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All posts by Philippe LAMACHE

Les mythes et légendes en musculation que vous devez arrêter de croire !

J’en ai parlé à plusieurs reprises lors de mes différents posts et articles, le milieu de la musculation cultive des mythes persistants de génération en génération.

Je les entendais lorsque je suis arrivé dans ce milieu, je n’avais pas 17 ans et je les entends toujours à l’aube de mes 59 ans….. les mêmes idées rocambolesques.

De toute évidence, ils persisteront après ma mort.

Malgré pléthore d’articles qui viennent contredire ces histoires fantaisistes, le monde y adhère massivement.

Les mythes ont la belle vie !


L’évidence pour les uns ne l’est pas pour les autres, c’est toujours une question de point de vue.

Je vais donc vous donner mon point de vue au travers de plusieurs articles sur ces mythes que vous ne devriez plus croire.

«J’ai peur de devenir trop musclée» dixit de nombreuses femmes.


Je l’ai d’ailleurs entendu fort souvent également de la part des hommes.

Comme s’il suffisait de passer la porte d’une salle de musculation pour subitement devenir super musclé.

Serait-ce de l’arrogance ? Peut-être tout simplement un manque de culture sur le sujet ? Ou ne serait ce pas peut-être un peu de bêtise ?

Dit-on la même chose lorsque l’on s’inscrit dans un club de tennis, de boxe ou de toutes autres activités ?

J’ai peur de devenir trop bon au tennis ou trop fort à la boxe…. J’ai peur de devenir un trop grand peintre …. de devenir un grand musicien.

Ne vous inquiétez pas, vous ne deviendrez pas trop musclée ou musclé, il y a d’ailleurs de fortes chances que vous ne le deveniez jamais !


Vu le peu de résultats que les pratiquants obtiennent en règle générale et particulièrement le manque de pérennité des résultats.

Constatez par vous-mêmes, quel est le pourcentage de pratiquants qui devient musclé et définis* ?

*Définition musculaire (peu de graisse sur le corps au point de laisser apparaitre les faisceaux et fibres musculaires.)

Ou de pratiquantes qui prennent des fessiers rebondis, une taille affinée, un ventre dessiné qui laisse entrevoir des abdominaux sexy et des épaules qui se sont élargies ?

Qui obtient vraiment des résultats probants ?


Des résultats dont on peut dire :« waouh ! Tu es vraiment devenu musclé » ou « qu’est-ce que tu es devenue Fit ! »

La quantité est faible, très faible, infinitésimale… c’est mon avis bien sûr, en dehors de toutes statistiques mais je dirais moins de 5 %.

Je rajouterais que 10 à 20 % ont des résultats satisfaisants.

Nous sommes dans la règle du 20/80 qui fait souvent loi.

La grande majorité des gens qui fréquentent les salles de sport et pour certains qui les fréquentent depuis des années donnent vraiment l’impression physique qu’ils n’ont jamais bougé un haltère de leur vie.


Le constat peut sembler sévère mais je ne peux pas dire mieux, je vois même des individus coachés personnellement pendant des mois et cela plusieurs fois par semaine qui ne bougent pas d’un iota.

J’espère vraiment pour eux qu’ils ou qu’elles améliorent leur condition physique, ce serait la moindre des choses, parce qu’esthétiquement, rien ne change.

En effet, devenir musclé demande que cette activité devienne un sacerdoce.


Cela implique avant tout d’avoir un désir ardent, constant et puissant pour la culture physique et l’hypertrophie musculaire.

Par hypertrophie j’entends le développement musculaire, évidemment pas le développement à outrance comme l’est devenu le body-building moderne.

Celui-ci est réservé à une caste courageuse ou peut être complètement folle en regard des pratiques extrêmes et souvent morbides faisant autorités dans ce milieu.

Ainsi pour espérer progresser déjà un peu, il faut avoir de vraies et grandes ambitions, cultiver des images d’athlètes homme ou femme ayant des physiques exemplaires.

Même si le chemin semble long ce sont des points de mire très stimulants.

Le désir est un précurseur de motivation exceptionnel générant un cortège d’outils psychologiques, de visualisation, de concentration et d’implication motivant ainsi des prédispositions, des aptitudes mentales et physiques décuplées.

J’y crois bien plus qu’à une hypothétique génétique.

Cela demande aussi de s’entraîner très dur et de façon constante des mois et des années durant, d’avoir une alimentation optimum et une santé de fer.

Vous comprenez, devenir très musclé n’est certes pas systématique et même plutôt rare.

Ce que l’on prend parfois pour de l’hypertrophie musculaire « subite » n’est autre qu’une confusion avec l’évolution de la masse grasse, la rétention d’eau et ajoutez à cela une congestion musculaire qui parfois persiste un peu après l’entraînement.

Ne prenez donc pas, mesdames, le fait que vous ne rentriez plus dans votre pantalon après deux semaines d’entraînement ou d’un peu de stepper et d’elliptique en salle, comme une augmentation musculaire exponentielle de vos quadriceps, de vos fessiers et de vos ischio-jambiers.

Et vous messieurs, cet alourdissement spontané n’est autre que l’amoncellement du nombre de kilos de gras lié à votre « cheat alimentation » et votre obsession à grossir coûte que coûte.


La réalité est que dans des conditions normales de bonnes pratiques et d’investissement intégral, nous pouvons espérer prendre, en moyenne, 3 kg de masse maigre, c’est-à-dire de muscles, en une année et cela pour un homme jeune de corpulence moyenne.

Il y a des exceptions, les choses ne sont évidemment pas figées.

Je vous engage d’ailleurs à lire ou relire mon article :« les faits ne comptent pas »

Il y a parfois des progressions exceptionnelles et en dehors de toute chimie !

Pour conclure, vous l’avez compris, devenir très musclé est tout à fait possible mais cela requiert du temps, de la régularité, à la fois des qualités mentales, des aptitudes physiques et une dose de spiritualité.

Comme je l’ai parfois entendu de la gente féminine, au cours de ma carrière:« Je ne veux pas devenir comme toi c’est trop ! » Ou de certains autres me disant: « J’ai arrêté la muscul parce que je prenais trop vite… »

Soyons raisonnables, si c’était si simple, il n’existerait autour de nous que des canons Fit et des éphèbes en parfaite santé.

Nous vivons une augmentation exponentielle de l’obésité et des maladies graves associées ainsi qu’un mal-être croissant.

J’en profite pour vous dire qu’il n’existe pas de méthode miracle, de comprimés magiques, d’électrostimulation qui remplacerait l’entraînement au poids et haltères ou au poids de corps, qui remplacerait l’exercice physique en somme.

Vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Entrainement au poids de corps, je vais vous faire progresser!

Dans mon précédent article, j’ai planté le décor général ou quasi général de l’entraînement au poids de corps.


Comme pour globalement l’ensemble de la culture physique, l’accent n’est pas mis sur l’essentiel mais sur le superflu.

Pour la culture physique; le poids, la charge, est souvent le facteur magistral pour la progression ou en tout cas censé l’être bien sûr.

Pour le travail au poids de corps, on vous parle de nombre de répétitions, de temps d’exécution et de temps de récupération.

Mais il n’est, à ma connaissance, jamais mentionné l’amplitude lors de l’exécution, le tempo et évidemment les modes de contraction.

Je n’ai évidemment pas tout lu ni tout vu sur le sujet.

Je vais vous donner quelques explications sur les modes de contraction, sur l’amplitude et le tempo.

les modes de contraction:

La contraction musculaire isométrique ou phase isométrique

Les muscles se contractent sans que les leviers ne bougent et les points d’insertion sont fixes.

Pour exemple, le gainage est un travail isométrique.

La contraction musculaire concentrique ou phase concentrique

Les muscles se contractent en rapprochant leurs points d’insertion, c’est-à-dire les zones où le tendon musculaire vient se fixer sur la partie osseuse de l’articulation.


La contraction musculaire excentrique ou phase excentrique.

Le muscle est contracté mais les insertions s’éloignent, elles s’excentrent.

La contraction musculaire pliométrique ou phase de pliométrie.

le muscle se contracte, dans un 1er temps de façon excentrique puis se raccourcit et travaille en concentrique.

Pour exemple, les sauts en contrebas suivi d’un saut vertical, il y a amortissement au sol (phase excentrique) puis extension dynamique des jambes (phase concentrique).

La contraction musculaire stato-dynamique ou stato-pliométrique.

C’est un travail mixte comportant une phase excentrique puis une phrase concentrique avec un arrêt en cours de mouvement donc une phase isométrique, puis la fin du mouvement, la phase concentrique, exécutée de façon dynamique.

L’amplitude du mouvement:

C’est la distance que vous parcourez, lorsque vous faites votre mouvement, en véhiculant votre charge (poids, barre, haltères, plaques, disques…) ou sans charge et c’est le cas présentement, pour l’entraînement au poids de corps.

Cette distance fait partie des paramètres d’intensité.

C’est un facteur essentiel à prendre en compte pour l’efficacité du mouvement et par conséquent pour la progression. 

Plus la distance parcourue est importante, dans les conditions identiques de bonnes pratiques et plus vous augmentez le temps sous tension donc l’intensité. 

Le tempo

C’est le temps sous tension lors de l’exécution d’un mouvement, c’est le rythme.  

Le tempo détermine la vitesse de réalisation de l’exercice. 

Au travers du rythme, se dégagent des notions de synchronisme, d’accompagnement, d’harmonisation, de rigueur, de méthode, de règles. 

Lorsque le tempo est imposé, vous ne devez pas vous arrêter et ainsi verrouiller vos articulations.

Vous ne devez pas vous reposer pendant la série, arrêter la contraction et par conséquent stopper la tension donc l’intensité.

J’ai ainsi décrit ci-dessus les paramètres essentiels de progression pour le travail au poids de corps qui ne sont jamais évoqués.

Ils ont un impact fondamental sur votre progression.

Je vous offre un programme homme et un programme femme d’entraînement au poids de corps, à la fois cardio intensif et musculaire où j’ai inclus ces paramètres.

Si vous mettez en application scrupuleusement mes recommandations, cela veut dire à la lettre près, alors, vous êtes condamnés à progresser.

Ce que je vous explique vous semble logique?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE 

Le top 10 des questions que l’on me pose sur la musculation.

2 ème partie (les cinq dernières questions)

Voici les cinq autres questions qui taraudent l’esprit des pratiquants et pratiquantes de la musculation, du fitness, de la culture physique, c’est comme vous voulez l’appeler.

Nous parlons évidemment de la même discipline.

Est-ce que c’est bon de s’entraîner avec l’estomac plein?

L’estomac vraiment plein ? C’est-à-dire après avoir fait un gros repas, ou simplement après avoir mangé normalement ?

En premier lieu, je réponds par ces questions, car en effet, s’alimenter raisonnablement avant d’aller faire sa séance n’est pas forcément disqualifiant, trop et mal s’alimenter peut l’être.

Tout dépend également du groupe musculaire qui est travaillé et l’intensité avec laquelle vous vous entraînez.

La digestion demande de l’énergie à l’organisme et nécessite un afflux sanguin particulier au niveau du système hépatique, ce qui monopolise, évidemment pour une partie, notre système organique.

Nous savons à quel point nous avons besoin de toute notre énergie lorsque l’entraînement est sévère.

Nous savons aussi que la digestion peut être un handicap, particulièrement lorsque le repas est inapproprié, trop compliqué à digérer à cause de la qualité et de la quantité des aliments qui le compose.

Il y a encore un autre facteur à prendre en compte, c’est la capacité que nous avons chacune et chacun à digérer, d’une part et d’autre part à monopoliser notre énergie là où nous en avons vraiment besoin.

Le conditionnement fait parfois des miracles.

En conclusion évitez de manger trop et mal avant votre entraînement.

Est-ce que j’aurai de bons résultats si je ne fais pas trop attention à ma diète?

Clairement non !

De plus, en règle général, ne pas faire trop attention, c’est ne pas faire attention du tout.

L’alimentation est prépondérante pour votre progression, pour la qualité de votre physique, pour votre récupération, pour votre énergie, pour votre construction musculaire et avant tout pour votre santé.

La culture physique c’est être aussi hygiéniste, c’est épouser une philosophie.

Comment peut-on se suralimenter d’une alimentation industrielle grasse et sucrée et avoir pour ambition d’améliorer ses qualités physiques et son esthétique ?

Si votre désir est d’obtenir ce physique tant espéré dans les conditions les meilleures, le plus rapidement et avec pérennité bien sûr, alors, vous devrez être rigoureux avec votre alimentation.

Les pratiquants secs au possible et qui vous expliquent à quel point ils peuvent manger n’importe quoi tout le temps et dans des quantités qui défient l’entendement, ont probablement des aides exogènes dont vous ne pouvez même pas imaginer la puissance chimique.

Mangez juste et conscientisez votre alimentation, elle vous le rendra au centuple.

Combien je dois faire de séances par semaine?

Je dirais en premier lieu que vous devez faire dans la semaine les séances que vous êtes capables de faire.

Cela dépend bien sûr de l’intensité avec laquelle vous faites chacune de vos séances.

Cela dépend également de la capacité que vous avez à récupérer et la récupération est multifactorielle, ce qui veut dire, que d’une semaine à une autre, vous ne récupérez pas de la même façon.

Il y a par conséquent des semaines où vous pourrez enchaîner une, voir deux séances chaque jour, tout dépendra à ce stade de votre disponibilité.

A contrario, il y aura des semaines ou vous n’irez pas au-delà de deux séances, la fatigue, les obligations professionnelles et familiales et la motivation d’un point de vue général limitant votre énergie et votre mobilisation.

Parfois même moins de séances peut vouloir dire plus d’intensité.

À ce propos, je vois un grand nombre de pratiquants qui passent leur temps à la salle de sport mais qui ne progressent pas pour autant.

Tout est possible, c’est une question d’efficience, de qualité de votre approche de la discipline et de l’implication, pas du nombre de séances.

En conclusion, faites donc les séances que vous pouvez faire mais faites-les bien.

Suivez l’ordre des choses, parmi les nombreuses règles importantes à suivre, respectez la fréquence de travail de chacun des groupes musculaires en évitant d’en privilégier un au détriment d’un autre.

À moins que vous ayez un souci d’équilibre et que un ou plusieurs de vos groupes musculaires soient déficients, à ce titre, ils mériteront plus d’attention, donc peut-être plus de fréquence et surtout plus d’intensité.

Combien de jours par semaine je dois me reposer?  

Cette question rejoint une des 5 questions de la première partie de mon article:

« Je dois m’entraîner combien de jours par semaine? »

Le repos est très personnel, vous êtes seul maître à bord pour répondre à cette question.

Et d’un jour à l’autre, d’une semaine à l’autre, votre besoin de repos peut être totalement différent.

Il est inconcevable de réglementer le repos, comme c’est souvent le cas d’ailleurs où l’on vous impose de ne pas vous entraîner le week-end ou le dimanche ou deux jours dans la semaine après avoir terminé votre cycle d’entraînement.

Si vous vous sentez en pleine forme, motivé, pourquoi ne pas continuer et se reposer quand vous en aurez vraiment besoin.

Il m’est arrivé de m’entraîner cinq semaines d’affilées sans aucun jour de repos et je me sentais dans une forme exceptionnelle avec un grand désir d’entraînement.

C’est d’ailleurs une période où j’ai beaucoup progressé.

Il m’arrive également de prendre trois ou quatre jours de repos parce que je le sens, parce que je suis fatigué, que mes articulations m’envoient des signaux…

Apprenez à vous écouter, à vraiment vous écouter, pas les bruits extérieurs, ce que vous dit votre fort intérieur et vous comprendrez si vous pouvez continuer ou vous arrêter parce que vous avez besoin de récupérer.

C’est quoi la meilleure technique pour progresser?    

La meilleure technique pour progresser est celle qui vous réussit.

On ne peut certainement pas faire de généralité avec tel ou tel système qui en a fait progresser 1, même s’il en a fait progresser 100 ou 1000.

C’est certainement une bonne technique, même une technique excellente, mais elle ne peut pas être valable pour tout le monde.

Ce qui est exceptionnel pour votre frère jumeau ne l’est pas forcément pour vous.

Je pense aux copains qui se passent les programmes et qui s’entraînent donc de la même façon, malgré leurs disparités, leurs tailles et leur poids différents, leurs motivations et leurs alimentations aux antipodes etc. etc. 

L’écart de progression est parfois édifiant alors qu’apparemment, ils font la même chose.

D’autre part, la technique qui vous a fait progresser un temps, ne vous fera pas forcément progresser toujours.

Soyez imaginatifs, testez régulièrement de nouvelles choses et choisissez ce qui est bon pour vous.

Mais surtout entraînez-vous dans les règles de l’art en respectant les paramètres d’intensité et en conscientisant ce que vous faites.

La technique n’a finalement pas tant d’importance que cela, elle est de mon point de vue un support motivationnelle avant tout.

Si il suffisait d’appliquer la règle des 10 répétitions pour faire  systématiquement de l’hypertrophie alors on aurait que des pratiquants hypertrophiés.

Ce n’est vraiment pas le cas…

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Apprenez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Le top 10 des questions que l’on me pose sur la musculation.

1ère partie (les cinq premières questions)

Voici les cinq premières questions qui reviennent assez régulièrement, peu importe le genre, le niveau et l’âge.

Ce sont des interrogations légitimes qui trouvent malheureusement toujours des réponses pragmatiques, institutionnalisées, mathématiques devrais-je dire.

C’est un fait, les gens ont besoin d’être rassurés, qu’on leur donne une solution clé en main, des statistiques, des chiffres, des repères.

Mon approche de la culture physique fait appel à votre libre arbitre.

Mais également à vos ressentis, à votre intelligence, celle du corps et de l’esprit.

Je ne suis qu’un facteur déclenchant, celui qui peut stimuler votre curiosité vers d’autres horizons, vers un autre chemin où vous êtes au centre des questions, non pas à l’extérieur.

Qu’est-ce que je dois mettre comme poids?

Le poids que tu es capable de véhiculer dans les meilleures conditions de pratique de la culture physique.

C’est-à-dire, la charge que tu es capable de transporter d’un point A à un point B, dans un contrôle parfait et dans le respect total des paramètres d’intensité.

Sans tricher, sans raccourcir l’amplitude, sans se servir de l’inertie et en évitant la contribution d’autres muscles.

En ne modifiant pas non plus l’ergonomie de ton corps, c’est-à-dire en te contorsionnant comme un malheureux.

Sans prendre de temps de repos pendant l’exécution de ta série en bloquant les articulations pour échapper à la tension.

Sans te servir d’un partenaire qui, plutôt que de t’assurer en veillant sur toi, soulève ou tire à ta place etc. etc.

Par conséquent, si tu arrives à déplacer ce poids sans compenser, que tu fasses six ou 30  répétitions, cela ne change rien, le bon poids est celui que tu maîtrises.

N’oublie pas que c’est toi qui maîtrise et qui décide, ce n’est pas le poids qui décide à ta place.

Je dois m’entraîner combien de jours par semaine?

Il n’y a véritablement pas de règles, sauf les règles qui te concernent, je m’explique.

Les jours d’entraînement dans la semaine sont fonction de tes disponibilités, de ton implication, de ta récupération, de la façon dont tu te sens et d’une semaine sur l’autre les règles peuvent changer.

Nous sommes des êtres constitués d’énergie et celle-ci oscille à des fréquences qui ne sont pas identiques d’heure en heure et de jour en jour freinant nos capacités de régénération et d’implication.

Nous pouvons formidablement bien récupérer après une séance très intensive et les enchaîner sans que cela ne nous porte préjudice.

Parfois, c’est tout à fait le contraire, notre état d’esprit est moins vibrant, la fatigue plus importante, les problèmes de la vie courante plus envahissants, notre santé un peu fébrile et des douleurs articulaires polluantes s’installent insidieusement, alors, notre capacité à nous remobiliser est en berne.

Il faut donc s’écouter… Mais pas trop.

Écouter objectivement ses ressentis et ne pas tomber dans la « pleurnicheries » et la complainte.

Vous pouvez prendre à la suite plusieurs jours de repos si cela est nécessaire et pourquoi pas enchaîner des semaines d’entraînement sans que cela ne cause ni dégâts ni perte de motivation.

Apprenez à écouter votre libre arbitre.

Combien de temps doit durer ma séance ?

Ce qui importe avant tout est l’efficience, c’est-à-dire la façon avec laquelle tu es impliqué corps et âme.

Lorsque chaque mouvement est parfaitement compris et conscientisé et que chaque série est poussée à son maximum dans l’application contrôlée et parfaite des paramètres d’intensité jusqu’à la faillite, il est alors peu probable que la séance s’éternise.

L’entraînement d’un groupe musculaire doit durer entre 20 et 40 minutes.

Cette recommandation prend encore plus de sens avec les années de pratique et l’âge.

Lorsque l’on a plus de 40 ans et qu’on persiste sur des séances marathon, alors, il y a de fortes probabilités que l’on augmente les traumatismes articulaires, musculaires et que l’on finisse par perdre le plaisir et la motivation.

lorsque l’on dépasse une heure pour un groupe musculaire, je pense qu’il y a un réel manque d’intensité donc d’efficacité et cela peu importe l’âge.

Est-ce que tu fais les programmes que tu préconises?

Oui bien sûr, c’est une nécessité professionnelle !

Mais au-delà de tout c’est une question d’éthique.

Mes programmes sont destinés aux hommes et aux femmes, aux jeunes et aux moins jeunes, aux  sportifs professionnels dans le cadre de leur préparation physique ainsi qu’aux débutants.

Je teste et fais tester continuellement sur mes élèves ayant des profils totalement différents, de nouveaux exercices, des modes de contraction, des tempos et des temps de récupération différents.

J’associe et combine certains exercices pour des résultats précis dans des conditions précises.

La transmission par l’exemple est une forme d’honnêteté à laquelle je me sens intimement lié.

On ne préconise que ce que l’on connaît vraiment.

La connaissance sans la pratique n’est pas la connaissance.

Savoir et ne pas faire n’est pas savoir.

Je suis intimement convaincu que ma pratique intensive « psychosomatique » et holistique de la culture physique est responsable des résultats que j’obtiens depuis plus de 30 ans sur mes élèves.

Quand est-ce que je vais vraiment voir les résultats?

La culture physique est une discipline avec laquelle on ne triche pas.

Tu récolteras ce que tu sèmeras.

En cela c’est extraordinaire, c’est pour cette raison que j’insiste sur la bonne pratique et l’implication mentale.

D’autres vous diront:

« ce n’est pas de ma faute si je ne progresse pas, je ne suis pas doué, c’est une affaire de génétique…

ou je ne prends pas de produits dopants ou j’ai un travail qui ne me permet pas de m’entraîner suffisamment…

ou c’est ma femme, mes enfants, mes parents etc. »

Toutes les excuses sont bonnes pour justifier le manque de résultats et rarement est impliquée notre propre responsabilité.

Je dirais donc, que plus on est méthodique, que l’on cultive son désir et que l’on y met son esprit, plus vite vient la progression, plus vite on obtient les résultats si chèrement souhaitez.

La balle est dans votre camp, uniquement dans votre camp, vous avez le pouvoir de progresser vite ou de ne jamais évoluer.

J’ai vu des pratiquants obtenir en quelques semaines bien plus de résultats que certains en plusieurs années.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir

Philippe LAMACHE

Est ce que l’entrainement au poids de corps est efficace?

L’entraînement au poids de corps, j’en suis un inconditionnel et un fervent utilisateur.

Voilà une nouvelle tendance qui inonde le monde du fitness.

Les jeunes loups du web / fitness / marketing ont trouvé là une nouvelle opportunité commerciale possédant tous les avantages pour faire gonfler leurs réseaux et leur portefeuille.

De mon point de vue, ce n’est que du copier – coller de ce qui existe déjà depuis longtemps et depuis même très longtemps devrais-je dire.

Oui en effet ce que je vois est en grande partie du réchauffé

Ce sont des entraînements et des exercices banals que l’on a rendu plus « sexy » sur la forme.

Je suis toujours preneur d’améliorations et de plus-value.

Malheureusement, je n’y trouve pas de valeur ajoutée qui rendrait l’entraînement au poids de corps plus efficace que je ne le pratique ou le préconise depuis toutes ces années.

L’étendue des exercices ne se limite pas à quelques tractions et quelques pompes, mais ouvre véritablement le champ des possibilités pour développer l’ensemble des qualités physiques, perdre du poids et obtenir un corps musclé, défini et pour la gent féminine un corps tonique mince et galbé.


Je vais partager avec vous mon expérience et mon approche particulière du travail au poids de corps.

Je le pratique depuis plus de 35 ans et je l’inclus dans mes programmes.


Mais tout d’abord, quest-ce que la musculation au poids de corps ?

Ce sont des exercices de culture physique contre résistance que l’on pratique en se servant de son propre poids de corps.

Quels sont les avantages à s’entraîner de cette façon ?

Il y a effectivement plusieurs avantages, dans la mesure évidemment du respect des paramètres d’intensité qui sont les règles essentielles de bonnes pratiques.

La Coordination et l’équilibre.

Les mouvements étant majoritairement polyarticulaires et exécutés sans le concours de machines et de bancs, cela oblige une approche plus holistique impliquant plus de coordination et d’équilibre.

L’aspect pratique

En effet, un espace improvisé suffit, à l’intérieur, en extérieur et surtout spontanément quand vous le décidez.

Vous n’êtes pas obligé d’organiser une partie de votre journée pour vous rendre au gym.

Un gain de temps considérable

C’est un avantage majeur de ce type d’entrainement, gagner du temps est un concept qui colle à notre époque.

En effet, nos vies sont de plus en plus remplies entre nos activités professionnelles et familiales.

Les enfants et parfois même nos petits enfants, pour les 50+ et j’en fais parti, nous demandent de l’attention et du temps.

S’entraîner en extérieur

L’entraînement à l’air libre représente l’avantage non négligeable de s’oxygéner de façon plus efficiente.

Il y a de plus en plus de zones d’entraînement dans les jardins publics où vous avez à disposition des barres, des anneaux, un revêtement de sol amortissant.

L’entraînement en extérieur est beaucoup plus hygiénique, dans un espace confiné, il n’est pas toujours évident de se côtoyer les uns les autres.

La promiscuité est parfois envahissante.

L’entraînement en extérieur est plus apaisant d’un point de vue spirituel.

La Sollicitation plus importante de la sangle abdominale

La majorité des exercices au poids de corps oblige le maintien d’une position impliquant quasi constamment la sangle abdominale.

C’est une excellente chose pour votre posture ainsi que pour les transferts entre le haut et le bas de votre corps.

Cela cible la perte de graisse localisée sur le ventre mais également facilite la perte de graisse d’un point de vue général.

Je rappelle que la contraction isométrique élève le métabolisme donc le rythme cardiaque et facilite ainsi la perte de tissu adipeux dans sa globalité grâce a la thermogénèse.

L’écoute de son corps dans son ensemble.

Le travail au poids de corps permet d’avoir une approche plus globalisée de son corps et aussi le reconnaître dans l’espace dans ses forces et ses faiblesses.

Il m’est apparu que ce type d’entraînement augmente le lien entre les pensées, l’implication mentale, la conscience et le corps.

Vous n’êtes plus assisté, plus dirigé, vous n’êtes plus formaté par un appareillage quelconque.

Le développement de la force, de la puissance et de l’endurance.

Par un savant mélange de techniques de contraction, de mélange des exercices, de tempo, de temps de récupération… et d’une exécution dans les règles de l’art associés à votre esprit dont vous aurez grand besoin pour vous surpasser.

Les résultats sont parfois surprenants !

Vous pouvez effectivement développer véritablement vos qualités de force, de puissance et d’endurance.

L’économie pour votre budget.

Pas d’abonnement à prendre dans une salle de remise en forme.

Nous sommes à une époque où les abonnements ont considérablement baissés mais il faut néanmoins compter en moyenne un budget annuel de 300 €.

Restez à l’écoute, dans un prochain article, je partagerai avec vous mon entraînement au poids de corps qui vous fera véritablement progresser.

Vous vous entraînerez au poids de corps comme vous ne l’avez jamais fait !

Je vous offrirai un programme, deux programmes plus exactement, un pour les hommes et un pour les femmes.

Ils sont issus de mon expérience et des techniques que j’ai mis au point et dont je me sers depuis plus de 35 ans pour faire progresser les athlètes pros et les centaines de particuliers.

Je vous ferai découvrir la notion de tempo, l’association des modes de contraction pour augmenter l’intensité et l’efficacité et les enchaînements d’exercices HIIT et tonification musculaire.

Et bien d’autres choses encore…

Je suis persuadé que vous serez véritablement surpris par leur efficacité.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Les faits ne comptent pas.

Comment ça les faits ne comptent pas !

Bien sûr qu’ils comptent, certains phénomènes se produisent 10 000 fois, 100000 fois et le résultat est toujours identique.

Les faits comptent !

Nous savons très bien qu’en période de crise, créer un Business augmente le risque d’échec, c’est ainsi, ce sont les faits.

En période de crise, les activités commerciales souffrent, périclitent, c’est une évidence.

Demandez aux chefs d’entreprise, ceux-ci ne cessent de clamer leurs difficultés en brandissant des chiffres d’affaires et des bénéfices à la baisse.

La crise est synonyme de faillite et de perte d’emploi, c’est ainsi.
Qui peut dire le contraire ?

Comme pour les jeux d’argent, la probabilité de gagner le gros lot au loto en France est de 1 pour 20 millions, à chaque tirage.

Nous le savons, c’est incontournable, c’est factuel, ce sont les statistiques, ce sont les faits !

À l’instar des maladies, lors d’épidémies de grippe ou de gastro entérite, dès qu’un membre de la famille tombe malade, vous pouvez être sûr que c’est l’hécatombe dans la famille, tout le monde tombe malade à son tour.

Combien de fois l’avez-vous vérifié par vous-même, pour vous-même et chez les autres.

Ceci étant dit, je pense néanmoins que les faits ne comptent pas.

Je vais m’en expliquer.

Je voudrais vous faire part d’une réflexion, d’une analyse fondamentale qui ouvre de grandes perspectives, une réflexion qui donne accès à une grande liberté.

La liberté de choisir, le libre arbitre.

Les choses peuvent bien se répéter des centaines, pourquoi pas des milliers de fois et donner un résultat identique et qu’à un moment, ce résultat change.

Ce qui semblait impossible devient possible.

Ce qui s’était répété encore et encore de façon immuable, l’espace d’un instant, change.

Au-delà de l’expérience, au-delà des faits, malgré tout ce qu’on vous a dit, malgré la persistance de votre entourage à vous persuader que la vérité, est la vérité universelle, qu’il n’en existe pas d’autres et qu’elle doit être admise par tout le monde, l’irrévocable vérité.

Et pourtant, apparaît un autre horizon, d’autres perspectives, un nouveau point de départ.

Bien au-delà de l’analyse fine des spécialistes, bien au-delà de l’arrogance de certains scientifiques qui brandissent la science comme la vérité vraie, celle qui ne tolère aucune controverse.

Malgré les médias rationalistes, fondamentalement acquis à l’information factuelle et de son sempiternel bourrage de crâne, s’offrent à nous de nouvelles perspectives.

Même si tout indique un résultat sûr et certain, que les statistiques le confirment et que les bookmakers vous le vendent à 100 contre un, le résultat alors défi l’entendement.

Pourquoi ?

Parce que rien n’est figé indéfiniment. Les statistiques sont faites pour être démenties et les records pour être battus.

Les performances sportives en sont des exemples frappants.

Pouvions-nous imaginer un jour qu’un être humain aurait les capacités de pousser 415 kg au développé couché ?

Blaine Summer est un américain champion du monde de powerlifting détenteur de ce record.

Blaine y a probablement cru plus que tout et il l’a fait. Il a rendu possible l’impossible.

Avant que l’on ne réussisse à courir le 100 mètres en dessous de 10 secondes, cela semblait inimaginable!

C’est Jim Hines, premier athlète à franchir la barrière des 10 secondes au chronométrage électronique, qui a ouvert le chemin.

Avant qu’il n’y ait eu un jour un athlète qui puisse ouvrir de nouvelles perspectives, une nouvelle vérité, cela semblait totalement impossible.
Les faits disaient tout le contraire.

Prenons les statistiques concernant les jeux de hasard: elles nous expliquent que nous ne devrions pas gagner.

La probabilité de remporter le gros lot est quasiment nulle…. alors de le remporter plusieurs fois !

Richard Lustig est un américain qui a gagné 7 fois le gros lot à la loterie américaine appelée « Power Ball ».

Et pourtant, selon les spécialistes statisticiens, les chances de gagner le gros lot sont de 1 sur 175 millions à chaque tirage.

Je me répète, gagner 1 fois est peu probable mais gagner 7 fois…autant dire que c’est inimaginable et pourtant…

Récemment, Richard Lustig a décroché le jackpot estimé à 550 millions de dollars, soit plus de 423 millions d’euros.

C’était bien la septième fois qu’il remportait le gros lot.

Mais quelle est la probabilité de remporter 7 fois le gros lot à cette loterie?

La possibilité est certainement d’une chance sur des milliards, réduisant la probabilité à néant.

En ce qui concerne la santé, on nous classe dans des cases statistiques et malgré cela, bon nombre sont inclassables, parce qu’ils ne répondent pas à la normalité.

Ils ne répondent pas aux faits.

Ils devraient avoir telle ou telle pathologie liée à leurs antécédents, à leur âge, à leur génétique, à leur hygiène de vie, mais la magie de l’existence en a décidé autrement.

Je connais des gens âgés qui n’ont jamais eu besoin de lunettes !

Des personnes condamnées par une maladie incurable qui s’en sont sortis et qui sont aujourd’hui en rémission totale!

Il y a des individus qui auraient dû récolter les maladies de leur propre père, patrimoine transmis par leur grand-mère, qu’elle avait reçu de sa propre mère.

Le cancer du colon par exemple que les scientifiques nous promettent en héritage.

Des personnes qui n’attrapent pas forcément la gastro-entérite ou la grippe malgré que tous soient infectés au sein de leur foyer.

Des entrepreneurs qui ont créé des business qui étaient censés ne pas fonctionner et qui ont fait fortune !

En pleine crise et dans des secteurs d’activités touchés et même parfois extrêmement touchés.

Des films ou des chansons qui ont été assassinés par les critiques de tous bords augurant un destin éphémère.

Même au regard des spécialistes du domaine, l’avenir ne présageait aucun succès et pourtant, ce sont devenus des hits.

Malgré les faits et malgré les circonstances, tout est possible.

Ne vous limitez pas, restez créatifs, ayez une foi furieuse et inébranlable.

Plus votre désir sera intense, constant, sans doute, plus vous cultiverez la réussite et plus vos chances de succès augmenteront.

C’est vous et vous seul qui faites mentir les faits.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Stop aux compléments alimentaires miracles !

Dans cet article, je fais allusion à cette vague incessante et envahissante de produits alimentaires, compléments et autres suppléments aux allégations miraculeuses.

Je parle ici de produits tels que:

les pilules, gélules, comprimés…

Mais également des boissons de l’effort énergétiques ou/et énergisantes

Mais aussi des brûleurs de graisse, des boosters pré workout, des produits de récupération post workout

Et des produits hyper protéinés et autres acides aminés…

La liste est longue.

Je suis d’autant plus à l’aise d’en parler puisque j’ai été moi-même concepteur, développeur et fabricant de ce type de produits.

De plus, j’en suis consommateur, essentiellement de protéines hydrolysées et de BCAA.

Je voudrais avant tout expliquer clairement ce que sont ces produits.

Ci-dessous une définition « législative » des compléments alimentaires émanant de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes:

« Les compléments alimentaires sont des denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d’autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinés, commercialisés sous forme de doses… »

Je décris ci-dessous d’autres catégories de produits qui légalement n’ont pas le même appellation.

Nous pourrions néanmoins pour les besoins de cet article les assimiler aux compléments alimentaires.

Je pense aux boissons énergétiques et énergisantes ainsi qu’aux protéines en poudre.

Leur consommation est croissante et la communication omniprésente.

Les boissons énergétiques, qu’est-ce que c’est exactement ?

Ce sont des boissons sucrées dont la provenance des sucres est diversifiée:

Maltodextrine, dextrose, sirop de glucose / fructose et même saccharose (sucre blanc raffiné de table) etc..

Certaines, beaucoup plus rares, sont parfois composées de sucres avec des index glycémiques plus bas, donc élevant moins la glycémie de façon spontanée, comme le sucre de coco par exemple.

Pourquoi plus rares ? Parce que le sucre de coco est environs 10 fois plus cher que les sucres habituellement intégrés à ces boissons.

Voila l’unique raison, le gros marché n’étant pas réceptif à la qualité et plutôt friand de discount.

Les sucres de synthèse que je cite plus haut sont peu chers et abondants, l’approvisionnement de ce type de matières premières est simple et profitable.

Très profitable ! Très gros profits!

Même si l’on substitut un sucre par un autre, elles restent toujours des boissons riches en glucides donc en sucre.

Certaines d’entre elle possède même 80 kcal pour 100 ml on les appelle des «Carbo drink ».

Un demi-litre de ces boissons est égal à 400 kcal ! soit 100 g de sucre !

Cela revient à consommer du sucre avec de l’eau.

Ce sont des machines à diabète, de nouveaux starters à la prise de poids.

Autre chose, elles ne désaltèrent pas et vous donne plutôt soif vu la quantité de sucres qui les compose.

Dans de rares cas où l’effort est poussé à son maximum, que l’on a épuisé toutes les filières énergétiques et que pointe le spectre de l’hypoglycémie, alors, ce type de boisson aurait probablement une utilité.

Mais je le répète, c’est rare.

Si l’alimentation est intelligemment construite autour de l’activité physique, elle doit pallier à la consommation de ces boissons sucrées à outrance.

Celle-ci sont parfois enrichies de minéraux de synthèse qui s’assimilent de plus difficilement.

Et les boissons énergisantes qu’est-ce que c’est ?

Ce sont des boissons possédant des propriétés stimulantes pour l’effort physique et intellectuel.

On les appelle : Energy drinks, power drinks, smart drinks, boosters, boissons énergisantes …

Certains s’en servent dans le cadre sportif, d’autres pour stimuler le système nerveux et tenir le coup….

Elles sont parfois associées à de l’alcool… vous voyez le genre de boissons dont je parle.

En plus du sucre qu’elles contiennent, on y trouve des substances «stimulantes» telles que:

La taurine, la caféine, le ginseng, le guarana, certaines vitamines…

La législation française parmi la plus drastique au monde, minore les quantités de ces substances stimulantes jusqu’au minimalisme pour ne pas dire jusqu’à l’infinitésimal.

Je suis plutôt dubitatif sur les effets si percutants qu’on leur attribue!

On m’a rapporté récemment une conversation entre adhérents, à la salle de gym, ceux-ci parlaient de leurs boissons énergisantes.

A en croire leur enthousiasme, ces boissons faisaient d’eux des bêtes d’énergie, des foudres de guerre.

Des boissons pourvus de gingembre et de ginseng.

Bon, lorsque l’on regarde la composition, ce sont des miettes de gingembre et de ginseng qui n’ont évidemment aucune incidence sur cet engouement.

Aucun impact sur ces excitations, ces forces décuplées, ces physiques survoltés…

Ces adhérents ont d’ailleurs passé l’heure d’entraînement à discuter de ça.

Ces boissons auraient-elles finalement d’autres capacités comme celles de délier les langues et de donner de l’énergie aux discussions ?

Lorsque dans la composition de ce type de boisson apparaît de la caféine issue du guarana ou directement du café, les quantités sont équivalentes, au maximum, à deux ou trois expresso, la législation faisant loi.

Et bien malgré cela, ses produits passeraient presque pour des amphétamines… C’est dire la puissance de l’esprit.

Autre point, nous savons pertinemment que la vitamine C, qui rentre parfois dans la composition de ces produits « énergisants », n’a rien d’un énergisant.

Elle ne peut en aucun cas faire de vous un excité ou un insomniaque…

Particulièrement aux doses imposées par la législation française, à savoir 100 % des apports journaliers recommandés soit 80 mg !

A titre indicatif il y a: 228 mg de vitamine C dans 100 g de goyave, le cassis 200 mg / 100 g, le persil 190 mg / 100 g, le poivron rouge 170 mg / 100 g…

100 g de goyave, c’est presque 3 fois les apport journaliers recommandés (AJR)!

Et de la vitamine C naturelle en plus, c’est à dire, plus assimilable donc plus efficace.

Ne consommez pas de goyave ou de cassis le soir, même un peu, vous risquez de ne pas dormir du tout.

La vitamine C incorporée dans ces boissons est généralement de synthèse, sous forme d’acide ascorbique produite à partir du D-glucose et sous l’appellation législative de E300.

Comme cité plus haut, cette forme est forcément moins assimilable que la vitamine C naturelle ou issu directement de l’alimentation.

En conclusion, vous l’aurez compris, de mon point de vue, ces boissons énergisantes n’ont surtout de stimulant que la stimulation qu’on veut bien leur accorder !

Pour certains consommateurs, c’est quasiment miraculeux, tant mieux!

Ce qui me conforte évidemment dans ce que je pense au sujet de la puissance de l’esprit.

Les poudres protéinées, qu’est-ce que c’est exactement ?

Ce sont à la base des aliments d’origine animale ou végétale naturellement riche en protéines comme: les œufs, le lait, le soja, le pois, la chanvre etc. etc.

On en extrait leurs protéines par différents procédés comme entre autres: l’ultrafiltration et la précipitation isoélectrique afin d’en faire des poudre de protéines.

Ces poudres hyperprotéinées peuvent être des concentras, des isolats ou des hydrolysats.

Cela est fonction de leurs procès d’extraction et si elles ont subit une hydrolyse (prè-digestion enzymatique).

Il est donc possible d’envisager ce type de complément pour supplémenter son alimentation de base lorsque la demande en protéines est plus élevée que la normale.

Cette demande est motivée par l’activité physique, quand elle est plus importante et que le contrôle de l’alimentation devient une nécessité, au même titre que l’origine et les quantités de nutriments.

Elle est motivée de la même façon lorsque l’on veut perdre de l’adiposité et tonifier son corps.

Le choix du produit doit alors se situer essentiellement au niveau de sa qualité.

Ne focalisez pas sur le marketing qui vous fait passer le plus souvent les vessies pour des lanternes.

Je rédigerai prochainement un article uniquement sur les protéines en poudre: Quelles sont leurs provenances ? Quels sont leurs rôles ? Quelles sont leurs utilités ? Quels types de protéines devons-nous choisir et pourquoi ?

Les weight gainer qu’est-ce que c’est ?

Ce sont des poudres de sucres, de protéines et parfois même de lipides amalgamées.

Le but de ce type de produit étant la prise de poids comme son nom l’indique.

Bon nombre de consommateurs ont déjà une alimentation hypercalorique et déstructurée, rajouter ce type de produit riche en calories à leur alimentation de base, a pour conséquence de leur faire prendre beaucoup de poids mais majoritairement beaucoup de graisse.

Je comprends l’utilité du weight gainer pour les consommateurs qui ont des difficultés à s’alimenter et qui ont besoin de prendre du poids.

Mais en dehors de cela, ce type de produit n’a aucune utilité sauf celui de s’alourdir exagérément.

En conclusion et de mon point de vue, les allégations que l’on prête à ses produits sont très souvent exagérées.

Bon nombre d’entre eux ont très peu d’efficacité et parfois même aucune efficacité.

Ils sont de plus, soumis à l’industrialisation donc au profit et par conséquent leur qualité est reléguée au second plan.

Ne vous fiez pas seulement au marketing ou à votre copain qui n’a aucune expertise et qui dit que le produit est excellent.

Ne prenez pas comme seuls critères, le gout, les couleurs sur l’emballage, la promesse de faire de vous un super athlète comme l’égérie sur le packaging qui monnaye son image.

Servez-vous de votre libre arbitre, croisez les informations.

Si vous ne devez utiliser qu’un ou deux produits dans le cadre de votre activité de culture physique alors optez principalement pour: une poudre protéinée et pourquoi pas un hydrolysat d’Acides aminés ou des BCAA.

Comme expliqué plus haut, je ferai prochainement un article consacré spécialement aux poudres de protéines en espérant vous éclairer un peu.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Comment je peux m’entraîner avec des problèmes plein la tête ?

J’ai l’impression que l’anxiété, les souffrances mentales, les peurs en général, sont devenues les premières préoccupations de nos sociétés dites «civilisées».

Je précise « civilisées », parce que ce ne sont pas toujours les préoccupations des pays qui ne le seraient pas et qui de mon point de vue ont certainement tout gagné à ne pas l’être.

Voici une définition de CIVILISER: CIVILISÉ, ÉE, part. passé et adj.A.−Vx ou littér. [Le compl. d’obj. désigne une pers.] Rendre plus civil, plus conforme aux exigences de la vie en société.

− Emploi pronom. à valeur passive ou intrans. Se civiliser. Devenir plus apte à la vie en société, devenir plus raffiné.

B.−Usuel. [Le compl. désigne une collectivité (nation, peuple)] Faire passer d’une condition primitive à un état de plus haut développement matériel, intellectuel, social. Civiliser un peuple…

Il serait peut-être temps, soit de donner une autre définition à ce mot ou peut-être de ne plus l’employer comme qualificatif pour nos sociétés.

Lors de quelques voyages où je visitais des pays dit « non civilisés » ou « moins civilisés », j’y ai trouvé l’intelligence, l’humanisme, de la bienveillance, de la tolérance, bien supérieures à ce que je peux connaître en France d’un point de vue général.

Ces civilisations rencontrent d’autres problèmes qui parfois sont du domaine de la survie.

Vont-ils pouvoir s’alimenter, s’habiller et dormir sous un toit…

Pas le loisir ni le temps de se préoccuper de sa personne et des tumultes psychologiques qu’engendrent une société de surconsommation.

Surconsommation d’aliments industriels, surconsommation de médicaments, de drogues, de cigarettes et d’alcool.

Surconsommation de médias anxiogènes et surconsommation de problèmes…

Voici la liste non exhaustive de ce que nous surconsommons.

Lorsqu’il est question d’alimentation, cela se voit.

Nous sommes rapidement informés par un indicateur visuel, nous stockons et nous devenons adipeux puis avec le temps, obèses.

L’alimentation c’est de l’énergie et lorsque vous apportez trop d’énergie par rapport à votre consommation et bien celle-ci déborde, inonde votre corps et finit par vous rendre difforme.

Oui je sais ce n’est pas politiquement correct de tenir de tels propos.

Mais c’est ainsi, cet état est toxique pour votre santé, mauvais pour votre propre estime, difficile à supporter mentalement.

Lorsqu’il est question de surconsommation de cigarettes, de drogue et d’alcool, la sentence est l’addiction.

En d’autres termes, c’est la privation de liberté, la maladie et très souvent la mort.

Je vais vous sembler à nouveau politiquement incorrect, certainement rabat-joie et particulièrement en ce qui concerne l’alcool.

Mais, la meilleure façon de ne pas sombrer dans ces puissants poisons, ce serait de ne jamais y toucher, même pas pour la rigolade!

Pour le coté « festif » et « bon vivant ».

La pollution liée à la surconsommation de ces «stupéfiants» est clairement visible.

L’excès d’alcool entraîne, outre l’alcoolisme et son cortège d’abominations, comme l’alimentation d’ailleurs, le surpoids et l’obésité.

L’alcool est également un nutriment énergétique et pas des moindres puisqu’il est presque aussi calorique que le sont les lipides.

La consommation excessive de cigarettes marque le physique, porte atteinte à la peau et à son éclat, noircit les dents et abime la voix.

Sans parler du nombre incalculable de pathologies dont certaines sont morbides.

En ce qui concerne la drogue c’est un fléau mondial, une aberration humaine.

De mon point de vue, c’est un outil d’aliénation et de régulation des masses, une arme de destruction massive.

Ne serait-ce pas un moyen d’éradiquer une partie de la population ?
Certainement un autre débat…

Venons en aux problèmes plein la tête et de cette surconsommation de souffrances.

Celle-ci nourrit nos circuits neuronaux négatifs baignant dans notre jus d’égocentrisme.

Le débordement, le trop plein d’anxiété n’est pas visible.

Votre cerveau ne gonfle pas au point de devenir difforme sous le poids de l’énergie négative qu’il aurait accumulé.

Nous n’écoutons pas les alertes, elles sont méta physiques, nous ne les voyons pas ou nous ne voulons pas les voir…

Il est parfois trop tard lorsque nos pensées deviennent totalement incohérentes, divagantes, attachées uniquement à notre souffrance, à nos peurs, au ressassement du passé et aux projections vers un futur toujours très noir.

Alors comment faire pour rester concentré et assidu à l’entraînement quand nous sommes dans cet état là ?

J’ai toujours considéré la culture physique comme un moment particulier où le corps et l’esprit faisaient « corps ».

C’est pour moi un véritable moment de méditation en mouvement, un espace de plénitude et de quiétude.

Il y a comme ça très peu de moments où je ressens une connexion qui se situe au niveau quantique et spirituelle, la méditation me procure cet état, la musique parfois et la pratique de la culture physique telles que je l’entends.

En effet, cet état se révèle seulement lorsque vous êtes impliqués à un niveau tel que vous contrôlez parfaitement les paramètres d’intensité.

Lorsque vous contrôlez la gestuelle, c’est-à-dire votre ergonomie, l’amplitude de votre mouvement, que vous êtes dans l’action contrôlée, que vous n’impliquez quasiment que le muscle concerné.

Cet état se révèle quand la fréquence du tempo est parfaitement maîtrisée et que vos temps de récupération sont millimétrés.

Quand votre esprit est alors focalisé sur rien d’autre, aucune dispersion n’est alors possible.

A ce moment, seul existe le moment présent, exempt le passé, le futur, la peur de l’abandon, l’insécurité, vos relations personnelles et professionnels difficiles.

Exempt les difficultés financières, le manque de considération de votre entourage, exempt votre esprit torturé par ce que vous auriez dû faire et que vous n’avez pas su ou pas pu faire.

Quand vous pratiquez la culture physique de cette façon, avec ce degré de maîtrise, alors les problèmes n’existent plus, ils ont quitté votre esprit l’espace d’un instant…L’espace d’une heure ou deux.

Malgré l’intensité de l’entraînement et l’inconfort physique que cela peut générer, vous avez réussi à créer un espace mental de confort, un havre de repos, vous avez réussi à faire respirer votre âme.

Quand vous êtes dans cet état de mal-être profond, je vous engage à appliquer scrupuleusement les règles de l’art en culture physique afin d’occuper votre esprit à autre chose qu’à son bavardage toxique et incessant.

Croyez-en mon expérience, vous vous sentirez même dans de meilleures dispositions pour le reste de la journée.

Je vous engage à lire mon article « Faites du squat et pas la guerre », il évoque également cet état que provoque un entrainement intense et complet.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Pensez à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Vous allez progresser des bras !

Les bras sont une partie du corps visible la plupart du temps, à ce titre, elle sera vue, scrutée, analysée et forcément jugée.

Et vous le savez n’est-ce pas !

Nous vivons une époque submergée par l’image et la comparaison.

L’égo est roi et dans le même temps, il ne s’est jamais autant vendu de bouquins sur le développement personnel se faisant l’écho du non jugement, de la compassion et de la bienveillance … c’est un comble.

De toute évidence, tout est comme ça !

Regardez l’alimentation, nous n’avons jamais été aussi informés des dégâts de la mal bouffe sur la santé, nous sommes également ultra informés de la toxicité de la cigarette et de l’alcool.

Résultats, nous n’avons jamais été aussi gros, aussi fumeurs (particulièrement les femmes de 45 à 60 ans et cela depuis quelques années) et aussi consommateurs d’alcool à des niveaux qui défie l’entendement (particulièrement chez les jeunes).

Bon ceci sera certainement le sujet d’un autre article.

Finalement, il semblerait que nous fassions ce que nous pouvons…

Pour les hommes, les bras sont associés à la masculinité et à la puissance.

Ne parle-t-on pas de « gros bras » lorsque l’on décrit quelqu’un de fort, de costaud.

On ne dit pas « grosses cuisses » lorsque l’on veut faire référence à quelqu’un de puissant.

Pour les femmes, les bras sont également un centre d’intérêt majeur, trahissant très souvent l’état de forme physique matérialisée par le relâchement du triceps.

Avec le temps qui passe, si nous n’y prenons pas garde, le corps s’affaiblit, les tissus se relâchent et pour certains d’entre nous, cela commence assez tôt parfois même avant 40 ans…

Les bras sont véritablement un baromètre, ils trahissent l’empreinte des années.

Je pense sincèrement pouvoir vous aider.

Je vais donc vous donner quelques astuces et un programme spécifique pour avoir des bras forts et musclés pour vous messieurs.

Et pour vous mesdames, quelques astuces et un programme spécifique pour éviter le ramollissement et avoir les bras sexy.

Ces programmes d’entraînement que je partage avec vous sont efficaces, analytiques, très concentrés sur chacun des groupes de muscles qui composent le bras, c’est-à-dire les biceps et les triceps.

Avant tout, voici quelques recommandations:

  • Travaillez les antagonistes, c’est essentiel, c’est-à-dire les muscles opposés anatomiquement.

En conséquence, pour le travail des bras, il ne faut négliger aucune partie et ainsi se concentrer à la fois sur le biceps et sur le triceps même si c’est plutôt le triceps qui se relâche, mettez autant d’engouement pour le travail du biceps.

  • Ayez un vrai désir d’améliorer vos bras
  • Ayez des objectifs précis
  • Faites-vous une représentation de la forme de bras que vous souhaiteriez avoir, le dessin, le volume, la tonicité etc.

Je vous rappelle les grandes règles, les paramètres d’intensité qui sont mon cheval de bataille:

  • Prenez grand soin à l’exécution (la gestuelle, l’amplitude, l’ergonomie)
  • N’impliquez pas d’autres muscles dans la mesure du possible
  • Respectez le tempo
  • Ne vous servez pas de l’inertie en bloquant le mouvement ou en ne contrôlant plus les charges
  • Respectez les temps de repos
  • Conscientisez votre entraînement

Ces deux programmes d’entraînement seront à exécuter en salle de sport.

Cliquez sur ces liens pour télécharger votre programme.

Pour les femmes : BRAS FERMES ET TONIQUES

Pour les hommes: VOUS ALLEZ PROGRESSER DES BRAS

C’est à vous de jouer, à vous de vous entraîner.

N’oubliez pas : bon mouvement bon entraînement.

Ce que je vous explique vous semble logique.

Penser à réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

Pourquoi vous devriez m’écouter

C’est un titre qui peut sembler très orgueilleux, une position parfaitement égocentrique.

Vous pourriez penser de moi que je suis quelqu’un d’arrogant, un narcissique de plus.

Vous auriez peut-être raison, je dois certainement l’être, beaucoup plus que certains et beaucoup moins que d’autres.

Tout est une question de perception, de point de vue.

La façon dont vous voyez les choses est liée à votre vécu, vos expériences, mais également à ce qui est inné chez vous, vos désirs, vos frustrations, vos réussites…

Ainsi vous pouvez me voir comme quelqu’un de détestable, un véritable « con » ou une personne que vous souhaiteriez côtoyer et avec qui, pourquoi pas, vous aimeriez devenir ami.

En tous les cas, quelqu’un qui peux vous apporter une plus-value, qui peut répondre à vos attentes.

Ceci étant dit, vous pourrez bien penser ce que vous voulez, cela vous appartient, il vous reste, bien heureusement, votre liberté de penser, là est la vraie liberté.

Je pense donc que je suis la personne qu’il vous faut, celui que vous devriez écouter pour améliorer votre condition physique générale, votre esthétique, celui que vous devriez écouter pour vous sentir plus performant, physiquement et mentalement plus fort, globalement plus sûr de vous.

Vous allez peut-être vous dire: « oui mais ce « mec », toute sa vie il n’a fait que ça! »

ça ! c’est facile pour lui !

Oui effectivement vous avez raison, il y a plus de 35 ans que je fais ça; est-ce que vous vous rendez compte ce que cela veut dire ?

Près de 40 ans que je travaille chaque jour pour m’améliorer, que j’apprends, que je teste, que je remets 100 fois, 1000 fois mon travail à l’ouvrage et vous pensez réellement que c’est facile ?

C’est évidemment tout le contraire, c’est un labeur à plein temps, mais quelle richesse! Quel plaisir lorsque l’on obtient tous ces merveilleux résultats !

Considérez que je vous livre, à travers ma méthode, l’essence de toutes ces décennies d’apprentissage.

Je partage avec vous les meilleurs ingrédients et leurs quantités justes pour que la recette fonctionne parfaitement.

Savez-vous qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Que vous ayez 40 ans, 50 ans, 60 ou même plus, votre capacité à changer les choses, à vous améliorer physiquement et mentalement, est sans limite.

Les seuls véritables limites que vous ayez, ce sont vos pensées, vos désirs et votre foi… la croyance que vous y mettrez ou pas.

Le dénominateur commun pour la réussite d’un projet, c’est l’enthousiasme, la certitude d’y arriver.

Vous êtes tellement loin d’avoir utilisé toutes vos capacités. En fait, vous n’avez quasiment rien exploité.

Pourquoi suis-je la personne que vous devez écouter ?

En premier lieu, parce que j’ai ce que vous voulez… je détiens ce que vous recherchez, je sais comment y parvenir, pour l’avoir vécu et suis donc à même de pouvoir vous l’enseigner.

J’ai réussi à 53 ans à avoir une forme optimum, une excellente condition physique générale, une santé parfaite et un état d’esprit positif.

Je vous parle donc de ce que je connais, de ce que je mets en pratique à chaque instant.

La transmission par l’exemple.

En règle générale, si vous voulez avoir de la richesse financière, lisez des biographies de gens riches, côtoyez les, apprenez d’eux, soyez enseignables, recevez l’information à bras, à cœur, à esprit ouverts.

Alors vous deviendrez surement riches, encore que cela dépend aussi de la façon dont vous avez reçu l’information, de la mise en application, de votre détermination, de vos désirs…

Et même si vous ne devenez pas riches, vous augmenterez probablement vos revenus parce que vous aurez intégré de nouveaux concepts, vous aurez acquis une nouvelle perception, vous aurez compris que c’était possible parce que d’autres y étaient arrivés.

Alors pourquoi pas vous ?

Et ça marche de cette façon pour tout ce que vous désirez.

Si votre souhait ardent est d’être un grand cuisinier, un grand musicien ou simplement un musicien; ce sera déjà pas mal; vous choisirez celle ou celui qui a fait ses preuves, qui vous semble parfaitement approprié, un exemple que vous suivrez et qui vous inspirera.

J’ai œuvré dans ce sens une partie importante de ma vie, plus de 35 ans.

J’ai acquis une expérience qui est physiquement vérifiable, une expertise qui m’a conduit à entraîner des centaines de personnes sur ce chemin, avec réussite dans une grande majorité des cas.

Je me considère toujours comme un apprenti, j’ai toujours soif d’apprendre, de me remettre en question et de transmettre.

Pour toutes ces raisons, vous pouvez me faire confiance. Je suis la personne que vous pouvez écouter.

Ce que je vous explique vous semble logique ?

Prenez l’habitude de réfléchir avant d’agir.

Philippe LAMACHE

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