devient pratiquement un super aliment
Les légumes crus doivent être mastiqués !
C’est une action qui n’existe plus lorsque les aliments sont bouillis, en purée, en jus.
Mastiquer facilite la digestion et facilite donc l’assimilation.
Lorsque vous mangez cru, vous mangez moins, vous ingérez donc moins de calories.
Pour vous faire une belle assiette de velouté de brocolis, il faudra cinq à 10 fois la quantité que vous pouvez manger cru.
Manger cru est globalement sassiétant et demande à l’organisme plus d’énergie.
Manger crus vous fait manger moins.
Pour faire un verre de jus d’orange il faut parfois deux à trois oranges. Quand vous mangez le fruit en l’état, une orange suffit.
Lorsque les légumes sont cuits, ils perdent une quantité d’eau importante et perdent ainsi de leur volume.
Depuis que je mange cru, les quantités que j’achète sont moins importantes que lorsque je mixais, cuisais, pressais…
Augmentez vos apports de protéines afin de prévenir le catabolisme musculaire et faciliter l’augmentation de votre capital muscles.
La protéine est le nutriment énergétique bâtisseur, il est constitué d’acides aminées qui sont en partie les constituants du muscle.
Tout dépend une fois de plus de votre répartition muscle/gras et de la qualité des protéines que vous consommez.
Autre point intéressant, selon le type de bactéries présentes dans votre intestin, certaines personnes ont une plus grande facilité à extraire l’énergie à partir des parois des cellules végétales que d’autres, ces espèces de bactéries sont des bactéroïdètes.
Pour conclure, allez à l’encontre des préjugés, de la sarcopénie, de la génétique, de votre âge, de vos mauvaises habitudes, musclez vous, contrôlez votre alimentation et vous perdrez dans de meilleures conditions votre tissu adipeux excédentaire.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
La maturité nous rend plus sage… paraît-il !
Nous savons ce que nous voulons, nous écoutons notre fort intérieur, notre échelle de guidance, nous prenons des décisions plus justes, plus réfléchies.
Enfin normalement c’est ce que nous devrions faire, ce serait le bénéfice de l’âge…
Eh bien, ce n’est malheureusement pas toujours le cas, nous n’écoutons pas les signes ni les alertes que notre corps nous envoie continuellement.
Il nous demande de changer de direction, de modifier les choses.
Bien avant ces manifestations physiques, c’est notre esprit, subtilement, qui nous prévient encore et encore, mais souvent sans succès.
Malgré toutes les sonnettes d’alarme que nous envoie notre esprit puis notre corps, nous continuons à mal nous alimenter, à mal dormir, à boire de l’alcool, à fumer, à consommer trop de médicaments, à nous droguer, à écouter des informations de souffrance.
On voudrait délibérément se rendre malade que l’on ne pourrait pas faire mieux.
Mon souhait, est de vous aider petit à petit à intégrer dans votre style de vie quelques bonnes habitudes.
Il est question dans cet article des 10 aliments indispensables ou groupes d’aliments qu’il serait souhaitable que vous consommiez pour vous sentir mieux.
Ce sont les amandes, les noisettes, les noix…
Riches en vitamines liposolubles comme la vitamine E et riches en oméga 3, ils ont une action antioxydante essentielle, plutôt intéressant pour la récupération et l’aspect « anti vieillissement ».
Ils contiennent, de plus, des protéines végétales de bonne qualité.
Lorsque l’on a plus de 40 ans, la consommation d’oléagineux est évidente, elle doit néanmoins être contrôlée compte-tenu de leurs apports énergétiques conséquents.
Une étude publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease montre qu’un régime riche en noix serait recommandé pour leur activité de protection cérébrale et notamment d’inversion de l’atrophie cérébrale.
Une à deux poignées par jour est un apport raisonnable et profitable.
Cliquez sur le lien de l’article ci-dessous
Ils sont riches en anthocyanes et flavonoïdes contenus dans leur Tanins, ces substances ont une action « anti vieillissement » sur les cellules.
Ils ont également des actions intéressantes sur le fonctionnement du cerveau en améliorant, entre autres, l’oxygénation et la communication entre les cellules nerveuses.
Fruits rouges sous-entend également les fruits rouges foncés tels que: les myrtilles, le cassis, les mures etc.
Encore un fruit riche en antioxydants, puisqu’il faut parler de fruit lorsque l’on cite la tomate.
Les études sur le pouvoir protecteur du lycopène sur les risques cardio-vasculaires et les cancers du système hépatique, sont légions.
Des études prêtent à la tomate des actions anti dépresseur liées probablement à la vitamine B6, le magnésium ainsi que le fer et le tryptophane qui, comme expliqué plus haut, est un précurseur de la sérotonine.
Ce sont les choux blanc, vert, rouge, rave, de Bruxelles, et brocolis.
On leur prête des vertus anticancer, ils sont riches en vitamines B, particulièrement en acide folique (vit.B9).
Ils sont également riches en fibres et en minéraux.
Les crucifères sont aussi une source intéressante en vitamine C; rappelons l’action antioxydante de la vitamine C indispensable à la récupération et au combat contre les radicaux libres (anti vieillissement).
Comme pour les oléagineux, ils possèdent un acide aminé: le tryptophane.
Cet acide aminé est essentiel à la synthèse de la sérotonine.
La fève de cacao est riche en substances bénéfiques et stimulantes pour le cerveau, d’ailleurs, ne ressemble-t-elle pas un peu au cerveau ?
Elle a la réputation d’augmenter l’attention, elle a également un pouvoir euphorisant grâce à la théobromine et la tyramine.
Celle-ci contient également de la sérotonine ainsi que des endorphines dont on connaît les bienfaits sur la stimulation sexuelle.
Il a des effets bénéfiques contre l’hypertension et le cholestérol, on lui reconnaît également des vertus pour contrôler la glycémie.
L’avocat est riche en tyrosine, un acide aminé précurseur des neuromédiateurs dopamine, adrénaline, noradrénaline, très stimulantes.
Excellent pour se sentir bien !
Les légumineuses ou légumes secs sont riches en fibres alimentaires, en glucides complexes et en protéines.
Ils sont généralement faibles en lipides, à une exception près, l’arachide qui fait partie de cette famille.
Dans cette catégorie d’aliments, on trouve: les lentilles, les pois chiches et cassés, le soja, les haricots secs, les fèves.
En les associant aux céréales cela enrichit leurs aminogrammes, elles deviennent alors des aliments protéinés largement équivalents à la viande et aux poissons.
Leur richesse en fibres font d’elles des alliées par excellence pour les intestins.
Les légumineuses contiennent des vitamines du groupe B.
Je rappelle l’importance des vitamines B1, B2 et B6 impliquées dans la création d’énergie, cette dernière étant impliquée également dans la synthèse protéique.
Elles contiennent d’autres micro nutriments: magnésium, fer, calcium, sélénium; ce dernier luttant efficacement contre le vieillissement de la peau grâce à son action antioxydante.
Le gingembre se situe en peloton de tête des aliments à fort potentiel antioxydant.
Une quarantaine de composés antioxydants ont été découvert dans le gingembre.
Je rappelle que les antioxydants sont des substances qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres.
Les antioxydants préservent donc, en partie, des dégâts causés par le vieillissement et son cortège de pathologies dégénératives, maladie cardio-vasculaire et autres maladies lourdes.
Le curcuma est un aliment, un épice, incontournable, en règle générale, mais particulièrement au-delà de 40 ans.
Il est antioxydant, c’est une propriété très puissante de la curcumine, son principe actif.
Celle-ci permet de combattre les mécanismes du vieillissement prématurés des cellules dus aux agressions extérieures et lutte contre l’apparition de nombreuses maladies.
Il contribue à la santé, la flexibilité et la souplesse des articulations.
On le recommande fréquemment dans le cadre de pathologies telles que l’arthrose et les rhumatismes en général.
Le curcuma est également recommandé dans le cadre de douleurs musculaires et tendineuses.
Le curcuma renforce nos défenses naturelles, il augmente ainsi notre immunité.
On prête également au curcuma d’être un régulateur naturel de l’anxiété et de posséder aussi une action bénéfique sur les fonctions cognitives et neuronales.
Le vinaigre de cidre, grâce à l’acide acétique, est désinfectant et réhydratant ; c’est un puissant rééquilibrant acido-basique de notre corps.
C’est un stimulant du système immunitaire, il est un antibactérien naturel.
Il régulerait également le taux de cholestérol dans le sang toujours grâce a l’acide acétique.
« Le vinaigre améliore la sensibilité à l’insuline lors d’un repas riche en glucides chez les sujets présentant une résistance à l’insuline ou un diabète de type 2 »
Carol S. Johnston, PHD;
Cindy M. Kim, MS;
Amanda J. Buller, MS
Cliquez sur le lien de l’article ci-dessous
Le vinaigre de cidre aide au renouvellement de la flore intestinale et permet de réguler le transit, il stimule la digestion et aurait même une action préventive contre les ulcères.
Les pectines contenues dans le vinaigre de cidre soulage les spasmes intestinaux et peuvent libérer de la constipation.
Il contient du potassium bio disponible en grande quantité, il permet ainsi de combler le manque de potassium à l’origine des crampes et ainsi l’apaiser.
La présence de calcium, de phosphore, de fluor, de soufre, de silice ou encore de fer permet de rééquilibrer la perte minéral lors de la sudation liée au sport.
Voici donc ma liste non exhaustive des aliments ou groupes d’aliments qui me semblent essentiels lorsque l’on prend de l’âge.
Ils contribuent à augmenter votre bien-être en améliorant le fonctionnement de votre organisme et comme chacun le sait, lorsque votre corps fonctionne mieux, votre mental va mieux.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Vous êtes victimes, toujours victimes.
Des victimes consentantes évidemment. A aucun moment on ne vous menace au point de mettre votre vie en danger.
Le fameux libre arbitre.
Je me demande parfois ce qui nous reste de notre libre arbitre ?
Qu’est-il devenu ?
Certainement parce qu’elles ne revêtent pas le même accoutrement, le même emballage.
Ça doit être ça ?
Mais le fondement dans tout ça, il est identique !
J’ai l’impression que nous nageons dans une eau tellement trouble, vaseuse, polluée, où surgissent de magnifiques sirènes dont le chant si pur, nous entraîne tellement loin de nos convictions et de nos valeurs.
Fébriles que nous sommes, nous voila attirés, au milieu de toute cette boue, par des mirages, des îlots d’une telle beauté avec des eaux tellement claires, tellement limpides, qu’il est impossible d’y résister.
N’avez-vous pas l’impression d’être manipulé par toute cette communication, par toutes ces informations audiovisuelles ?
Plus on en parle, plus on écoute, plus on regarde, plus on succombe et plus on achète…
J’ai pensé un temps que la jeunesse était une proie plus facile pour ces chimères de l’ultra consommation.
Finalement, nous sommes tous concernés, les codes sont réactualisés en fonction des cibles.
Il suffit d’utiliser les bonnes munitions…
Le sujet de cet article concerne les super-aliments et tout l’abattage qui gravite autour de ce nouveau concept, cette nouvelle mode pour laquelle vous succombez.
C’est toute une stratégie de communication que les marchands construisent autour d’aliments qui finissent par devenir des « supers » aliments aux « super » pouvoirs, justifiant ainsi leurs tarifs parfois « super » prohibitifs.
Je ne conteste pas les qualités nutritionnelles de cette catégorie d’aliments.
Elle est très souvent riche en antioxydants, en protéines végétales, en acides gras essentiels et autres substances bénéfiques pour votre santé physique et morale.
Je dis simplement qu’ils vous sont vendus comme des produits miraculeux qui vont vous détoxifier, vous rajeunir, sublimer vos performances physiques et sexuelles, vous rendre plus beaux, plus intelligents, augmenter vos capacités cognitives…
Croyez-vous réellement que des baies de goji ou des graines de chia, aussi bio soient-elles même si elles ont été récoltées avec amour et soins, auront le pouvoir à elles seules de vous super alimenter!
Pensez-vous qu’elles ont la puissance de vous galvaniser au point de sentir les bénéfices aussi rapidement que si vous aviez des récepteurs biochimiques qui induiraient une réponse cellulaire instantanée.
Il y a bien des individus qui consomment de la vitamine C et qui deviennent insomniaques…tout est possible.
Je vais vous livrer trois de mes secrets.
Ils ont tous des vertus, un intérêt majeur pour votre bien-être, grâce à leurs richesses en macro et/ou micro nutriments.
La plus grande richesse issue de l’alimentation, c’est de la contrôler quasi intégralement !
Vous devez la conscientiser, si vous le pouvez.
Ingurgiter constamment une alimentation industrielle et se donner bonne conscience en mangeant quatre amandes, une poignée de graines germées et 10 g de spiruline deux fois par semaine, relève de la foutaise.
Ne vous attendez pas à ce que vous retrouviez subitement une nouvelle jeunesse, un regain d’énergie.
C’est votre état d’esprit: si celui-ci est positif, parfaitement convaincu que l’alimentation saine a une incidence bénéfique sur l’état de votre physique et de votre bien-être mental, alors, vous décuplerez son efficacité.
La meilleure façon de se convaincre, c’est le savoir.
Cela doit donc passer part une bonne connaissance des aliments que vous consommés. D’où viennent-ils ? Comment sont-ils cultivés ? Comment sont-ils élevés ? Quelles sont leurs valeurs nutritionnelles ? Quels bénéfices pour votre forme et pour votre santé ?
Quand nous sommes persuadés que ce que nous mangeons est bon, alors, nous accueillons la nourriture délibérément, pleinement, dans un état de compréhension et de bien être qui subliment son assimilation.
Pour conclure, ne vous laissez pas corrompre par le marketing, ne vous laissez pas enfumer!
Toute cette ultra communication dénature ces aliments « généreux » qui, pour certains, sont réellement fantastiques.
Vous êtes nombreux à croire, sans l’ombre d’un doute, qu’ils sont capables de vous sauver de tout, qu’ils disculpent vos écarts et même vos grands écarts.
Quelques baies de goji avec quelques oléagineux à l’apéro, ça fait passer l’alcool.
En ces temps de spiritualité trouble où celle-ci se résume parfois par une phrase empruntée à Bouddha sur fond de selfie ou « d’egoportait », nous avons besoin de confessionnal, d’une oreille agréée par le ministère de Dieu, nous avons besoin d’expier.
Le bio est une sorte de rédempteur, sans soutane, les super-aliments aussi.
Comme le tri sélectif face à notre pollution, une sorte de rachat discount de notre conscience.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Voici un concept tenace dans le milieu de la culture physique.
Serait-ce encore un volet de plus à rajouter aux mythes et légendes ?
En effet, je l’entends depuis plus de 35 ans mais j’imagine que cela existait bien avant mes débuts en musculation.
En effet, à mes débuts, j’entendais déjà parlé d’exercices qui faisaient finalement progresser et d’autres qui étaient là que pour “fignoler”.
Comment est-il possible, qu’une flexion d’avant-bras sur bras pour le biceps, exécutée debout à la barre ou assis de façon unilatérale ou aux câbles, aurait une action de finition ou une action de construction importante de la masse musculaire ?
L’un vous fait progresser musculairement et l’autre vous « fignole »…
Est ce vraiment sérieux ?
Soyons donc clairs, ce qu’il fallait comprendre, c’était que certains exercices étaient réellement efficaces et que d’autres étaient réellement inefficaces ou qu’ils ne l’étaient certainement pas autant pour le développement musculaire.
Je vais vous donner mon point de vue sur le sujet, un point de vue qui semble plutôt isolé.
Globalement, l’inspiration nous est insufflée, soufflée, au gré de nos lectures, de nos rencontres, de nos divers apprentissages.
Quelques fois même nous puisons l’inspiration à la source, là où jaillit la conscience pure, l’inspiration pure.
Il semblerait donc que ce concept, « exercices pour la masse et exercices pour la finition » soit unanimement acté au cœur de la pensée collective culturiste.
Je ne m’appuie donc présentement sur aucune théorie, puisqu’à ce jour, malgré tous les grands théoriciens, les spécialistes, les experts, les coachs qui y vont tous de leur savoir, je n’ai donc pas trouvé une thèse qui pourrait corroborer mon avis sur le sujet.
Pour ceux qui pratiquent la musculation depuis de nombreuses années, vous avez certainement dû entendre cette théorie qui opposerait les exercices les uns aux autres.
Sans jamais, évidemment, que l’on vous donne une véritable explication.
Pourquoi ne vous donne-t-on pas d’explications ?
Parce que je pense qu’il n’en existe pas, ou en tout cas pas d’explication rationnelle sur la qualification de l’exercice.
En aparté, prenez l’habitude de demandez des explications lorsqu’on vous avance telle ou telle théorie, posez systématiquement une simple question : Pourquoi ?
Et obtenez une réponse logique et claire, puis, servez-vous de votre libre arbitre, c’est essentiel, sans cela vous pouvez faire fausse route pendant des mois ou des années.
Il faudrait donc en premier lieu se poser une question essentielle :
Dans la conscience collective culturiste, « exercice de finition » serait le qualificatif que l’on donnerait aux exercices qui ne seraient pas polyarticulaires.
Ce serait des exercices que l’on pourrait nommer « analytiques », des exercices qui impliqueraient peu le système cardio-vasculaire; des exercices qui finalement seraient plus concentrés sur les muscles concernés.
Je pense que la conscience collective culturiste ne qualifie pas bien ce genre d’exercices.
Comme très souvent, nous associons des mots, des choses, des endroits à des sensations.
C’est en l’occurrence le cas pour ces exercices dits « de finition »:
la sensation étant plus supportable pour sa condition physique générale qu’un exercice polyarticulaire, qui demandent un influx nerveux accru et un maximum d’afflux sanguin.
La mémoire culturiste l’aurait alors qualifié de « de finition » puisque moins pénible.
J’ai tendance à penser qu’ils sont, comme les séances de rappel, une sorte de confessionnal pour sa conscience :
« Je m’absous moi-même, je me pardonne d’un entraînement qui n’a pas été à la hauteur, j’en rajoute un peu, même si ce n’est qu’une petite séance de rappel ou un exercice « de finition ».
Mais au moins, le « No Pain No gain» est sauf :
« j’aurais fait le maximum ! »
En effet, c’est récurrent, en 40 ans de pratique, j’ai dû entendre le concept « exercices de masse ou de finition » des centaines de fois.
Effacez de vos schémas neuronaux cette vieille théorie sans fondement.
Préférez l’efficience, l’implication, le désir et l’application.
Allez jusqu’à la faillite musculaire et mentale, dans les règles de l’art, pour chaque répétition, chaque série, chaque exercice :
Là est l’efficacité !
Je vous rappelle que s’entrainer dans les règles de l’art, veut dire, en pleine intensité !
Respectez:
Lorsque vous vous entraînez en respectant ces paramètres qui font l’intensité, il ne sera plus question d’exercices majeurs et de petits exercices.
Je vous encourage à télécharger gratuitement mon e-Books où je décris les paramètres d’intensité en cliquant ci-dessous.
L’exercice dit « de finition » sera un exercice parfaitement adapté pour vous faire progresser, certainement autant que n’importe quel exercice polyarticulaire.
Je conclurai d’ailleurs en vous disant, que très souvent, les exercices polyarticulaires sont tellement mal exécutés qu’ils sont un frein à votre progression.
Vous devriez donc préférer majoritairement dans vos routines d’entrainement, les exercices analytiques dit « de finition ».
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez le temps de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Quel est le secret véritable de la forme physique ?
Tout le monde y va de son secret absolu, de sa technique, de sa machine, de son régime, de son gourou, de sa salle de sport, de son ostéo, de son coach….
Nous arrivons même à nous persuader que notre réussite est formidable, même si celle-ci est partielle, si celle-ci n’est qu’un succès d’estime.
Nous revendiquons et claironnons haut et fort que nous avons le choix juste, la bonne opportunité, que nous sommes dans le « game » (dans le coup)….même si nous savons que nous ne le sommes pas vraiment.
Voilà encore un paradoxe de l’esprit humain, nous nous mentons…
Nous avons la compétence pour choisir la bonne personne, le bon protocole, la bonne technique, le bon matériel.
C’est surtout très flatteur pour notre ego de connaître LA personne, LE secret, LE meilleur protocole.
J’ai entendu 1000 fois des conseilleurs me dire que ce chirurgien était le meilleur chirurgien, cet ostéopathe était le meilleur ostéopathe, ce coach était le meilleur coach etc…
Certainement parce que, d’une part, ces professionnels avaient été performants pour ces conseilleurs, ils avaient donc été probablement satisfaits et d’autre part, parce qu’ils les connaissaient et qu’évidemment, on aime dire que l’on connait les meilleurs.
Mais connaissent-t-ils tous les chirurgiens pour pouvoir dire que celui-ci est le meilleur et tous les Ostéopathes ou tous les coachs.
Alors quel serait le secret pour obtenir et garder la forme physique ?
Pensez-vous que ce soit la technique qui fasse de nous quelqu’un de meilleur ?
Est-ce que le fait de suivre un programme alimentaire ou sportif suffirait à améliorer maintenant et pour toujours notre état physique ?
Est-ce que l’achat d’une ceinture d’electrostimulation pour la sangle abdominale transformera votre ventre mou et peu musclé en un ventre dessiné, tonique et performant ?
Le pensez-vous vraiment ?
Le même programme, le même matériel, la même alimentation auront des effets totalement différents en fonction des individus.
Et pourtant biologiquement ne sommes nous pas constitués sur le même modèle ?
Nous sommes totalement semblables, avec certes une répartition des masses corporelles différentes, des formats différents, mais le fonctionnement organique de base est identique.
Les différences, physiologiques, métaboliques, apparaissent si l’on est malade, en traitement ou si l’on a subi une chirurgie lourde.
Alors, quel est le secret qui fera que la technique, le programme, l’alimentation, les outils fonctionneront réellement et amélioreront maintenant et pour toujours notre état physique général ?
Ce sont vos pensées, la foi que vous y mettez, votre ardeur, votre motivation, votre envie.
Votre condition physique générale, votre esthétique et la pérennité de votre forme, passent inévitablement par votre état d’esprit.
Vous pouvez avoir à faire à un coach renommé, reconnu par ses pairs, quelqu’un qui a une grande expérience et une expertise exceptionnelle, il ne pourra rien faire pour vous si vous n’êtes pas impliqués dans le processus.
Vous devez y mettre votre conscience afin de donner de la force aux outils, aux personnes qui vous accompagnent.
Sans motivation, sans plaisir ni désir, rien ne fonctionne.
N’imaginez pas un seul instant réussir à améliorer votre physique si vous n’y mettez pas cette forme d’amour.
Créez des images, lisez des livres, côtoyez des gens qui ont ce que vous voulez, faites grandir la motivation.
Appréciez au quotidien vos progrès avec bonheur et positivité.
Les programmes, les vidéos, les articles, que je partage avec vous, sont destinés à vous aider à obtenir ce que vous souhaitez dans les meilleurs conditions et le plus vite possible.
A partir du moment où vous vous les appropriez, que vous les conscientisez et que vous leur donnez le pouvoir qu’ils méritent, alors, ils deviennent puissants.
Ce que je vous explique vous semble logique ?
Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.
Philippe LAMACHE
Cela semble tellement évident, regardez autour de vous et écoutez; le discours est toujours le même, inéluctable incontournable.
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